La Pergola 1

C’est le jour où le montage de notre pergola doit être effectué et en effet un homme se présence tôt le matin. Malheureusement la météo est capricieuse et il fait très froid. Pour lui cela ne semble pas le gêner et il s’y attaque immédiatement, vite arrêter par une première averse ; je le fais rentrer, lui offre un café et discutons simplement ; c’est un bel homme, manifestement d’origine magrébine, assez discret. Dès que l’averse se termine, il reprend son travail. Malheureusement, alors qu’il est entrain de fixer une traverse sur le mur, une nouvelle averse survient et le temps qu’il sécurise l’installation, perché sur son échelle et qu’il mette à l’abri ses appareils électriques, il est véritablement trempé ;
Afin qu’il ne prenne pas froid, je lui propose de lui prêter des vêtements, ce qu’il accepte après que j’ai insisté et comme il grelotte, je lui montre le chemin de notre salle de bain, pour qu’il prenne une bonne douche chaude. Alors que je lui apporte des vêtements pour se changer, je le surprends sortant de la douche italienne et mon regard reste fixé sur son sexe ; il bande et sa queue large et de belle longueur, fait un arc de cercle remontant vers son pubis ; il a vu mon regard, mais il ne semble pas gêné bien au contraire, alors qu’il s’essuie et que je dépose ses affaires sur le lit, il s’approche de moi et me fixant intensément, il me dit :
« Je vous impresionne ou c’est mon sexe qui retient votre attention » je ne sais que répondre et je veux me retourner pour sortir.
« Vous ne m’avez pas répondu » prenant mon courage à deux mains, je le regarde et je lui réponds
« C’est votre sexe honnêtement, il m’a impresionné » ; se rapprochant de moi :
« Il vous plait ? ou il vous donne envie « « je dois reconnaitre que les deux réponses sont valables »
« Vous m’en n’avez jamais vu comme cela ? « « non je le reconnais »
« Et vous avez en avez souvent vu « « oui mais pas comme la vôtre »
Se collant contre moi, il prend sa queue à pleine main et se branle doucement
« Vous aimez les hommes je suppose et vous devez avoir envie de la mienne alors profitez s’en »
Me faisant mettre à genoux, il me présente sa queue devant ma bouche ; pour moi, l’envie est là et sans hésitation, mes lèvres se posent sur le gland turgescent et ma langue s’infiltre dans son méat, d’où perle quelles gouttes ; il m’a pris la tête à deux mains et s’enfonçant entre mes lèvres écartelées par son mandrin, il commence un va et vient dévastateur ; j’ai du mal à prendre la totalité de sa queue dans ma bouche et j’essaie de mettre ma main afin qu’il ne s’enfonce pas trop, mais il a compris et il la retire et d ‘une poussée , il s’enfonce jusqu’àce que ses couilles viennent buter contre mon menton ; son gland vient frapper le fond de mon palais, avant qu’il s’arrange pour qu’il le dirige vers le fond de ma gorge ; il cherche une gorge profonde, et après quelques reculs de ma part pour ne pas vomir, il y réussit ; pendant un long moment, il va me posséder ainsi, avant d’éjaculer abondamment.


Me retirant mon jogging que je porte sans slip, il me pousse sur le lit, me mettant à genoux ; je dois lui offrir une pleine vue sur mon sillon et très vite je sens son gland sur mon anneau ; il n’a pas débandé et il essaie de me perforer ; mais je ne suis pas dilaté et malgré deux claques sonnantes sur mes fesses, non sphincter ne le laisse pas passer ; je lui demande alors de prendre du gel dans le tiroir et après m’avoir doigté avec le gel, il se représente à l’entrée de mon petit trou ; doucement le gland glisse à l’entrée et quand il bute sur mon anneau, il donne un grand coup de rein ; sous la poussée la douleur me perfore mais il n’en tient pas compte et finalement tout son sexe est en moi.
Heureusement il me laisse récupérer alors qu’il vient de me sodomiser totalement ;
« Tu te fais souvent prendre ainsi, tu as l’air d’aimer cela ; tu aimes ma queue »
alors que je viens de lui dire oui, il commence alors un va et vient, de plus en plus rapide, de plus en plus fort ; agrippé à mes hanches , il me défonce, accompagnant parfois son enculade par des claques bien portée sur mes fesses ; j’aime sa puissance, son emprise et la douleur de cette brutale sodomie s’estompe pour faire place au plaisir ; dans mon ventre monte de plus en plus l’envie de jouir et alors que jusqu’à la ma queue avait perdu sa superbe, à nouveau je bande et sans préavis, j’éjacule bruyamment.
« Mais tu jouis petite lope, tu la trouves bonne ma queue, tu en as encore envie à ce que je vois » et il recommence à nouveaux ses percussions qui me labourent le ventre ; sans doute en raison de sa première éjaculation, il est résistant et quand enfin il se vide en moi, me traitant de petite femelle qui aime se faire féconder, je m’écroule sur le lit, l’anneau dilaté au maximum, suintant de semence il a réussi à me faire jouir plusieurs fois et je suis épuisé.
Dehors il pleut toujours et il ne semble pas percé de partir, bien au contraire il se montre curieux
« Ta femme sait que tu te fais prendre par les hommes ?» « Oui bien sûr et elle aime quand je le lui raconte et parfois, ensuite elle me prend avec un gode, comme une femelle me dit elle »
« Et tu cèdes ainsi souvent » finalement ses questions m’excitent et je décide de le provoquer
« non, mais le plus souvent, c’est en participant à des soirées où je suis la proie de plusieurs hommes, où alors ma femme m’offre à son amant alors qu’elle vient de se faire prendre devant moi »
« tu la laisses avoir des amants, tu es donc cocu et en plus un soumis » « oui c’est le cas et j’aime »
alors que je le provoque je vois sa queue reprendre du volume ; et je continue ma provocation
« j’aime être posseder comme une femme et parfois , elle m’oblige à me travestir complètement, avant de me sodomiser avec son gode vibrant ; j’adore »
le résultat est là ; à nouveau il bande et me penchant sur sa queue , je l’embouche un petit moment avant de m’étendre sur le dos et relevant mes jambes, je lui dis « vas-y prend moi , j’ai envie de toi »
il me lui faut pas longtemps pour réagir et posant mes jambes sur ses épaules, son gland se pose sur mon cul et d’une traite, il me perfore ; cette fois l’anneau s’ouvre très vite et juste une petite douleur vite estompée quand il commence à me ramoner le conduit ; son bassin vient percuter mes fesses et son gland à chaque poussée vient solliciter ma prostate , pour mon plus grand plaisir.
Ses pénétrations sont plus profondes que tout à l’heure et mes jouissances sont totales, accompagnées à nouveau par une éjaculation sur mon ventre. Soudain je le sens se cabrer et un flot de semence vie me féconder pour la deuxième fois ; quand il se retire, mon trou, dévasté et hyper dilaté par son mandrin rejette le trop plein de semence.
Alors qu’il vient de reprendre une douche, il prend mes vêtements et prêt à partir car il pleut toujours, il se retourne et me dit « si tu le veux quand je vais revenir tu peux te mettre en femme ; cela me plairait bien et éventuellement si ta femme en as envie, je peux m’occuper d’elle devant toi, petit cocu.

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