Compiègne (Épisode 3)

Intro :
Bonjour, c’est Bob ! Ceci est la suite des aventures de Virginie. Souvenez-vous, j’étais en visite au château de Compiègne avec ma belle quand elle se fit accoster par deux gars aux meurs dilettantes. Je vous comte la suite ? C’est parti !
**********
Dimanche matin. Le réveil sonna. Virginie se réveilla, déjeuna et prit sa douche rapidement. Sa mère se leva immédiatement après elle et lui dit : « tu es bien matinale aujourd’hui ? »
- Oui, répondit Virginie, je ne veux pas rater le bus pour Chantilly. Déjà, qu’il n’y en a pas beaucoup.
- J’aurais pu t’accompagner, répliqua sa mère.
- Non, non ! je vais me débrouiller toute seule, ajouta Virginie. « J’ai vu les horaires de bus. Il n’y a pas de souci. »
- OK, fit sa mère. « Bonne journée alors ! »
- « Bonne journée, Maman ! »
Sitôt dit, sitôt Virginie quitta le domicile de sa mère et s’empressa de prendre le bus. Arrivée à Chantilly, elle avait un peu d’attente pour la correspondance. Cela n’était rien cependant en comparaison de la durée du voyage dans le train. Compiègne n’est pourtant pas si loin de Chantilly, mais le dimanche, les trajets sont toujours un peu plus longs.
Arrivée à Compiègne, Virginie flâna un peu dans les rues du centre-ville, faisant du lèche-vitrine. Il y avait de belles choses et de belles boutiques mais tous les magasins étaient fermés. Elle continua alors son chemin vers le château, à pied, jusqu’à arriver sur l’esplanade. C’est là qu’elle avait rencontré Phil et Yves, il y a maintenant huit jours ; après en avoir fait la visite du musée avec son compagnon.
Il était 14 heures, à peine plus. Alors Virginie flâna dans le parc du château, cherchant par là un banc sur lequel s’asseoir. Elle avait pris avec elle dans son sac à main un bon polar à l’eau de rose : l’histoire d’un homme ayant fait dix-sept années de prison pour un crime passionnel, etc. Elle lut quelques chapitres. Les gens semblaient ne pas faire attention à elle, quand soudain elle entendit une voix crier son nom.

C’était Phil qui s’approchait d’elle. Il était accompagné du garçon de la dernière fois. Un homme les accompagnait tous les deux avec une caméra à la main. Il était près de 15 heures.
- Alors, tu es venue ! dit Phil.
- Oui, une promesse est une promesse ! répondit Virginie, le sourire aux lèvres.
- Super ! ajouta Phil. « Tu connais Yves ! », poursuivit-il, en présentant son compagnon. Les garçons étaient aussi beaux l’un que l’autre. Non que ce soit des apollons mais Virginie les aimait bien et les trouva moins fougueux que la dernière fois.
- Je te présente Bob, notre cameraman, ajouta Phil en présentant l’homme à Virginie.
- « Bob ? pensa Virginie, c’est une blague ! il a le même prénom que mon mec ? »
Yves prit la parole et s’adressa à Virginie :
- On a une voiture. On est quatre, ça va le faire ! Ce que je te propose, c’est de t’emmener là-haut, ça fait un kilomètre vu d’ici. On sera beaucoup plus tranquille qu’ici. Il y a moins de monde là-bas, et puis si tu es OK, on fait une scène. Ça marche ?
Virginie hocha la tête en signe d’acquisition. « Ça me va ! ajouta la belle ».
Dans la voiture Phil, assis à l’arrière à côté de Virginie questionna la belle sur ses envies. N’ayant que peu de temps (la belle devait être à 17 heures à Senlis), il lui demanda si elle pratiquait la fellation, la sodomie, tout. La belle répondit oui à presque toutes les questions. OK pour la sodomie, OK pour la fellation… La seule chose qu’elle se refusait de faire était d’avoir du sperme sur le visage et d’être obligée d’avaler. Elle avait connu cela une fois et ne voulait pas recommencer. En revanche, il était hors de question qu’elle pratiqua la pénétration anal ou vaginale sans préservatif. Phil acquiesça sans aucun problème.

Arrivés au lieu de destination, Yves et Phil emmenèrent Virginie dans une petite clairière, à l’abri des regards. Nous étions à un kilomètre du château. Après quelques minutes de marche, ils déshabillèrent la belle, ne lui laissant que ses bas, sa robe et ses escarpins.
La belle retira son gilet que Phil prit dans la main avant de le donner à Yves pour qui le range soigneusement. Nous étions en pleine nature et à défaut d’armoire pour ranger les vêtements, Yves mit le gilet de la belle dans un sac en toile pour ne pas l’abimer ni le salir.
La belle se dévêtit du haut de sa robe, en laissant retomber sur ses hanches et sur son ventre les tissus et les bretelles avec dentelles. Elle dévoila à nos deux compères des seins volumineux qu’ils savaient être magnifiques parce qu’ils les avaient déjà vus le week-end précédent. La belle leur avait carrément taper dans l’œil !
A suivre…

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