Papy Et La Sauterelle (5)
Papy et la sauterelle
5-Bonne nuit les petites
Les deux filles neurent pas à attendre le mercredi suivant pour retrouver les deux vieux messieurs. Le lendemain de leur visite, Antoine téléphona à Maud pour lui annoncer que Paul souhaitait les avoir à diner samedi soir.
« Vous pouvez prévoir de coucher sur place, ajouta-t-il.
-Ah oui, ce sera une soirée pyjama, plaisanta Maud.
-Je ne pense pas que le port du pyjama soit de rigueur, répliqua-t-il sur le même ton. Je tenvoie ladresse, sauterelle. »
Paul accueillit les deux jeunes filles à sa façon un peu cérémonieuse mais il était visiblement ravi. Antoine étant déjà là, il proposa quon passe à table sans plus tarder.
La conversation porta dabord sur les études de Maud et Leila, puis sur leur sexualité, leur première expérience. Maud avait couché pour la première fois avec un cousin pendant des vacances familiales et nen gardait pas un souvenir impérissable. Puis elle avait eu quelques relations, toujours brèves et sans attachement particulier. Leila navait eu quun seul petit copain durant quelques semaines, un garçon pour qui cétait aussi la première fois ; gentil, dit-elle, mais qui faisait lamour trop vite, maladroitement et sans préliminaires. « Cétait agréable, sans plus, conclut-elle. »
Elles voulurent à leur tour connaitre le passé amoureux dAntoine et de Paul. Antoine était resté célibataire. Dépucelé à ladolescence par une amie de sa mère, il avoua en garder un excellent souvenir. Il passa rapidement sur ses conquêtes, ses liaisons plus ou moins longues. Paul, au contraire, navait eu quun seul amour, sa femme. Ils sétaient connus à la fac, sétaient mariés quelques mois après et avaient eu une vie conjugale longue et heureuse quarante-huit ans de fidélité sans faille, jusquà ce quelle le trahisse en mourant avant lui, conclut-il avec une pointe de mélancolie. Mais il se reprit aussitôt :
« Bien, nous ne sommes pas là pour ressasser le passé, mesdemoiselles.
Et sadressant à Leila, il ajouta :
« Ma puce, veux-tu que nous passions dans ma chambre ?
Antoine, tu connais la maison, la chambre dami est à votre disposition. »
Paul alluma une petite lampe qui dispensa à la chambre une lumière diffuse et intime. Ils sétaient approchés du lit et se déshabillaient en silence. Paul pensa avec émotion que cétait la première fois quune autre que sa femme entrait dans cette chambre. Leila avait eu la même idée ; soudain intimidée, elle nosait pas regarder le vieil homme dont elle avait pourtant envie. Prise dun accès de pudeur, elle se précipita sous la couette pour sy cacher. Paul ly rejoignit, lattira doucement contre lui et ils restèrent ainsi quelques minutes, immobiles et silencieux. Cependant Leila ne pouvait ignorer le contact contre sa cuisse de cette queue raide et ferme. Paul la désirait : sur le conseil dAntoibe il avait pris une petite pilule bleue en prévision de cette nuit, mais ne voulait pas donner à la jeune fille limpression de lui sauter dessus. Ce fut elle qui prit enfin linitiative de repousser la couette et de dévoiler le corps de son partenaire. Elle découvrit sa poitrine couverte dune toison blanche, son ventre assez plat pour son âge, son pubis où se dressait fièrement, dominant un buisson fourni de poils blancs, son sexe en pleine érection. Pris de court mais ravi, Paul attendait la suite sans bouger. Leila contempla un instant cette virilité prometteuse, puis la saisit fermement et entama un lent mouvement de masturbation, observant le gland luisant que son geste couvrait et découvrait tour à tour. Paul, tendu, avait légèrement relevé le bassin en une invitation muette. Elle comprit, se pencha et referma les lèvres sur le pénis offert. Emprisonnant juste le gland, elle en titillait lorifice du bout de la langue. Une soudaine inspiration la poussa à pivoter et sallonger tête bèche contre le vieil homme.
« Lé chez-moi, Professeur, sil vous plait, le pria-t-elle.
Il sexécuta avec empressement, redécouvrant avec encore le même étonnement la petitesse de cette chatte adolescente. Leila avait largement écarté une cuisse, mais la fente, au mitan du petit abricot, demeurait close, du moins à peine entrouverte, laissant juste apparaitre le petit bouton sortant de son étui de chair rose. De la langue, il écarta les lèvres puis entreprit de lécher lentement la vulve frémissante. Le résultat fut immédiat : celle-ci fut aussitôt inondée tandis que Leila, abandonnant toute retenue, délaissa la queue quelle suçait et implora :
« Oh vite, Professeur, niquez-moi
»
Dans la chambre voisine, lautre couple nétait pas en reste. Ils baisaient maintenant depuis près de trois mois, mais cétait leur première nuit et Maud avait bien lintention den profiter pleinement. Lérection dAntoine la rassura : il avait certainement eu recours à la pilule magique. Comme il sétait allongé sur le lit, elle décida à aller dabord à lessentiel : enfourchant lhomme dont la bite se dressait, virile et fière, elle sempala et sentit le membre pénétrer au plus profond delle, attisant sil en était encore besoin son désir. Antoine sabandonna à cette chevauchée, yeux clos, bras en croix, livré à la fougue de sa partenaire. Malgré lui il ne put se contrôler et éjacula rapidement, mais violemment. Peu après Maud le rejoignait, emporté par le premier orgasme de la soirée, et saffalait, haletante, sur sa poitrine.
« Doucement, sauterelle ! Nous avons la nuit devant nous.
-Jespère bien en profiter, Papy. Tu vas voir, je vais tépuiser !
Petite prétentieuse ! Tu vas voir
»
Ils sétreignirent et Maud sentit avec plaisir sa bite toujours ferme pénétrer de nouveau en elle. Il la fit rouler sur le lit, la saisit par les hanches et, agenouillé entre ses cuisses largement écartées, la fit aller et venir en cadence. Jamais cette queue qui la fouaillait ne lui avait paru aussi dure, aussi énorme. Glissant dans sa vulve, son vagin brûlant, elle éveillait en elle des sensations de plus en plus fortes, qui culminèrent en un nouvel orgasme quand le sperme linonda.
Paul et Leila nétaient pas en reste. Après plusieurs rapports, il lui avait demandé de se positionner en levrette et tandis quil la baisait il avait devant les yeux sa petite rosette brune, attirante, tentante. Il avait toujours considéré que sa vie sexuelle et ses rapports avec sa femme avaient été agréables et satisfaisants. Toutefois, ils navaient jamais pratiqué la sodomie et cette nuit le petit cul offert de Leila était un appel irrésistible. Subjugué, il posa lindex sur lanus qui, entre les deux petites fesses, semblait lattendre. Leila sursauta :
« Je nai jamais fait ça, Professeur
-Moi non plus, ma puce
Moi non plus.
-Vous voulez vraiment ?
-Seulement si tu es daccord, ma puce.
- Wesh ! Mais si ça fait mal on arrête, Professeur. »
Elle était restée dans la même position, fesses offertes. Elle appuya la tête sur loreiller et attendit, partagée entre curiosité et appréhension.
La verge de Paul avait été bien lubrifiée dans la chatte de la fille. Fébrile, il la mit en contact avec lanus contracté et poussa délicatement. Le gland pénétra dabord difficilement, puis progressa lentement. La verge de Paul était comprimée mais avançait avec délicatesse dans létroit conduit anal jamais encore visité. Leila gémissait à mi-voix :
« Ooooh, doucement Professeur, doucement
»
Il était maintenant entré à fond, son pubis contre les fesses écartées, et il entreprit, toujours avec précaution, de sortir et entrer. Peu è peu il sentit les contractions régulières des muscles qui entouraient sa bite, tandis que la respiration de ladolescente se faisait de plus en plus forte et haletante.
« Oh oui, comme ça, oui comme ça, ouiiii ! »
Leila jouissait, accompagnant maintenant de violents coups de reins la pénétration jusquà ce que Paul éjacule pour la première fois dans un cul, et un petit cul vierge, qui plus est
La nuit sétait poursuivie en une succession de galipettes et dorgasmes mais leffet du viagra atteignant quand même ses limites les hommes durent rendre les armes.
Leila fut éveillée par lodeur du café. Elle enfila lélégant kimono que Paul avait disposé sur le lit à son intention et alla le rejoindre, suivie de près par Antoine, en peignoir, blanc et Maud uniquement vêtue de sa petite culotte. Elle glissa à loreille de sa copine :
« Wesh, cétait super cool, meuf ! Sérieux, jai la chatte et le cul explosés ! »
Leur hôte, après avoir préparé thé et café, téléphona à la boulangerie située juste au pied de limmeuble :
« Bonjour madame Jacquet, cest monsieur Valois. Pourriez-vous exceptionnellement me faire porter une douzaine de croissants, sil vous plait. Jaurais pu descendre mais
-Bien sûr monsieur Valois, je vous envoie Sylvie tout de suite. »
Quelques minutes après, la jeune employée était là :
« Voici vos croissants monsieur Valois. »
Apercevant Maud, elle ajouta avec un sourire et un clin dil complice :
« Et si vous avez besoin dautre chose, monsieur Valois, nhésitez pas. »
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