Jolies Fesses

JOLIES FESSES

Aujourd’hui, confinement oblige, quand j’arrive à la boulangerie, une file s’allonge sur le trottoir. En effet on ne peut entrer qu’à deux maximum dans la boutique. Je longe la file, et vais me mettre tout au bout, en me disant que ça va être long.
Je me place derrière la dernière personne arrivée, qui est une jeune femme, pas très grande, plutôt jolie, qui a de longs cheveux chatain, lisses qui descendent bas sur ses épaules. En passant, j’ai vu son visage aux pommettes hautes, des yeux bien écartés dont je n’ai pas saisi la couleur, un nez droit et fin, et une bouche assez fine sans maquillage.
Je suis derrière elle depuis un moment quand elle fait un geste qui attire mon regard.
Passant deux mains sous son pull noir, elle le soulève pour saisir les bords de son legging à carreaux et le remonter sur ses hanches, faisant ainsi saillir ses fesses . Le legging moule à la perfection deux globes charnus et ronds, dont la courbe en galbe descend de la cambrure des reins, pour s’arrondir en deux monts fermes, séparés par un sillon bien creux
Dès lors, je ne peux quitter ce fessier du regard. Le moindre de ses mouvements fait frémir ses rotondités, alors que ses cuisses de marbre , elles, n’ont pas le moindre tremblement.
Je m’amuse à deviner ce que cette Vénus Callypige porte sous son legging. Surement pas une culotte, on en verrait la marque. Pour un Tanga, ce serai la même chose. Un string peut-être ? Mais non, le tissu est si près de la peau que j’en devinerais l’élastique, là, en haut, entre le sillon fessier et la taille. Je suis assez indécis. J’observe tous ses petits mouvements.
On voit bien que les fesses sont libres sous le tissu extensible.
Dès qu’elle change d’appui, d’une jambe sur l’autre, l’une ou l’autre de ses rotondités prend l’avantage sur l’autre , déformant les carreaux de l’étoffe, accentuant le galbe du muscle fessier tendu. En suivant le legging, je découvre les cuisses , puis les mollets, bien gansés dans le tissu qui s’arrête sur des chevilles fines, au-dessus de baskets en toile.


La file avance peu à peu. La fille aussi. Chaque pas est un régal pour mes yeux, et je ne m’impatiente plus. Voilà un spectacle que je pourrais contempler des heures.
Finalement, notre tour arrive. Elle entre dans la boutique, Je la suis. Il y a deux vendeuses. Pendant qu’elle achète son pain, je fais ma provision pour les prochains jours, car ces temps-ci, on ne sort pas souvent. Je paie en carte à la vendeuse protégée derrière une vitre, pendant qu’elle compte ses espèces.
Elle sort devant moi. Je la suis sur le trottoir. Elle tourne le coin de la rue et s’engage dans le passage désert qui mène au parking.
Sur une impulsion subite, je presse le pas et me rapproche.
-« Mademoiselle ! »
Elle s’arrête et se retourne, l’air interrogatif. J’espère juste ne pas lui faire peur, vieux bonhomme que je suis, avec mon masque chirurgical, alors qu’elle n’en porte même pas.
-« Oui ? »
Elle me dévisage, l’air interrogatif, cherchant , malgré le masque à reconnaître quelqu’un.
-« Je suis désolé de vous interpeler comme ça. Ne cherchez pas, vous ne me connaissez pas. »
Ses sourcils se haussent en accent circonflexes. Elle se demande ce que je lui veux.
-« Je voulais juste vous dire que je trouve que votre legging vous va très bien »
Elle esquisse un sourire, mais est toujours sur la réserve
-« Vous le trouvez joli ? » demande t’elle interloquée
-« Non, je trouve qu’il vous va bien, c’est ce qui est à l’intérieur que je trouve joli. » ne puis-je m’empêcher de préciser
Elle me regarde, stupéfaite, mais visiblement pas effrayée.
-« ça alors ! ça vous arrive souvent de draguer une petite jeune, de cette façon ? »
-« ça ne m’arrive pas souvent, comme vous dites. En ce moment, vous ne risquez rien, confinement oblige, et je ne vous drague pas, mais, je suis bien plus âgé que vous, et j’ai appris qu’en toute circonstance, quand on voyait une jolie personne, il ne fallait pas hésiter à lui dire.
J’ai remarqué, dans la file d’attente, que vous aviez de jolies fesses. Je voulais vous le dire, c’est tout. »
Elle me regarde maintenant différemment, amusée peut-être.
-« Et quand vous voyez quelqu’un qui a un joli cul, vous lui courez après ? »
-« Pourquoi pas ? Vous ne savez pas combien de jolies femmes j’ai rencontré dans ma vie sans avoir osé leur dire, et je peux en concevoir quelque regret. Alors, depuis quelques temps, je dis clairement ce qui me semble évident. »
-« Et vous croyez que ça me fait plaisir ? » s’insurge t’elle
-« Chère demoiselle, c’est un compliment. J’espère qu’il vous fait plaisir. J’espère aussi que ce compliment vous fera prendre conscience de cet atout séduction que vous avez, si ce n’est déjà fait. »
-« humm, vous êtes un drôle de type. Je ne sais pas si je peux vous croire. Je ne sais pas si vous ne dites pas ça à toutes les meufs. »
-« Bien sur que non, Et pour vous prouver que je vous ai bien observée, je peux même vous dire ce que vous portez sous votre legging. »
-« Ah, vous croyez ça vous, et qu’est ce que je porte ? » demande t’elle
-« Rien du tout. »
Son petit air étonné me fait comprendre que j’ai vu juste, mais elle se reprend vite.
-« ça vous n’en savez rien. Il existe des culottes invisibles, ou je peux porter un string. »
-« C’est ce que vous pensez, mais je suis prêt à parier que vous ne portez rien. »
-« Que voulez vous parier ? » lance t’elle sur un ton de défi
Je sors mon portefeuille et en extrait 200€
-« Je suis prêt à parier 200€ »
Je sens clairement qu’elle hésite. Elle a pourtant de l’argent à gagner… où à perdre.
-« Non, je ne veux pas parier. C’est trop d’argent. » dit elle, admettant implicitement que j’ai raison.
-« Alors soyez fair play. Laissez moi vérifier. »
-« Quoi, Je n’ai pas parié ! »
-« Bien sur parce-que vous avez perdu. »
-« C’est vous qui le dites ; »
-« Montrez moi que j’ai tort.
»
Elle soupire et me regarde d’un air un peu exaspéré. Finalement, elle se retourne. Elle va partir. Elle fait quelques mêtres et s’arrête. Elle souléve son pull et fait glisser son legging
Jusqu’aux genoux en se penchant légèrement en avant, me dévoilant, son cul somptueux, et entre ses deux fesses rebondies, un abricot bien fendu. Deux ou trois secondes, et elle se relève masquant ses trésors. En partant, elle me lance
-« Content Papy ? »
-« J’ai engrangé du rève pour une année. »

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