Une Vie Avec Kayia (Partie I)
Chapitre 2 : Une vie avec Kayia
Alice glissa une main dans ses longs cheveux sombres et les agita vigoureusement. Il fallait quelle retrouve sa concentration. Elle ne pouvait passer lensemble de ce TD à penser à la soirée qui lattendait. Celui-ci était important pour la méthodologie quelle aurait à utiliser par la suite. Elle essaya de se concentrer sur le texte, plissant encore plus ses jolis yeux bridés. Elle soupira au bout de quelques minutes. Ses pensées revenaient au galop et elle avait perdu le fil.
- Ca va, Alice ? lui demanda sa camarade à côté delle. Tu as lair complètement à côté de tes pompes aujourdhui.
La belle étudiante se tourna à moitié vers son amie, lui souriant ce qui avait leffet darrondir encore plus ses pommettes.
- Jai du mal à me concentrer, Chloé, fit Alice. Jai bien compris ce que M. Durra nous a demandé, mais impossible de rester dans le texte plus de cinq minutes.
- Il va bien falloir, ma chère, cest important ce quon fait là.
- Je sais, mais pas simple.
- Tu penses encore à ta nana ? demanda létudiante aux longs cheveux blonds, avec un air désapprobateur.
- Oui, je
- Tu devrais arrêter, la coupa la jolie blonde. Tu dois rester concentrée sur tes études, normalement cest toi la plus sensée de nous deux, je devrais pas avoir à te dire ça.
- Je sais, Chloé, mais je suis si amoureuse.
- Moi aussi, je suis amoureuse, cest pas pour cela que je passe mon temps à ne penser quà Océane.
Alice se retient de répondre pour ne pas être offensante. Elle savait que son amie tombait très vite amoureuse, sa nouvelle conquête était déjà sa deuxième amoureuse depuis le début du mois. Pour elle, cétait différent, elle avait du mal à trouver la personne qui lui convenait et tombait rarement amoureuse.
- Tu as raison, il faut que je me concentre, mais jai limpression que cela fait une éternité que je nai pas eu de nouvelles, et là dans quelques heures je vais la retrouver.
- Je te lai déjà dit, Alice. Fais attention à cette femme, je ne lui fais pas confiance. De tout ce que tu mas raconté sur elle, je trouve que certaines choses ne collent pas.
- Comment ça ?
- Déjà toutes ses absences,
- Cest pour son travail, fit Alice.
- Travail que tu ne connais pas et puis pourquoi ne la t-on jamais rencontré ?
Alice tiqua. Elle navait pas vraiment de réponse à ça.
- Je tadore, Alice, reprit Chloé, tu es ma meilleure amie alors je te dis ça pour ton bien. Jespère que tu as trouvé une bonne personne et que tu seras heureuse avec elle, mais fais attention à toi. Je ne te reconnais plus depuis quelques temps. Tu es plus distante, tu nous parles presque plus et je ne compte pas le nombre de fois où tu esquives nos sorties parce que tu ne te sens pas bien. Pour moi, tu as changé et tu me parais pas plus heureuse alors jespère que cest temporaire.
En effet, la vie dAlice était complètement chamboulée depuis quelle avait rencontré Kayia. Tous ses rêves se focalisaient sur elle à présent. Elle se demandait encore parfois comment la chance avait pu lui sourire autant pour rencontrer une personne si parfaite. La relation entre les deux jeunes femmes duraient depuis un petit mois déjà et la jolie vietnamienne se sentait de plus en plus confiante. Les débuts avaient été difficiles pour elle. Elle sétait attachée si vite à la jeune femme que dès leur premier rendez-vous, elle sétait imaginée avec elle pour le restant de ses jours. Ainsi, elle avait eu des longs moments de peine quand son amante partait pour quelques jours loin de la ville, sans lui donner de nouvelles. Cette dernière avait tellement de secret quAlice pensait quelle narriverait jamais à la connaître alors quelle sétait déjà entièrement révélée. Tout cela lavait longtemps frustrée. A présent, elle sétait calmée, elle avait appris à faire confiance à sa compagne et prenait son mal en patience lors de ces absences.
Petit à petit, les deux amantes avaient commencé à se connaître un peu mieux. Quand Alice navait pas trop de travail pour ses études, elle venait directement rejoindre Kayia dans sa grande chambre dhôtel pour passer un peu de temps toutes les deux. En général, ça ne durait que deux ou trois heures, mais ça suffisait aux jeunes femmes pour se voir. Elles éprouvaient alors un bonheur encore plus fort à pouvoir sembrasser et se câliner que si elles avaient pu être ensemble tout le temps. Par contre, tous les week-end leur étaient réservés. Ces derniers se ressemblaient quasiment tous. Elles passaient une longue partie de la matinée à saimer, se caressant et se faisant lamour tendrement. Les deux femmes connaissaient à présent les petits plaisirs de lautre parfaitement et savaient que faire de leur langue pour amener leur compagne au septième ciel. Alice avait alors vu que son amante, forte et autoritaire en temps normal, se transformait quand elle était dans ses bras pour devenir une créature douce et en quête perpétuelle de caresses. Elles sortaient ensuite pour aller manger en ville et se balader si le temps le permettait ou bien elles rentraient et se mettaient devant un film. Les seuls week-end où elles ne respectaient pas ce petit rituel étaient lorsque Kayia avait une mission ailleurs pour son travail. Ainsi, elles pouvaient passer une ou deux semaines sans se voir. Alice était particulièrement ennuyée de cette situation dautant plus que sa compagne était toujours aussi froide quand elle essayait den savoir plus sur sa vie et lui avait plusieurs fois refusé davoir un contact pendant ces périodes.
Un soir, alors que Kayia rentrait de dix jours de mission à létranger, Alice relança le sujet de ces longs voyages. Elle avait passé une semaine remplie dangoisse et elle sentait le besoin de parler. Elle venait darriver dans la chambre de son amante et elles se retrouvèrent toutes les deux à sembrasser tendrement sur le pas de la porte.
- Tu mas manquée, ma chérie, fit Alice.
- Moi aussi, tu mas manquée, répondit la coréenne, en sortant une bouteille de vin du frigo.
Elles allèrent sinstaller sur le canapé et Kayia raconta un peu son voyage, restant très évasive sur la nature de sa mission.
- Jaime pas quand tu pars aussi longtemps, je me sens seule et je sais jamais ce que tu es en train de faire.
- Quest ce que tu veux que je fasse, mon amour ? Je bosse, je pars pas en vacances.
- Oui, je sais. Mais, je sais pas ce que cest ton boulot, je comprend pas pourquoi tu pars si souvent et
.
- Et quoi ?
Alice hésita quelques secondes.
- Parfois, je me demande si je suis la seule femme que tu vois.
Kayia écarquilla les yeux, surprise.
- Oh ma puce, où vas tu chercher tout ça ? Non, je ne vois que toi.
- Jen suis sûre, au fond de moi, reprit Alice. Cest juste des doutes stupides. En même temps, que pourrais-je te dire ? Notre relation na rien dofficiel.
- Quest ce que tu racontes ? Je ne te comprends pas là.
- Et bien, nous sommes finalement que des amantes depuis quelques temps, je nai jamais rencontré tes amies, tu nas jamais vu les miens. On se voit que de temps en temps, je sais pas ce que signifie ce genre de relation. Moi, je taime et je veux être avec toi et si tu avais une autre fille ailleurs, ça membêterait, je ne peux te le cacher. Enfin, ça membêterait pas, ça me déprimerait énormément et je sais pas trop comment je réagirais. En tout cas, je suis pas sûre darriver à continuer une relation avec toi si tel était le cas. En même temps, on ne sest jamais déclaré unies ou je ne sais quoi dun peu officiel qui aurait pu tempêcher daller voir ailleurs. Enfin, je délire sans doute.
Kayia prit les mains de la petite étudiante entre les siennes et plongea les yeux dans les siens. Cette dernière avait les yeux, embués de larmes. Quand elle sentit sa compagne lui prendre les mains, Alice se tendit un peu, elle savait que cétait sa façon de faire avant de dire quelque chose dimportant et elle avait peur dun quelconque malentendu.
- Ecoute Alice, ça fait presque deux mois que lon se connaît et que lon se voit toutes les deux. Tous les moments que je passe avec toi sont des moments merveilleux, je rêverai den passer encore davantage et je ne veux passer ces moments avec personne dautre. Je tai déjà dit que je taimais et pour moi, ça veut dire beaucoup. Cest pas des paroles en lair. Aujourdhui, il ny a personne dans ma vie qui compte plus que toi. Je suis prête à toffrir mon cur. Je ne veux pas être pour toi une simple relation ou un plan cul, je veux être ta compagne, je veux que tu sois ma copine et je veux quon soit fidèle lune à lautre.
Alice la regarda, les yeux remplis détoiles. Elle faillit se coller une petite claque pour sortir du rêve dans lequel elle simaginait être. Mais tout cela était bien réel. La femme quelle aimait le plus au monde lui proposait de devenir un vrai couple. Elle croyait rêver en partie, comment elle, petite étudiante sans le sou et qui se trouvait si banale pouvait sortir avec une femme si exceptionnelle ?
- Cest aussi ce que je veux. Plus que tout.
- Alors maintenant, tu es ma copine et je serai extrêmement jalouse de te voir avec dautres filles, fit Kayia en riant.
- Heureusement quaucune ne tarrive à la cheville, jai même pas à me contrôler.
Les deux jeunes femmes sembrassèrent tendrement comme pour sceller une nouvelle étape de leur union. Elles continuèrent à parler tard dans la nuit avant quAlice ne cède à la fatigue la première. Elles se rejoignirent donc dans le grand lit. La jolie vietnamienne fut la première au lit, somnolant presque quand sa compagne se glissa sous le drap à ses côtés. Un petit baiser sur une de ses joues la sortit de son demi sommeil.
- Alors, comment tu te sens de dormir à côté de la femme de ta vie ? chuchota Kayia.
- Humm, gémit-elle. Extrêmement bien.
Elle sentit alors un bras glisser doucement sur son ventre en direction de son pubis.
- Ne dois je pas remplir mon devoir de partenaire officielle en te faisant jouir le soir de notre première nuit en tant que couple officiel? continua de chuchoter la jeune commerciale.
- Oh pas ce soir, ma belle. Je peux pas en ce moment.
Létudiante sentit la main remonter tout dun coup.
- Oh, cest bien dommage.
Dans un grognement, Alice se retourna vers sa partenaire. Elle glissa à moitié sur elle et essaya de se montrer plus enthousiaste quelle ne létait vraiment.
- Moi, je suis indisposée, mais je peux moccuper de toi.
- Laisse tomber, mon cur. Tu dors à moitié, reposes toi plutôt. Par contre demain matin, si une envie te prend de glisser sous les draps, je serais tout à toi.
Elle attrapa la main de sa partenaire quelle vit descendre entre ses jambes lui montrant quelle dormait nue et quelle naurait aucune barrière pour atteindre son sexe. Alice sourit gentiment et la serra contre elle, lembrassant une dernière fois avant de sendormir pour de bon.
Après sêtre officiellement mises ensemble, la vie ne changea pas pour les deux jeunes femmes. Elles continuaient leur activité comme auparavant. La seule chose qui avait changé, cétait pour Alice. Elle avait moins dappréhension quand sa compagne partait un long moment. Elles sétaient jurées fidélité et à présent, elle nimaginait pas que sa compagne puisse la tromper. Pourtant ses longues absences la frustraient toujours autant et Kayia nenvisageait toujours pas de lui donner un numéro de téléphone, trouvant toujours des excuses abracadabrantes. Finalement, elle céda.
Un soir, alors que cette dernière était partie pendant une longue semaine sans avoir pensé à prévenir sa partenaire pour une mission à létranger, elle arriva au bar pour venir chercher sa bien aimée. Alice se sentit emplie de joie en la voyant entrer dans le bar. Elle vint rapidement vers elle pour lembrasser furtivement puis reprit son service, après lui avoir payé un verre. Elles neurent pas beaucoup doccasion de parler à cause des nombreux clients et préfèrent attendre la fin du service de la barman trente minutes plus tard. Elles se retrouvèrent enfin à lhôtel. Alice prit sa compagne dans ses bras avant de partager avec elle un long et chaud baiser. Leurs langues se cherchèrent, sentortillèrent lune avec lautre. Elles échangèrent leur salive.
- Quest-ce que ta bouche mavait manqué, fit Alice.
Elles se sourirent en se mangeant des yeux et allèrent sinstaller dans le canapé. Elles passèrent plus dune heure à se parler de leur semaine respective. Alors que létudiante racontait tout ce qui lui était arrivée avec de trop nombreux détails, Kayia resta très évasive, parlant seulement de son hôtel et de la vie à Varsovie.
- On va se coucher, fit alors cette dernière. Jai terriblement envie de toi.
- Alors, cest pour ça que tu es venue me chercher au bar, tu avais envie que je me dépêche pour me mettre dans ton lit, fit Alice, taquine.
- Je ne pouvais attendre de te voir et même dentendre le son de ta voix même si cétait que de loin.
- Pour ça, ce serait facile si tu étais moins chiante.
- Pardon ?
- Toute la semaine, jai eu envie de toi. Jaurais pu au moins entendre ta voix mais tu ne veux pas me laisser un numéro de téléphone. Je comprends pas. Ca fait maintenant plus dun mois quon est en couple et presque trois quon se fréquente et jai limpression que tu ne me fais pas plus confiance.
- Je te fais confiance, ma puce. Cest juste que jen vois pas lutilité.
- Ben, elle est pourtant facile à cerner. Sans téléphone, je ne peux pas te joindre. Rien quavoir quelques nouvelles quand tu pars si longtemps, ça me ferait plaisir. Tu es partie une semaine à lautre bout de lEurope et je ne pouvais pas savoir si tout allait bien. Et pire, je ne sais jamais quand je vais te revoir. Encore ce soir, on a eu de la chance que je bossais mais tu viens à limproviste alors que jaurais pu sortir exceptionnellement avec mes amies.
- Si je ne tavais pas trouvé ce soir, je taurais trouvé demain.
- Après une semaine, ça taurait pas fait chier quon puisse pas être ensemble ?
- Si un peu mais jaurais compris et jaurais attendu demain.
- Moi, ça me pèse. Jai toujours peur de prévoir des trucs et de louper ton retour.
- Prévois les et tant pis, il y a tant dautres journées quon peut passer ensemble.
- Mouais, enfin après une semaine sans toi, rien ne me fait plus plaisir que de te voir. Et toi, ça ta rien fait de navoir aucune nouvelle de moi ?
- Si, tu as raison, jy ai pensé. A vrai dire, je crois que tous les jours, je me demandais ce que tu avais fait et si tu allais bien, mais je suis revenue et ça va.
- Si on avait un moyen de se joindre, tu naurais pas eu à te poser ces questions.
Kayia soupira fortement, sa compagne avait raison, cétait évident. Elle lâcha alors :
- Oui, tu as raison, ça na pas de sens. Tiens, voilà mon numéro.
Alice la regarda, stupéfaite. Elle pensait quelle allait devoir encore négocier longuement pour espérer un peut-être. Elle nota les numéros que lui dictait sa compagne.
- Tu es contente comme ça, fit Kayia.
- Oh oui, tu nimagines pas à quel point, déclara la jeune femme.
Sur ces mots, elle planta ses lèvres sur la bouche de sa bien-aimée.
- Viens, fit-elle en se levant. Je vais moccuper de toi.
Elles se dirigèrent vers la chambre. Rapidement, elles se déshabillèrent et se mirent sur le lit. La jolie coréenne sentit sa compagne grimper au dessus delle. Après quelques baisers partagés, elle sentit une paire de main massait ses seins doucement. Elle se mit à gémir quand les doigts pincèrent ses tétons. Les doigts agiles restèrent sur les seins alors que les longs cheveux noirs dAlice lui chatouillait le ventre. La bouche de cette dernière descendait petit à petit vers le joyau quelle sentait déjà humide entre les cuisses. Elle arriva enfin devant la petite chatte. Elle y déposa de doux baisers avant de glisser sa langue sur le clitoris. Elle le fit rouler entre ses lèvres, le lécha tendrement puis essaya de le suçoter doucement. Elle sentit les cuisses sécarter encore plus comme pour linciter à y aller plus profondément. Elle enfonça alors sa langue dans le vagin, léchant tout ce quelle pouvait. Kayia se cambra dans le plaisir, se soulevant légèrement. Alice vit apparaître sous ses yeux, la petite rondelle un peu brune de sa compagne. Elle navait encore jamais léché lanus dune femme mais connaissait la pratique, car un de ses plans cul lui avait déjà fait connaître les joies de lanulungus. Elle ressentit tout dun coup une profonde excitation en voyant le cul de sa compagne, elle le trouvait mignon et ses petites contractions étaient comme un appel. Elle libéra les seins de ses mains quelle plaça sous les jolies fesses. Elle les caressa doucement avant de les écarter un peu plus pour permettre à sa langue laccès au fruit défendu. Elle glissa enfin sa langue le long de la raie et goûta à la rondelle. Le goût la surprit en bien, elle sattendait à quelque chose de fort et désagréable, ce nétait rien dautre quexcitant. Elle continua à passer sa langue tout autour du petit anus qui vibrait de plaisir. Petit à petit, les cercles quelle faisait se rapprocher du centre et elle pointa une langue durcie comme pour percer lanus. Malgré le plaisir que Kayia éprouvait, elle nétait pas dans une optique à se faire sodomiser et ne fit aucun effort pour laisser passer la langue de la jeune femme. Alice continua encore quelques minutes à lécher le trou du cul de sa compagne avant de revenir sur sa chatte pour la finir et lui donner un gigantesque orgasme. Comme à son habitude, elle resta quelques secondes à laper la mouille de sa compagne qui la rendait folle de plaisir. Elle remonta enfin pour échanger un baiser langoureux, qui se compléta de douces caresses partagées.
- Ce que tu étais coquine mon amour ce soir, fit Kayia en descendant ses doigts pour commencer à doucement la caresser.
- Ca ta plu ?
- Oh oui, cétait diablement bon. Tu as du le sentir à ma jouissance.
- Oui, mais tu es toujours comme ça avec moi. Je sais comment te faire partir dans des mondes de plaisir que tu nimaginais même pas avant moi.
- Prétentieuse, fit Kayia, en rigolant.
- Tu avais déjà testé ce genre de pratique ?
- Oui, plusieurs fois. Allez tais-toi maintenant et laisse-moi moccuper de toi.
Alice sentit une petite frustration en se rendant compte que tout ce quelle pouvait faire à sa compagne, dautres filles avant elle lavait déjà initié. Intérieurement, elle se demanda si elle saurait un jour tout ce quavait pu vivre son amante avant quelle ne la rencontre et à quel point elle avait pu séduire le cur dautres femmes. Elle sortit de ses pensées quand elle sentit une langue chaude pénétrer sa chatte. Cette dernière la parcourut tout entière, se glissant partout où elle pouvait. Alice se demanda si sa compagne lui infligerait la même chose. Sa main glissa dans les cheveux de Kayia quelle caressa puis tordit de plus en plus à mesure que sa jouissance arrivait. Elle fut secouée de spasmes de plaisir et inonda la bouche de son amante de son orgasme. Finalement, elle jouit si vite quelle ne goûta pas au plaisir de la feuille de rose. Les deux jeunes femmes se retrouvèrent allongées lune contre lautre, se caressant tendrement et reprenant peu à peu leur esprit. Elles se regardaient simplement sachant à quel point chacune delle tenait à lautre. Elles finirent par sendormirent très tard dans des draps humides de leur plaisir.
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