Une Journée Maussade En Vendée
Le jour J était arrivé, nous avions rendez-vous à la ville sur la côte Vendéenne pour revoir notre complice de jeux. Lattente avait été longue et très excitante. Une semaine sans pouvoir te faire jouir, que de lexcitation pure sur nos désirs à tous les deux. Des envies partagées par sextos, ou même au creux dune oreille pour faire monter le désir et lenvie de cette rencontre.
Pour ce samedi, je voulais être la petite souris qui regarde. Te voir avec lui, le regarder prendre possession de tes courbes sous mes yeux de voyeur consentant. Je voulais te voir assouvir ton envie.
Nous roulions pour le rejoindre. La route est un peu longue quand le désir est au maximum. Tu tes calfeutrée dans ton manteau pour que je ne puisse pas voir ta tenue pour cette occasion. De temps en temps tu me disais que ton sexe était trempé. Javais averti notre partenaire que je voulais le voir profiter de ma chère et tendre. Il en était ravi et comme dhabitude, toujours à lécoute de nos attentes du moment. Arrivé à lhôtel pour déposer nos affaires, nous lavons appelé pour quil passe nous chercher. Il voulait nous faire visiter son parking dentreprise. Une belle idée qui avait fait son chemin toute la semaine. Nous avons fait quelques pas dans la rue, et nous sommes montés dans sa voiture. Il a roulé doucement, complimentant ma femme. Je voyais ses yeux brillants de désir. Elle le savait, je voulais quelle se laisse aller. La voiture sest engouffrée dans le parking souterrain. Il est allé se stationner au plus loin. Un samedi, un parking dentreprise est quasiment vide, pour notre plus grand plaisir. Nous sommes descendus, nous avons marché, le bruit de nos pas en résonnance. Nous discutions de tout, nous le suivions avec une excitation certaine. Il nous a fait découvrir un petit passage entre deux murs, débouchant sur un petit couloir à labris des voitures de passage. Je lai vu se rapprocher de ma femme avec un regard gourmand. Elle a posé son sac à main par terre.
Il la retourné face au mur. Elle a cambré son dos en écartant les jambes. Notre joueur la prise en lui tenant les hanches à deux mains. Ses coups étaient plus forts et saccadés. Elle ne retenait plus ses cris. Ça résonnait, javais presque peur que quelquun vienne et nous surprenne. Mais rien na pu interrompre ce coït magistralement torride. Quelques secondes ont suffi pour que lexcitation trop débordante ne se répande dans son préservatif.
Je me suis enfin approché delle, je lui ai caressé le sexe. Jétais heureux de la sentir si excitée. Je me suis introduit en elle quelques secondes après notre partenaire. Je me suis laissé aller en elle. Dune voix douce au creux de mon oreille, elle gémissait et minterdit de jouir maintenant. Je me suis donc retiré, frustré et au bord de la jouissance. Nous nous sommes réajustés, avant de nous diriger vers la sortie du parking, pour aller boire un verre en ville. Main dans la main nous marchions. Nos regards complices en disaient long sur le reste de la soirée.
Merci mon amour de cette complicité coquine. Jamais je naurai pu imaginer que cela marriverait et que jen serai extrêmement excité au point de continuer
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Nous nous sommes rendus dans un bar de La Rochelle, nous avions une grande soif ! Lendroit était sympathique. Le serveur nous a installé au fond du bar, sur des petites chaises style école, notre table était un simple touret de chantier. Une fois la commande et nos verres servis nous avons parlé de nos vies, nos projets et même de nos s. Ma femme narrêtait pas de faire descendre le bas de sa jupe. La position était faite pour que la naissance de ses bas soit juste offert pour notre imagination. Je lai même incité à les laisser paraître. Notre complice ma souri de cette délicate attention que je lui rendais. Poursuivant notre jeux libertin, je surveillais la venue de clients vers notre direction. Le temps dun moment il en a profité pour caresser ses cuisses. Glissant même la main entre celles-ci. Linstant fût furtif, mais tellement érotique dans un lieu public. Lexcitation remontait en chacun dentre nous. Nous avons convenu quil était lheure de nous réchauffer à lhôtel. Facture payée, nous avons pris la route ensemble. La pluie et le vent nous a à accélérer le pas. 10min, de marche ont suffi pour être enfin au chaud de lhôtel. Lhôtel près de la gare, un lieu de passage et surement rempli dhistoire comme la nôtre. Les réceptionnistes nont pas du tout relevé notre présence. La chambre était au 2ème étage, et comme à notre habitude nous choisissions les escaliers. Madame devant comme il se doit, nous pouvons regarder son déhanché sensuel et lascension de sa jupe à chaque marche montée. Notre coquin en profita pour glisser sa main entre ses jambes la stoppant entre deux étages. Caresses que je suppose très agréable au vu de laccélération de sa respiration.
Dans la chambre, le temps dun instant pour nous préparer, je minstallais sur une chaise au coin du lit.
Nu, mon téléphone en mode photo en main, jobservais le moment attendu. Ils se sont caressés, déshabillés. Il la installée sur le lit, et sa bouche avide est venue sur son sexe. Elle se laissait aller. Elle profitait. Il lui arracha des gémissements et des râles de plaisir, tandis que je mitraillais leurs corps en ébullitions. Les vêtements tombaient au fur et à mesure. Nus tous les deux, ils se sont donnés du plaisir. Cunnilingus, fellation, caresses intimes, seins embrassés et fesses écartées, temps de passion pour le plaisir et rien que le plaisir. Je me masturbais entre deux photos pour immortaliser notre passion du sexe. Après un 69 exquis pour mes yeux et je pense aussi pour eux, il la pénétré en missionnaire. Jai pu voir son membre la prendre. Son gland plus développé est entré sans difficulté. Les jambes relevées et entourée autour de sa taille, elle laccueillait. Ses assauts étaient forts et violents par moment. Elle criait de plaisir. Son corps appelait le plaisir encore et encore. Ils changeraient plusieurs fois de positions. Quel plaisir de voir sa femme en action. Je me caressais frénétiquement par moment avec lenvie de jouir devant notre duo. Prise en levrette, je ne pouvais détacher mon regard de ma femme. Tête dans loreiller, dos cambré, il la culbutait encore et encore. Ses seins ondulaient anarchiquement sous la pression de son corps sur le sien. La puissance la fît basculer en avant, lobligeant à poursuivre dans cette position.
Mais cela ne le calma pas pour autant. Il a même accéléré son pilonnage avec le cul de ma femme cambré au maximum pour le recevoir. Dans un dernier effort torride, je lai vu jouir en elle et en lui arrachant un dernier râle de plaisir.
Je me suis approché doucement du lit. Son regard interrogateur me demandait si tout allait bien. Mon sourire et mon érection lui suffit pour comprendre. Trop excité par mon côté voyeur, je me suis introduit en elle. Je me suis fait plaisir, égoïstement peut être, jai profité de son corps à peine remis de létreinte de notre partenaire. Tout son corps mappelait, je nai pas pu résister moi non plus très longtemps à lenvie dexploser.
La nuit était tombée, nos esprits embrumés de cet abus de sexe, nous nous sommes préparés pour ressortir et nous sustenter afin de mieux recommencer.
Choix du restaurant fait, nous nous sommes installés et comme de vieux amis nous avons profité de la convivialité de chacun, de la richesse de la discussion et bien sûr de nos souvenirs communs de nos anciennes rencontres hôtelières passées. Nous avons pris notre temps, la tension de départ était moins présente. Mais lenvie et le désir de continuer sur cette lancée était dactualité.
La suite de la nuit sest passée comme dans nos envies respectives. Nous sommes retournés à lhôtel. Dans la chambre aux draps encore défaits, nous avons cette fois profité de madame ensemble. Notre trio se connait bien. Nous partageons les mêmes plaisirs. Chacun occupant une partie de son corps offert. Ses seins, ses mamelons sont caressés, pincés et sucés. Son sexe léché, doigté et pénétré. Sa bouche gourmande acceptait volontiers nos sexes. Une danse sexuelle, torride pour le plaisir de tous. Alternant levrette, amazone et jen oubli, je ne rêvais pas mieux davoir une femme si passionnée par le plaisir. Dans nos ébats et entre deux gémissements, elle demanda même à se faire enculer. Des mots si hard sortant de sa bouche me comblèrent dans un tel moment. Elle nous a fait jouir chacun notre tour. Lui en missionnaire, je lai vue la prendre frénétiquement, lencerclant de ses bras, alors quelle resserrait son étreinte avec ses jambes croisées dans son dos. Dans un râle étouffé dans son cou, il a déversé son dernier plaisir dans son étui en latex avant de sécroulé sur le côté. Mon côté voyeur lui avait laissé la place pour se dernier moment. Je me suis installé au-dessus de ma femme, dans la même position. Mon érection palpitante fût accueillie par son sexe humide. Mon étreinte fût courte mais intense. Jai un plaisir monstre à prendre mon épouse « à la chaine » comme nous aimons nous le dire. Mon sperme coula en elle, au moment où nos lèvres se sont collées et nos langues mélangées, étouffant lun et lautre notre plaisir ultime.
La nuit fût courte. Notre partenaire, tel un gentleman nous laissa à deux, à 2 heures du matin, pour le reste de la nuit. Non sans passer à la douche avec ma femme pour une dernière danse de caresses sous leau chaude.
Le lendemain, nous avons repris la route avec des images pleins la tête. Nous étions fatigués tous les deux mais le sourire sur nos lèvres et nos regards complices étaient suffisant pour comprendre que ce fût une soirée mémorable et surement une soirée qui risque dalimenter nos fantasmes pendant de longue semaine lors de nos folles soirées damour ou même lors de nos petits moments de masturbation individuel
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Je taime ma femme. Merci dêtre si coquine pour nous, pour toi, pour moi
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