Le Superviseur 1/2
Il était 13h et Naima était occupée à finir les préparatifs afin d'accueillir leur invité. Son mari, Mokhtar, qui dormait encore suite à sa vacation de nuit, avait invité à déjeuner son supérieur hiérarchique. Son mari tenait à ce que tout soit parfait pour accueillir son superviseur. En effet, il voulait le mettre dans les meilleures conditions afin que celui-ci accède à sa requête, à savoir obtenir plus de vacations. Travailler plus pour gagner plus comme dirait l'autre...
Naima, âgée de 48 ans, était une brune, d'origine algérienne, assez grande, plantureuse mais encore assez attirante. Elle avait pris plusieurs kilos suite à ses grossesses successives mais cela lui allait bien. Elle était mariée depuis 27 ans avec Mokthar, âgé lui de 59 ans, et de cette union étaient nés 3 s, de 26, 24 et 23 ans, qui avaient aujourd'hui quitté le foyer. Elle vivait donc avec son mari mais les époux se voyaient très peu ces derniers temps. Son mari travaillait de nuit en temps qu'agent de sécurité incendie et elle travaillait en temps qu'auxiliaire de vie. De ce fait, ils se voyaient seulement week-end et se croisaient parfois dans la semaine. Cette situation était pesante et elle se voyait plus comme une colocataire plutôt qu'une épouse. Et le peu de temps qu'ils passaient ensemble était souvent ponctué de disputes.
Le principal reproche que lui faisait son mari était qu'il la rendait responsable de l'échec de son second mariage. Certainement pour avoir une épouse plus jeune, Mokhtar avait épousé une seconde femme, en Algérie, et celle-ci les avait rejoint en France. Ouardia, qui avait 10 ans de moins que Naima, avait emménagé avec eux.
Vexée par ce second mariage, Naima appréhendait la cohabitation mais, à sa grande surprise, elle s'entendait parfaitement avec sa coépouse. Ils vécurent en ménage à trois mais des tensions apparurent entre Mokhtar et Ouardia. Cette dernière pouvait compter sur le soutien de Naima à chaque dispute et le jour même où elle obtenu un titre de séjour, elle décida de quitter son mari.
Naima avait en secret gardé le contact avec Ouardia et elles étaient communiquaient fréquemment, la seconde essayant de convaincre la première de quitter son mari qui ne lui apportait plus aucun bonheur. Mais elle ne souhaitait pas partir, ayant peur d'être vue comme une "mauvaise femme" par sa famille, le divorce étant encore mal perçu.
Naima, qui pensait à son amie, fut soudain interrompue par la sonnette de la porte d'entrée. Apparemment, leur invité était en avance. Elle se vêtit de son hijab et alla ouvrir la porte. Elle fut assez surprise de tomber sur un jeune homme bien bâti, d'origine africaine, qui la surplombait de toute sa taille. il tenait à la main un bouquet de fleurs, un paquet cadeau et une boite de pâtisserie
" - Salam aleykoum, c'est ici que vit Mokhtar ?
- Wa aleykoum salam ! Oui c'est bien ici. Vous êtes son responsable c'est bien ça ? Allez-y entrez
- C'est pour vous Madame ! Merci de m'accueillir chez vous ! "
Le jeune homme tendit les fleurs, la boite et les gâteaux et entra. Naima ne put s'empêcher de l'observer. Il flirtait avec le mètre quatre vingt dix et sa musculature était visible sous la chemise qu'il portait. Malgré son impressionnant gabarit, il se déplaçait avec une certaine grâce. Elle sentit le rouge lui monter aux joues lorsque celui-ci s'accroupit pour retirer ses chaussures et qu'elle put voir le fessier de son invité. Honteuse d'avoir de telles pensées, elle en profita pour déposer les pâtisseries à la cuisine afin de se redonner une contenance.
" - Installez-vous je vous prie, mon mari ne va pas tarder à se réveiller. Et merci beaucoup pour les fleurs.
- Salut Souley !" s'écria son mari qui venait d'entrer dans le salon. "Un noir qui arrive à l'avance c'est rare ! T'as acheté des fleurs !? C'est bien ça ta mère a éduqué un gentleman !
- Un arabe qui parle anglais !? Je pensais que tu connaissais que One Two Three viva l'Algérie ! répliqua son collègue. De toute façon je vais pas te charrier déjà que t'es vilain je me demande comment t'as fait pour trouver une aussi belle femme ! Si je te charrie trop elle va te quitter je vais lever le pied aujourd'hui ! Il se tourna vers Naima et ajouta : Je me présente.
- Merci vous êtes trop aimable, répondait Naima, rougissant sous les flatteries de son hôte. Installez vous nous n'allons pas tarder à déjeuner.
- Oui n' pas non plus elle peut se montrer fatigante très vite.
Naima, blessée, laissa son mari et son collègue au salon et retourna à la cuisine finir de préparer le déjeuner. Elle était sur son petit nuage, heureuse d'être complimentée par un jeune homme qui pouvait presque avoir l'âge d'être son fils. Mais la remarque désobligeante de son mari l'avait heurtée. Elle ne tenait pas à répliquer, tant elle savait qu'il tenait à se rendez-vous et voulait s'éviter une scène.
Apres avoir fini, elle dressa décida d'aller se changer afin de faire meilleure impression. Elle ne tenait pas à réduire les chances de son mari mais une petite voix lui suggéra de se changer afin de plaire à leur invité. Peut-être pourrait elle réussir à lui arracher d'autres compliments. Elle quitta le confort de son ample gandoura et elle opta pour une chemise noir et un ensemble en tailleur gris, un hijab assorti à sa chemise et des talons pour accompagner le tout. Elle observa le résultat et ressentit une légère inquiétude. Ses rondeurs étaient mises en valeur, et elle avait peur d'avoir poussé le bouchon un peu trop loin. Sa poitrine était encore ferme et ses seins, assez grands, donnaient l'impression d'être à l'étroit dans cette chemise et il lui était difficile de refermer sa veste. Cette dernière, justement, ne descendait pas assez bas et son large fessier était offert à la vue des autres. Après une brève hésitation, elle décida de converser cette tenue et alla rejoindre les hommes pour le déjeuner.
La cuisinière s'était surpassée et la table était chargée de mets délicieux. Souley s'installa mais Mokhtar qui s'était réveillé tard, décida de manger plus tard et d'aller prendre une douche.
- N'emmerde pas trop mon invité ! T'as intérêt à ce qu'il soit encore là à mon retour ! Ca serait pas la première personne qui part d'ici par ta faute !
Naima préféra ravaler la réplique cinglante qui lui brulait les lèvres et ignora son mari.
Celui-ci ayant à peine quitté la pièce, Souley complimenta à nouveau son hôtesse :
"- Franchement Naima, j'ai rarement mangé quelque chose d'aussi bon en 30 années d'existence !
- Ah vous êtes un vrai gentleman comme le dit mon mari, en mettant tout le mépris possible sur ce dernier mot. Mais vous êtes déjà responsable à votre âge c'est très bien !
- Oui ça fait 4 ans que je suis sur le poste et j'espère évoluer encore au plus vite ! En tout cas, c'est un régal. Il est chanceux de vous avoir le Mokhtar ! Un vrai cordon et une femme ravissante !Je me demande commentil ne vous a pas déjà perdue ! Et cette tenue vous va à ravir.
- Vous exagérez ! lui répondit Naima, toutefois flattée par le compliment.
- Non je suis sincère ! Je vous trouve super belle. Il regarda autour de lui et ajouta en baissant la voix : " Et vous êtes même extrêmement sexy"
Joignant le geste à la parole il en profita pour poser sa main gauche sur la cuisse de Naima et la caresser. Cette dernière, surprise par le contact eu un petit mouvement de recul, mais la main de Souley poursuivait son va et vient, en se rapprochant doucement de l'entrejambe.
Le premier sentiment de surprise passé, la peur d'être surprise par son mari et aussi, le désir, envahirent Naima. Si jamais son mari assistait à la scène le scandale serait retentissant, aussi bien ici qu'au bled. Mais en même temps, n'était-ce pas ce qu'elle avait désiré ? Le jeune voyant l'inaction de Naima, poussa son avantage et sa main droite se mit la palper la poitrine généreuse de la cuisinière.
- Non pas ici! supplia Naima, sentant tout de même le désir monter en elle.
- Tu dis pas non à ce que je vois ! lui répondit Souley, un sourire carnassier s'affichant sur son visage. T'as pas tort suis moi !
Souley se leva et traina sa proie vers la cuisine. Naima se laissa entrainer, jetant un regard rapide en arrière pour vérifier l'absence de son mari. Mais les bruits provenant de la salle de bain lui confirmaient qu'il était bien occupé.
Souley referma la porte de la cuisine derrière lui, plaqua Naima contre le mur et commença à l'embrasser. Naima gardait les lèvres closes, pendant que Souley palpait d'une main son volumineux derrière et de l'autre lui pressait les seins. Soudain, ces dernières barrières cédèrent et elle rendit son baiser à son hôte. Leurs langues tournoyaient pendant que leurs mains respectives allaient à la découverte du corps de leur partenaire.
Le jeune black s'arrêta brusquement et se mit à défaire le pantalon de la quadragénaire. Rapidement, pantalon et culotte se retrouvèrent sur le sol, et, de ses bras musclés il souleva Naima et l'allongea sur le plan de travail de la cuisine.
- Arrêtes Souley ! C'est dangereux ! Mon mari peut entrer à tout moment !
- On a 5 minutes devant nous ça va aller ! Lèves les jambes et laisse moi faire !
La mère de famille se retrouva nue en bas, les jambes relevées et repliées, couchée sur son plan de travail à la merci du jeune homme. Ce dernier commença à masturber à la masturber, frottant son clitoris, entamant un mouvement de va et vient le long de sa fente, et à y insérer un doigt. Ses mouvements habiles firent grimper en flèche le désir de Naima et les doigts de Souley , trempés par la mouille de sa chatte bien dodue prouvait que cet examen plaisait à la femme. Puis, il plongea sa tête en elle, la léchant de manière énergique. Il faisait preuve de tellement de maitrise ! Il se livrait à des va et vient avec sa langue sur son clitoris, s'amusait avec le bout de sa langue en jouant avec son trou, mordille ses lèvres. Naima, les fesses au bord de la table, relevait ses jambes et les écartait au maximum en les tenant elle de part et d'autre de son bourreau. Elle accompagnait ce traitement de faveur par des mouvements de hanches et de ses fesses, mordant dans son hijab pour éviter de lâcher des gémissements trop bruyants. Les yeux fermés, sa poitrine généreuse secouée par ses gigotements, elle n'avait jamais ressenti un tel plaisir.
Soudain, Souley la remet sur ses pieds et échange un baiser passionné avec elle, partageant par cette occasion la cyprine récoltée lors de son cunnilingus. Troublée et excitée par cette nouvelle saveur, Naima le lui rendit avec fougue. Puis ils se séparèrent et, d'une tape sur la fesse, le jeune homme mit fin à ces 5 divines minutes vécues par la quadragénaire. Alors qu'elle se précipitait pour se rhabiller, le jeune homme l'interpella :
- Attends ! Je garde ça pour moi ! dit-il en fourrant la culotte de Naima dans sa poche. Ne t'inquiète pas, je te la rendrai plus tard dans la journée. Prends le temps de t'arranger je retourne en premier au salon.
- Tout à l'heure ? Mais... bredouilla-elle encore chamboulée par ce qui venait de se passer et se demandant ce qu'il entendait par "la rendre tout à l'heure.
Souley sortit de la cuisine et Naima remit son pantalon et réajusta son tailleur. Cela fait, elle retourna au salon et fut soulagée de voir que son mari n'était pas encore revenu dans le salon. Elle se tourna vers Solo lui intima le silence en posant son index sur ses lèvres puis celui-ci mima avec ses mains son majeur droit qui pénétrait son pouce et son index gauche et un moulinet de ses index.
Le message était simple et explicite : il comptait coucher avec elle plus tard. Elle hocha la tête, autant pour signifier son accord que pour dire qu'elle avait saisi le message. Elle regagna sa place et reprit sa fourchette en main, histoire de se donner une contenance, car elle n'avait plus faim. Enfin, plus faim de nourriture. Son appétit sexuel, lui, était intense et elle rêvait de la suite, même si elle se demandait comment son jeune black allait y arriver. La voyant dans ses pensées, il posa sa main sur sa cuisse et lui fit un petit clin d'il, comme pour la rassurer. Puis il se lança dans la dégustation de son assiette.
- T'as pas encore fini de manger !? s'écria Mokhtar qui venait de faire son retour au salon faisant sursauter son épouse mais celui-ci ne s'en aperçu pas.
- Ah faut faire honneur à ces excellents plats ! Je m'en lèche les babines, n'est pas Madame ?
Naima sourit, amusé par cette phrase qui pouvait être interprétée de plusieurs façons et se leva.
- Ah je suis comblée de voir que cela te plait. Tu pourras gouter d'autres plats assez si tu es chanceux ! répliqua la maman de manière taquine. Je vous laisse, je vais préparer le thé et appeler une amie.
- Bonne idée c'est bien, lui répondit Mokhtar, à qui le véritable sens de cette conversation échappait. Vas à la cuisine papoter et laisse nous entre hommes, on doit papoter affaires.
Naima, piquée par la remarque sexiste de son mari, quitta le salon, et souhaita ardemment que Souley honore sa promesse au plus vite, pour se venger de son mari. Et elle avait hate de raconter ce qui lui était arrivé à Ouardia. Pour cette promesse cela arrivera beaucoup plus vite qu'elle ne le pense...
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