Pergola 2/3

La pergola2
Le lendemain matin, jean est parti à la rochelle pour une réunion et je lui ai promis qu’à son retour il aurait une bonne surprise ; donc très tôt, je me suis préparée, à savoir une guêpière noire, laissant la moitié de mes seins apparents et bien entendus les tétons, des bas noir et un string et j’ai laissé le rideau du salon donnant sur la terrasse, largement ouvert. Pour ouvrir la porte à l’ouvrier, j’avais juste revêtu une petite nuisette, en dentelle, dont laissant facilement deviner les atouts cachés.
lorsque je lui ai ouvert la porte, son regard est devenu lumineux, mais il n’a pas bronché, me disant seulement « bonjour Madame, vous êtes charmante ; je vais essayer de ne pas faire de bruit pour ne pas vous déranger » puis il s’est dirigé sur son lieu de travail ; il fallait bien que le travail avance et pendant un petit moment, j’ai vaqué à mon travail, sans passer devant cette porte fenêtre, bien que mon ventre me disait le contraire, car si jean m’avait dit que c’était un bel homme, il ne m’avait pas menti et j’avais deviné sous sa braguette , une belle bosse, annonciatrice d’un beau paquet quand il banderait.
Vers 10 h, n’y tenant plus, j’ai ouvert ma nuisette, laissant découvrir sans aucun doute un joli tableau pour lui et j’ai commencé à déambuler dans le salon, passant plusieurs fois, inutilement devant cette fenêtre il s’en est aperçu rapidement et ses regards étaient à l’unisson de sa bosse se formant dans son pantalon. Puis je ne suis installée dans le fauteuil, avec un café, croissant et décroissant mes jambes, découvrant sans aucun doute mon minou à peine cacher par un slip, mais un slip fendu. Mais cela d’où il était il ne pouvait pas le voir. Puis. Ouvrant la porte fenêtre, je lui ai proposé un café, ce qu’il a refusé, mais m’a demandé poliment un verre d ‘eau car il avait très chaud.
Assise face à lui, nous avons discuté un petit moment, moment que j’ai mis à profit pour décroiser mes jambes, lui offrant,’ involontairement ‘ la vue sur ma chatte, car d’où il était, il devait percevoir mes petites lèvres débordant de la fente du slip.

Le renflement a vite pris de l’importance. Afin de faire avancer la situation, j’ai commencé à lui parler de sa conversation avec jean ; pas étonné du tout sur la tournure de mes questions
« Votre mari est très sympa et suppose qu’il est assez discret »
« Bien sur pourquoi ? » ……… « Que vous as -t-il dit » ……. « Mon mari ne me cache rien, et encore moins quand il a pris du plaisir, car je crois que vous en avez beaucoup profité tous les deux, et si j’en crois la dernière phrase que vous lui avait dite, vous espériez, non seulement le revoir aujourd’hui, mais aussi que vous pourriez m’en faire autant »
il est resté un moment silencieux puis « je ne refuse jamais rien à une belle femme qui a envie et si j’en crois votre tenue, vous avez envie de gouter à mon sexe » sans donner de réponse ,je me suis mise à genoux devant lui et le débarrassant de son pantalon, je me suis attaquée à ce dernier rempart retenant son membre dont le gland dépassait la lisière du slip ; un geste et son mandrin s’est dressé devant moi ; l’attrapant à pleine main, je l’ai porté à ma bouche, pour une sucette dont mes amants reconnaissent qu’elle est très efficace ; jean ne m’avait pas menti et bien évidemment, tout comme lui, je n’ai pas pu l’avaler en entier, la bouche écartelée par son épais mandrin ; ma petite main limitant un peu ses pénétrations, car maintenant, ayant pris ma tête à deux mains, il s’enfonçait en moi réglant ses coups et sa pénétration à son envie. Il me baissait littéralement la bouche, souvent en gorge profonde, ce que j’aime ; mon autre main jouait avec ses testicules, avant d’aller investir son sillon et d’enfoncer un doigt dans son antre secrète. Finalement à ce régime, ma jouissance a vite pris le dessus, mouillant abondamment mon entre cuisse, alors que lui, s’enfonçant une dernière et profonde fois, jutait au fond de ma gorge ; ses jets puissants et nombreux frappaient le fond de ma gorge m’obligeant me retirer rapidement, ses derniers jets s’écrasant sur mon visage.
Il s’est dégagé de moi et se rhabillant, il a rejoint son travail ; un peu plus tard, toujours dans la même tenue, je lui ai proposé de prendre son repas avec moi, ce qu’il a accepté le regard narquois ; il avait compris mes envies.
dès que je l’ai invité à entrer pour le midi, il m’a pris par la main et directement s’est engagé dans la chambre , prouvant ainsi qu’il était en terrain conquis. Ses vêtements au sol, il m’a allongée sur le lit, infiltrant deux de ses doigts dans ma vulve ; un peu surprise d’une telle attaque, je me suis souvenu que les musulmans ne pratiquent pas en principe le cunnilingus. Par contre ses doigts sont agiles et me fouillent allégrement, faisant monter une douce chaleur dans mon ventre. Ma chatte encore peu dilatée, s’écarte sous le jeu et très vite, il essaie de mettre 3 puis 4 doigts, essayant même de faire pénétrer sa main pour me fister, mais la douleur est trop forte, et il le comprend tant mes gémissements sont forts.
M’écartelant en posant mes jambes sur ses épaules, il présente sa queue à l’entrée de mon abricot qui commence à se remplir de cyprine ; son gland glisse entre mes petites lèvres ; avide de le sentir dans mon ventre, je me cambre, réclamant ainsi qu’il me possède ; sa pénétration est puissante, écartelant mes chaires, s’enfonçant jusqu’au fond de ma matrice ; sa tige puissante me remplit totalement et quand s’accrochant à mes hanches , il commence à me pilonner, je ne peux retenir mon plaisir ; je l’encourage pour qu’il défonce, pour qu’il prenne possession de mon corps ; il a compris que je suis offerte à tout son plaisir et ses coups de butoirs s’accélèrent . Ecartelée, pilonnée, investie par ce chibre énorme, ma jouissance déferle, bruyante, continue et ma cyprine s’écoule le long de mes cuisses ; il me fait mouiller comme une folle et grâce à cela mon ventre accueille cette baise avec de plus en plus de bonheur. Je le veux en moi, je veux sentir se semence me féconder et pour l’encourager je le provoque
« Vas-y défonces moi comme tu as défoncé mon homme ; je suis une petite femelle qui a envie de se faire engrosser alors, baises-moi et remplit ma chatte de ta semence »
Quand il se déverse en moi, je perds tout contrôle et enfonçant mes ongles dans sa peau je jouis « oh putain c’est bon , encore j’ai encore envie de te sentir en moi, » il sort de moi et un grand vide envahie mon intimité, mais je n’ai pas le temps de me plaindre, car me retournant et me posant à quatre pattes sur le lit, il s’enfonce brutalement ;heureusement pleine de semence, ma chatte encaisse sa queue qui n’a pas débandée, bien au contraire ;pour la deuxième fois , son chibre me remplit pleinement et mon corps réagit aussitôt ; ses pénétrations sont puissantes, profondes venant stimulées à la fois mon point g, mais aussi le fond de ma matrice ; écartelée, , ma chatte dilatée comme jamais, je ne suis que jouissance, d’autant plus que tout en continuant à me pilonner il me dit :
« t’es bien comme ton mec, deux petites salopes qui aiment ma bite, et je t’assure que je vais vous satisfaire tous les deux, lui son petit cul de femelle et toi ta chatte avide de grosses bites ; dommage qu’il ne soit pas là car je l’aurais sodomisé devant toi, avant de le faire cocu »
je ne sais si c’est ce qu’il me dit et l’envie que cela se réalise ou la puissance de son éjaculation, mais je pars dans un délire et il me faut beaucoup de temps pour revenir à la réalité.
tranquillement il se rhabille et en partant pour reprendre son travail il me dit :
« je crois que cela va prendre plus de temps que prévus » moi aussi je l’espère.

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