Collection Les Chiennes. Ma Fille. Saison Iv (11/12)

Êtres libres voilà à quoi j’aspire depuis que j’ai franchi le pas de l’ignominie en échangeant ma fille contre l’amour de l’homme qui a fait d’elle une e et une pute pour bites africaines.
Quand j’ai pris des risques afin d’infiltrer le milieu niçois de la drogue et du sexe, j’étais loin de penser que j’étais une salope accro au fric et à la liberté qu’il apporte.
Contre toute attente, je me donne pour mieux gruger ceux que je prends afin de faire fructifier mon capital.
Dans la cave où se trouvent les caméras couvrant une grande partie de ma villa dans le haut Nice, il y a assez de frics pour que je vive une vie de luxure et de luxe.
À presque 40 ans, la jolie femme blonde que je suis en veut plus depuis que j’ai lu les notes de Jean Dupond taulard depuis son arrestation par la commissaire Nouzha.
Berlin et surtout Prof revenant souvent, j’ai compris que Wolfgang le majordome de mon mari était cet homme et le docteur André, présent à mon mariage est l’autre.
J’ai séduit Jean, fait de Wolfgang un étrange amant vu son handicape et je viens de mettre dans ma poche le docteur.
Il faut que je fasse attention d’éviter de me croire la plus forte sinon je risque de faire tout capoter allant même jusqu’à la mort.
Ce serait bête car j’ai compris une grande partie des rouages de notre organisation et les billets risquent de se multiplier rien qu’en me laissant bronzer.

Prof est rentré chez lui et je rejoins la chambre de ma petite dame de compagnie que mon nouvel amant vient d’accepter de m’offrir.

- Radia, es-tu bien installée ?
- Oui, Madame, vous avez besoin de moi ?
- Non, demain, nous irons en ville, je veux que tu comprennes que ta situation a évolué et que les vexations pour toi sont finies si tu es docile envers moi.
- Oui Madame, je saurais vous servir.
- Nous irons faire chauffer ma nouvelle carte bancaire que je viens de recevoir.

Je vais me coucher afin de récupérer les galipettes faites au bord de ma piscine.


Nous mangeons au soleil de la terrasse avant que Tonio avance la voiture où nous nous installons.

- Conduis-nous au centre-ville, nous voulons faire quelques petites emplettes.

Radia est à mes côtés dans ma limousine.
La voiture fait sensation vue sa longueur.

- Laisse-nous là et retour à la villa, nous remonterons avec un taxi.

Nous le regardons partir, il est 14 heures, je suis devant la banque où Jean est venu m’ouvrir un compte quand j’ai réussi à me fiancer à quelques jours de mon mariage.
Ma carte m’est arrivée samedi et j’ai trouvé la lettre du code personnel dans le courrier que Wolfgang avait déposée en préparant notre déjeuner.

- Entrons Radia, je vais te prouver que j’ai bien tourné la page que Monsieur avait prévu pour toi.
Je vais t’ouvrir un compte à ton nom avec une somme de 10 000 € mensuelle qui te sera versée.
Mais en contrepartie je veux que tu me voues une loyauté sans failles à tout moment du jour et de la nuit.
- Oui, Madame comptez sur moi, je vous serais fidèle.
Mais pour ouvrir un compte il faut des papiers et les miens vous me les avez enlevés quand vous m’avez attrapé.
- Je les ai dans mon sac, carte d’identité et permis de conduire, ils étaient dans la cave.

Je m’aperçois que j’en dis trop, inutile qu’elle sache la fortune qui dort sous ses pieds, sous nos pieds.
10 000 € ça paraît beaucoup mais par les temps qui courent surtout pour moi dans le milieu où je souhaite évoluer, voulant devenir la plus grande, même si je prends un risque il est moindre que de me débattre seule dans ce panier de crabes.
Je suis loin de savoir tout sur notre organisation.
10 000 alors que par contrat, Jean même de là où il est me verse 50 000 € par mois et que sur les étagères c’est aux centuples que les lingots et les billets s’entassent, c’est peu cher payé.
De toute façon, je vais demander à l’avocat de Jean de m’avoir un droit de visite et voir avec lui s’il peut me donner procuration.


- Passons aux choses sérieuse, je connais une boutique qui me faisait saliver quand j’étais pauvre, ils ont des fringues qui vont nous plaire.

Pendant des années, je suis passée devant cette boutique où je voyais de temps en temps entrer les plus grandes dames de la ville.
Une fois j’ai vu la femme du maire entrer alors c’est en grande dame que moi aussi j’entre avec mon amie.

- Bonjours mesdames, mère est absente aujourd’hui et m’a demandé de tenir notre boutique et de vous renseigner si possible.
Que cherchez-vous ?

J’ai devant moi un jeune apollon et quand je dis Apollon c’est peu de le dire.
1 m 80, châtain clair aux yeux bleus, impeccablement habiller sport en ce moment de canicule.
Comme toute boutique de cette classe, elle est climatisée et nous nous y sentons très bien.

- Radia regarde ce petit ensemble avec une minijupe.
Vu tes jambes fines tu vas être magnifique, vous en pensez quoi jeune homme ?
- Bastian madame.
Mère m’a appelé Bastian pour vous servir.
Si je peux me permettre, cet ensemble ira très bien à mademoiselle, mais ce serait mieux de lui prendre des teintes bleues, ça se mariera mieux avec son teint hâlé.

Nous choisissons plusieurs vêtements pour ma servante, ma compagne et certainement ma maîtresse dans les heures prochaines.
Mais à ce moment, j’ai d’autres vues.
Je choisis le pantalon trois quarts pour l’été.
Je vais dans la cabine libérée par Radia ayant fini ses essayages.
J’enlève ma jupe ayant seulement mon string.
Je passe ma main hors du rideau.

- Bastian, j’ai pris un 40 un 38 sera suffisant.
Peux-tu me le changer ?
- Oui madame, ce rouge va très bien aller avec vos cheveux blonds.

Il prend le pantalon et va où je l’ai pris me chercher le 38.
Comme de nombreuses femmes, je suis perfide, je sais que je fais du 38 mais je voulais l’attirer dans mes filets la boutique étant vide d’autre cliente.


- Voilà madame, prenez-le.
- Entre Bastian, es-tu timide ?

J’ai entrouvert le rideau, il peut voir mon chemisier que j’ai gardé mais le reste est nu, mon string gît à mes pieds.

- Pourquoi tes yeux te sortent de la tête ?
Tu es puceau !
- Madame !
- Un puceau ça porte chance.

Je l’attire à moi lui appuyant sur la tête.

- Radia garde la boutique.
- Oui madame.
- Viens, on va être tranquille.

Il est puceau mais doit connaître les envies d’une femme, car il avance sa bouche vers mon intimité.
J’écarte mes jambes pour que sa langue assez efficace je puisse le dire titille mon clito.
À l’école on a dû lui donner des cours d’anatomie féminine car il est allé directement au but m’apportant une première jouissance.
Je le veux en moi, je veux qu’il se souvienne que c’est moi Jennifer qui a fait de lui un homme.
Je coule d’envie de l’avoir en moi.

- Viens Bastian prend moi.

À ce moment la porte de la boutique s’ouvre faisant tinter la sonnette.
C’est au moment où il entre en moi par l’arrière de mon corps dans ma chatte plaquant mes seins et mon ventre sur la grande glace nous montrant en pied que j’entends les deux femmes parler entre elles.

- Madame Lucette est absente ?
- Oui, pour la journée.

La verge en moi qui commence à bouger est dépucelée.
C’est un homme qui s’agite en moi.

- Quand elle est absente madame Lucette se fait remplacer par son fils, il est absent ?

La glace est froide et mon corps est en feu.
Je suis fière d’être une salope qui cocufie son mari espérant mieux dans quelque temps.
Mais cela c’est une autre histoire devant se dénouer dans les jours prochains.

- Bien je reviendrais quand elle sera là.
- Bien madame.

La sonnette de la porte tinte au moment où Bastian arrose mon intérieur m’apportant une jouissance et un cri que je suis incapable de refréner quand un orgasme me submerge.


- Ah ! Ahhhhh ! Ahhhhhhh !...

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