En Manque Pendant Le Confinement... Partie 1

Je commence par une petite présentation, je m'appelle Vincent, j'ai 21 ans et une soeur jumelle, Léa avec qui je partage tout. Elle est au courant de toutes mes histoires depuis toujours. Je mesure 1m90 pour environ 70 kilos, autant dire que je suis du genre gringalet... J'ai des cheveux courts, châtains et les mêmes yeux verts que ma mère et ma soeur.

J'habite depuis le début de nos études avec Léa dans notre grand appartement Strasbourgeois mais cette fois-ci, à l'annonce du confinement, elle a décidé de rejoindre nos parents dans la maison familiale à la campagne. Ma copine m'ayant quitté quelques jours avant, je n'avais pas envie d'infliger ma mauvaise humeur à nos parents. Je suis donc resté seul à l'appartement.

***

Le premier jour, vers 11h, on sonne à l'interphone. Je réponds et j'entends 3 mecs qui discutent. Je me suis dit qu'ils se sont trompés de bouton avant d'entendre :
"-Salut Vince, c'est moi Philippe, ton meilleur pote !"
"-Aaaah Philippe attends je t'ouvre"
Puis j'appuie sur le bouton de l'interphone ouvrant la porte. Je déverrouille ensuite ma porte d'entrée et... Vois Yohann et Louis, les deux autres super potes avec qui on forme un quatuor infernal.
"-Bah alors les mecs, qu'est-ce vous faites là?" leur demandais-je
"-Léa nous a dit que t'es à l'appart tout seul et avec ta rupture avec Cindy et le confinement..." commence Yohann
"-Ouais on pouvait pas te laisser te morfondre tout seul ici !" poursuit Louis
"-Et vu que t'as 3 chambres, y'a de la place pour nous tous !" conclut Philippe
"-C'est vraiment super gentil mais ça veut dire qu'un de vous va devoir dormir avec moi parce que j'ai seulement mon lit double et des lits simples dans les deux autres chambres... Et le canapé est clairement pas ouf !" répondis-je, un peu gêné.
"-C'est pas grave ça, on s'arrangera !" a dit Philippe d'un ton joyeux

C'est comme ça que mon confinement a débuté.

J'ai cuisiné pour eux et on a commencé notre cohabitation, dans la joie et la bonne humeur (enfin, pour moi autant que possible) et, heureusement, il me restait encore une bouteille de Jack Daniel's à peine entamée qu'on a pu partager. On a beaucoup discuté, surtout ce premier soir, sur le virus, mais aussi sur nos vies, nos amours... Et on s'est vite rendus compte qu'on est tous les 4 célibataires. Chose que je ne comprends pas en regardant mes compères, ils ont tous les 3 mon âge et, même si je suis le plus grand, je suis aussi le moins musclé. Quel genre de nanas pourrait résister au charme italien de Yohann? Aux yeux d'un bleu envoûtant de Louis? A la musculature impressionnante de Philippe? Enfin... Les nanas hein... La soirée se termine tranquillement et on décide que chacun dormira à tour de rôle avec moi. C'est Philippe qui commence. Quand on arrive dans la chambre, il me dit :
"-Je veux pas te gêner mais, j'ai l'habitude de dormir à poil..."
"-Oh non ça ne me gêne pas du tout, j'allais te dire la même chose !" j'ai dit soulagé.
Donc on s'est déshabillés et je le regardais du coin de l'oeil, mais heureusement il n'a rien remarqué. Je ne suis toujours sorti qu'avec des femmes mais depuis quelques mois, je me surprends à mater les conquêtes de Léa quand ils sont torse nu dans notre appart au petit matin. C'est le seul secret que je ne lui ai jamais dit. Philippe prend place dans le lit et je le rejoins. Il me demande si ça va, je lui réponds, en toute honnêteté :
"-C'est au moment du coucher que c'est le plus dur pour moi tu sais... J'aimais me blottir contre ses seins et quand je me rends compte que le lit est vide... C'est difficile"
"-Je sais que je n'ai pas de seins hein" commence-t-il en rigolant "mais si ça peut t'aider de te blottir contre moi, vas y mon pote!"
"-T'es sûr?" je lui demande en levant timidement mon regard vers le sien
"-Mais oui, on est venus pour t'aider je te rappelle !"
Je me positionne donc contre son torse, il place ses bras musclés autour de moi et va même jusqu'à me caresser les cheveux. Je m'endors environ 2 minutes plus tard, vaincu par l'alcool et l'heure avancée (on a quand même discuté jusqu'à presque 4h du matin).

***

Je me réveille dans le brouillard, la lumière perçant du store me permet d'apercevoir une personne dans mon lit et déclenche mes souvenirs. Les copains, le confinement, ma rupture, Philippe... Qui d'ailleurs se réveille et me salue d'un
"-Bonjour Princesse, bien dormi?"
"-C'est mignon Princesse mais je préfère Vincent" répondis-je en rigolant
Il ne répond rien et me dépose un bisou sur le front. Alors que je commence à me lever pour aller m'habiller, il me serre contre lui et me demande de rester encore 5 minutes. Je me tourne et on se retrouve face à face. Il me fait un câlin et se colle entièrement à moi, les épaules, le ventre, les jambes et... même la bite. Tous les hommes sont les mêmes au réveil à ce que je constate!
"-Qu'est-ce qui a, ça va pas Phil?"
"-Tu sais Vince, moi aussi ça m'a fait du bien de dormir avec quelqu'un. Même si c'était y'a 3 mois ma rupture, je suis encore triste. Je voulais la demander en mariage cette fille... Trois ans ensemble balayés en quelques minutes parce qu'elle a dérapé avec un collègue"
"-Je comprends mais si tu commences à chialer, on est partis pour la mâtinée..."
"-Ouais t'as raison, merci pour ton soutien en tout cas" m'a-t-il alors répondu.
"-Par contre, c'est moi qui te fais bander comme ça? T'es quand même vachement dur !"
"-Je savais pas que t'avais remarqué, désolé de te gêner"
Je ne sais pas ce qui m'a pris à ce moment mais son regard empli de tristesse et sa bite dure sur ma cuisse m'ont fait vriller. J'ai posé mes lèvres sur les siennes et ma main sur sa queue. Il a dû être surpris pendant deux secondes mais s'en est suivie une pelle d'enfer, sa langue jouant avec la mienne comme affamé d'explorer ma bouche. J'ai donc commencé à le branler et il est carrément monté sur moi. Je l'ai laissé faire tout en continuant de le branler et il m'a dit :
"-Je savais pas que t'es bi toi !"
"-Bah moi non plus figure toi mais ça a l'air de te plaire"
Il a hoché la tête et j'ai continué comme ça un moment avant qu'il ne me propose d'aller plus loin
"-Une partie de moi en a envie, mais comme t'es mon premier j'ai peur d'avoir mal" je lui ai dit
"-Tu sais, quand on est suffisamment préparé, c'est pas si douloureux, ça passe et en plus l'orgasme prostatique, c'est tellement fort je suis sûr que tu vas adorer!"
Et c'est comme ça que je me suis laisser convaincre pour mon dépucelage anal. Il a commencé par introduire en moi un doigt qu'il venait de lécher. J'ai découvert la douceur de Philippe ainsi que la chaleur que dégage cet acte. Il a ajouté un second doigt au bout de quelques minutes puis un troisième. Au troisième j'ai un peu grimacé mais il s'est arrêté de bouger quelques instants et a commencé à me branler. Mon excitation est montée et il a recommencé les va-et-viens avec ses doigts. Je sentais la douleur diminuer au profit du plaisir. Je lui ai demandé quand il pensait que je serais prêt et il m'a répondu :
"-Si tu poses la question c'est que tu prends déjà du plaisir avec mes doigts, tu veux que je te rentre ma bite?"
Pour seule réponse j'ai pris sa queue en main et présenté son gland contre mon petit trou. Il a commencé à entrer tout doucement. Après avoir passé le gland, il s'est arrêté quelques instants
"-Putain t'es tellement serré ça se voit que t'étais vierge d'ici! C'est pas trop douloureux Princesse?"
"-Un peu mais rien d'insurmontable, tu peux y aller !" lui ai-je dit, brûlant de désir qu'il continue.
Et évidemment, il ne s'est pas fait prier. Rentrant lentement et faisant régulièrement des pauses jusqu'à ce que je sente ses couilles contre moi. J'avoue qu'à sentir la totalité de son cylindre de 17cm sur bien 3 de diamètre, je me suis senti plein et j'ai eu un peu mal. Mais il a commencé à sortir lentement et à re-rentrer toujours aussi doucement. Et la douleur a commencé à diminuer, le plaisir à monter et j'ai laissé échapper un gémissement.
"-Dis donc Princesse, on commence à aimer ça?" a dit Philippe
"-Oh oui mon chevalier, j'aime sentir ton membre en moi, vas y plus fort!"
"-Tu deviens même une coquine dis donc!"
J'ai hoché la tête, remarquant à peine qu'il s'adressait à moi au féminin tellement j'appréciais le moment. Il a accéléré comme ça progressivement pendant un quart d'heure et on a joui ensemble. Lui en moi et moi sur mon ventre sans même avoir eu besoin de me toucher.
"-Wahou t'avais raison, l'orgasme prostatique c'est un truc de fou!" lui dis-je, reprenant mon souffle
"-Ouais t'as vu, t'as jamais rien connu de pareil avec une nana hein?" me demanda Philippe
"-Bien sûr que non!" répondis-je
"-Et ça t'a plu Princesse?"
"-Oui, j'ai vraiment été ta femme pendant quelques minutes et j'ai joui comme jamais. Par contre, pas un mot aux deux autres hein!" lui dis-je, inquiet
"-Non promis !"
On s'est embrassés une dernière fois et je l'ai regardé s'habiller, assis au bord du lit, mon cul dégoulinant de son sperme. J'ai pris quelques instants et me suis habillé à mon tour. Et on a rejoint nos deux compères, déjà installés devant une tasse de café.

A suivre...