Mon Nouvel Oncle (2)
Les Retrouvailles
Dun commun accord avec Claude, nous navions pas envie dévoquer notre passé familial, à lun et à lautre, mais davantage nous connaitre lun ET lautre.
Il était assez subtil pour avoir compris que je ne souhaitais pas vraiment rencontrer ma grand-mère pour le moment, ayant refusé daborder le sujet avec mes parents, depuis que nous nous soyons quittés après ce déjeuner, en fin daprès-midi. Claude ma juste dit que sa mère avait réglé la note, malgré lopposition farouche de mon père qui avait cédé sous son regard insistant, comprenant le plaisir et la fierté que ce geste lui apportait.
Je suis conscient que jaborde là un sujet épineux, celui de le. Si, effectivement avec Claude, nous avions des gênes en commun, nous navions vécu aucun instant de vie familiale ensemble. Jadorais ma tante, la sur de mon père, mon oncle, mon cousin, très beau garçon de surcroît, mais jamais aucune tentation physique ne mavait effleurée envers eux. Ils étaient ma famille, à la fois de sang et de cur, nous avions partagé ensemble la plupart de nos moments de peines de de joies, mon cousin se comportant, à mon égard, comme un grand frère, et ma tante, suppléant souvent ma mère lorsquelle partait « en vrille ».
Avec Claude, cétait totalement différent. Nous aurions pu nous rencontrer à Nice, vivre une histoire ensemble, sans jamais connaitre nos liens de sang si cette réunion navait pas eu lieu. Rien pouvait me laisser penser, au vu de son physique, que Claude était
Mon Oncle
!!!
Si moi jétais très « coup de foudre », lui létait tout autant que moi. Cest avec une fougue inimaginable quil ma pris dans ses bras dès que je suis arrivé, vers 10 heures du matin, me faisant virevolter de partout dans ses bras puissants, me couvrant de baisers, de caresses, ayant même du mal à respirer tellement il me serrait fort contre lui. Il était le deuxième homme à mavoir pris dans ses bras.
Il ma enfin lâché et jai pu massoir sur son canapé, reprendre un peu mon souffle, le corps empli de ses caresses, de son odeur, une barre extrêmement dure, mais beaucoup moins volumineuse que la sienne, déformait mon bermuda, sans quelle décide à se calmer.
Il est revenu avec un plateau, avec 2 tasses de café fumant, une assiette de viennoiseries, une coupelle remplie de fruits frais, épluchés et émincés et deux verres de jus doranges pressées.
Claude, si mec, si macho, si dominant, si direct dans ses gestes et dans ses paroles, nous avait préparé un super petit-déjeuner, que nous avons savouré dans un silence quasi religieux, mais où les regards nétaient pas en reste.
Le Lycée Militaire mavait quand même aguerri
Surtout dans deux domaines. Tout dabord je savais maintenant que jaimais les hommes, les vrais mâles bien dominants, comme létait Christian, et peu mimportait mon entourage, mais aussi javais appris à prendre une décision, à faire des choix, même les plus difficiles, surtout à cette époque, et à my tenir, coute que coute.
Javais ce monstre de virilité devant moi, assis dans son fauteuil, jambes écartées laissant deviner une puissance, hors du commun, dune vigueur, même si elle nétait pas encore dans toute son ampleur, loin de là, qui maffolait mais qui mattirait comme un aimant. Il me dévisageait, levant ses yeux noirs comme du charbon sur moi, de bas en haut, et en bon mâle Alpha, comme on dirait maintenant, sourire au lèvres, il ma posé la question :
« Alors Marc
. Je suis Tonton ? Je suis Claude ? Ou tu veux être à moi, totalement et sans réserve
Tu as le choix
»
« Je sais pas
Cest tellement
impensable
Et tu es mon oncle
!!! »
« Je létais la semaine dernière, Marc ? »
« Non, enfin, oui, enfin non
enfin
»
« On en parlera plus tard si tu veux, mais je ne veux plus souffrir, ok ? »
« Cest-à-dire
Explique
!!! »
« Non
Ce nest pas le moment
Je veux juste que tu choisisses entre laffection de ton nouvel oncle, ou un amour fou quun homme peut te donner et que, jen suis sûr, tu peux donner aussi.
« Mais
»
« Tu choisis
Maintenant
!!! Et sache que ton choix sera irrévocable
Si tu veux loncle, je le serais, avec toute mon affection, mais jamais plus rien de plus, cest clair ? »
Mais cétait le vrai mâle ce mec
. Je ne sais pas si cétaient ses origines africaines ou le caractère têtu de ma grand-mère, mais en tous cas, il savait ce quil voulait et il savait surtout lexprimer dune manière franche, directe, virile et sans appel.
Tout se mélangeait dans ma tête. Jai pris le temps de tourner mon verre de jus dorange pour en mélanger la pulpe, den déguster le reste à petites gorgées, sans quitter des yeux son regard noir, puis de le poser sur la table en me levant.
« Je veux tout
Tout
Loncle en famille, Claude quand on aura pas le choix
. Et mon Homme à moi
!!! »
« Tout ? »
« Oui mec
. Et tu as intérêt à être à la hauteur
Je suis hyper gourmand
Insatiable quand je suis amoureux
!!! »
« Je peux te montrer ça de suite ? »
Ce nétaient pas les « tasses » que je fréquentais de temps en temps où je donnais mon cul quand jétais trop en manque, me faisant prendre facilement, quelquefois même par des bonnes bites arabes, où le 2 ou 3 queues que javais sucées à la fac qui avaient pu assouvir ma libido.
Au vu de la troisième « jambe » qui se formait à vue dil, entre ses cuisses dans son short ample et dont le bout dépassait, javais quand même limpression davoir présumé de mes forces et de mes capacités
En quelques secondes, jétais dans ses bras et déposé sur son lit
« (28 cm mais ça, je lai su plus tard
) Pour te servir, te donner du plaisir
. Ça tira ? »
« Je sais pas
!!!! » Je narrivais même pas à me représenter un sexe aussi gros, surtout que Christian, avec ses 22 cm me semblait déjà énorme et nettement moins large.
Il ma mis nu en un instant, mais avec tendresse, jai pu découvrir son corps, lui enlevant progressivement ses vêtements.
« Tu naimes pas ça ? Tu veux que je rase ? »
Mes baisers et mes caresses sur cette toison magnifique lont complètement rassuré et jai pu poursuivre, avec dautant plus de plaisir la découverte de lhomme auquel je voulais appartenir jusquau plus profond de moi-même. Je me délectais de son corps ferme, de cette « crinière » qui le recouvrait, jusquà tenter de sortir le centre de son anatomie, encore recouvert par son caleçon mais dont les deux tiers émargeaient déjà sur le côté. Il ma aidé, enlevant de lui-même ce rempart de tissu et là
Là
Un truc de fou a surgi sous mes yeux
. Dune taille inimaginable, dont ma main ne pouvait pas faire le tour et dont lérection nétait même pas complète, loin de là. Javais limpression de caresser une branche darbre, soutenue par une énorme bogue de châtaignes, qui étaient plutôt des marrons démesurés, tout aussi recouverte de ces merveilleux poils entourant son sexe.
Il ma serré fort contre lui, caressé doucement et amoureusement.
« Tu comprends mon problème mon Amour ? Tu vois maintenant pourquoi il mest très difficile daimer et de posséder ? »
« Effectivement
Javoue que cest plutôt
Spectaculaire
Mais je comprends pas bien
Où est le problème ? »
« Merci Papa, merci ma famille ivoirienne de mavoir offert un cadeau qui est souvent, pour moi un handicap
!!! »
« Cest pas un handicap mon Chéri, cest juste, on va dire
Hors du commun.
« Si tu savais combien de mes partenaires mont rejeté à cause de ça, plusieurs hommes, quelques femmes aussi parce que je faisais peur ! »
« Et bien moi, tu me fais peur, cest sur
Mais je taime
On ne choisit pas le sexe de son homme, et quand on laime vraiment
on sy adapte. »
« Tu vas pas partir ? »
« Fais moi lamour Chéri, apprends-moi à tavoir entièrement en moi
On y arrivera très vite, jai trop envie de toi
»
Rassuré, Claude a pu enfin prendre du plaisir
Dans ma bouche dabord, déversant en moi son nectar si suave, puis, ensuite, grâce à la magique crème quétait la Vaseline à lépoque, prendre possession de moi, du moins à partie pour cette première journée, et ce, à plusieurs reprises, tant notre soif lun de lautre ne parvenait pas à se tarir.
Je lai quitté en fin daprès-midi, rejoignant le foyer familial, plein de lui, refusant une douche avant de partir pour conserver ses saveurs sur moi et dans moi, et bien déterminé à lui offrir le plus tôt possible, le bonheur de se sentir complétement et en entier dans moi. Son sexe était presque conique, déjà très large au début, mais sélargissant de plus en plus, atteignant vers les 2/3 environ, un diamètre que je ne pouvais pas encore supporter
. Du moins
Pour le moment
!!!
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