Noémie La Femme Enrobée : Une Fin Tragique Pour Une Baise Infernale (Partie 3/3)

Jacques Dupont, ce quinquagénaire était le partenaire de sexe idéal pour Noémie, il avait tout de l’homme viril et suffisamment sauvage sans être violent. Il lui procurait le plaisir physique qu’elle recherchait dans ces parties de baise mensuelles. Mais après six mois, lorsque sa femme avait appris que son mari entretenait une relation avec la compagne officielle de Gérald Régent, celle-ci l’obligea d’arrêter immédiatement son adultère.

Tout était à refaire, Noémie et Gérald venaient de comprendre qu’il était préférable de prendre comme partenaire un parfait inconnu pour un coup d’un soir, plus aucune relation durable ne serait mise en place. La difficulté fut de trouver ses hommes de quarante à cinquante ans, la solution passa par des petites annonces sur un site spécialisé. Ce fut ainsi que pendant le semestre suivant, elle connut six partenaires de sexe où elle put se satisfaire : Fellation, pénétration vaginale et sodomie était au programme le tout dans une ambiance de baise sauvage sans brutalité. C’était les conditions bien définies à l’avance.

Noémie et Gérald vivaient ensemble en parfaite harmonie, avec leur sexualité bien à part mais où chacun prenait du plaisir. Après un an et demi de vie commune, le patron étant toujours autant amoureux de sa secrétaire voulut lui faire le plaisir de l’épouser. Noémie fit les comptes, elle avait 27 ans, son futur mari approchait de la soixantaine. Ce n’était pas tout à fait comme cela qu’elle avait envisagé sa vie. Gérald étant malade et n’ayant jamais donné son sperme, elle ne pourrait pas avoir d’ de lui, elle qui aujourd’hui, en désirait tant. Tout ceci était un dilemme, comment pouvait-elle faire, elle aimait pourtant son compagnon passionnément.

Après des heures de discussion avec Gérald, celui-ci comme souvent trouva la solution. Il proposa à Noémie de se faire engrosser par son fils Rémy, ce qui permettrait à l’ d’être du même sang :
— Mais voyons Gérald, tu n’es pas sérieux, Rémy est marié et son épouse à des difficultés à avoir un bébé.


— Justement ma chérie, il n’en saura rien. Ne me dis pas qu’il ne veut pas de toi, je le vois toujours tourner autour.
— Oui ! mais c’était une erreur mon amour. Je lui ai fait une fellation, juste après la première que j’ai faite à Jacques.
— Et depuis, il veut recommencer, c’est ça ?

Noémie honteuse d’avoir dû avouer son adultère, baissa la tête en acquiesçant d’un geste de la tête. Si elle n’aimait plus vraiment Rémy, elle avait encore quelques sentiments pour lui, ce fut le premier homme avec lequel, elle avait vraiment pris du plaisir et elle reconnaissait que l’idée de son compagnon était la meilleure pour la survie de leur couple. La condition, était que le fils ne sache jamais qu’il était le père de son . Pour cela, comme Rémy était au courant de l’impuissance de son père, la solution était de lui dire lorsqu’elle sera enceinte, que son père avait donné son sperme avant son opération.

Après leur mariage, qui fut une réussite, Noémie ne baisait plus avec des inconnus, elle couchait avec Rémy dans son bureau, tous les mois, pendant la période d’ovulation, sans que son mari les regarde. Elle aimait ses moments d’intimité car Rémy lui apportait beaucoup de plaisir et de jouissance. Avec lui c’était vraiment l’amour qu’il faisaient ce n’était pas une partie de sexe, les deux partenaires s’appréciaient beaucoup.

Ce fut ainsi que Noémie tomba enceinte après huit mois de rapport extra conjugaux, Gérald était fou de joie. Il considérait déjà le futur bébé comme son propre . Mais après dix semaines, suite à l'échographie du premier trimestre, la maman revint avec une excellente nouvelle :
— Mon amour, nous allons avoir des jumeaux.
— Je n’en crois pas mes oreilles ma chérie, tu en es sûre ?

Six mois après, Noémie accouchait de faux jumeaux, une fille nommée Zoé et un garçon qu’ils appelèrent Axel. Pendant toute sa grossesse, elle continua de voir Rémy afin qu’il ne se doute de rien.
Mais après l’accouchement, les habitudes étaient prises, Gérald voulait qu’elle rompe avec son fils, la naissance des jumeaux était l’occasion rêvée pour une séparation. Noémie et Rémy ne l’entendaient pas de cette oreille, ils faisaient l’amour chaque fois qu’ils le pouvaient, c’est-à-dire une fois par semaine, souvent les mardis, lorsque Gérald était absent. Ils étaient tous les deux en pleine adultère. Avec cette liaison, Noémie ne voulait plus reprendre, ses parties de baise mensuelles au grand dam de Gérald qui en était malheureux.

Le couple de Rémy s’effritait de jour en jour, lui était amoureux de Noémie et cela bien avant son mariage, il savait que ce n’était pas correct de faire son père cocu mais avec son impuissance, malgré ce que lui avait avoué sa maitresse, il considérait cela normal. Mais en en délaissait son épouse qui se morfondait. Les soirs c’était souvent les disputes qui régnaient à leur domicile. Mais il était hors de question pour Noémie de quitter son mari, Gérald était un adorable époux et un vrai papa gâteau auprès de ses deux jumeaux, surtout sa fille Zoé qu’il admirait, elle ressemblait à sa mère.

Ça ne pouvait plus continuer, Noémie voyant que Rémy allait se séparer de son épouse, avant que toute cette histoire tourne au drame, elle rompit toute relation avec lui. Ce qui n’empêcha pas le couple d’aller jusqu’au divorce un an plus tard. Pendant toute cette année-là, Noémie ne prit plus du tout de partenaire de sexe, même si la maladie de Gérald refaisait surface, elle était entièrement fidèle à son époux et pouvait ainsi profiter de ses deux s.

Avec les soins réguliers que devaient subir son père, Rémy fut aux commandes de l’entreprise, il avait donc beaucoup de travail et même s’il désirait toujours autant Noémie, il la laissait vivre sa vie comme elle l’entendait. Il était patient car il savait que la santé de son père était fragile et qu’il pourrait après sa mort, qu’il sentait proche, se retrouver dans les bras de la femme qu’il aimait.
Mais après cette longue abstinence, les pulsions de Noémie refaisaient surface, elle avait besoin de sexe, de baise surtout et en parla à Gérald.

Celui-ci, connaissant son état de santé, savait qu’il n’en avait plus pour très longtemps. Ce fut la raison pour laquelle, il organisa une séance spéciale pensant que celle-ci serait probablement la dernière qu’il vivrait.
Noémie savait ce qu’elle désirait, elle lui expliqua afin que son mari passe une annonce dans ce sens. Fini les jeunes venant la baiser dans la chambre d’amis. Terminé les partenaires qu’ils connaissaient, elle voulait vraiment passer la vitesse supérieure, en choisissant un rustre, un homme, la quarantaine qui la prendrait comme une vraie salope.

Gérald avait prévenu Noémie qu’il avait trouvé ce qui lui fallait et qu’elle n’allait pas être déçue. Pour cette occasion, ne voulant pas être reconnu, il avait emmené sa femme à une cinquantaine de kilomètres de leur domicile. Ils s’arrêtèrent dans un bar à la sortie d’une petite ville. En voyant quelques grosses motos garées devant l’établissement, il dit :
— Je crois que nous allons nous amuser ma chérie. Là, tu vas être servie, je vois bien un motard barbu te baiser au fond de la salle.
— Tu me laisses faire, je le choisis, je le drague et il me prend comme j’ai envie. Je suis déjà mouillée rien que d’y penser.
— Très bien ma chérie, le patron du bar a tout organisé pour nous.

Gérald et Noémie ne s’étaient pas attablés, ils avaient préféré se mettre sur un tabouret devant le comptoir. Après les présentations avec le gérant derrière son comptoir, Noémie fit le tour de la salle du regard. Ses yeux se portèrent sur les quatre motards dont une femme, tous en pantalon de cuir et marcel comme vêtement, ils étaient installés à une table et discutaient avec Norbert le patron qui étaient venu leur parler :
— Tu vois mon chéri, celui qui me regarde, le plus costaud.
— Tu voudrais que ce soit lui ton partenaire de sexe ?
— Il n’est pas mal et rentre dans la catégorie.
Je pense que oui.

Norbert repassa derrière son bar et vint dire à Noémie, pendant qu’elle vit le motard désigné franchir une porte au fond du café :
— Simon attend pour faire une partie de billard avec toi.
— Vas-y ma chérie, je reste avec Norbert. Il faut que je te dise qu’aujourd’hui, c’est sans capote, les tests VIH sont OK et comme tu prends la pilule, tu ne prends aucun risque.

Ce n’était pas pour déplaire à Noémie. Elle s’était vêtue pour l’occasion. En dessous elle avait mis un soutien-gorge noir à dentelle sans bonnet et un string assorti, elle portait une veste beige échancrée en guise de robe, s’ouvrant par le devant à l’aide de quatre gros boutons. Le haut de ses bas autofixants étaient largement visible, vu que cette mini robe lui arrivait au milieu de ses cuisses. Elle descendit de son perchoir, traversa la salle et pénétra dans la pièce où se trouvait une grande table recouverte d’une feutrine verte et six trous sur les côtés, une boule blanche et un triangle de boules numérotées, multicolores. Elle appréhendait toujours les instants de la rencontre, elle ne savait pas trop comment faire.

Elle s’approcha du billard, c’était la première fois qu’elle en voyait un de si près, elle ne savait pas du tout comment y jouer et restait perplexe. Simon s’en rendait compte, il lui dit :
— C’est comme le sexe ma salope, une queue et des boules.

Noémie sourit, cet homme avait de l’humour et trouvait les mots justes, elle aimait cela, il l’avait déjà traitée de salope, c’était sans aucun doute le partenaire idéal :
— Mais si je comprends bien, ce n’est pas la queue que l’on met dans les trous, ce sont les boules. Répondit-elle en riant.
— Je crois que l’on va bien s’amuser tous les deux, ma cochonne.

Elle passa derrière ce barbu tout en muscle en frôlant ses fesses contre les siennes, avant de se retourner puis s’arrêter en disant :
— Je suis Noémie et toi ?
— Simon pour te satisfaire ma salope, c’est qui le mec avec toi ? Ça m’étonnerait que ce soit ton père.
— C’est mon homme, il est candauliste, ça te dit ?
— C’est quoi ça ?
— C’est un homme qui prend son plaisir en offrant sa femme aux autres.
— Bon ! Tu veux prendre une queue et jouer ?
— Laquelle mon seigneur, la tienne ou celle sur le présentoir ?

Simon s’approcha d’elle sans répondre, et lui enleva les quatre boutons de sa robe et la retira, en s’écriant : « Putain t’es canon. » tout en l’admirant en sous-vêtements. Après lui avoir trituré les seins et les tétons, il baissa son pantalon de cuir, il ne portait pas de boxer, sa longue queue fine prenait de la grosseur. Noémie savait ce qu’elle avait à faire, elle s’accroupit puis commença une savante fellation. Il n’avait pas fallu bien longtemps avant qu’il bande complètement. Sa bite tendue, il lui demanda de l’aider à protéger le tapis. Elle prit un malin plaisir d’écarter ses bras pour étendre la bâche, mettant en valeur sa poitrine qui ballotait malgré son soutif :
— Attends que je t’att, je vais t’enculer comme une chienne. Dit Simon en étendant une nappe de table, sur la protection en plastique. Viens ici salope.

Noémie se laissa faire, elle s’était penchée en avant et se coucha le ventre sur le tissu rouge et blanc, laissant ses fesses bien charnues en évidence en répondant :
— Oh oui ! J’adore ça. Baise-moi comme une pute

Tous ces préparatifs avaient excité Noémie, elle mouillait déjà beaucoup, Simon prit de son jus pour préparer son petit trou et inséra un doigt tout en le faisant coulisser à l’intérieur. Il présenta son gland et pénétra dans son anus dilaté et humidifié par la salive qu’il venait de cracher dans la raie de son cul.

Ses va et vient sauvages faisaient suinter la cyprine de sa petite chatte, elle était en plein extase, son plaisir était en train de monter, elle ne s’était pas rendu compte lorsqu’elle jouit que les deux motards et leur copine les avaient rejoints. Son orgasme fut marqué par une giclée de liquide incolore qui ruisselait le long de ses cuisses :
— Putain t’es bonne ! Cria Simon en éjaculant dans son conduit anal. T’es vraiment une bonne salope. Allez les copains occupez-vous de cette pute, elle en veut encore.

Surprise par l’arrivée inopinée, de plusieurs autres partenaires, Noémie n’en était pas pour autant mécontente, car elle avait trouvé que cette baise fut trop courte pour elle. Elle s’était retournée, restant debout, pendant qu’elle branlait Jérôme et suçait Christian le plus âgé, Léonie la jeune trentenaire, s’était accroupie entre ses jambes qu’elle écarta et lui léchait les muqueuses tout en la caressant. Pendant deux heures, Noémie fut malaxée, triturée, sucée mais également baisée et sodomisée plusieurs fois. Elle connut ce soir-là le plus grand nombre d’orgasmes de toute sa courte vie sexuelle. Elle fut comblée et recouverte de sperme, sous les mots orduriers qui résonnaient dans la salle de billard.

Le patron du bar Norbert qui regardait la vidéo surveillance en compagnie de Gérald vint à la fin de la séance lorsque les motards étaient repartis, obtenir sa récompense. Gérald lui avait promis une pipe puis une branlette espagnole. Noémie était exténuée, repus et heureuse d’avoir connu au moins une fois cette orgie en sa faveur. Ils étaient rentrés chez eux sans parler, Noémie s’était endormie pendant tout le trajet.

En effet, ce fut la dernière partie de sexe de cet acabit pour Noémie, les trois mois suivants, Gérald fut hospitalisé où il décéda suite à une longue maladie, le cancer généralisé ne l’avait pas épargné. Durant cette période, difficile, Noémie fut aidée et consolée par Rémy qui était venu vivre avec elle. Avant que son époux ne meure, elle lui avait avoué que Zoé et Axel étaient ses s. Il était furieux en l’apprenant mais il fut très vite heureux de connaitre enfin la paternité. Deux ans plus tard, la veuve et le fils se remarièrent, ils géraient tous les deux l’entreprise familiale et avaient bénéficié de l’héritage. À 30 ans, Noémie attendait son troisième . Une petite fille qu’ils appellerait : Géraldine.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.


Si comme Noémie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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