Pergola 3

Pergola 3

Samedi matin. nous sommes encore au lit, il n’est que 8h et nous récupérons de notre nuit ; nini m’a raconté son aventure avec l’ouvrier, son plaisir de se faire de se faire prendre par une si grosse queue, mais aussi d’être engrosser par deux fois ; comme à chaque fois, nous avons fait l’amour, tout en fantasmant sur le fait qu’il nous prendrait tous les deux ; elle aimant me voir soumis à un homme et ensuite se faisant prendre devant moi ; moi aimant la voir jouir avec un autre , me faire cocu, mais aussi subir les assauts d’un homme, profitant de ma soumission pour me faire posséder devant elle .
La sonnette du portillon retentit. Enfilant simplement un jogging, alors que nini reste au lit, je vais ouvrir. C’est notre ouvrier : « je vous ramène vos affaires, je peux entrer ? » En effet il a un paquet sur le bras et sans hésitation, et sans doute avec quelques espoirs, je lui ouvre.
« C’est sympa, mais cela pouvait attendre » il ne répond pas mais son regard se pose sur la porte de la chambre grande ouverte donnant sur le lit.
« Je vous réveille ; Madame est encore au lit « alors qu’il se rapproche de la chambre, il se tourne vers moi, et provocateur, il me dit » j’ai pris beaucoup de plaisir avec elle et je suppose qu’elle vous a avoué ses jouissances. J’avoue que j’ai très envie de la posséder devant vous, vous faire cocu, mais aussi de vous prendre comme une petite femelle. «
D’où il est, il peut découvrir nini, totalement nue. Elle a entendu ses propos et rejetant le drap elle s’est exposée, manifestement offerte à ses envies. Pour moi, mon jogging est tendu et il s’en aperçoit
« Mais il bande, dommage qu’elle ne soit pas aussi grosse que la mienne pour faire jouir sa coquine de femme. En un rien de temps, il est nu, provocateur, sa tige arquée sur son ventre, toujours aussi grosse, parcourue de soubresauts. Il se dirige vers le lit où nini l’attend, les cuisses écartées, offerte à une pénétration.

Lui relevant les cuisses, son gland se pose sur l’entrée de la grotte
« Regarde petit cocu comment elle va jouir « et d’une poussée, il la perfore ; il faut croire que la chatte attendait ce moment car malgré la rapidité et vigueur de la pénétration, nini encaisse sans broncher ; au contraire c’est un oh oui qui sort de sa bouche, alors qu’il s’est profondément enfoncé, sa tige, étant totalement dans le vagin accueillant. Puis il commence un puissant va et vient, ressortant parfois, avant de s’y propulser à nouveau puissamment ; sous les assauts, nini gémit, l’encourage, s’offre à cette domination ; elle sait que je regarde, que je peux voir son plaisir et ses cris le traduisent :
‘Oh oui, encore sa queue est grosse, elle me dilate, oh oui jean il va me faire jouir, son gland perfore le fond de ma matrice oh oui je jouis » puis un cri resonne dans la pièce.
Lui est toujours arrogant « tu vois, là elle prend son pied avec une vraie queue, pas avec une petite bite comme le tienne, et quand tu vas la prendre ensuite, tu seras étonné de voir sa chatte trop grande pour toi et que son plaisir ne sera pas au rendez-vous comme maintenant » en effet, alors qu’il reprend ses coups de pistons, elle râle, jouit en continue, réclamant qu’il la féconde
« Oh oui, encore, montres lui comment tu sais me faire jouir, fécondes moi, remplit ma chatte de ta semence, qu’il puisse ensuite constater combien tu m’as fécondée ». Sous les assauts à nouveau sa jouissance déferle et quand il se cabre, déversant en elle sa semence, un long cri résonne dans la pièce, avant que ses jambes retombent sur le lit ; dévastée par le plaisir, la chatte béante d’où s’écoule le sperme qui vient de la féconder
Elle s’adresse à moi : « viens me lécher, viens constater combien il m’a rempli » elle sait que j’aime boire son plaisir et celui de son amant mais là le ton est plus autoritaire et quand mes lèvres se posent sur son intimité elle me bloque la tête sur son cratère, dégoulinant de leurs semences, me maintenant ainsi, m’obligeant à lui nettoyer son intimité.

À genoux devant sa grotte, ma langue lapant la semence, soudain un doigt vient me perforer l’anneau. J’ai oublié sa présence, mais lui n’a pas oublié sa saillie les jours précédant ; accroché à mes hanches, son gland vient titiller mon petit trou ; nini s’en est aperçu et s’écartant de nous, elle s’assied sur le coté du lit et s’adressant à lui :
« Vas-y, défonces-lui son petit cul, il aime se faire sodomiser et j’ai envie de le voir se faire défoncer part ta grosse queue et l’entendre jouir sous ta contrainte ; fais-en ta petite femelle, engrosses le lui aussi »
J’ai le souvenir de sa saillie lors de notre dernière aventure et ce que je craignais arrive ; son gland me déchire en me perforant sans aucun ménagement ; il m’a vu jouir sous son emprise et il est sûr de lui et il a raison ; alors qu’il a commencé à me pistonner, la douleur s’estompe et le plaisir arrive, profond, intense, d’autant plus que nini l’encourage pour qu’il me defonce, pour qu’il fasse de moi sa petite femelle. A chaque pénétration son gland me percute la prostate, augmentant d’autant mon plaisir ; maintenant je couine comme une petite salope, mon plaisir résonne dans la chambre. Alors qu’il marque un moment de récupération, planté au fond de mon fessier, je constate que nini se branle, deux doigts dans sa chatte ; elle aime me voir sous l’emprise d’un homme, mais aussi transformée en petite femelle, jouissant sous les assauts de son amant
Soudain je le sens se cabrer et ses jets viennent frapper les parois de mes entrailles, augmentant ainsi mon plaisir ; se retirent, brusquement ses derniers jets se répandent sur mes fesses ; il s’adresse lors à nini « tu vois lui aussi vient de se faire féconder, comme toi tout à l’heure. Vous êtes deux petits coquins et je crois que j’aurais encore l’occasion de vous faire jouir.
alors qu’il vient de partir, nini , blottie dans mes bras me dit : »la journée commence bien et je crois qu’il saura encore nous faire plaisir »

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