La Vie Dissolue D'Une Bigote 15 : Préjugés Racistes
Malgré tout, ma belle-mère avait un blocage. Consciemment ou pas, elle évitait les contacts avec Moktar. Elle navait jamais baisé avec lui, ne lavais jamais sucé, juste un coup de langue sur le gland lorsquelle avait guidé sa pine sur mon cul la première fois. Cela mest apparu un soir où nous étions tous les quatre avec Mélanie et son amant. Alors que je prenais Mélanie en levrette, Moktar sest approché de Geneviève pour la caresser. Elle a eu un réflexe de recul que le maghrébin a remarqué tout comme moi. En homme bien élevé il na pas insisté.
Moktar était bel homme. Jaurais compris que ma belle-mère ait peur des dimensions hors normes de son sexe, mais cétait autre chose. Certes il était assez typé mais tout de même. Léducation catholique de Geneviève lui faisait redouter le contact avec les musulmans ?
Jen ai parlé avec Mélanie un soir chez elle après avoir fait lamour. Je lui demandais si cela lui avait posé un problème au début avec Moktar.
« Pas du tout ! Au contraire ! Ça mexcitait de baiser avec un maghrébin, je lavais fantasmé depuis longtemps en entendant parler de leur « dimensions » comme pour les noirs. Dailleurs, si tu te rappelles, cest moi qui lavais choisi dans la liste des participants à inviter.
De ce côté-là tu nas pas été déçue !
Toi non plus mon salaud ! Tu aimes bien quand il tencule !
Cest vrai ! Même si jai un peu de mal à récupérer ensuite.
Pauvre chou ! Je vais te plaindre ! Il ny a quà voir le pied que tu prends.
Bon
daccord !
Mais pourquoi tu me demandes ça ?
Cest à propos de ma belle-mère. Elle refuse les contacts avec lui. Elle ne la jamais sucé ni baisé avec lui.
Elle a peut être peur de des dimensions justement.
Je te rappelle quelle ne crache pas sur les gros calibres et se fait même fister. Non, je lai vue lautre soir quand nous étions les quatre et que je te prenais en levrette.
Il ne ma rien dit.
Cest un homme bien élevé. Il a bien compris comme moi. Je voudrais faire passer à Geneviève ce relent de racisme, sûrement inconscient.
Tu aimerais surtout la voir être baisée par mon bel étalon !
Oui, aussi.
Elle aime lhumiliation ? On pourrait se servir de ça la prochaine fois. Jai très envie, pour une fois, de la dominer.
Pourtant vous êtes copines vous vous aimez et vous vous gouinez souvent !
Ça nempêche pas. Jai envie quelle connaisse elle aussi, le plaisir de baiser avec Moktar. Tu es daccord ?
Bien sûr ! »
Mélanie a parlé à son amant, qui avait bien remarqué les réticences de Geneviève. Il na pas voulu polémiquer, habitué quil est à ce genre de réaction, dautant quil est très bien avec Mélanie et dans le groupe. Sa maîtresse décide de donner une leçon à Geneviève et de lui rendre service en lui faisant apprécier les qualités de son « étalon ». Elle a dautant envie dy convertir ma belle-mère quelle adore se gouiner avec elle et quelle la connue grâce à ce club. Elle aussi avait un a priori par rapport à cette dame « orgueilleuse » de la haute société.
Au cours de la soirée suivante, elle met son plan en uvre. Auparavant elle a averti tous les membres du club des « VSG » de son intention. Tous sont daccord. Non pas pour se « venger » de Geneviève mais au contraire, pour quelle découvre les attraits de cette verge fantastique à laquelle elles ont toutes goûté pour leur plus grand plaisir.
Toutes sarrangent pour être « en main ». Irène, qui en est devenue friande, après que je laie sodomisée devant son mari, me rend la pareille en mobligeant bien sûr à rendre hommage au petit sifflet de son homme. Au début, je naimais pas sucer et cajoler ce petit sexe mou, puis, je lai considéré comme un gros clitoris avec des petites boules et comme Gérard, malgré son manque dérection ne manquait pas déjaculer un peu de sperme en jouissant, Javalais son jus et le partageais ensuite avec sa femme.
Nous étions donc tous occupés et ma belle-mère, qui au début sétait occupée à servir tout le monde, sest retrouvée seule. Cest alors que Moktar laisse Mélanie avec son cavalier du moment qui se régale dans la fourrure blanche de la femme. Il sapproche de Geneviève qui dès quil lentreprend, se recule brutalement.
Mélanie nattendait que Ça. Elle repousse son lécheur, se précipite vers le bar où se trouvent son amant et Geneviève, att cette dernière par le bras et dun ton menaçant suffisamment fort pour que tout le monde lentende
« Mais dis donc ! Espèce de vieille salope ! Il ne te plaît pas mon homme ? Il nest pas assez bien pour la grosse bourgeoise bigote que tu es ? Mais quest-ce que cest que ces manières ! Tu mérites une correction ! Quest-ce que vous en pensez vous autres ?
Ah oui ! Il faut lui apprendre les bonnes manières à cette salope ! Sécrie Irène. »
Tout le monde se fige. Geneviève est surprise de la sortie de son amie-amante.
« Cest vrai belle-maman, dis-je en me dégageant. Il me semble que tu as un problème avec notre ami Moktar. Cest très vexant pour lui. Que lui reproches-tu ?
.
Oui, je vois ! Cest le fait quil soit maghrébin et musulman ? Ne serait-ce pas du racisme ?
Mais non, voyons !
Elle mérite une leçon ! Ajoute alors Mélanie.
Tu as raison. Puisque cest ton amie et que cest ton amant qui est concerné. Cest à toi de choisir.
Mais... Vous nallez-pas
Tente de résister ma belle-mère.
Tais-toi, salope ! Reprend Mélanie qui prend son rôle au sérieux. Allez à genoux !»
Croyant devoir simplement sexcuser, Geneviève sagenouille et implore pardon de loffense.
« Tu ne crois pas ten tirer à si bon compte jespère ? Dites mes amis, ajoute Mélanie en sadressant à tout le monde. Vous ne pensez pas quelle mérite une bonne correction cette vieille salope ?
Oui ! Oui ! sexclament les participants au grand effroi de Geneviève.
Mélanie, qui avait préparé son coup, att le collier et le pose au cou de Geneviève. Saisissant la courte laisse elle entraîne son amie dans un coin de la salle. La surprise de Geneviève est totale. En effet la veille, Gérard et Yves avaient construit un pilori sans quelle sen rende compte nous lavions amené et dissimulé à ses yeux. Mélanie la force à poser sa tête et ses bras dans les encoches prévues et referme lengin.
Geneviève se trouve prise au piège. Le buste penché prisonnier du carcan et les jambes droites ce qui fait ressortir sa croupe et lexpose aux regards de lassemblée dans lattente dune fessée quelle va sûrement recevoir. Incapable de se dégager, humiliée devant tout le monde dans sa propre maison.
- « Regardez cette salope ! Elle fait moins la fière maintenant. Et pourtant, la situation lexcite. Ses tétons pointent et elle mouille ! » Déclare Mélanie, complètement prise dans son jeu, elle a passé sa main dans la fente de ma belle-mère qui effectivement ruisselle déjà. Elle en profite pour introduire 2 doigts dans la chatte et branler sa soumise et la faire couler abondamment.
Je mapproche alors et remets à Mélanie des pinces à seins. Elle les fixes aux tétons durcis sous ses lourdes mamelles qui pendent du fait de la position. Geneviève grimace mais ne se plaint pas. Cest pourtant une première pour elle, mais elle nest pas au bout de ses surprises. Mélanie accroche maintenant des poids aux pinces étirant. Elle saisi un martinet que lui donne Pauline, bien en évidence devant Geneviève dont les yeux ahuris sont exorbités. Elle comprend enfin que tout le monde est contre elle et quelle va subir de sérieux tourments.
Les premiers coups tombent sur les fesses de ma belle-mère. Elle crie, tortille son cul, se révolte mais ne peut échapper au châtiment. Elle a beau implorer grâce, personne ne lui vient en aide. Les participants invités, dabord surpris sont maintenant excités. Quelques uns se font sucer en regardant le spectacle de la femelle châtiée.
- « Mon chéri, demande Mélanie empêche cette pute de gueuler ! Viens lui mettre ta bite dans la bouche et quon ne lentende plus ! »
Avec horreur Geneviève voit lénorme braquemard quelle na jamais voulu cajoler, sapprocher de ses lèvres. Mélanie frappe plus fort ce qui loblige à ouvrir la bouche pour crier et Moktar en profite pour y enfoncer son gland. Évidemment, il ne cherche pas à aller trop loin pour ne pas la blesser, mais senfonce suffisamment pour provoquer un haut le cur à la suppliciée, qui comble de lhumiliation bave. Ses glaires coulent sur son menton puis par terre sans quelle puisse sessuyer. Ses yeux se remplissent de larmes et son rimmel fout le camp.
La correction sarrête, mais Moktar continue sa pénétration. Ma belle-mère doit écarter la bouche en grand pour absorber le monstrueux barreau. Peu à peu, elle semble moins réticente, shabituant aux dimensions du vit qui lui « baise la gueule »
Mélanie nen a pas fini. Le châtiment et lhumiliation doivent être complets. Les fesses rouges de Geneviève sont maintenant badigeonnées de vaseline. La vieille vicieuse prépare son amie pour son amant. Pour linstant la punie, trop occupée à avaler le chibre de Moktar et la douleur de ses fesses lempêchent de se rendre compte.
Totalement subjuguée par ce quelle fait subir à Geneviève, Mélanie na plus de limite. Elle rajoute des poids aux pinces qui martyrisent les tétons de son amie. Quelques larmes, quelques grognements étouffés par la queue qui encombre sa bouche, trahissent la douleur de Geneviève.
« Moktar ! Elle est à toi maintenant ! Tu vas baiser cette chienne avec ta grosse queue. Ne ten fais pas tu peux tout lui mettre. Quand à vous messieurs, si vous voulez vous faire pomper par cette pute pendant quelle se fait grimper et défoncer, ne vous gênez pas ! »
Noon ! Sécrit Geneviève lorsque sa bouche est libérée
Fermez-lui sa gueule à cette vieille salope ! » sécrie Mélanie déchainée alors quelle guide lengin de Moktar dans la chatte enfiévrée de ma belle-mère.
Lun des hommes qui se trouve à proximité sapproche, pince le nez de Geneviève qui refuse douvrir la bouche, et quand elle est obligée de louvrir pour respirer, lui enfourne sa bite au fond de la gorge.
Je surveille malgré tout que laffaire ne déborde pas. Geneviève doit subir la correction et sûrement ensuite apprécier la grosse queue de Moktar. Comme toutes les nouvelles expériences que je lui ai fais connaître elle sy oppose au départ. Je sais quêtre humiliée lexcite mais nous ne connaissons pas tout le monde et Mélanie ma lair bien partie dans son délire pour oublier de garder des limites.
Je retiens toutefois Marlène qui voudrait faire arrêter la punition en lui affirmant que Geneviève aime être maltraitée et humiliée.
« Tant quon ne dépasse pas les bornes de la violence on laisse faire. Dailleurs regarde-là elle commence à apprécier la grosse bite de Moktar. » - En effet, alors que sa bouche est libérée, lhomme qui a craché son sperme sest retiré, ce ne sont plus des cris de douleurs mais de plaisir que lance Geneviève.
Regardez-là cette pute, lance Mélanie qui sest aussi rendue compte du changement, elle va prendre son pied en se faisant défoncer par un arabe !
Oh oui ! Cest bon ! Jaime votre grosse queue ! Défoncez-moi Moktar ! Si javais sû jaurais accepté avant ! Cest boon ! Ouiii ! » Et Geneviève éjacule sous elle en tremblant de tout son corps ;
Et bien maintenant, cest ton cul qui va y goûter !
Doucement tout de même, dis-je, je sais ce que cest, il faut bien la préparer !
Non mon chéri ! Lance ma belle-mère, je dois être punie davoir repoussé Moktar aussi longtemps ! Davoir refusé dêtre saillie par un arabe ! Laissez-le faire ! Quil méclate le cul comme je le mérite ! »
Mélanie se reprend alors. Elle se précipite à genoux devant Geneviève et lembrasse à pleine bouche.
- « Pardonne-moi ma chérie, de tavoir fait subir ça ! Mais je suis si heureuse que tu ne repousse plus Moktar. Je te le prêterai quand tu voudras ! Il a assez de ressources pour nous deux et ne sen plaindra pas. Tu vas voir. Sa bite dans le cul, cest énorme et cest trop bon ! Tu comprendras pourquoi ton gendre aime ça lui aussi. »
Certains invités ne comprennent pas tout mais Geneviève se tourne vers moi en souriant et me glisse « Merci ! »
Moktar qui a pointé son engin sur la rosette de Geneviève, entame sa pénétration. Nous conseillons à ma belle-mère de se relâcher complètement, de pousser comme pour aller à la selle, cela facilitera le processus. Mélanie reprend sa bouche et les deux femmes sembrassent alors que derrière, le chibre monumental du maghrébin perfore les dernières défenses du cul de Geneviève.
Ses gémissements de douleur se perdent dans la gorge de Mélanie. Quand lhomme sest enfoncé en totalité dans les reins de ma belle-mère, il sarrête afin quelle shabitue à cette possession extraordinaire.
- « Cest énorme ! Jai limpression dêtre transpercée ! Ouverte ! Allez-y doucement mon ami ! Faites votre office ! Cassez-moi le cul comme je le mérite. Je me donne à vous comme je me donnerai à tous vos amis arabes si vous le voulez ! Je me donne et je me damne, mais que cest bon dêtre une pute et une vieille salope ! »
Moktar commence alors ses allers et retours dans le cul de ma belle-mère qui très vite commence à jouir, arrosant le parquet sous elle. Sous les secousses, les pinces qui meurtrissent ses tétons, se détachent lui occasionnant une douleur fulgurante au retour de la circulation sanguine. Lhomme lencule méthodiquement. Sûr du pouvoir de son organe gigantesque. Geneviève jouit à nen plus finir. Elle doit contracter alors ses muscles internes car le maghrébin ne résiste plus. Il sort du boyau étroit et gicle sur le dos de Geneviève une quantité énorme de sperme qui recouvre le dos et les fesses de liqueur gluante et blanchâtre.
Quand le calme revient, alors que Geneviève est toujours prisonnière du carcan. Le silence sest installé dans la pièce. Tous sont conscients davoir assisté à un moment unique.
Pour ne pas que lambiance soit trop longtemps plombée, je déclare « champagne pour tout le monde ! Il faut fêter ça ! » Je fais signe aux dames et à Gérard de remplir les verres. Pendant ce temps je libère ma belle-mère et la relève de sa position humiliante. Ses reins la font souffrir et elle grimace en se redressant mais dans ses yeux je vois le plaisir quelle a ressenti.
Mélanie sapproche et lenlace. Geneviève transpire et est couverte de sperme mais les deux femmes communient ensemble après ces moments de débauche totale.
« Pardon ma chérie de tavoir fait subir tout ça !
Non seulement je vous pardonne, mais vous avez eu raison ! Je lai mérité. Cétait très dûr mais jai compris. Je crois que vous mavez libérée. Vous êtes tous des monstres et je pense que mon salaud de gendre faisait partie du complot. Il ma tellement débauchée quil nen nest plus à ça près ! A partir daujourdhui, je naurai plus cette méfiance malsaine. Moktar ! Venez ici que je vous embrasse. Que je vous remercie de mavoir si bien baisée et enculée. »
Tout sourire le maghrébin enlace à son tour Geneviève et ils se roulent une pelle qui nen fini pas tout en se caressant étroitement serrés.
« Mais dis-donc, vieille pute ! Tu es en train de me piquer mon mec ! Sexclame Mélanie en rigolant quand ils se retournent les deux !
Oh ma chérie ! Ne vous inquiétez pas ! Jai assez de mon gendre. Cest déjà beaucoup ! Mais, vous me le prêterez tout de même de temps en temps !
Tu vois que quand on a goûté à sa queue, on ne peut plus sen passer
Il ny a quà voir mon gendre ! Mais en plus, je découvre quil a une peau fabuleusement douce et qui sent bon ! Mon dieu que jai été bête pendant tout ce temps !
Jai un cousin qui est encore mieux monté que moi déclare Moktar. En revanche il est noir, je ne sais pas si
Vous vous moquez de moi cher Moktar ? Vous avez raison ! Pardonnez-moi mon attitude ! Aucun problème pour que votre cousin samuse avec moi. En plus il paraît que les noirs sont encore mieux montés que les arabes ! Ajoute-t-elle en riant. Maintenant faisons la fête. Jai un peu mal au cul mais mon salaud de gendre va me le lécher pour calmer mes irritations !
A ton service ma vieille salope de belle-mère ! »
A la suite de cet épisode scabreux, le carcan est resté en place et sert quelques fois lors de soirées. Geneviève ne repousse plus Moktar et participe à des trios avec Mélanie. En effet, larabe est résistant et nos deux salopes ne sont pas de trop pour éponger leur homme.
Notre club fonctionne toujours. Les personnes qui fréquentent ces dames en dehors les trouvent particulièrement épanouies et même rajeunies. Geneviève fait tout de même attention mais il nempêche quun il avisé peut noter que malgré son âge, elle shabille plutôt mieux quavant et quil lui arrive de se montrer moins distante. Ses s sen réjouissent.
Le souci est quaujourdhui, son mari est malade et dépérit. Il devient une charge et bien sûr cest Geneviève qui doit sen occuper. Elle a malgré tout réussit à faire employer une garde à domicile afin de se réserver des plages de liberté. La présence permanente de son mari à la maison ne nous empêche pas de nous retrouver dans sa chambre de temps en temps. Jai même limpression que ça excite ma belle-mère encore plus, de savoir quil est à côté.
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