La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1365)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) (suite de l'épisode précédent N°1364) -
Le bonheur dêtre pardonnée et de partager la couche du Seigneur dEvans avec Marion
Cest à ce moment-là quelle fut surprise car Marion nétait plus là. Elle voulut immédiatement réveiller le Noble mais se ravisa à temps. Après tout, Marion pouvait sêtre levée pour une bonne raison et être autorisée par le Maître. Louise choisit donc dattendre un moment
Elle eut raison car peu de temps après Marion passa la porte de la chambre, et voyant Louise éveillée, elle sapprocha et se mit à genoux à côté du lit pour être à sa hauteur.et ne pas risquer de réveiller le Maître. Marion lui murmura :
- Je suis allée, en partie, préparer le petit déjeuner du Maître... Et bientôt, il va nous falloir Le réveiller. Alors la règle, pour celle qui a lhonneur de partager Sa couche, est de Le réveiller en passant sous les draps pour aller Le sucer très délicatement pour un réveil en douceur. Quand le Maître est réveillé, Il te le fait savoir par des râles de plaisirs, bien sûr tu narrêtes pas de le prendre en bouche et tu Le salueras quand tu as fini, autrement dit, quand Il aura joui dans ta bouche, sIl le veut ainsi
mais il est encore trop tôt, je vais reprendre ma place de lautre côté, je te ferais un signe de la tête quand il sera lheure... Attention tu ne te rendors pas, autrement je ne pourrais pas te réveiller sans Le réveiller Lui aussi. Et si tu te rendors, et que le Maître se réveille avant toi, tu seras punie
Une trentaine de minutes plus tard, lheure du réveil du Seigneur dEvans arriva. Marion fit un signe de la tête à louise et toutes les deux se glissèrent sous les draps. La noble Verge du Maître semblait déjà tendue, peut être faisait-Il un rêve érotique ou simplement une belle érection nocturne et naturelle. Marion, voulant un peu laisser faire Louise, lui fit comprendre par un geste, ne permettant aucune incompréhension, de soccuper de la belle queue du Seigneur dEvans.
- Hummmm !
Bonjour Mes chiennes
Hummmmm !
Le Seigneur dEvans sentait quIl allait bientôt éjaculer à gicler Sa semence matinale et imagina un petit scénario un brin pervers :
-A genoux, toutes les deux et bouche ouverte, Mes salopes. Exécution !
Marion et Louise descendirent et prirent la position exigée, prestement. Le Maître éjacula en partie dans leur bouche et en partie sur leur visage. Après avoir avalé ce quelles avaient pu récolter, Il exigea quelles se lèchent mutuellement le visage afin de ne pas perdre une seule goutte de la noble semence. Louise et Marion sexécutèrent et dun accord muet décidèrent même de faire plus afin de plaire au Seigneur dEvans et ainsi encore mieux Le satisfaire car elles savaient quIl appréciait le spectacle de saphisme. Alors, en plus de se lécher le visage, elles se bougèrent dune façon très sensuelle, érotique, se touchant dabord furtivement allant même jusquà sembrasser et ensuite elles poussaient plus jusquà se caresser le corps tout en sembrassant à pleine bouche.
- Bonjour Maître, avez-Vous passé une bonne nuit ?
- Comment pourrais-je passer une mauvaise nuit avec deux salopes comme vous, à Mes côtés ? Je suis très satisfait de vos prestations de ce matin. Jaime vous voir entre femelles vous lécher !
Bien, Louise, tu vas aller chercher Mon petit déjeuner
.
- Bien Maître.
Quand Louise fut sortie, le Seigneur dEvans dit.
- Je sais que dhabitude, cest toi qui Me sert Mon petit déjeuner, mais jai à te parler. Revient près de Moi, Ma chienne.
Marion sassit sur la couche à côté du Maître, couche quIl tapotait de la main pour lui faire comprendre de sasseoir à cet endroit puis Il la prit dans Ses bras.
- Tu trouves que je passe trop de temps avec Louise et que je te délaisse ?
- Non Maître et quand bien même je le penserais, je ne me permettrais jamais de le dire, je ne suis quune soumise comme les autres.
- Non, Ma belle justement, tu es différente des autres, car tu es Ma favorite et à ce titre, tu es autorisée à Me dire si tu souhaites ou à besoin de plus dattention de Ma part.
- Maître, puis je parler librement ?
- Oui, jaccepte.
- Merci Maître. Voilà, jignore pourquoi mais malgré notre différence dâge, je me sens très proche de Louise et puis elle est encore novice et doit apprendre.
- Oui, je Me rappelle de cette vielle histoire.
Au même moment, Louise entra avec les petits déjeuners.
- Bien, Louise je veux être servi dans Ma couche. Vous deux, vous resterez à côté, à genoux, mains dans le dos, dit-Il avec un sourire coquin.
Ne pouvant faire autrement, Louise déposa le plateau du Maître à Sa portée. Le Seigneur dEvans mangea dabord Son petit déjeuner, puis quand Il eut terminé Il décida de leur donner à manger à la main à tour de rôle comme on le ferait avec deux chiennes animales que lon ferait becqueter. Quand ce fut fini, Il envoya Louise vaquer à ses occupations habituelles, tandis que Marion Laidait à shabiller
Un peu plus tard le Seigneur fit venir Adam dans Son cabinet de travail et linforma de tout ce quIl avait été dit la veille à Louise et termina ainsi.
- Tu es jeune et impatient, cest normal mais tu as bien compris que je tautorise à voir Louise deux demi-jours par semaine, à sa convenance. Et ici, dans lenceinte du Domaine, mais interdiction formelle de faire de la Domination/soumission. Je lui ai ordonné de refuser et de venir Men parler immédiatement. Si cela se produisait, je ne te punirai pas car tu nes pas Mon fils. Mais sache que jai formé ton père et si vous transgressez cette règle, ce sera à lui de décider, ou pas, dune punition. Si tu as des questions, des doutes ou des soucis, nhésite plus à venir Me voir, nous sommes de la même famille. Ait confiance en toi, ait confiance en nous tous.
- Merci Monseigneur, je suis désolé si jai mis Louise dans lembarras et Vous aussi.
- Tu peux y aller et noublie pas que nous sommes là.
- Merci Monseigneur répondit Adam en sortant.
Pendant ce temps-là, Louise continuait son travail au service du Comte Louis-Etienne. Il entra juste comme elle allait sortir, à peu de chose près ils se seraient percutés, elle se mit instantanément à genoux :
- Jai terminé de ranger et de nettoyer, Monsieur le Comte. Il y a-t-il autre chose pour votre service ?
- Non pas pour le moment, mais demain jaurai une mission à te confier. Tu en auras pour la journée et le Seigneur dEvans est au courant et a donné Son accord. Sois la demain de bonne heure je texpliquerai.
- Bien Monsieur le Comte, comptez sur moi je serai là.
Le lendemain Louise partit avant même que Marion ne réveille le Maître, pour avoir le temps de manger et être prête au réveil de Louis-Etienne comme il le lui avait exigé la veille. A son grand étonnement, Louis-Etienne était déjà devant la porte de sa chambre et semblait lattendre. En arrivant près de lui, elle se mit à genoux :
- Monsieur le Comte, je vous présente mes excuses de vous avoir fait attendre, je pensais être à lheure et jaccepterai la sanction que vous déciderez.
- Tu es à lheure, je suis sorti pour ne pas réveiller Manon et je voulais te parler seule.
Louis-Etienne lentraina un peu à lécart et la fit sassoir à côté de lui sur un banc de pierre.
- Aujourdhui, il y a 23 ans que jai épousé Manon et je veux que pour ce soir, tu décores notre chambre de fleurs plus un bouquet que je lui offrirai aussi ce soir lors du repas prévu pour cette occasion.
- Bien ce sera fait. Il y a-t-il une variété de fleurs ou un parfum quelle préfère ?
- Oui la fleur doranger ainsi que des fleurs sauvages.
- Je dois demander lautorisation au Maître pour y aller car je sais où trouver des orangers en fleurs.
Après en avoir parlé au Maître et obtenu Son autorisation, Louise alla voir Valentin (voir le procès dAmélie) lui demander de lui préparer un cheval. En effet Louise avait un cousin qui vivait, à quelque kilomètre de là et qui était jardinier dune riche famille de la région et qui faisait pousser, des orangers largement fleuris en cette saison
Une fois de retour au Château, Louise se rendit dans les jardins où elle cueillit des lys blancs des roses et même sur le chemin du retour des fleurs sauvages. Elle avait le don de savoir harmoniser les couleurs et les senteurs et un talent inné pour créer de magnifiques bouquets dont celui quelle fit pour la soirée, qui était une de ses plus belles réussites
Pour la décoration de la chambre, en secret et avec laccord du Seigneur dEvans, elle eut tout ce dont elle avait besoin dont des vases de toutes tailles, dans lesquelles elle put faire tous les bouquets possibles et imaginables, de couleurs et de senteurs, et en disposa un peu partout dans la pièce. Il y avait tant de variétés quon aurait dit un paradis fleuri. Avec les roses qui lui restaient et fleurs dorangers, elle utilisa uniquement les pétales pour éparpiller sur le sol et fait un grand cur au milieu de la couche
A ce moment-là, on frappa à la porte cétait Sophie qui lui apportait un plateau en argent et deux coupes en fin cristal, comme elle le lui avait demandé. Elle avait pour Louis-Etienne et Manon, une surprise, une liqueur de fleurs doranger fabriquée par son cousin. Elle déposa le plateau les deux coupes et la bouteille sur la table, car elle se souvenait que la fleur doranger était aussi le parfum dinfusion préféré de Louis-Etienne, pour avoir entendu Angélique en parler
(A suivre
)
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