Collection Zone Rouge. Mon Bébé Sans Aucun Tabou (1/3)

Je profite d’avoir perdu mon emploi sans indemnité, ma boîte ayant fermé et mes patrons partis dans la nature pour proposer à Pierre d’avoir un .
À 30 ans je sens en moi un désir important de maternité.
À ce jour j’avais privilégié ma carrière et nous avions décidé d’attendre la venue d’un bébé pour sceller définitivement notre couple.
Après plusieurs mois infructueux, je vais chez ma gynéco qui me fait des analyses et des contrôles.
Je suis un traitement de trois mois, mais malgré cela rien à l’horizon.
Pierre avec qui je vis sans être mariée, ni pacsée fait lui aussi des examens qui s’avèrent être positif, il est très fécond.
Ma gynéco me propose de faire un nouveau test qui vient d’être mis au point, il s’avère que j’ai une maladie orpheline.

- Madame, cette maladie est détectée grâce à ce test.
Vous êtes l’une des deux femmes sur un million qui en souffre.
Vous pouvez avoir des s, mais vous avez une chance sur mille que le spermatozoïde que vous recevez pénètre votre ovule.
- Vous êtes en train de me dire qu’il faut que nous fassions l’amour 1 000 fois avec mon compagnon pendant ma période de fécondité pour que j’e.
- Non, comprenez-moi bien, sur mille spermatozoïdes qu’un partenaire vous met dans le vagin un seul vous fera un , il est certain que celui que vous appelez Pierre est hors course.
- Et une conception in Vitro ?
- Impossible sans le bon spermatozoïde.

Je paye, je sors de ce cabinet abasourdi, je veux un qui soit entièrement le mien, aucun recours avec les rapports avec Pierre ou trouvé 1 000 donneurs de sperme.
Une idée saugrenue me travers l’esprit, il me suffit d’avoir des amants pour avoir une chance de trouver le spermatozoïde qui fécondera mon ovule.
Pendant tout le temps que j’ai mis à comprendre que pour avoir un il me faudrait avoir des amants je suis entièrement dépendante de Pierre.
Il m’est impossible d’emmener mes conquêtes dans des hôtels afin de baiser avec, dans des voitures très peu pour moi.


Cette après-midi, je rentre dans un bar où j’ai la chance de rencontrer un homme bien mis installé au comptoir.
Je trouve le moyen de lui adresser la parole et rapidement je remarque qu’il est très intéressé par mes charmes.
Quand je suis certaine de l’avoir bien accroché nous sortons, il m’emmène dans un hôtel qu’il règle lui-même.
Sexuellement avec Pierre nous sommes un couple sans tabou à tel point que quand il y a quelques mois il m’a proposé de me sodomiser pour le récompenser de tous les efforts qu’il faisait à me baiser chaque fois que ma courbe de température était bonne, j’ai accepté qu’il me pilonne l’anus.
Dès le début de notre relation, j’ai appris à le mettre en forme en le suçant sans pour autant avaler son sperme surtout les derniers mois où il me semblait plus utile qu’il soit dans mon vagin que dans le fond de ma bouche.

Dès la porte de la chambre de l’hôtel franchie, je prends l’initiative voulant en finir vite, je suis en pleine période d’ovulation.
Je dégrafe son pantalon, je m’agenouille pour qu’il bande assez fort pour me pénétrer.
Au mouvement de son corps en avant, je comprends qu’il prend du plaisir à ce que je le suce, mais il est hors de question qu’il me remplisse la bouche.

- Viens que je te déshabille, tu m’as l’air d’avoir soif de sexe, tu es seule et en manque.

Seule non, en manque non, Pierre m’a fait l’amour ce matin avant de partir à son étude, je suis en manque de sperme dans mon vagin surtout si cet homme est le numéro mille.

- Mets-toi sur le lit en levrette, j’adore faire l’amour aux femmes dans cette position.

Je monte sur le lit.
J’attends évitant de regarder le moment où son sexe entrera en moi consommant l’adultère que je commets en me faisant baiser par le premier venu même s’il est très élégant.
Les yeux fermés, c’est fait, je sens ma chatte se laisser pénétrer, je sens rapidement les couilles de mon premier amant venir taper mon bas-ventre.

C’est homme me baise en sachant prendre son temps, si mon corps rechigne à trouver le bon spermato, il apprécie cette pénétration.
Je consomme entièrement mon adultère quand un orgasme monte du fond de mon ventre.
Je hurle presque mon plaisir me rendant compte que cette jouissance et cet orgasme qui est continu est bien plus fort que ceux que me procure mon homme légitime.
Je sens la queue qui me laboure se retirer et quand je me retourne, horreur mon amant avait mis une capote et le sperme est resté dans le fourreau me frustrant de l’échec assuré pour que je sois fécondé.
Le lendemain, je rencontre un autre homme, je lui propose de passer un bon moment avec moi.

- Excusez, les putes très peu pour moi.

Après cette phrase insultante pour moi, bien qu’en y réfléchissant, à part des putes qui peuvent proposer la botte à un homme dans l’après-midi, je dois chercher d’autres terrains de chasse pour trouver le foutre dont j’ai besoin pour avoir mon bébé.
Je draguais dans les endroits chics, ces hommes ont des principes, c’est dans des endroits plus sordides que je me rends.
Sur un banc public, je rencontre un jeune homme qui après beaucoup de négociations accepte de me prendre sans capote.
Il lui est impossible de payer l’hôtel.
Il habite chez ses parents, il a envie mais là aussi c’est impossible.
Je veux mon bébé et c’est dans une rue glauque que je range ma voiture pour que nous baisions à l’abri des regards.
Je me rappelle avoir dit que de baiser dans une voiture serais hors de question, mais nécessité fait loi.
Il est tellement pressé de me faire l’amour qu’il sort lui-même sa queue.
Depuis quelques jours que je suis en chasse profitant de ce que je suis féconde, je sors la chatte à l’air.
J’ai du mal à me placer sur sa verge, gênée par le toit, mais j’y arrive et quelle joie, l’excitation du garçon est si grande qu’il éjacule presque immédiatement.
J’ai bien senti son foutre venir en moi, mais m’a-t-il assez rempli et assez loin tel est la question.

Je reprends ma place, de honte d’avoir déchargé si vite, il ouvre la porte et part en courant.
J’allais démarrer quand on tape au carreau de mon côté.
Un homme est là qui se penche pour me parler, j’ouvre la fenêtre et sa demande est surprenante.

- Tu es libre.

Il me prend pour un taxi, c’est incroyable.

- 50 € pour une pipe, tu es partante.

J’embraye et je pars sur les chapeaux de roue.
Près de chez moi un bar m’attire, je pense trouver un endroit pour me laver la chatte en surface bien sûr, je dois garder ce que le jeune homme a propulsé en moi.
Au bar un homme me regarde entrer et comme il pourrait être un donneur satisfaisant, je m’approche et me place à son côté.
Une fois de plus, une jolie fille dans un bar attire la convoitise.
Je me souviens pourquoi, je suis ici aussi après avoir commandé un café, je me rends aux toilettes regardant l’homme fixement.
Je suis devant le lavabo la jupe relevée me lavant la chatte avec un essuie-mains quand la porte s’ouvre.
C’est bien l’homme qui a essayé de m’approcher, sans rien me demander il sort sa queue bien plus grosse que celle de Pierre se met une capote et me sodomise.
Je suis surprise, je vais pour lui demander de descendre dans ma chatte, mais la capote qu’il s’est mis me dissuade de le faire sentant que je vais prendre mon pied de ce sexe dans ma rosette.
Avec Pierre j’ai subi la sodomie avec cet homme, je jouis d’être ainsi empalé appuyé sur le lavabo.
Libérée, je redescends ma jupe, je sors du café précipitamment sous le regard d’homme narquois, je reprends ma voiture précipitamment, je finis le chemin me conduisant à notre appartement.
Garer je fais le Digicode, Pierre est là et veut me faire l’amour, j’arrive à lui échapper pour prendre une douche prétextant avoir beaucoup sué.

Le lendemain, je vais faire quelques achats, il me faut une autre tactique pour les capotes, je ressors l’après-midi sans trouver mon sperme favori, je tape le Digicode.


- Donne-moi cent balles.

Le garçon qui me demande cela doit se trouver dans la rue, depuis plusieurs jours, il est loin d’avoir un look bien propre.
Quand je dis que l’envie d’ me rend folle malgré ce que ces hommes mon mis dans la chatte étant peut-être déjà féconde, je m’entends dire.

- Monte, je te donnerais de l’argent à la maison, je n’ai rien ici.

Arrivé chez moi dès que j’entre, j’ôte mes vêtements, je me place sur le canapé du salon en levrette une nouvelle fois.

- Baise-moi tu auras ton fric.
- Sans capote ?
- Si bien sûr, en voilà une.

Je prends mon sac et j’en sors une, s’il avait regardé, j’en ai cinq, toutes acheté au super marché ce matin, je les ai percés avec une aiguille faisant très attention à ce que cela ne se voit pas.

- Merci.

Je lui place, son sexe entre en moi, il est un peu crade, mais me prend divinement.
Je suis sur le point de jouir attendant ma dose de foutre à travers sa capote quand je vois apparaître Pierre à la porte du salon.
Il éjacule, à ce moment précis, j’espère que mon stratagème a fonctionné, mon envie de sperme en moi m’a fait oublier l’heure, il rentre du travail.

- Salope, tu profites de ce que je travaille pour baiser avec un SDF heureusement il a mis une capote, toi dégage, toi la pute va dans la chambre fait un sac avec quelques affaires et quitte ma maison.

C’est ainsi que je me retrouve sur le trottoir devant ma voiture, mon seul bien étant à moi, je peux la garder.
Faire tout ça pour un bébé…

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