Belle-Mère (Épisode 1)
Je voudrais vous conter une histoire dil y a maintenant quelques années. Ma copine et moi avions alors 17 et 18 ans. Nous étions encore en ce temps-là, au lycée, en classe de terminale.
Je dois vous dire avant toute chose, que le titre de mon récit est sans doute un peu présomptueux car, dans les faits, lhéroïne de cette histoire la belle-mère !) na jamais été que la mère de ma petite copine Virginie, avec qui je suis toujours en couple. Je nai jamais eu de relations sexuelles avec sa mère même si une fois peut-être loccasion se présenta. Tout ici nest que pur fantasme, désirs et réalité aussi. Voici le commencement de cette histoire.
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N. (Cest ainsi que je lai appelée dans un précédent récit) vivait donc seule avec sa fille dans un petit pavillon de la région de Senlis. Cétait une femme divorcée, depuis plusieurs années. Un mari qui vraisemblablement navait pas été fidèle
Elle sapprochait me semble-t-il, de la cinquantaine. Elle avait eu sa fille sur le tard, vers lâge de trente ans. Cétait une bien belle femme et aujourdhui encore, je suis heureux de lavoir vu les seins nus et même plus. Bien sûr, elle ne sait rien de tout cela. Je compte sur vous pour ne pas le lui dire.
Lhistoire se passe un jour où ma chérie et moi rentions dune sortie sur Paris. Nous rentrâmes chez ma copine vers les dix-sept heures. Javais pour habitude de toujours raccompagner ma belle chez elle avant de rentrer chez moi.
Quand nous entrâmes dans la maison, il nous paraissait ny avoir personne. Virginie, ma chérie, fit le tour de la maison et saperçut quelle navait pas étendu le linge que sa mère lui avait demandé de faire le matin avant notre départ. Ma belle descendit alors dans la buanderie (le pavillon était monté sur un sous-sol) et sempressa dentendre le linge avant que sa mère ne revienne. Nous nous étions dit quelle était sans doute sortie faire des courses où partie chez une amie.
Je restais seul dans la maison. Jentendis soudain comme une petite voix qui chantonnait. Cela venait de la salle de bain. La porte était entrouverte. Je mavançai, discrètement, sans faire le moindre bruit pour tenter de voir ce qui se produisit dans la salle de bain. Je nen crus pas mes yeux ! Je venais de voir la mère de ma copine, nue dans son bain. La belle (cette fois-ci, la mère de ma chérie) se prélassait dans un bain remplit de mousse ; elle caressait ses jambes, dabord lune, puis lautre, et fredonnait un air dont je ne réussis à identifier la mélodie. La belle se leva. Waouh ! Je la vis toute nue pour la première fois de ma vie. A la surprise, mon cur semballa. Je le sentais taper dans ma poitrine. Jai soudain été voir par la fenêtre de chambre si ma belle étendait toujours le linge en bas, dans le jardin. Cest bon ! vu la hauteur du linge qui restait dans le panier, je pouvais encore me régaler ! Je sortis de la chambre, toujours sur la pointe des pieds et je men retournai à mon poste de guet : la mère était aussi belle que sa fille, avec des formes généreuses et une poitrine
plantureuse ! Si lon mavait dit avant cela quune femme de cinquante ans pouvait être aussi bandante, je ne laurais jamais cru ! Je me surprenais à bander. Jétais mal. Ma belle allait revenir dune minute à lautre et je risquais de me faire pincer. Je men allai aux toilettes (la porte à côté) pour me branler. Les idées les plus obscènes me vint à lesprit.
A suivre
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