Les Muscles En Esclavage (Partie 2)
*L'histoire suivante relate des faits fictifs, traitant de préférences sexuelles extrêmes, impliquant notamment la domination, l'humiliation, la pratique de la chasteté e, et des pratiques BDSM violentes. Elle ne convient pas à un public non averti*
PARTIE DEUX
Sur la reculée Avenue des Pins, Nathan pressa le pas. Un noeud étrange lui tordait le ventre, mélange de peur et d'excitation. Lui, mâle alpha par excellence, aux muscles extrêmement dessinés, aux conquêtes nombreuses, était sur le point de rejoindre un club d'inconnus qui souhaitaient, semble-t-il, le soumettre et faire de lui une véritable lope... C'est du moins ainsi que le bel homme viril qui avait suscité son excitation à la salle de sport avait présenté les choses.
Nathan ne pouvait admettre l'excitation qu'il avait sentie, l'envie qui le poussait alors à traverser la ville pour devenir un soumis. Et pourtant, il arrivait déjà devant la porte.
Il frappa. Le battant s'ouvrit rapidement, et là se tenait, respirant le sexe, le beau mâle qui l'avait séduit quelques heures plus tôt, toujours aussi viril, toujours aussi beau et surtout, les muscles saillants à travers une chemise très ajustée.
"Entre." dit l'homme simplement.
Nathan s'executa, sans réaliser qu'il venait d'obéir au premier ordre d'une longue série.
**
C'était une vaste pièce, très chaleureuse, aux murs de briques et aux vastes fenêtres donnant sur un merveilleux jardin. Une piscine reflétait les derniers rayons du soleil couchant. De gros fauteuils donnaient envie de s'enfoncer dans leur coussins, et un bar habillait le mur du fond.
L'homme de la salle de sport suivit Nathan à l'intérieur. Ils étaient seuls apparemment.
L'homme lui indiqua l'un des fauteuils, l'invitant à s'asseoir.
"Veux-tu boire quelque chose? Un cocktail maison ça te dit?"
Nathan fut surpris par la soudaine hospitalité de son hôte.
"Oui, s'il te plaît".
Par cette phrase, il savait qu'il avait pris un risque, mais c'était pour lui une manière de tester la température.
Sans surprise, l'homme le regarda sévèrement et le repris immédiatement :
"-S'il VOUS plaît.
- S'il Vous plaît. Pardon, Monsieur
- C'est mieux."
Nathan n'en revenaît pas. Il se prenait au jeu sans la moindre incitation. Et l'accueil était beaucoup plus agréable qu'il ne l'avait pensé !
L'homme lui apporta son cocktail et s'assit en face de lui. Nathan ne sut jamais ce qu'il y avait dedans mais le mélange était à la fois très fort et très sucré.
Il le savait, ils étaient sur le point de parler, et d'entrer dans le vif du sujet.
L'homme prit la parole.
"-Comment t'appelles-tu?
-Nathan
-Je m'appelle Victor. C'est ma maison ici. Je ne vais pas blablater pendant des heures, je vais aller droit au but d'accord? Comme je te le disais à la salle, je fais partie d'une sorte de club avec des amis. Nous sommes des adeptes de pratiques sado-maso, de bondage, et de toutes sortes de pratiques de domination. Et nous aimons soumettre des hommes comme toi, en faire de vraies lopes, des putes à nos pieds."
En une phrase, le prénommé Victor était passé de douceur à violence sans crier gare. Cela désarçonna Nathan. Le bel homme continua :
"Nous ne forçons jamais personne. Nous rejoindre, devenir un de nos esclaves sexuels est un choix conscient, et comme tous les autres avant toi, tu auras la possibilité de dire oui ou non une fois que je t'aurai exposé les termes. Mais n'oublie pas ta réaction à la salle ce matin, réaction que tu as eu simplement en me voyant sous la douche. N'oublie pas non plus que tu es venu ici de ton plein gré. Si ce ne sont pas des preuves que tu en as envie, je ne sais pas ce qu'il te faut..."
Nathan sentit qu'il allait en savoir plus. Il savait le moment important. Toute la situation l'excitait.
"Et quels sont-ils, ces termes?"
Victor sourit et commença à expliquer.
"Chacun des membres du club a son esclave. Nous sommes quatre membres, tu auras donc trois camarades esclaves. Comme je te le disais, tu ne pourras plus revenir en arrière une fois que tu auras dit oui. Pas de possibilité de fuir ou de se dégonfler. Avant de rencontrer mes trois amis, je dois d'abord te former. On ne se présente nos esclaves que quand ils sont prêts, car comme je l'expliquais plus tôt, nous sommes très hard, et tu devras être prêt à tout."
Il se pencha en avant et poursuivit :
"Comprends bien cela. Nous sommes TRÈS hard. Si tu dis oui, tu deviendras ma chose, ma lope. Je t'utiliserai quand bon me semblera, ton corps sera à moi, j'utiliserai chacun de tes trous. Je formaterai tes muscles. Je déciderai de ce que tu manges, de qui tu baises, de quand tu jouis. TOUT, absolument tout sera de ma volonté, tu ne seras qu'une chose. En échange de cela, tu n'auras rien à ta charge. Tu seras nourri, logé, tu n'auras plus jamais à travailler de ta vie. Je m'occuperai de tout t'apporter. Tu vivras une vie de luxure et d'insouciance complète."
La raison de Nathan lui criait bien évidemment de ne pas répondre par l'affirmative. Cependant, son sexe lourd, de la largeur d'une canette de soda et long de 20 cm, pulsait dans son caleçon. Il le savait, cela l'excitait énormément. Cet homme pouvait tout lui faire. Et pire, il le voulait.
Il jeta un coup d'oeil à la piscine. Quel rêve ! Pouvoir vivre ici, sans jamais travailler, à n'assouvir que des pulsions sexuelles à longueur de journée !
Après un instant de réflexion, Nathan ouvrit la bouche :
"J'ai une condition.
Victor lui fit signe de poursuivre.
"Pas de scat. J'accèpte le reste, TOUT le reste. Mais le scat est hors limites."
Victor sourit, et dit :
"Si tu accèptes de devenir mon esclave, je respecterai cette condition. Deal."
Nathan s'imaginait déjà attaché à un lit, fouetté par ce dieu grec moderne. La seule image d'un homme aussi musclé, aussi beau, le dominant lui donna envie de mettre sa main dans son pantalon et de libérer la tension qui montait dans ses testicules.
Il répondit alors :
"-D'accord.
- Tu en es certain?
-Oui."
Comme cela, en quelques mots, Nathan venait de refuser sa liberté, et de devenir la lope d'un homme dont il ne soupçonnait rien.
**
Victor le mena au bout d'un couloir. Il ouvrit la porte. Une volée de marche descendait dans un sous-sol.
Nathan, légèrement inquiet, le suivit, hésitant, dans l'escalier. Il arriva dans une petite salle.
"Attends ici."
Victor sortit de la pièce, en éteignant la lumière.
Nathan était désormais seul, dans le noir, dans une pièce en sous-sol. Pour la première fois, il prenait la mesure de la décision que ses hormones venaient de lui faire prendre. Pas une seconde il n'avait pensé à ses proches, à ce qu'il penseraient s'ils découvraient. Un sentiment de culpabilité l'envahit. Il voulait rentrer chez lui.
Soudain, Nathan fut pris d'un mal de tête fulgurant et de vertiges. Il perdit l'équilibre. Victor avait sans aucun doute mis quelque chose dans son cocktail... Complètement désorienté, Nathan s'endormit lentement.
**
Lorsqu'il ouvrit les yeux, il se trouvait dans une gigantesque salle aux murs de briques, sans fenêtres, probablement en sous-sol. Il reprit ses esprits doucement. Il nota immédiatement qu'il ne pouvait plus bouger : ses bras étaient surspendus au plafond, attachés ensemble, et ses jambes étaient ligotées et fixées au sol. Il portait un simple caleçon noir.
La porte s'ouvrit. Victor se tenait dans l'embrasure. Son immense stature excita immédiatement Nathan, mais il ne parvint pas à ressentir son énorme sexe se gonfler. Quelque chose l'en empêchait. Etait-ce la peur?
L'homme avança dans la pièce. Lui aussi était presque nu. Il portait un slip en cuir moulant son énorme paquet, et un harnais de cuir soulignant ses muscles surdéveloppés.
"Que m'avez-vous fait?" hurla Nathan, colérique.
Victor se figea, lui mis une main sur l'épaule et, sans crier gare, lui donna un coup de genou dans les couilles. La douleur fut fulgurante, Nathan se tordit et hurla.
"Tu vas m'écouter bien attentivement. JE parle ici. JE décide. Si je veux t'attacher, je t'attache. Si je veux t'endormir, je t'endors. Tu as consenti. Tu as voulu. Est-ce que c'est clair?"
Nathan comprit qu'il n'y avait pas d'échappatoire. La violence du choc lui remontait dans le bas ventre.
"Oui."
Il reprit un coup dans les couilles, et hurla de plus belle.
"-Oui, qui?
-Oui, Monsieur
-Bon, c'est mieux. Maintenant je vais te dire comment ça va se passer. Tu n'es plus Nathan. Ta famille et ton employeur vont prochainement recevoir des justificatifs leur apprenant pour diverses raisons qu'ils ne te reverront plus. Ils s'en remettront. Toi, tu vas devenir ma chose. Je vais t'appeler comme ça. Chose. Tu n'as plus ton mot à dire. Pour éviter que tu ne te laisses aller, tu auras peut être remarqué que ta bite était en cage. Moi seul ai la clef, et je déciderai de quand tu auras le droit de jouir. Pour le moment tu vas être sous cage longtemps car je te soupçonnes d'avoir joui cet après-midi en pensant à mon corps sous la douche, je me trompe? Ton trou sera ta seule source de plaisir et tu seras une vraie chienne en chaleur d'ici quelques jours. Pour info, tu vivras ici, entièrement nu. La pièce est insonorisée donc inutile de t'égosiller. Quand je ne serai pas là tu pourras aller et venir mais quand cette lumière rouge- il montra une ampoule sur le mur - s'allumera tu devras te mettre à quatre pattes, le dos bien cambré, le cul ouvert, les pattes arrières bien écartées, au centre de la pièce, et m'attendre. Est-ce que tu as tout bien compris? "
Nathan était terrifié. Mais, surtout, il était excité. Il ne parvenait pas à faire descendre son excitation. Cette situation l'excitait au plus haut point. Il aimait être la Chose de cet homme.
"-Oui, Monsieur
-Bien, tu apprends vite. Du coup, je vais te donner une première récompense. Tu vas me sucer."
L'idée de s'occuper de la bite énorme de son Maître emplit de joie Nathan, qui n'attendait que ça depuis la salle de sport, plus tôt. Victor le détacha.
"Mets toi à genoux."
Nathan s'exécuta. Une lourde main vint pousser l'arrière de sa tête et pressa sa bouche contre le paquet de son Maître. Celui-ci était également énorme. Victor avait de toute évidence envie d'utiliser sa Chose.
"Occupe toi de ma bite."
Nathan pris le bord du slip et le baissa. Un gigantesque membre en érection jaillit devant lui. Il devait mesurer entre 20 et 25cm, sa main ne pouvait pas en faire le tour, et des veines saillantes le parcouraient et pulsaient sous l'excitation. La queue complétait à merveille le corps puissant qui la soutenait.
Sentant son propre sexe presser contre la cage de chasteté, Nathan pris le gland, énorme, de son Maître en bouche et le lécha. Victor lacha un soupir de plaisir. Puis sans prévenir il lança ses hanches en avant, projetant l'intégralité du pilon dans la gorge de son esclave.
Nathan eut un haut le coeur tant sa gorge avait du mal à s'adapter à l'échelle de cette bite. Il sentait la bave couler de part et d'autre de son visage, tandis que Victor accélérait ses va-et-vient.
Quelques minutes plus tard, Victor cracha sa semence au fond de la gorge de sa Chose. La Chose sentit sa cavité bucale complètement remplie.
"Avale. La semence de ton Maître est sacrée. Tu ne dois jamais en perdre une goutte".
Nathan s'exécuta, avec un léger dégoût. Il avait également le souffle complètement coupé par la pipe qu'il venait de faire. Le temps de reprendre ses esprits, il remarqua que Victor avait déjà tourné les talons et quitta pièce, le laissant seul, sans un mot, dans sa nouvelle vie.
Celui qu'il convient désormait d'appeler la Chose se retrouva sur le sol de sa grande pièce en sous-sol. Mais le désespoir, ou la peur, avaient disparu. A sa grande surprise, la Chose rêvait déjà de la suite. Son excitation était à son comble. Son sexe lui faisait mal tant il pressait sur la cage. Et il pouvait désormais l'admettre : il aimait être la lope de cet homme...
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