La Vie Dissolue D'Une Bigote 16 : Relations En Aparté Entre Membres

Moktar est venu passer plusieurs jours chez sa chérie. C’est la première fois qu’elle le reçoit dans sa maison. Mélanie n’a que faire aujourd’hui que ses voisins voient qu’elle reçoit un homme, arabe en plus.
Il est arrivé deux jours avant une soirée, pendant lesquels les deux tourtereaux ont baisé comme des fous. Geneviève les a retrouvés un après midi pour s’encanailler avec eux après avoir reçu un appel de Mélanie. Son amant avait en effet usé et abusé de tous ses orifices et elle demandait grâce ! Maintenant que son « racisme » a disparu, ma belle-mère adore goûter à l’énorme membre du maghrébin. Elle se « dévoue » bien sûr pour son amie. Prétextant des courses à faire, elle se rend chez Mélanie où elle retrouve son amie qui l’accueille complètement nue.
Les deux femmes s’étreignent et s’embrassent goulûment. Mélanie s’attaque aux seins de Geneviève dont elle connaît la sensibilité et ma belle-mère glisse une main dans la fourrure blanche trempée et introduit un doigt dans le vagin gluant de sperme. Dans l’entrée, Mélanie déshabille Geneviève qui se retrouve rapidement aussi nue que son amie. Abandonnant ses vêtements sur le sol, elle est entraînée par la main à l’intérieur où Moktar nu et bandé, voit arriver les deux tribades le sourire aux lèvres et se lève pour saluer et enlacer Geneviève.
Mélanie fait agenouiller son amie au pied de son amant, pousse sa tête vers le sceptre immense dressé sur le ventre de l’arabe. Geneviève le connais bien déjà mais est toujours impressionnée par les dimensions hors normes de cette queue. Elle s’incline et absorbe le gland pour le câliner de la langue. Rapidement, l’homme en veut plus. Il renverse ma belle-mère et l’embroche sans coup férir sous les yeux de Mélanie, alanguie sur la couche qui se caresse en admirant le couple en action.
Moktar est infatigable. Après la première jouissance de Geneviève qui l’arrose abondamment. Il la retourne, la prend en levrette tout en poussant le visage de la femelle dans l’entre-jambe poilu de sa maîtresse.


Dans cette situation, Geneviève ne tarde pas à jouir une deuxième fois. L’arabe demande alors aux deux femmes de se positionner tête-bêche Mélanie en dessous qui reçoit ainsi la cataracte directement dans sa bouche. Elle ne se gêne pas non plus pour jouir et faire déguster à Geneviève son liquide intime. Elle lèche les couilles énormes de son amant profitant qu’il se retire pour laper sur la tige, la cyprine abondante ou avaler rapidement le gland sorti de l’antre brûlant.
Après un nouveau jet puissant de Geneviève Moktar décide de la prendre par le cul. Il sait que ma belle-mère apprécie cette pénétration, néanmoins sa bite monstrueuse ne s’avale pas aussi facilement, aussi, il prélève le liquide suintant du vagin pour badigeonner l’anus de Geneviève. Sa bite est poisseuse du liquide. Il pointe son gland énorme sur l’œillet de ma belle-mère et guidé par la main de Mélanie. Pousse le pertuis étroit qui se dilate devant l’engin monstrueux. Même habituée et demandeuse de sodomie, Geneviève le sent bien passer. La langue de Mélanie sur son bouton lui fait oublier la douleur de l’écartèlement.
L’énorme engin se fraye le passage jusqu’au fond du cul de Geneviève qui a l’impression d’être transpercée par une lance monstrueuse. La sensation fait rapidement place à une impression de plénitude. Quand l’homme se met en mouvement, elle décolle et jouit quasiment en continu, arrosant sa compagne qui n’arrive plus à avaler le liquide odorant.
Geneviève perd toute notion de temps et de lieu. Elle est éblouie et ne vit que par cet organe qui envahit ses lombes et dont elle ne voudrait se séparer pour rien au monde. Elle délire, demande encore plus à être défoncée. Elle oublie complètement de s’occuper de Mélanie sous elle. Elle est dans un monde plein d’étoiles et éclate dans un orgasme monstrueux alors que Moktar éjacule une quantité énorme de sperme au fond de son rectum.
Alors que les deux amants redescendent peu à peu des sommets du plaisir, Mélanie recueille à la fois la cyprine sortant du vagin de Geneviève et le sperme de Moktar sortant du cul sous l’effet du retrait de la bite.
Quand celle-ci sort complètement du fondement de ma belle-mère, Mélanie se précipite sans dégoût pour avaler la bite couverte de jus et quelques résidus moins clairs, mais peu lui importe, elle adore sucer ce sexe énorme, qu’il soit propre, couvert de jus ou plein de sperme.
Geneviève va mettre plusieurs minutes à récupérer. Moktar et Mélanie sont dans les bras l’un de l’autre quand elle revient à elle.
Elle vient se pelotonner contre le couple. L’énorme sexe de Moktar ne tarde pas à reprendre du volume alors qu’il titille les seins des deux femelles. Chacune pose une main sur la mentule qui se dresse, puis se précipite pour lécher le gland, s’échangeant des baisers entre elles.
Après une bonne douche, Geneviève est repartie chez elle, laissant les deux amants entre eux.
Ils ne l’ont pas été longtemps. Mélanie m’a appelée et le soir même c’était à mon tour de les retrouver. La bougresse voulait deux hommes pour elle et nous nous sommes régalés. Prise par les deux côtés à la fois elle a connu plusieurs orgasmes ravageurs. Elle a adoré se coucher sur son amant, empalée sur sa grosse queue alors que je la sodomisais. Au travers de la fine paroi je sentais le sexe énorme de Moktar frotter contre le mien. Mélanie transpirait fortement, j’adorai son odeur et sa peau humide prise en sandwich entre nous. A cheval sur les cuisses de l’arabe, les cuisses largement écartées, ses fesses s’offraient à mon regard. En me reculant quand je sortais de son cul, je voyais l’énorme engin dilater sa chatte. Elle montait et descendait dessus comme une furie, puis fatiguée, se recouchait sur le ventre de Moktar. Je profitais de cela pour me réintroduire en elle.
Connaissant sa capacité et son goût pour le fist, j’ai l’idée de la prendre à deux dans sa chatte. Moktar positionne son gland à l’entrée, puis je plaque le mien contre. Je saisi les deux pines et nous guide entre les lèvres intimes de Mélanie. Le début est difficile. Il faut tâtonner plusieurs fois, mais d’un coup, les deux glands forcent le passage et se retrouve dans la chaleur du vagin.
Dès lors, c’est plus facile et après quelques instants, nous coordonnons les mouvements. La voix de Mélanie monte dans les aigus.
- « C’est énorme ! J’adore ! Oui mes chéris ! Baisez-moi fort ! J’adore vos deux queues dans ma chatte ! C’est encore meilleur comme ça ! Vous allez me  ! Allez ! Allez ! Bourrez-moi ! Bourrez votre vieille salope ! »
Mélanie prend un pied énorme et s’affaisse, anéantie sur le corps brûlant de Moktar.
Nous n’avions joui ni l’un ni l’autre. Mélanie n’est plus opérationnelle et demande une pause. Elle baise depuis deux jours et tous ses orifices sont sensibles. Moktar, lui est encore en forme. Voyant la queue raide de son amant, Mélanie lance :
- « Tu sais mon chéri que tu as une deuxième salope à disposition ? »
L’arabe sourit. Bien sûr, il se rappelle qu’il m’a déjà pris et se réjouit à l’idée de recommencer. Je le suis un peu moins, car j’ai le souvenir un peu douloureux de la dernière fois. Je ne peux néanmoins refuser ce plaisir à Mélanie.
• « La dernière fois, je n’ai pas pu profiter très bien du spectacle, alors aujourd’hui tu vas être la femme de mon mec et je vais vous admirer !
• La dernière fois, je te rappelle que j’avais été préparé ! Moktar a tout de même un engin impressionnant.
• Pas de problème mon chou ! Je vais me faire un plaisir de te préparer le passage. Ton cul va être si souple que je pourrais y rentrer ma main, mais je vais te donner à mon chéri pour qu’il te défonce la pastille. Tu vas être sa femelle et tu vas aimer être une pute ! »
Mélanie part chercher du gel et revient très vite. Elle pose des coussins sur le lit et m’installe, fesses en l’air.
- « Mais dis-donc espèce de salope, j’ai l’impression que ça t’excite ! Tu bandes déjà ! Ça mérite une fessée espèce de cochon ! Mon chéri, lance-t-elle à Moktar, amuse-toi à faire rougir ces fesses de pédé ! »
On sent que Mélanie s’excite à me traiter ainsi de noms vulgaires. Adepte de soumission je me laisse faire, même si je redoute déjà de souffrir sous la main de son amant.

Contrairement à mes craintes, Moktar ne frappe pas fort, au moins au début. Quand il sent que mon épiderme est bien chaud il accentue ses frappes. J’ai beau me tortiller, je suis bien tenu et je subis l’outrage jusqu’à qu’il soit satisfait. Mes fesses me brûlent et Mélanie rigole.
- « Ça lui a fait du bien à cette salope ! Regarde son trou commence à s’ouvrir ! Ça va être facile de le préparer. Tu vas te régaler mon chéri ! »
Mélanie s’attaque maintenant à mon cul. Un doigt vient me badigeonner la rondelle avec le gel, puis s’introduit, bientôt suivi d’un deuxième. Je me relâche complètement, ce qui fait dire à la femme que je suis impatient de me faire enculer. Je veux surtout ne pas souffrir.
Trois doigts élargissent maintenant ma corolle et je ne souffre pas du tout. Est-ce le picotement des fesses qui annihile, ou le travail de Mélanie ? Surement un peu des deux. Cependant celle-ci n’en a pas assez. Elle a une occasion de se venger gentiment de ce que je lui ai fais subir au sauna, aussi renchérit-elle :
- «Moktar mon chéri, donne un peu ta belle queue à sucer à ce bâtard, qu’il se rende compte, même s’il connaît déjà, de ce que tu vas lui faire prendre tout à l’heure ! »
Le chéri en question ne se fait pas prier. Tout heureux de se faire sucer par un « roumi», il présente son gland déjà gonflé à mes lèvres qui s’ouvrent sans hésiter. Ma langue fait le tour de cette monstrueuse olive. Elle empeste le foutre et la jute mais je me régale. Il tente bien de s’enfoncer mais sa taille au-delà des normes, ne me permet d’absorber que quelques centimètres, d’autant que ma mâchoire est largement ouverte pour laisser passer le monstre. Je salive énormément, craignant qu’il ne s’enfonce dans ma gorge mais malgré tout adorant cette situation.
- « Mais c’est pas vrai ! » La remarque de Mélanie me sort de mes pensées toutes tournées vers ce pieu qui occupe ma bouche. « Il a pris ma main ! » En effet, Mélanie a si bien travaillé et je me suis tellement décontracté qu’elle a enfilé sa main toute entière dans mon cul ! La sensation est énorme ! Je me fais fister pour la première fois de ma vie et j’aime ça. Même quand elle commence à bouger, je vais au devant de sa monstrueuse pénétration. « Vas-y mon chéri ! Il est prêt ! Démonte-lui le cul ! »
L’arabe se retire de ma bouche, contourne le lit et guidé, je suppose par une Mélanie complètement excitée par la situation, m’enfile jusqu’à la garde sans le moindre problème. Sa bite de vingt huit centimètres atteint les tréfonds de mon cul. Une sensation énorme d’être rempli !
Que dire quand l’homme se met en mouvement ? Il m’encule méthodiquement, me faisant grimper aux rideaux comme la dernière fois. Je ne me retiens pas. Je n’ai plus de pudeur. Je ne vis que pour cet engin qui me perfore ! Mélanie s’est glissée sous moi et tète ma bite. Une onde fulgurante monte dans mes reins et je jouis. J’ai l’impression que ça dure une éternité. Pas comme une éjaculation de quelques secondes. Mes reins sont tordus par l’intensité. Je crois même que je sombre dans le néant quelques instants. Ce sont les coups de boutoir de Moktar qui me font revenir à moi. Il ne me ménage pas, j’ai mal, mon cul est irrité, mais peu m’importe. Je n’ai jamais été baisé comme ça. Il peut faire ce qu’il veut. Je suis une chiffe molle entre ses mains.
Mais… je sens que ma jouissance revient alors que je viens de gicler il y a quelques instants. Mon amant grogne et me baise de plus en plus fort. Lui aussi sent monter son flux et tout à coup je sens son sperme gicler en moi. Ses grosses couilles se vident et il me rempli le ventre d’une quantité incroyable. C’est une autre sensation qui sollicite ma prostate.
Mélanie qui ne m’a pas lâché, me pompe littéralement. Elle me dira plus tard que j’ai coulé presque sans arrêt pendant que Moktar m’enculait et se vidait lui-même.
Quand enfin il se retire pour se coucher en soufflant près de moi, je ressens un vide énorme. Son sperme s’écoule par mon anus. Je sens l’air frais me pénétrer alors. J’ai l’impression que mon trou va rester béant pour toujours.
Un long moment passe ainsi pendant lequel le silence s’est installé. Le calme revient peu à peu. Je suis en sueur et mon amant n’est pas mieux. Mélanie revient dans la chambre qui empeste le foutre avec des boissons, pendant que nous récupérons, elle transfère des photos sur l’ordinateur et nous les fait visionner ensuite. Avant de me sucer et après la fin de ce coït sauvage elle a mitraillé. Je me vois quand il me fesse, laissant ma peau rougie. Pour la première fois en train de sucer le gros chibre de Moktar. Quand il m’encule, je me rends compte qu’il est vraiment énorme les photos sont très chaudes ! On me voit bien avec cet homme derrière moi, puis son chibre dans mes fesses et enfin quand il s’est retiré, en gros plan, mon cul béant donc s’écoule un liquide blanc sur l’origine duquel on ne peut se tromper.
J’ai honte de m’être laissé aller comme ça ! J’ai honte de voir pour la première fois mon statut d’enculé ! De pédé ! En même temps, je ne peux m’empêcher d’être excité et de rebander.
Quand Mélanie montrera ces photos aux autres et qu’elles demanderont à ce qu’elles figurent sur le site, il me faudra faire un gros effort.
• «  Tu es aussi une Vieille Salope des Gaves déclare Mélanie. N’est-ce pas Geneviève ?
• Mais bien sûr mon gendre ! Vous m’avez fait devenir votre pute et une salope, ce dont je vous remercie. Maintenant c’est à votre tour, ce dont je me réjouis, ainsi que mes amies. Il serait indécent de votre part de nous refuser ce que vous nous avez exigé. Aussi, je crois parler au nom de toutes les Vieilles Salopes des Gaves. Vous devez figurer avec nous sur le site et si des candidats se manifestent à l’avenir, vous participerez au même titre que nous, n’est-ce pas mesdames ? »
Elles sont toutes bien sûr d’accord et Irène enfonce le clou en demandant à ce que toutes ces dames me travaillent le fion au gode ceinture, elle-même désirant que je suce son mari pendant qu’elle m’encule ! Juste retour des choses.
Je deviens ainsi le septième membre de ce club fermé après qu’au cours de la soirée suivante, devant les invités rassemblés j’ai été sodomisé sur l’estrade par chacune des femmes présentes.
Plus tard, nous avons fait quelques parties carrées avec Moktar, Mélanie et Geneviève. A ces occasions, notre ami avait trois culs à sa disposition. Intrigué par le plaisir que je prenais, l’arabe a aussi voulu connaître les joies de la sodomie. Bien sûr, nous ne pouvions rivaliser avec les dimensions de son calibre, mais il adorait que je l’encule alors qu’il baisait ma belle-mère ou qu’il léchait la chatte poilue de Mélanie.
Nos apartés ou ceux des autres membres du groupe n’empêchaient pas les soirées de groupe. Chacun trouvait un plaisir particulier à y participer et rare étaient les défections. Yves a avoué à sa femme qu’il assistait à des soirées un peu « chaudes » à côté de chez eux et elle l’a encouragé à continuer. Il s’impliquait tellement avec Gérard notamment pour des travaux d’entretien, que nous l’avons intégré dans l’équipe. Il était officiellement chargé de l’entretien du domaine. Gérard avait installé un récepteur vidéo chez Yves permettant la surveillance de l’entrée -nous avions ajouté des panneaux sur la grille du style « Entrée interdite, Danger, Propriété privée ». Yves avait déniché de vieux panneaux ce qui permettait de faire paraître le lieu comme abandonné.
Apercevant un jour un couple d’anglais tentant de voir ce qu’il y avait derrière cette grille. Il les a rejoints et a inventé une histoire de magnat russe ayant acheté le domaine récemment pour une somme astronomique de plusieurs millions d’euros, ne laissant que peu de chance à d’éventuelles tractations.
Yves était un garçon charmant une fois connu. La seule chose qu’il n’acceptait pas était les relations avec les hommes, pourtant il n’était pas rare d’en voir sucer d’autres hommes, sans parler de moi. Quand il avait assisté à ma séance d’enculage par toutes les femmes, il avait d’abord était choqué. Maintenant il était habitué, mais il avait refusé tout net à Geneviève de me prendre à son tour sous prétexte qu’il n’était pas pédé, lui !
- « Mais mon gendre n’est pas « pédé » non plus, comme vous dites mon ami. La preuve, il me baise et baise toutes ces dames. C’est simplement un homme qui ne refuse aucun plaisir. Vous devriez essayer un jour, pour ne pas mourir idiot. Demandez-lui !
Yves n’acceptera jamais et il était même mal à l’aise lorsqu’il se trouvait trop près d’un autre homme nu au cours d’une soirée. Parallèlement, en plus de son attachement à ma belle-mère, notre homme avait aussi un petit penchant pour Irène. Malgré ses précautions, nous nous en étions rendu compte et nous en moquions entre nous. Gérard, à qui j’en ai parlé, s’est amusé de la situation. Il a fait semblant tout d’abord de le surveiller, de jouer au jaloux. Yves l’évitait, mais Gérard lui a déclaré un jour haut et fort alors que nous étions réunis entre nous.
• « Tu sais, Yves, si tu as envie de baiser ma femme, ne te crois pas obligé de me demander la permission. Je crois en plus qu’elle aime bien baiser avec toi. Tu as envie de baiser avec elle tout seul ? Eh bien organisez vous une soirée tous les deux. Si tu veux, cela peut être même un weekend entier. Je peux te remplacer auprès de ta femme, mais arrête de te comporter comme un hypocrite. Irène ? As-tu envie de passer une nuit ou plus avec Yves ?
• Oui, bien sûr mon chéri. J’aime bien Yves. Il est très gentil et très doux et j’aime bien quand il me baise. Ça ne t’embête pas de ne pas être là ?
• Je te vois souvent baiser avec tout ce monde et c’est vrai que j’aime te regarder alors, mais si vous avez envie d’être seuls, faites vous plaisir. Vous me raconterez ? »
Yves et Gérard sont redevenus très copains ensuite. Ils travaillaient donc ensemble au domaine et Irène qui venait parfois les retrouver, elle « nappait » Yves un moment pour folâtrer dans les bois ou dans une chambre pendant que son mari continuait le travail tout seul. Au retour, les deux amants racontaient leur entrevue au cocu consentant.
En général les dames arrivaient tôt et partaient… tard, ou plus souvent, restaient dormir. Gérard, toujours lui, nous avait aménagé une pièce derrière la douche pour que tous ceux qui restaient, dorment ensemble. Il est arrivé, qu’au réveil, quelques « prolongations » aient lieu. Nous avons même aménagé deux chambres à l’étage, pour ceux qui parfois, avaient envie de s’isoler. Elles servaient surtout pour ceux qui ne voulaient pas reprendre la route aussitôt.
Geneviève, ma belle-mère changeait. Dans son entourage, on commençait à s’en rendre compte. Un soir chez elle après avoir fait l’amour, je lui en fis part. Nous étions sur son lit, son mari étant dans une autre chambre. Invalide, il ne peut bouger ni parler, mais entend tout. C’est ce qui excite ma belle-mère. « C’est ma vengeance » me dira-elle un jour. Quand je suis chez elle la nuit et que nous faisons l’amour, non seulement elle exprime son plaisir plus fort mais elle laisse la porte des deux chambres ouvertes pour que son mari-cocu « profite » de ce moment.
• « Belle maman, je t’ai souvent dis de faire attention et de ne pas modifier ton allure vestimentaire. Malgré tout, les gens ont remarqué des changements dans ton attitude. Ton bronzage – heureusement qu’ils ne te voient pas nue- ton allure générale et même tes habits font qu’on le remarque. Il faut que tu sois prudente ! Quand tu avais tes amants, c’était passé inaperçu, tu étais plus jeune, mais après la mort de Pierre et le départ de Ludivine, tu t’es laissée aller et tu as pris alors « un coup de vieux », ce qui fait que maintenant on se rend bien compte du changement.
• Mon chéri ! Ces changements sont volontaires. Je sais bien qu’on me regarde différemment. Je continue malgré tout à rester la dame patronnesse de toujours, mais maintenant, peu m’importe ce que diront ou penseront les autres. Je suis bien. Bien dans ma peau et bien dans ma tête.
• Mon chéri ? Ce n’est pas un peu trop ? Je te rappelle que j’ai été marié avec ta fille.
• Justement, non. Je me le cache depuis trop longtemps. C’est vous qui m’avez révélée ma sexualité. C’est vous qui m’avez trouvé un amant, puis une maîtresse, devenue mon premier amour féminin. C’est vous encore qui m’avez fait révéler mon secret à nos amies.
Depuis tout ce temps, je me suis donnée à vous corps et âme. J’ai chaque fois suivi vos idées les plus folles, jusqu’à cette création de « club ». Chaque fois, j’ai pris un plaisir intense pour des actes qui me paraissaient insensés !
Aujourd’hui, je suis devenue la salope et la pute que vous m’aviez promis que je deviendrais. Je suis la salope et la pute comme me traiteraient, s’ils le savaient, les « gens bien comme il faut » dont je fais officiellement partie. Je suis une salope et une pute et je suis fière de l’être et surtout je me sens Votre salope et Votre pute !
Il ne manque qu’une chose. Depuis quelques temps déjà, j’ai ce sentiment au fond de moi et plus ça va, plus j’en suis certaine. Je vous aime ! Je vous aime mon chéri ! Je vous aime  mon gendre ! Je sais que vous ne m’aimez pas, mais il fallait que je vous le dise. Cela fait si longtemps ! Je crois que je vous aime depuis le début, mais que je me le suis plus ou moins volontairement caché durant toutes ces années. Car ce n’était pas possible. Aujourd’hui je le sais et je veux que vous le sachiez ! Je vous aime ! »
Geneviève termine son long monologue avec des larmes plein les yeux. Elle se réfugie dans mes bras pour les cacher. Cette confession, sûrement la plus difficile qu’elle ait eu à faire durant sa vie, me laisse pantois. Que répondre à une femme qui vient de se livrer ainsi ? La seule réponse que je trouve, c’est de la coucher sur le lit et de la pénétrer et la baiser tendrement. Mon érection est très forte après cette révélation. C’est vrai que nous sommes devenus très proches au fil des années et pas que physiquement ! Mais de là à….
- « Je ne vous demande pas d’avoir le même sentiment vis-à-vis de moi ! Je veux simplement que vous sachiez que vous êtes mon amour ! Mon amour fou ! Mon amour impossible ! Mon amour inacceptable ! Mais mon amour pour toujours !
Vous avez réussi ! Je suis VOTRE salope et VOTRE pute ! Vous faites et vous me faites faire ce que vous voulez. Vous pourriez me mettre sur le trottoir si vous le vouliez et je l’accepterais. Je crois d’ailleurs qu’il faudra me prosti pour achever l’aventure.
C’est un peu ce que nous faisons au club, mais ce n’est pas vénal. J’aimerais un jour me retrouver sur le trottoir comme ces femmes et devoir demander de l’argent pour sucer, me faire baiser ou me faire enculer par un ou des hommes !
Vous voyez que je suis prête à tout pour que vous me gardiez, que vous me baisiez ! Je suis vieille maintenant. Un jour vous ne voudrez plus de moi. Vous ne voudrez plus me baiser comme vous le faites en ce moment, mais tous ces moments de bonheur que vous m’apportez, sont gravés en moi pour toujours ! »
Je jouis en elle qui est en transe. Son corps est brûlant et sa respiration haletante. Elle s’étale les bras en croix et murmure :
« Quel dommage que vous ne puissiez plus me faire un  ! »
***

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