La Vie Dissolue D'Une Bigote 17 : Candidature Surprise
Un jour, Jacqueline nous annonce quelle a rencontré une femme qui serait intéressée pour participer à notre groupe.
« Mais
Comment a-t-elle appris son existence ? Interroge Geneviève. »
Un peu gênée, elle raconte que cette femme la un peu piégée en lui disant quelle la trouvait rajeunie, quelle soupçonnait un nouvel amant. Connaissant Jacqueline, elle savait que lancien était parti et comme elles étaient assez proches, au cours du repas elle lavait fait un peu boire, Jacqueline sétait un peu embrouillée jusquà avouer faire partie dun groupe un peu... particulier.
Après cela, il a été facile à la femme den savoir un peu plus, jusquà accéder au site internet quà particulièrement apprécié la dame.
« Je lui ai simplement dit que je ne pouvais pas décider seule. Rassurez-vous, je nai trahi personne. Par contre elle tient absolument à en faire partie.
Tu lui a dis que cétait quand même « hard » quil fallait être motivée, pas bégueule et sengager à la discrétion.
Oui, oui, Elle est à la recherche de ce genre de relation depuis un moment mais par ici, cest délicat. Elle fréquente parfois des saunas en toute discrétion et cela loblige à se déplacer loin.
Tu lui as dit quelle pourrait rencontrer dans ce club des personnes connues ?
Oui, oui, mais sachant quelles sont dans les mêmes dispositions quelle, cela ne pose pas de problème et elle veut surtout avoir ce genre dexpérience de groupe.
Quel âge elle a ? Demande Pauline.
Voyons ! Sinterpose Geneviève, Vous savez bien que ce nest pas un problème dâge !
Cest vrai, pardon !
Cinquante six ans. Répond Jacqueline
Ah ! Cest que
Elle est jeune !
Nous nallons pas faire du racisme anti jeune ! Interviens-je alors. Après tout, cela rétabli la moyenne avec Marlène ! Pardon chère amie ! vous savez combien je vous apprécie.
Moi, ça ne me gêne pas une femme plus jeune, rétorque notre doyenne.
Bon ! On va voir. On peut toujours lui faire passer un casting.
Comment ça ?
Eh bien, on la fait venir, on lui bande les yeux avant pour quelle ne sache pas où elle se trouve ni qui est là. On voit comment elle est et ce quelle est prête à accepter, quitte à pousser un peu le bouchon. Rappelez-vous laudition de Geneviève.
Oui, cest vrai, dit Irène. Jai adoré ce moment ! Jacqueline va nous lamener ici et on va juger. Il ny aura ensuite quà voter pour ou contre pour savoir si on laccepte. »
Tout le monde est daccord et nous chargeons Jacqueline de nous amener la concurrente pour le surlendemain soir.
A lheure dite, tous sont présents. Comme dhabitude, on ouvre du champagne, qui est devenu la boisson « officielle » du club. On installe des fauteuils autour de lestrade qui servira de scène de présentation.
Gérard qui pense à tout à réglé un gros projecteur qui va éclaire la scène, nous laissant dans lombre ce qui fait que si le bandeau senlève, la femme ne pourra quand même pas nous voir.
Jacqueline fait son entrée en tenant par la main la femme aux yeux bandés. Lentement elle lamène au centre de lestrade. Léclairage brut rend la scène un peu irréelle.
Quand la femme prend place, je la reconnais aussitôt. Il sagit dune élue locale, mariée, bien que je nai jamais vu son mari. Je sais déjà que quelle que soit la décision de notre groupe, je la baiserai, ici ou en dehors du club. Maintenant que je connais ses envies de sexe, je nhésiterai pas à entreprendre la coquine.
Cest une femme assez grande et charpentée. Je lavais repérée mais naurais pas cru quelle ait ce comportement. Elle sest habillée plutôt sexy, avec une robe noire arrivant au dessus des genoux, qui moule son corps plantureux. Je la verrai bien dans un rôle de dominatrice, même si pour linstant elle est tout de même un peu craintive.
« Depuis longtemps jai envie de participer à des réunions du style que vous organisez. » A mes côtés Pauline sest raidie. Elle aussi, au son de la voix, a reconnu la femme. Je pose ma main sur son bras et lui fais signe de se taire.
« Cest facile à dire mais je crois que vous avez vu le site, il y a des situations assez... scabreuses !
Oui ! Cest justement ce que je cherche. La pluralité et différentes positions ou pénétrations de toutes natures.
Vous avez aussi pu remarquer que le titre du site donne le ton et que les dames sont plutôt âgées. Vous nêtes pas tout à fait dans la même catégorie.
Je ne suis plus très jeune non plus. Si jai bien compris. Les invités cherchent des femmes plus âgées. Donc des hommes de trente, trente cinq ans ou moins peuvent être intéressés.
Oui, mais il peut y avoir aussi dans lassistance des hommes plus âgés qui peuvent sintéresser à vous !
Ce nest pas un problème pour moi.
Bien. Et les femmes ?
Comment ça ?
Vous avez dû voir quil y a avait aussi des rapports entre femmes ?
Euh oui
Cela semble vous gêner ?
N
Non, ce nest pas ça mais
Oui ?
Je... Je nai jamais eu de rapport avec des femmes. Je nai pas dexpérience.
Et vous êtes contre en avoir ?
Pas du tout ! Jai simplement peur de ne pas être à la hauteur
mais, je veux bien essayer !
Vous nêtes pas contre une
formation alors ?
Non ! Au contraire !
Cest bien ! Nous allons juger de votre motivation et plus généralement de vos capacités. Alors à poil ! »
La femme tressaille. Ce nest plus une conversation. On passe au stade actif. Il faut que les paroles deviennent des actes. Elle sait quil y a plusieurs personnes qui regardent.
Comme un automate, elle fait glisser la fermeture éclair à larrière de sa robe. Elle est nerveuse et a du mal, je demande à Jacqueline qui est restée à ses côtés, de laider.
La robe dégrafée glisse sur son corps. Une fois à terre, elle lenjambe et se retrouve en petite tenue, Bas, soutien gorge, porte jarretelles, petite culotte façon string et escarpins.
- « Je vois que madame sest habillée en pute ! Enlève ta culotte et ton soutien gorge»
Jai volontairement employé le tutoiement pour la rabaisser. Elle enlève son soutien gorge, mais problème avec la culotte. La femme nest pas une habituée. Elle a cru bien faire à mettant des bas à jarretelles mais les a attachés par-dessus la culotte ce qui empêche de lenlever.
« Je vois que tu nes pas habituée ! Tu nas pas pensé à ce problème ! Ce nest pas grave ! Ici, tu nas pas besoin de culotte. Jacqueline ! Prend des ciseaux et coupe-la !
Cest dommage ! Elle est jolie proteste Irène.
Ben oui ! Tant pis ! »
Jacqueline reviens et découpe le sous vêtement de chaque côté, puis le retire. Cétait un joli string en dentelle !
« Bien ! maintenant écarte un peu tes jambes et mets tes mains derrière la tête ! » La femme prend la pose. « Quen pensez-vous mes amis ?
Elle est belle dit Irène. ment avec quinze ans de moins que nous ! » Pauline nose pas parler, de peur que la femme ne la reconnaisse. Cest pareil pour ma belle-mère dont la voix est très reconnaissable.
Oui ! Cest un joli morceau ! Cest aussi une vraie brune ! Jaime bien sa toison, même si elle mérite une taille plus sexy !
Tu vois ça comment ? Interroge Yves.
Comme sa fourrure remonte assez haut, je verrais bien une bande assez large de son nombril tout droit vers sa chatte.
Je suis daccord pour la tailler ! » ajoute Marlène.
On verra ça si on laccepte ! Dis-je. En attendant, passons aux travaux pratiques. Toi la candidate, mets-toi à genoux ! »
La femme obéit et se laisse glisser à genoux sans quitter la pose de ses mains derrière la tête. Un bon point pour elle. Je mapproche. Ouvre mon pantalon et lui présente ma queue, déjà bien raide. Sans hésiter, elle devait sattendre à cela, elle avale ma bite et suce.
Elle se débrouille bien la cochonne, je sens que je vais me régaler ! Je me retire, fais signe à Gérard qui lui présente son petit sifflet, quil na plus honte dexhiber. Elle est surprise, essaye un moment de le faire dresser. Semble paniquer de ne pas y parvenir. Je lui conseille davaler à la fois la tige et les couilles. Gérard se laisse faire un moment. Sans atteindre le niveau particulier de Marlène, elle se débrouille pas mal. Gérard levant son pouce pour manifester son contentement.
Je fais signe à Pauline dapprocher, mais elle ne veut pas. Alors je demande à Geneviève. Ma belle-mère vient présenter sa moule glabre aux lèvres de la femme. Elle relève sa jupe sous laquelle elle est bien sûr nue, lui att la tête et la plaque contre ses lèvres. Je lui fais signe de ne pas jouir, car elle est capable de nous arroser la femme sans prévenir. En attendant cette dernière ne se fait pas prier pour lécher cette vulve onctueuse. Je fais approcher Mélanie pour lui présenter maintenant une toison bien fournie. Le changement est radical. Une petite hésitation mais elle ne rechigne pas à la besogne.
- « Tourne-toi maintenant et écarte tes fesses avec les mains ! On veut voir ta chatte et ton trou du cul ! »
Docilement elle obéit, se penche et écarte ses globes. Son fessier est somptueux et nous laisse sans voix.
Nous laissons maintenant la femme seule sur son estrade. Je lui annonce que nous allons délibérer et lui donnerons ensuite notre réponse. Voyant Pauline particulièrement fermée, je demande à Jacqueline de raccompagner la femme dans le vestiaire. Yves à une meilleure idée. Pour pouvoir la surveiller, il la laisse sur lestrade, la coiffe dun casque dans lequel il diffuse de la musique assez forte, lui menottant les bras dans le dos.
La discussion qui sen suit est houleuse. Dentrée, Pauline est contre lintégration, elle explique quelle connaît très bien la femme, quelle est plus ou moins de sa famille et quelle ne se voit pas à côté delle.
Jacqueline rétorque que elle aussi la connaît, ment, mais que cela ne la dérange pas. Elle la trouve très belle et franchement ny voit pas dinconvénient. Les deux femmes se disputent un peu.
La deuxième opposition vient de ma belle-mère, à qui on révèle lidentité de la femme.
« Et vous laviez reconnue vous ? Me demande-t-elle.
Je lai reconnue tout de suite. Vous avez vu quelle a une silhouette assez reconnaissable et vu que cest Jacqueline qui nous lamenait, jai compris aussitôt.
Vous la connaissez bien. Ça ne vous gêne pas ?
Pas plus que de te baiser belle-maman ! Au contraire ! Je vous avertis dailleurs que même si nous refusons de la recruter ici, je compte bien la baiser un de ces jours en dehors du club.
Oh ! Vous
Mais tout de même, cest une personne de plus qui va me connaître
Oui, mais entre deux salopes, je pense que vous allez vous entendre, surtout quand elle aura gouté à ta liqueur !
Vous êtes un malotru !
Bien, cest réglé. Il ne reste que Pauline. Je préfèrerais que nous soyons tous daccord, même si la majorité est pour. On vote ? »
Sans surprise, une seule voix est contre. Yves est indécis car la femme lui rappelle la sienne. Il a peur de lamalgame.
« Tu sais que ta femme tencourage maintenant. Je ne crois pas que cela changera quelque chose pour elle. Quand à cette femme elle est mariée et je ne crois pas quelle tienne à changer maintenant. On va lui poser la question si tu veux.
Daccord alors !
Toi, Pauline, est-ce que tu pensais un jour faire lamour à Jacqueline ? A Irène ? A ma belle-mère ? Tu les connaissais pourtant bien avant. Est-ce que ça a changé quelque chose ensuite ?
N
Non... Mais
Écoute. La démarche de Michelle, puisque cest son nom, prouve que cest une salope comme toi, qui a envie de sexe, comme toi, et qui veut rester discrète, comme toi. Après, tu nes pas obligée de te gouiner avec elle non plus.
Tu as toujours réponse à tout ! Mais que va-t-elle penser de moi ?
Ah, cest ça qui te tracasse ! Elle va penser la même chose que ce que tu penses delle.
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Allons Pauline. Ajoute Geneviève. Vous vous rendez compte des efforts quil a fallu que je fasse pour maffranchir de mes complexes. Aujourdhui, je me suis dévoilée et même plus encore à vous. Je peux vous dire que jen suis heureuse et jespère vous aussi !
Bon ! Jai compris ! Je ne sais pas si cest une bêtise. Je ne suis pas sûre que ce soit la bonne décision, mais je suis daccord pour laccepter ! »
Tout le monde ayant accepté, nous reprenons nos places. Jacqueline, en rigolant comme dhabitude, enlève les menottes, puis le casque et fait relever Michelle. Je reprends la parole.
« Après en avoir délibéré, le club des Vieilles Salopes des Gaves a décidé daccepter ta candidature.
A la condition que tu jures de ne révéler à personne ni le lieu, ni lidentité de ceux que tu vas voir ici. De toute façon nous avons fait des photos de toi qui pourraient aussi ruiner ta réputation. En effet quand tu as sucé des bites ou léché des moules, les clichés sont suffisamment clairs pour que malgré ton masque on te reconnaisse. Je te rassure ce nest pas le but. Elles serviront, une fois floutées quà figurer sur le site.
Je te rappelle que tu seras amenée à recevoir les « hommages » dinvités inconnus, souvent des habitués du club. Comme une vieille salope que tu deviens, tu ne les repousseras pas. Si tu en reconnais, tu nen parleras pas non plus et enfin, tu tiendras ce lieu secret et protègeras tes vieilles amies aussi salopes que toi, contre les calomnies qui pourraient être dites contre elles. Es-tu daccord avec cela ?
Oui ! Bien sûr ! Je ne demande quà être comme vous, avec vous, jen rêve depuis longtemps ! Je ferai tout pour être digne de vous.
Tu ne regretteras pas ta décision ?
Non ! Je suis sûre du contraire.
Si malgré tout tu décides de nous quitter et cest valable pour chacun de nous, tu tengages à garder le secret, sous peine de voir divulguer tes occupations secrètes.
Oui ! Jaccepte toutes vos conditions !
Bien ! Alors Jacqueline, enlève le bandeau à notre nouvelle salope ! »
Passant derrière Michelle, Jacqueline détache le bandeau et sécarte, laissant la femme nue, seule sur lestrade. Éblouie encore par le spot lumineux et le long moment où ses yeux étaient bandés elle ne distingue que vaguement des silhouettes autour delle dans lombre.
Je fais signe à Gérard déteindre le projecteur et de forcer la lumière dans le salon. Je reprends ma voix naturelle et lance :
« Eh bien, madame le maire ! Bienvenue au club !
Que ? Quoi ? Toi ? Mon dieu
Pauline !!! Madame de Brassac ! » Elle ne sait plus où poser son regard.»
Michelle est estomaquée au fur et à mesure quelle reconnaît ceux qui lentourent. Elle ne songe pas quelle est nue au milieu de nous. Je mapproche le premier pour lembrasser.
« Je tai reconnue aussitôt et dis-toi bien qui nous tavions refusée ce soir, je me serai charger bientôt de toi !
Petit malin ! Si tu me lavais proposé avant je ne taurais pas dis non ! Dailleurs quand je tai dragué tu na rien fais ! Je croyais que tu ne me trouvais grosse. Que je ne te plaisais pas
Salope ! Tu mexcitais déjà. Je te rappelle que quand tu mas chauffé avec ta cuisse, tu es partie ensuite avec ton collègue en me laissant en plan !
Ah ! Tu as remarqué ? Il fallait dabord que je me débarrasse de lui, mais au retour, tu nétais plus là !
Je ne pensais pas que tu reviendrais vite. Mais bon, le principal est quaujourdhui tu es là et je crois que je, que nous allons nous régaler avec toi, et je ne parle pas des futurs invités ! Dis-donc, Ça t'intéresserait de la jouer un peu la dominatrice ?
Pourquoi tu dis ça ?
Avec ton physique et des accessoires ad hoc, je suis sûr que tu aurais du succès !
Eh bien dis-donc ! Mais... pourquoi pas ! Pour linstant il faut que je fasse un peu connaissance et là, je dois dire que je suis surprise ! Madame de Brassac Je naurais jamais
Ici on mappelle Geneviève. Je vous choque ?
Non ! Je suis étonnée ! Vous
Oui. Je sais. Jespère que vous nêtes pas déçue ?
Tu verras, dis-je, que ma belle-mère est une sacrée salope et quelle risque de te surprendre encore plus.
Cest vrai que cest ta
belle-mère ! Tu
Tu traite ta belle-mère de salope !... et tu
la
?
La baise ? Oui ! Et même si aujourdhui elle nest plus vraiment ma belle-mère, cela nous excite de continuer à nous appeler ainsi.
Cest sûr ! Je nen reviens pas ! Et toi Pauline. Si jaurais pensé !
Ne me juge pas
Mais non !
Vous vous rendez compte tout de même que je découvre un monde totalement inconnu. Jaurais dû me douter quavec Jacqueline, tu devais être dans le coup mais je ne timaginais pas que
Cest un peu compliqué, on texpliquera. En attendant on va te présenter tout le monde »
Michelle, toujours nue passe devant chaque membre du groupe. Elle est très intéressée par le couple Irène et Gérard, ainsi que par Marlène. Elle se rappelle ensuite de Yves et donc de sa « pauvre » femme. Une fois fait le tour, nous trinquons bien sûr à la nouvelle salope intégrant le groupe. Michelle se pavane nue sans manifester la moindre gêne, au milieu de nous qui sommes habillés pour une fois,. Son port altier en impose. Parfaitement à laise, elle discute comme si de rien nétait.
Je fais un petit signe à Gérard et mapproche delle. Jen profite dailleurs pour entourer sa taille, la caresser et la peloter. Elle sourit et se colle un peu plus à moi.
- « Avant daller plus loin, il faut quon arrange un peu ton buisson. Viens tallonger sur lestrade. »
Nous encadrons Michelle et linstallons. Irène, qui adore ça, dépose la crème dépilatoire pour dessiner une bande de trois centimètres verticalement entre le nombril et louverture au dessus du vagin. Elle en profite pour nous demander de relever les jambes de la femme et enduit le périnée et lentre fesses. Je demande à Yves de me remplacer pour prendre des photos de lopération.
Discrètement, Marlène me demande si elle pourra lécher sa moule une fois lopération terminée. Jacquiesce et la vieille cochonne se déshabille. Jen profite pour faire de même et en attendant la fin de lépilation, Marlène me suce.
Nous nous sommes placés de telle façon que Michelle puisse nous voir pendant lopération « débroussaillage » Jadore toujours cette sensation extraordinaire de sa pipe édentée et pendant que les autres saffairent je lui promets de la baiser pendant quelle bouffera la chatte de notre nouvelle amie.
Ça y est, la toison de Michelle est bien nette maintenant. Une bande extrêmement érotique orne son bas ventre dégageant son vagin et son clitoris qui pointe au sommet. Marlène se précipite à genoux. Sinstalle bien sur les coussins et applique sa bouche sur la chatte déjà brillante de Michelle.
Gérard soutien la tête de Michelle afin quelle voit la vieille à luvre. Cest la première fois quune femme lui lèche la chatte et en plus une vieille femme de plus de quatre vingt ans ! Michelle a lair dapprécier la langue de notre doyenne. Elle me découvre également en train de prendre cette dernière en levrette, les énormes seins ballottant sous son torse. A sa droite elle voit Geneviève qui sest rapidement débarrassée de ses habits. Michelle dira plus tard que sur le moment elle a eu du mal à la reconnaître. Ma belle-mère a interpellé Yves pour lui tailler une pipe avant dit-elle quil ne lui « défonce sa vieille moule ». Michelle est abasourdie dentendre ce langage ordurier dans la bouche de cette dame de la haute société catholique et puritaine.
De leur côté, Jacqueline et Pauline se retrouvent tête bêche. Irène et Gérard sont un peu esseulés aussi je propose à Marlène de changer de partenaire et daller pomper le petit sifflet de Gérard et quIrène vienne prendre sa place afin que je lencule sous les yeux de son mari.
Tout ceci est bien sûr énoncé à haute voix afin que Michelle soit consciente de ce qui se passe. Je ne sais pas jusquà quel point elle a suivi car la langue dIrène est très efficace et notre nouvelle compagne est vite « montée dans les tours » pour jouir bruyamment, bientôt suivie par sa lécheuse se régalant du jus sécoulant de la chatte.
Nayant pas moi-même éjaculé, je décale Irène et viens embrocher Michelle. Elle ouvre les yeux aussitôt en sentant une bite dans sa chatte et sourit en me découvrant. Elle ouvre ses bras pour me presser contre elle.
Michelle est très musclée et son étreinte me plaque sur son torse. Dune main elle prend ma tête et membrasse voracement. Ce nest plus moi qui dirige la manuvre. Je ne suis quun fétu de paille entre ses bras puissants. Ma seule force est ma queue qui la travaille. Malgré sa taille et sa carrure, Michelle se révèle très souple et relève ses jambes pour me permettre une pénétration plus profonde.
Déjà bien travaillée par la bouche de Marlène et dIrène, elle ne tarde pas à atteindre un deuxième orgasme en quelques minutes et me relâche. Jen profite pour labandonner et faire signe à Yves de me remplacer.
Aussitôt, il se couche sur la femelle et la baise comme un furieux avec des « han » de bûcheron. Manifestement il apprécie cette femme.
Pendant ce temps, jéquipe Geneviève dun gode ceinture. On sembrasse alors que je titille bien sûr ses tétons, ce qui la fait mouiller abondamment. Elle prend la place dYves entre les cuisses de Michelle et la pénètre dun coup. Cette dernière ouvre de grands yeux en voyant ma belle-mère la chevaucher. Cette femme si « bien comme il faut » est une véritable débauchée. Cest une autre personne que celle quelle connaît et celle-là lui plaît. Elle nest pas au bout de ses surprises ! Quand, passant derrière Geneviève jenfile ma queue dans lorifice disponible, ma belle-mère entre en transes.
- « Oh oui ! Mon salaud de gendre ! Enculez-moi ! Je suis une pute ! Votre pute ! Jaime votre queue dans mes fesses ! Et cette femme est un vrai bonheur ! Cest bon de baiser comme Ça ! Oui ! Allez-y ! Défoncez-moi ! Enculez-moi ! Baisez-moi ! Je vais jouir ! »
Bien sûr elle arrose Michelle de son jus abondant. Enfin, notre nouvelle adepte hurle à son tour le plaisir ressenti.
Le calme revient dans la pièce. Tout le monde est nu ou en sous vêtements sexy. Michelle est étalée sur le grand matelas de lestrade, centre de nos turpitudes. Elle arbore un sourire béat. Elle a brillamment passé son épreuve de sélection. A découvert de nouveaux plaisirs et aussi les personnalités secrètes de quelques connaissances. Couverte du jus de Geneviève et du sperme dYves qui sest fini sur son visage et son torse, elle empeste le foutre, mais est heureuse.
Gérard, qui na pas perdu le nord, fait descendre alors le grand écran quil a installé et projette le film de nos ébats, quil vient denregistrer. Chacun peut y voir latmosphère surréaliste de notre corps à corps. Le port altier de Michelle ressort encore plus sur les images. Sa stature, son corps musclé aux formes pleines inspirent du respect.
« Geneviève, je ne vous connaissez pas sous ce jour et je peux vous dire que je regrette de ne pas lavoir connu plus tôt ! Vous mavez baisée comme jamais et il me tarde de boire à votre source en direct !
Tu es bien une salope, madame le maire ! Dis-je. Dès que nous le pourrons, nous allons te trouver une tenue de maîtresse et tu vas faire fureur !
Tu crois ?
Jen suis sûr ! Moi déjà, jai très envie que tu me domines et jai limpression que notre ami Gérard, à la façon dont il te regardait, est dans le même état desprit,.
Cest vrai mon chéri ? Demande Irène.
O
Oui, je crois bien !
Oh jaimerais tant te voir dressé par notre amie !
Et moi, vous moubliez ? » Michelle se retourne vers Geneviève qui vient de parler.
« Vous ? Vous voulez que je
Mais vous ne savez pas encore tout, mon amie. Mon gendre vous dira que je suis une vraie salope, grâce à lui dailleurs. Quil adore mhumilier, vous pouvez demander à nos amis ici présents. Mais sachez que moi-même, jadore me faire dominer et ce serait une joie que de lêtre par une femme telle que vous !
Eh bien ! Voilà une déclaration ou je ne my connais pas ! Dis-je. Il faut que tu saches, Michelle, que Geneviève a été longtemps la maîtresse dune jeune femme. Ma belle-mère est aussi ma soumise et je crois quelle bande pour toi en simaginant sous ta coupe, nest-ce pas salope ?
Je ne peux rien vous cacher ! Oui, jai envie de vous être soumise, Michelle. Jespère être à la hauteur de vos attentes. »
Cette première soirée avec Michelle sachève. Jacqueline la raccompagne. Geneviève et elle ont échangé leurs coordonnées pour un rendez-vous destiné à équiper la future dominatrice. Jai ma petite idée sur le lieu où nous allons nous rendre : le sex-shop que Pauline et Jacqueline fréquentent. Je sais quelles y sont retournées faire des achats, mais nont jamais avoué y avoir usé de leurs charmes autrement que pour obtenir des rabais.
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