Vacances Chez Ma Tante, 1Ère Partie
Je venais datteindre mes 18 ans et javais passé quelques mois difficiles suite à un accident. La rééducation avait été longue et difficile. Je pouvais enfin quitter définitivement le centre médical et reprendre une vie normale. Bien quayant suivi des cours dappui je navais pas réussi mes examens finaux et je devais patienter jusquà lannée suivante pour les repasser afin de pouvoir continuer mes études. Javais occupé lautomne lhiver et le printemps à faire des petits boulots à temps partiel pour me faire un peu dargent et ça me permettait davoir du temps pour réviser et étudier. Au printemps je métais réinscrit et javais finalement réussi mes examens. Je nétais de loin pas dans les premiers mais le plus important était fait.
Au début du mois de Mai ma mère me fit savoir que vu ma réussite elle moffrait la possibilité de passer de longue vacances chez sa sur. Ma tante habitait la maison familiale située en Sicile et en bord de mer. On avait lhabitude depuis de nombreuses années dy aller en vacances dété. Le soleil et la chaleur y étant toujours bien présents. Ma mère memmena donc jusquà laéroport et ne manqua pas de me donner ses dernières recommandations pour mon séjour. Comme ma tante travaillait jusquau début du mois de Juillet je ne devais pas être une charge pour elle et donc me comporter en adulte et laider en participant aux tâches ménagères ou autres quelles me délégueraient.
Ma tante me réceptionna donc à laéroport et, après 2 heures de voiture, nous étions enfin parvenus à destination. Comme cétait un samedi elle était donc libre pour le week-end. Après avoir posé mes bagages et pris une douche le moment de passer à table était venu et le repas fut pris en extérieur sur la terrasse. La température était déjà bien agréable et me changeait du climat Suisse. Comme à son habitude ma tante faisait toujours une sieste après les repas de midi. Jen fis donc de même et cest elle qui me réveilla 1 petite heure plus tard.
Le temps était doux et la mer peu agitée et personne en vue à part nous deux. On sinstalla au bas dune dune herbeuse et une fois en maillot on fila piquer une tête dans la grande bleue. Le soleil déclinait doucement et il était fort agréable de rester allongé sur nos linges pour profiter de cette douce chaleur. Tandis que nous discutions jobservais ma tante et pour la première fois je la voyais différemment que les années précédentes. Elle nétait pas très grande de corpulence mince et sa peau était déjà légèrement colorée par le soleil. Elle avait une petite poitrine mais on la devinait ferme, son ventre était plat et elle avait un fessier qui nétait de loin pas déplaisant à mater. Lorsquelle reparti se baigner seule une seconde fois je visualisai que lintérieur de ses cuisses ne se touchaient pas et que dans le tissu de son maillot une fois mouillé la forme de sa vulve se révélait un peu.
Nous papotions tranquillement quand jentendis au loin des voix. Un groupe de personne était arrivé et sinstalla à bonne distance de nous. Ma tante devait les connaître car ils échangèrent un signe de salutation. Je ne fis pas autrement cas de leur présence mais quand je les regardai à nouveau ils se dirigeaient vers la mer et ce qui me surprit fut quils étaient totalement nus.
Ma tante remarqua mon étonnement et me demanda si cela me choquait de les voir ainsi. Cela ne me choquait pas mais me surprenait. Ma tante mexpliqua quelle les connaissait car elle avait été à lécole avec certains dentre eux. Et dans la foulée elle mavoua quelle aussi pratiquait le naturisme.
Durant toutes les années précédentes je naurais jamais imaginé ou soupçonné que ma tante fasse du naturisme.
Comme elle avait abordé le sujet elle me demanda si cela me gênerait durant mon séjour quelle pratique le naturisme comme elle le faisait habituellement ? Car dès que la température sy prêtait elle déambulait nue tant dans la maison que à lextérieur dans le jardin, qui était à labri des éventuels regards indiscrets du voisinage.
Jétais un peu pris au dépourvu par sa question. Ce nest pas que cela me choquait mais jétais un peu gêné et je me voyais mal lui dire quelle devait sen abstenir durant tout mon séjour. Je lui donnai donc une réponse positive tout en ne sachant pas comment jallais vivre cette situation. Je précisai toutefois que je nenvisageais toutefois pas de me mettre moi aussi nu. Pour elle il était évident que cela allait de soi et quelle respecterait mon choix. Elle me dit que lon ferait un test sur quelques jours et que si cela me posait problème elle ferait en sorte de limiter au minimum voir éviter tout naturisme en ma présence ou sans mon consentement. Sur ces bonnes paroles ont pris le chemin du retour. La soirée se passa tranquillement sans naturisme car le fond de lair était un peu frais.
Le soir allongé dans mon lit jétais un peu dans le doute ne sachant pas à quoi mattendre lorsque je la verrais le lendemain matin. Mon questionnement se transforma peu à peu en des pensées un peu plus excitantes et je ne tardai pas à bander. Je glissai ma main sous le drap et commençai à me branler. Je neus pas besoin de mastiquer la bite longuement pour que je soulage mon excitation avec quelques bonnes giclées de sperme jouissives
Le lendemain matin ce fut la bonne odeur du café provenant de la cuisine qui me titillant les narines me réveilla. Je me levai un peu inquiet et incertain de la tenue dans laquelle jallais la trouver. Je fus soulagé en arrivant dans la cuisine de la trouver habillée de manière légère, jupe et blouse.
Faisant suite à la discussion du jour précédent elle me demanda toutefois si cela me dérangeait quelle sinstalle nue au soleil ? Je lui répondis avec certainement un peu de stress dans la voix que non.
Elle installa donc son transat en plein soleil mais un peu à lécart de moi. Je mefforçai de rester serein mais, je ne pouvais éviter de jeter de temps à autre un regard au-dessus de mon bouquin dans sa direction. Elle retira son peu de vêtements avant de senduire de crème solaire. Elle sétait mise de profil par rapport à moi pour certainement être le plus pudique possible pour ensuite sallonger. Mais le simple fait de lobserver ainsi faisait déjà gonfler mon pénis. Jétais dissipé et je navançais pas rapidement dans ma lecture, étant perturbé par la vision de sa nudité. Ses seins effectivement nétait pas très grand mais était bien fermes et, au centre de ses aréoles, ses mamelons pointaient tout aussi fermement. Quant à son entre-jambe, que parfois japercevais quand elle changeait de position, il lui manquait la majorité de sa pilosité pubienne et ce qui en subsistait formait comme une frontière qui entourait sa vulve rebondie doù émergeait ses petites lèvres. Jétais au supplice de pouvoir ainsi lobserver et je sentais que de la mouille dexcitation séchappait de mon pénis sous tension et en imbibait mon slip. Le temps passant je mhabituai un peu à la situation et, jarrivai à me concentrer sur ma lecture, tandis que mon pénis se mettait calmement au repos.
Au bout dun certain temps elle se leva pour aller se chercher une boisson et en passant près de moi elle me demanda si jen voulais également. Sans lever le nez de mon livre japprouvai sa demande. Elle revint de la cuisine avec un pichet de citronnade bien frais ainsi que deux verres quelle déposa sur la table de jardin ou elle sinstalla et qui était disposée sous lombrage dun arbre. Elle en remplit les deux verres et je fus bien obligé de me lever et de my déplacer pour me désaltérer. Je massis sur le siège libre et tandis que nous papotions javais de la peine à détacher mon regard de sa poitrine. Je mimaginais bien quelle sen apercevait mais elle nen montra pas le moindre signe éventuel de gêne. Elle fut la première à se lever et à retourner sallonger. Elle sallongea sur le ventre et elle me surprit en minterpellant et me demandant si je voulais bien lui enduire le dos de crème solaire. Jétais bien embêté par sa demande mais lui opposer un refus me semblait comme lui avouer que sa nudité me troublait. Je répondis donc favorablement à sa requête et cest dune main tremblante que je lui enduisis le dos, de ses épaules jusquà la courbe naissante de son fessier. Ce simple fait suffit à remettre en émoi mon pénis qui, heureusement, était bien enfermé et retenu dans mon slip et short. Heureusement que javais eu la précaution de ne pas mettre mon maillot de bain car sinon il aurait été bien difficile de cacher la bosse de tension qui sy serait développé. Elle me remercia et je retournai minstaller sur mon transat avec les idées un peu troublées et un pénis en ébullition. Le temps passant il se calma et la matinée se termina avec plus de sérénité et de relâchement. Quand ma tante quitta à nouveau son transat ce fut pour aller se doucher et préparer le repas. Tandis quelle se douchait je me levai et installai sur la table le nécessaire pour le repas. Elle revint de la douche avec juste une robe de coton légère qui lui collait un peu sur sa peau encore humide. Le repas pris elle partit faire sa sieste tandis que moi je moccupais de desservir la table et moccuper de la vaisselle.
Quand jeu terminé les tâches ménagères je remontai dans ma chambre pour également profiter dune sieste. Je me rafraîchis sous une douche rapide pour ensuite mallonger sur le lit. A peine allongé des images et sensations érotiques menvahirent, entraînant immédiatement la mise sous tension de ma virilité. Je saisi ma queue durcie et, commençai à me masturber avec lenteur, je ne voulais pas décharger trop rapidement. Des pensées érotiques traversaient mon esprit tandis que je visualisais mentalement la nudité de ma tante. Je ne sais ce qui me prit à cet instant mais je me levai et allai sur le balcon. Celui-ci courait sur toute la longueur de la façade et nétait pas visible du voisinage, ma chambre tout comme celle de ma tante y avait accès. Dans un état presque second et mon pénis érigé droit devant moi je me dirigeai précautionneusement vers la chambre de ma tante. En mapprochant jentendis comme un murmure qui en provenait. Je me fis le plus discret possible et plus je mapprochais plus ce murmure se transformait en râle jouissif. Le store vénitien en bois était baissé à mi-hauteur, les lamelles entre-ouvertes, je penchai ma tête et glissai un regard que jespérais discret entre les lamelles.
Japerçus alors ma tante nue allongée sur le dos avec ses cuisses relevées et écartées et, à lintérieur desquelles, ses mains caressaient sa vulve et son clitoris. Cette vision et ses râles raidirent encore davantage ma queue dado et un jus dexcitation perlait de mon gland gonflé et rougeoyant. Jamais je navais été autant excité et, dune main je mactivais sur ma queue tandis que de lautre je me palpai le paquet couillu. Javais le regard et lesprit totalement absorbé dans la vue de cette chatte mature qui se faisait câliner. Une main cessa ses caresses et ses doigts écartant les petites lèvres ouvrirent le passage pour que de les doigts de lautre main sinsinuent et envahissent le vagin en y imprimant des mouvements de vas et viens de plus en plus soutenus. Je me calquai inconsciemment sur le même rythme et jaugmentai la pression de mes doigts autour de ma queue raidie. Je ne tins pas longtemps et quand la jouissance arriva je déchargeai de longues giclées de foutre qui allèrent arroser le sol. Tandis que ma queue débandait lentement de sa rigidité ma tante se cambra sur son lit et relevant ses fesses elle jouit dans un râle qui fit frissonner tout son corps et qui en disait long sur sa jouissance. Je repris lentement mes esprits tandis que, du bout de ma queue ramollissante, perlait le dernier filet de découille qui sétirait jusqu à mes pieds. Ce fut à cet instant que je pris conscience que je métais aventuré bien en avant dans lencadrement de la porte fenêtre. Je reculai précipitamment en espérant que ma tante, prise dans son excitation, ne mait pas aperçu et aussi quelle ne sorte pas sur le balcon trop tôt, ce qui me laisserait éventuellement du temps pour aller discrètement nettoyer les taches de ma jouissance. Je retournai dans ma chambre, me laissai tomber sur le lit, et plongeai dans une sieste reposante et revigorante.
Lorsque jémergeai de la sieste tout était calme. Jallai vérifier létat des traces sur le balcon et je fus rassuré que lon ny voyait rien pour autant que lon ne sache pas ce qui sy était passé. Par la même occasion je constatai que ma tante était encore en sieste. Pour ne pas faire de bruit je me refusai une douche rafraîchissante et je me contentai dun rinçage rapide de mon organe reproducteur avant denfiler mon maillot de bain et de descendre au jardin rejoindre mon transat.
En cet instant je me sentais allégé de toute tension dordre sexuel et métant installé dans un coin ombragé je me surpris à lidée de retirer mon maillot pour mallonger nu sur le transat. Je me questionnais sur le fait de laisser tomber cette protection textile et de me retrouver nu en plein air au risque de mexposer au regard de ma tante. Je cogitai ainsi pendant un moment pour finalement prendre sur moi et retirer mon maillot me retrouvant ainsi nu comme au premier jour. Je mallongeai sur le transat et repris ma lecture. Étonnamment lentier de mon corps, et non pas seulement mon intimité nouvellement mise à lair, percevait lespace qui lenvironnait dune manière différente, une douceur générale semblait menvelopper dans un cocon soyeux, je me laissai emporter tant dans ma lecture que par cette douce sensation sans voir le temps passer. Ce fut un léger bruissement qui me fit lever les yeux de mon bouquin et tourner la tête dans la direction doù il provenait. Je constatai à cet instant que ma tante, ayant également terminé sa sieste, revenait sinstaller au jardin et sapprochait en totale nudité. Un large sourire éclairait son visage et je supposais quil était provoqué par ma vision allongé nu sur le transat. Je me senti tout dun coup presque pris de panique mais surtout très gêné de la situation.
Je supposai, mais à tort, quelle allait à nouveau sinstaller au soleil. Mais au lieu de cela elle vint avec son transat sinstaller sous lombrage toute proche de moi. Javais la sensation que mon visage devait être rouge de gêne et que cela devait être bien trop visible, tandis que mon sexe lui, semblait se recroqueviller pour quasiment vouloir disparaître comme un escargot dans sa coquille. Elle fit encore quelques allés et venues pour installer la table basse et y déposer de la boisson ainsi que des fruits avant de sinstaller sur son transat avec elle aussi un bouquin. Toutefois avant de se lancer en lecture elle me fit part verbalement de son approbation au fait que je me sois ainsi mis nu, mais que en aucun cas je ne devais my sentir obligé. En rougissant à nouveau, je bredouillai que en aucun cas je ne my sentais obligé et, que cétait une expérience à faire au moins une fois pour, selon lexpression, ne pas mourir idiot. Ma réponse eue au moins pour effet de faire apparaître à nouveau sur son visage un large sourire.
Le temps passait agréablement dans une douceur agréable et je me sentais de plus en plus serein dans cette nouvelle situation. Peu à peu je me relaxai et jen arrivai même à oublier que jétais totalement nu. Étonnamment mon intimité elle aussi se détendit et repris des proportions plus naturelles sans pour autant que cela ne maffecte.
Vers la fin daprès-midi, le soleil déclinant, ma tante changea à nouveau demplacement pour sinstaller sous ses rayons. Jhésitai à la suivre, car je mimaginais bien que si je minstallais comme elle au soleil il serait indispensable que je me protège avec de la crème solaire et, je me voyais mal menduire de crème devant elle et surtout dans une certaine zone. Toutefois je me motivai et pris sur moi de franchir cette étape. Advienne que pourras me dis-je et assume. Tandis quelle-même se crémait à nouveau je déplaçai mon transat non loin delle et lorsque elle eut fini de se protéger elle me transmit simplement le flacon de crème et, tout en remettant ses lunettes solaires elle sallongea sur son transat pour reprendre sa lecture. Je menduisis de crème le plus rapidement possible tout en laissant pour le final mes parties intimes, je ne voulais pas risquer le cas échéant de lui offrir la vue dun début ou dune érection, ou alors dune façon la plus brève possible. A peine terminé de men enduire la zone sensible celle-ci avait déjà pris du volume et, ce fut plus que rapidement, que je mallongeai de manière à lui cacher cet émoi. Je repris ma lecture et peu à peu je me détendis à nouveau me sentant à nouveau serein et en toute quiétude. Le rayonnement solaire était agréable à ressentir et javais limpression que chaque pore de ma peau labsorbait pour sen abreuver. Les sensations que je ressentais me donnaient limpression dêtre sur un nuage bercé par une douce brise câline. Jen perdis un peu la notion de la réalité et sombrai dans un état entre léveil et le sommeil. Lorsque jémergeai de ce qui me semblait être une douce rêverie je constatai que ma virilité sétait largement réveillée et sexhibait fièrement et outrageusement allongée sur mon bas ventre, tandis que mon paquet couillu, gorgé de chaleur, sétait distendu et pendouillait avec ses occupants entre mes cuisses.
Mes pensées se bousculaient, quelle attitude devais-je adopter ? Je pris sur moi de ne pas réagir avec trop de rapidité en cherchant à tout prix de cacher cet état de fait et me disant que cela nétait pas motivé par une excitation sexuelle mais à cet état de béatitude que javais ressenti. Donc ma tante devait sans doute être consciente de cela et, ne men tiendrait pas ment rigueur. Par chance, durant ce court laps temps de réflexion, mon organe avait déjà repris une attitude et une dimension plus convenable, sauf que mon paquet couillu lui, restait toujours autant distendu du fait du rayonnement solaire qui le chauffait. Ma tante elle, me semblait toujours absorbée dans la lecture de son bouquin. Avait-elle remarqué mon état turgescent passager ? Pourquoi me poser la question, la réponse étant autant évidente que lexposition de ma bandaison.
La fin de journée approchait et donc le moment de préparer le repas soir. Nous prîmes celui-ci dans le jardin en profitant de la douceur de lair. Toutefois tant pour la préparation du repas que pour le repas nous avions remis le strict minimum de vêtements nécessaire. Et alors quen temps normal à la maison nous serions toujours habillés de la tête aux pieds ici, le fait de nêtre quen sous-vêtements et en compagnie de ma tante ne me troublait pas.
En fin de repas au moment du café ma tante a abordé le sujet de mon essai de naturisme de la journée. Elle était intéressée à connaître mon ressenti sur cette première journée bien particulière pour moi.
Je lui dis que le matin je ne métais senti pas trop à laise et même un peu honteux de lapercevoir nue. Et pour être honnête je lui ai avoué que javais aussi eu des réactions dexcitation à certains moments.
Bien évidemment je ne fis aucune allusion sur ce qui sétait passé durant la sieste.
Pour ce qui en était de laprès-midi, avant quelle narrive de la sieste, bien quayant été très mal à laise au début de me retrouver tout nu, même en étant seul cétait ma première fois en plein air, javais toutefois ressenti des sensations très agréable. Et que quand elle était arrivée elle aussi nue javais été très stressé. Toutefois le temps passant le côté très agréable de cette nudité avait pris le dessus sur mes appréhensions initiales. Dans lensemble cétait une découverte positive. Au final je tenais toutefois à mexcuser si dans laprès-midi elle avait pu constater de ma part un comportement inadéquat voir offensant pour elle, lorsque je métais retrouvé en érection sans le vouloir, pour cela je mexpliquai un peu plus sur ce que javais ressenti comme sensations à ce moment-là et qui navaient rien à voir avec une excitation - exhibition qui aurait été purement sexuelle. Je ressentais le besoin de me dédouaner par avance si elle aurait trouvé cela incorrect voir offensant.
Après mavoir écouté elle me rassura avec un grand sourire et me dit quen aucun cas elle navait trouvé cela offensant pour elle de voir que javais eu une érection. Et elle savait pertinemment, depuis le temps quelle faisait du naturisme, que cela était inhérent au sexe masculin et se produisait sans que cela soit dû ment à une quelconque excitation sexuelle. En plus javais linconfort de la jeunesse ou cela est plus expressif tout en étant toutefois involontaire. Et si toutefois je décidais de continuer lexpérience je naurais pas à en avoir honte ou à men excuser vis-à-vis delle. Si tu persiste sur le chemin du naturisme tu verras quavec le temps ces états involontaires seront de plus en plus espacés. Et pour être également honnête vis-à-vis de toi, jai bien remarqué ton érection involontaire et ça ne ma pas été désagréable du tout de le voir et tobserver ainsi en érection dans ton demi sommeil, dautant plus que à ce que jen ai vu tu es déjà bien équipé. Et jespère ne pas te choquer en te disant cela quand bien même je suis ta tante. Avec ces bonnes paroles elle ma gratifié dun large sourire et dun clin dil complice, tandis que pour moi les joues en feu, mon visage devait avoir viré au rouge carmin en entendant ce commentaire. Et je dois dire que dans mon slip un autre élément devint en feu, heureusement quil se calma rapidement sinon jaurais eu du mal à cacher cet état de fait si javais dû quitter la table à ce moment-là.
Ensuite la discussion est revenue sur des sujets plus courants pour finalement se terminer sur mon emploi du temps pour laide à lui apporter. Emploi du temps quelle ne chargea pas beaucoup étant donné quelle travaillait à mi-temps elle serait déjà de retour à la maison pour le repas de midi. Et lorsque plus tard nous sommes partis nous coucher et quà la porte de ma chambre elle me souhaita la bonne nuit je ressenti dans ses mots comme un sous-entendu subtil. Allongé sur mon lit en attendant le sommeil je fantasmais sur sa chatte et je bandais dur. Je me fis une bonne branlette et jenvoyai ma découille imbiber les draps pour ensuite mendormir comme un bienheureux.
Le lendemain matin quand je me réveillai elle était déjà partie au travail et après mon déjeuner je mattelai aux tâches ménagères que je devais effec. Une fois celles-ci terminées il me restait encore quelques heures à disposition avant son retour. Le soleil réchauffait déjà latmosphère et je minstallai confortablement au jardin allongé nu sur mon transat. Comme ce nétait pas cuisant je me mis bien au soleil et ne pris pas la peine de me protéger avec de la crème, erreur fatale. Quand elle revint du travail jétais toujours allongé sur mon transat mais endormi. Lorsquelle me réveilla elle était assez hilare. Je nai pas tardé à comprendre ce qui lamusait tant quand je ressenti le picotement de ma peau, jétais cuit et de couleur rosé comme une crevette sur toute ma surface arrière, je métais endormi en position ventrale. Je nosais pas imaginer ce que cela aurait été si cétait sur lautre face que je métais endormi. Ma tante me dit de rester ainsi allongé tandis quelle allait chercher de la pommade pour calmer mon coup de soleil. De retour elle commença par me pommader le dos avant déviter mon fessier et de continuer par mes mollets avant de remonter sur mes cuisses puis sur mon fessier. Pour cela elle mavait fait écarter légèrement les jambes et, tandis quelle me tartinait les fesses elle passait délicatement les mains le long de ma raie pour ensuite glisser sur lintérieur de mes cuisses. A un moment donné ses mains devinrent plus inquisitrices et ses doigts vinrent effleurer mon paquet couillu
Non seulement jétais échaudé par leffet du coup de soleil mais en plus de cela sajoutait léchauffement de son traitement, et celui-ci ne tarda pas à me mettre la queue au garde-à-vous et comme elle nétait pas positionné sous moi mais entre mes cuisses je lui offrais ainsi une vue dégagée sur mon paquet de couilles et ma bite toute raide. Je sentis ses doigts effleurer délicatement ma queue raidie avant quelle nen termine et retourne en cuisine préparer le repas. Je mis un certain temps avant de me lever ce qui permit à mon anatomie de reprendre une position plus relaxée. Je me questionnai de savoir si ses effleurements subtils étaient accidentels ou pas, dans le doute je penchai pour le mode accidentellement voulu
Vu létat de mon fessier elle me dispensa de mettre un slip pour le repas. Jeu un peu de peine à rester assis pour le repas et celui-ci aussitôt terminé je me remis prestement debout. Je moccupai de la vaisselle tandis quelle allait dans sa chambre pour sa traditionnelle sieste. La vaisselle rangée jallai mallonger sur mon lit dans la seule position permise, donc ventrale. La pommade faisait son effet tout comme le courant dair propulsé par le ventilateur judicieusement dirigé sur mon fessier. Je somnolai ainsi un moment et ce fut le bruit de la douche qui me réveilla. Quand celui-ci cessa ma tante vint glisser sa tête dans lentrebâillement de la porte et me voyant réveillé me conseilla daller également me rafraîchir et principalement mon côté dorsal. Ce que je fis tandis quelle allait sinstaller encore toute humide de sa douche sur son transat. Je restai un bon moment sous une douche fraîche avant daller moi aussi encore tout humide minstaller au jardin. Ou je minstallai bien à lombre. Allongé sur le ventre ce nétait pas ma position préférée pour bouquiner et au bout de quelques minutes je cessai ma lecture. Doù jétais je pouvais observer ma tante allongée mais de profil. Au bout dun certain temps elle se leva et déplace son transat ce qui fit que maintenant je la voyais de face mais toujours allongée. Le temps passant et à chaque fois quelle se retournait javais une magnifique vue sur son entre-jambe. Et à cela sajoutait le fait quil me semblait quavec chaque retournement quelle effectuait ses jambes restaient à chaque fois plus écartées. Et ce nétait pas et de loin, un effet de mon imagination. Javais maintenant en face de moi une vue totalement dégagée de son entre-jambe ou, dans le final du triangle que formait ses cuisses, sexposait à ma vue son excitante vulve ainsi que son pti trou que, ses petites fesses rondes et fermes, ne pouvait pas dissimuler. Ma queue sétait érigée sous lafflux sanguin provoqué par cette vision excitante. Puis petit à petit cet espacement alla decrescendo et il en alla de même de mon excitation. En milieu daprès-midi elle alla se rafraîchir sous la douche et quand elle revint encore ruisselante deau elle mindiqua dun petit signe que je ferais bien den faire de même. Je suivi son conseil sans attendre me doutant quelle était plus compétente que moi pour cela. De retour de la douche je la trouvai allongée en position ventrale. Arrivant près delle elle me demanda si je voulais bien lenduire de crème. Je ne pouvais lui refuser ce service après les bons soins quelle mavait prodigué et je trouvais que cétait un échange de bons procédés. Je commençai par lui en enduire les bras et les épaules, avant de descendre le long de son dos en faisant le choix tout comme elle me lavait fait, de marrêter à la lisière de ses fesses. Ensuite je me déplaçai afin de continuer en lui enduisant les mollets puis en remontant le long de ses jambes et cuisses, pour finalement lui enduire ses petites fesses fermes et tout comme elle me lavait fait ,me permettre de glisser mes doigts le long de sa raie, dans laquelle était visible son petit trou dune teinte subtilement brun pâle. Puis de glisser mes mains de part et dautre de sa vulve pour revenir sur lintérieur de ses cuisses. Jétais assis sur le bord du transat à hauteur de son fessier et, tandis que je lui étalais ainsi avec volupté de la crème sur ces zones érogènes, je ressenti imperceptiblement ses cuisse sécarter comme pour minviter à être plus entreprenant. Ma queue sétait déjà dressée bien raide et mon gland palpitant me démangeait. Je glissai plus audacieusement mes mains le long de sa vulve pulpeuse et la lui caressai avec douceur. Puis je glissai mes doigts sur le côté de ses petites lèvres et les écartai délicatement. Et tandis que je lui écartais ses petites lèvres je voyais apparaître sa chair couleur rosée de son entrée vaginale qui brillait sous lafflux de sa mouille. Tandis que je caressais cette douce vision je senti sa main se poser sur ma cuisse et la parcourir jusquà arriver à la racine de ma queue puis, enserrer celle-ci délicatement entre ses doigts pour remonter lentement le long de mon membre palpitant et venir tâter le bout de mon gland et y trouver ma mouille puis, tirant délicatement sur mon prépuce, elle décalotta complètement mon gland et, récoltant ma mouille, elle len enduisit faisant glisser ses doigts sur le pourtour de ma couronne. Javais un mal fou à me contenir mais je mobligeai à me détourner des sensations que je ressentais pour me concentrer et mappliquer à lui caresser la vulve et lentrée de son vagin. Sa respiration devenait plus lourde et elle cambra davantage son fessier. Jaccentuai et accélérai alors mes mouvements. De sa chatte baveuse sécoulait un mince filet de mouille que jétalais par mes mouvements sur toute sa vulve qui, elle, sétait moelleusement gonflée sous leffet de lexcitation. Javais également une vue totalement dégagée sur son petit trou qui semblait me regarder et, donnait limpression de respirer au même rythme que lexcitation. Cette douce couronne teintée semblait respirer au même rythme que létat dexcitation et parfois sentrouvrait laissant apparaître en son centre un trou noir dans lequel je mimaginais y glisser ma raideur. Sa main relâcha son étreinte et quitta mon membre engorgé de sang. Elle roula sur le côté et se retrouva ainsi allongée sur le dos et, relevant ses cuisses et les écartant, elle me fit part de son envie dêtre pénétrée en me susurrant :
- Glisse-moi ta queue dans la chatte
Je ne pouvais refuser une telle invitation et, me relevant je me glissai entre ses cuisses et, tandis que mon gland venait buter sur sa vulve, elle me saisit la queue et frottant mon gland sur ses petites lèvres elle les entrouvrit tout poussant son bassin en avant elle sintroduisit alors ma queue dans son nid de jouissance. Je commençai des vas et viens tout en regardant ma queue qui se recouvrait de sa mouille baveuse et blanchâtre. Dune main elle câlinait le capuchon de son clito duquel émergeait son bouton damour rosé. Je devais me concentrer pour aller et venir en elle sans trop me précipiter ne voulant pas précipiter mon éjaculation. Elle me guidait dans son désir-plaisir et retirant ma queue de sa chatte, elle déposa mon gland baveux de mouille sur son clito tout en le maintenant pressé dessus et lagitant de droite à gauche pour se branler son bouton damour. Jobservais et profitais des sensations que cela me procurait quand soudain elle se cambra et secouée dun spasme violent elle jouit en laissant séchapper des giclées de mouille de sa chatte. Javais déjà vu des éjaculations féminines mais seulement en vidéo et vivre cela en vrai, son jus éclaboussant mes organes génitaux fit que je ne pus me retenir bien longtemps tellement cette vision et sensation mexcita. Mon paquet couillu se resserra et mes couilles remontèrent se coller à la base de ma queue pour se vider en expulsant ses giclées de jouissance. Je giclai si fort que mon premier jet atterrit sur ses seins et puis, tandis que je me vidai et la pression diminuant, mes jets furent plus court et mes derniers écoulements se répandirent sur sa vulve en se mélangeant a son propre jus de jouissance. Nous étions tous deux à bout de souffle avec nos organes génitaux tout baveux de nos éjaculations réciproques. Il nous fallut quelques minutes pour pouvoir reprendre nos esprits et calmer les palpitations de jouissances. Agenouillé entre ses cuisses je regardais ma queue ramollie, mais encore gonflée, reposant sur sa vulve le tout lubrifié par le mélange de nos éjaculations. Une envie irrépressible me saisit et je reculai pour pouvoir ainsi abaisser mon visage entre ses cuisses, et me mettre à lécher notre mixité déjaculats, nettoyer sa vulve et me gorger de ces jus damours odorants. Cela du bien lui convenir car, lorsque jen eu terminé, cest elle qui sasseyant sur le rebord du transat me fit comprendre par un geste de me mettre debout devant elle. Sapprochant alors de mon bas ventre elle le lécha pour ensuite gober et sucer ma queue flasque et terminer en me léchant le paquet couillu.
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