Une Histoire Inattendue 3
UNE HISTOIRE INATTENDUE 3 : Confirmation.
Le lendemain quand je me lève, je trouve Sandra, vétue dun short et dun débardeur rose, en train de mettre la table du petit déjeuner. Dans la salle de bain, la machine à laver tourne.
-« Bonjour mon dormeur ! bien récupéré ? » dit elle en venant me claquer un bisou rapide.
-« Oui, je me suis couché tôt, jai fait pas mal de sport hier, jétais crevé. »
-« Jai vu ça, je suis déjà aller acheter du pain et des croissants, et je tai préparé ton café. Ah jai lancé une lessive aussi.
-« Super, et toi, cétait comment ? Jean-Pierre et Hélène vont bien ? »
-« Oh, tu sais ils vieillissent, on a rien fait dextraordinaire, Un petit resto dans Biarritz, et ensuite, on est rentré faire un scrabble. »
-« Je ne tai pas entendue, tu es rentrée tard ? »
-« Non, vers les minuit, je pense. »
En fait elle est rentrée à deux heures et demie.
Je bois mon café en silence, Le petit déjeuner est un repas important pour moi. Le store est baissé, et nous fait de lombre, car à 9h30, il fait déjà chaud.
-« Il va faire beau aujourdhui encore. Jai envie daller à la plage. Ça te dit ? »
Elle a posé la question, presque innocemment, mais elle sait que je naime pas rester longtemps à rotir au soleil.
-« Je veux bien venir me baigner, mais je ne resterais pas longtemps. Jai déjà attrapé un coup de soleil. »
-« Aie mon pauvre minou. Après le café, je te passerais de la Biafine. Ça va te faire du bien. »
Jai réellement pris un coup de soleil, et elle me passe, un peu plus tard, de la crème apaisante, avant que nous partions pour la plage.
Nous parquons la voiture sur une petite place, et rejoignons la plage par un petit escalier.
Après avoir parcouru quelques dizaines de mêtres, nous nous installons, pas trop loin de leau. A dix heures, à peine passées, la plage est quasi déserte. Seuls les écoles de surf et leurs élèves loccupent de loin en loin par petit groupes.
-« Ne tinquiètes pas, me dit elle, Il y a un bus qui passe devant la résidence, je le prendrais pour rentrer. »
-« Dans cette tenue ? » remarquai-je en désignant la petite robe qui ne cachait rien de son anatomie, juste couverte par son maillot de bain.
-« Oh tu sais, cest les vacances, il y a des gens en maillot partout. »
Elle membrasse, et me regarde partir. Je sors sur la rue, mais au bout de cent mêtres, je rentre dans le parking et arrête mon véhicule, hors de sa vue. Habillé dun short et dun polo, je me faufile entre les voitures et arrive sur le front de mer, juste pour voir Sandra, descendre lescalier qui mène à la plage. Une fois quelle est hors de vue, je hâte le pas et la surveille depuis lesplanade qui domine la plage. Elle rejoint sa serviette, et sallonge à nouveau. Me serai-je trompé ?
Une heure après, je suis toujours là. Jai trouvé une place, à la terrasse dun café, qui constitue un observatoire idéal. Sandra na quasiment pas bougé. La plage se remplit autour delle tandis quelle semble endormie. Après avoir oté son soutif, elle sest enduite de crème solaire, et lunettes de soleil sur les yeux, elle est immobile offrant son corps, déjà bien halé au soleil qui chauffe de plus en plus. Il est midi passé, et je me dis que jai eu tort de minquiéter.
Je les suis de loin, en veillant à ne pas me faire repérer, mais ils ont autre chose à faire. Ils atteignent bientôt le parking, à lautre bout de la plage. Je pense quils vont embarquer dans une voiture, mais ils entrent dans un magasin de fringues. Je me planque derrière une voiture sur le parking, doù jai une vue sur la petite boutique, tout en longueur, avec, ce qui semble être des cabines dessayage, au fond. Lhomme discute avec la vendeuse qui ferme sa caisse et quitte le magasin. Il la suit et actionne la grille pour fermer. Le voilà seul avec Sandra dans la boutique. Il se rapproche delle et ils sembrassent en se caressant. Sandra se met à genoux face à lui. Je ne vois pas bien lhomme dont seul le buste est visible au dessus des portants chargés de vêtements, mais je nai pas besoin dun dessin pour comprendre ce qi se passe. Après un temps il la fait relever, et lui enlève sa tunique Elle se serre contre lui et quand il sapproche delle, je peux constater quil a perdu son pantalon. Ses mains courent sur le corps de Sandra, il dénoue les lacets de son maillot et le lui arrache.
Je rebrousse chemin et vais récupérer ma voiture pour la parquer non loin de la boutique. Cette manuvre ma pris un bon quart dheure, et peu de temps après mon retour, la grille se lève à moitié et les deux amants sortent par en dessous. Sandra a troqué sa tunique pour une courte robe à bretelles vichy. Quelques places après moi, ils montent dans une jeep découverte, et passent s devant moi à petite allure. Je suis le mouvement. Heureusement la circulation est dense et ils roulent doucement. A quelques rues de là, la jeep entre sur un petit parking et se gare. Je reste en attente. La jeep surélevée na pas de porte, et doù je suis, mais je ne dois pas être le seul, jai une bonne vue sur les longues jambes de ma femme, bien découvertes, par la courte jupe. Dans le mouvement pour descendre du haut véhicule, la robe remonte encore et je reconnais le petit ticket de métro qui orne son sexe. Ils sengouffrent dans le restaurant tout proche, et prennent place à une table, sur la terrasse. Pendant quils déjeunent je suis réduit à aller macheter un snack , et à patienter, après avoir trouvé un emplacement protégé pour me garer. Je dois être prudent car Sandra ne manquera pas de reconnaître mon coupé si elle laperçoit. Deux heures plus tard, ils rejoignent la jeep, qui redémarre, mais ne retourne pas vers les plages.
Je passe laprès-midi à me morfondre allongé sur mon lit. Vers 18h je me rends à la piscine et je nage sans arrêt pendant plus dune heure pour passer ma rage. Quand je marrête, Vanessa est au bord sur un transat. Les baigneurs désertent les lieux. Quand Vanessa me rejoint dans leau, nous sommes seuls. Elle me tend ses lèvres et je lembrasse, sans avoir la tête à ça.
-« quelque chose ne va pas ? » me demande telle en se serrant dans mes bras
-« non, ce nest pas toi » lui réponds-je en réalisant que mon attitude est un peu froide
-« Dis moi. » Elle a glissé sa main dans mon maillot, mais nobtient pas de réaction de ma part
-« Cest Sandra. Elle me trompe. »
Elle rejette la tête en arrière et a un petit rire
«-« Ah, ce nest que ça ! »
-« Comment que ça ? Javais confiance en elle, et je viens de mapercevoir quelle voit un mec. »
La belle Vanessa met ses bras autour de mon cou et me parle tout bas.
-« Tu es vexé et jaloux parce que ta femme senvoie en lair, mais tu mas dit toi-même quelle navait plus de goût pour le sexe. Peut-être est-ce juste avec toi quelle na plus denvie. »
-« Cest ça, elle ne maime plus. »
-« Pas ment, elle a sans doute des sentiments pour toi, mais tu ne la surprend plus. Elle a besoin daventure, de surprises, dun gout dailleurs, mais ça passera. Et puis toi, tu la trompes bien avec moi. Tu veux la quitter ? »
-« Non, bien sur, et je ne tai rein promis. »
-« Javais compris. Tu nes pas bien avec elle en ce moment et tu trouves du réconfort avec moi, tout comme moi je suis bien avec toi, mais on ne va pas foutre nos vies en lair pour un petit plan cul. »
Ses mots me font du bien et je lui souris
-« merci pour ces mots Vanessa, je ne timaginais pas si psychologue. »
-« Jai bien dautres talents encore » dit elle avant de fourrer sa langue dans ma bouche.
Sa main a réussi a me ranimer, et je bande maintenant comme un âne.
-« Je ne vais plus pouvoir sortir de leau »
-« Qui te parle de sortir ? » dit elle en se collant à moi. Elle plonge sous leau et me débarrasse de mon boxer, embouchant ma verge bien raide quelques secondes, avant de remonter entre mes bras. Sa main sort de leau tenant un bout de tissu que jidentifie immédiatement comme son maillot. Prenant appui contre la margelle, elle vient enrouler ses jambes autour de moi, et guide ma queue vers sa vulve. Javais déjà baisé dans leau mais je redécouvre cette sensation inégalable. Dabord la tension du sexe et leau froide autour, puis la chaleur dégagée par le corps de lautre qui réchauffe dabord le gland et la douceur tiède du fourreau dans lequel on senfonce et qui nous enveloppe. Bien ancré dans Vanessa, je lui fais lamour longuement, sortant de son puits dans la fraicheur de leau pour retourner y blottir mon sexe, sentant sa matrice se contracter autour de moi, jusquà un ultime spasme. Nous nous séparons après cet orgasme très doux et dortons de la piscine nus, mais protégé par lobscurité environnante, et la végétation qui entoure le bassin. Nous nous séchons. Enfin Vanessa se sèche, mais je ne peux mempêcher de la caresser et de venir sucer ses seins. Au bout dun moment, elle finit par me repousser en riant, et passe une nouvelle robe, longue et moulante sur son corps nu. Je la raccompagne à sa voiture avant de remonter à lappartement ou Sandra est revenue.
Elle est vétue de sa robe Vichy, quelle me dit avoir achetée non loin de la plage.
-« Tu vois, je suis rentrée en bus, et javais trouvé une solution pour que ma tenue ne soit pas trop indécente. »
-« Cest ce que tu dis, mais je suis sur que tu nas rien en dessous. »
-« Evidemment, je nallais pas salir la robe avec mon maillot humide et plein de crème solaire.. Comment la trouves tu ? «
-« très courte » commentai-je « mais sexy. »
Ce soir, nous allons diner en ville, dans une petite pizzeria. Jai pu constater en conduisant, combien la robe dévoilait très haut les cuisses de Sandra, au point que quand elle avançait un peu sur son siège, lourlet venait à peine recouvrir son entrejambe.
-« Méfies toi de ne pas donner trop de spectacle » lui conseillai-je
Pour toute réponse elle posa ses pieds sur le tableau de bord, ce qui eut pour effet de tasser le tissu sur son nombril, exposant son sexe, à la vue de tous. Fort heureusement, elle reprit vite une position normale.
Le repas fut bon, et Sandra était enjouée, sans arriver à me dérider complètement. Après une petite promenade dans la ville, bien animée, nous rentrâmes assez tôt finalement.
Sandra, avait choisi une nuisette transparente, mais je lignorais, feignant dêtre captivé par un bouquin.
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