Au Bureau
Mercredi 15 Juin 1988 Le bureau
Jétais arrivé comme dhabitude à lembauche à 7,00 h, un peu fatigué, mais somme toute assez content de moi. Vers 8,00h, le personnel des bureaux arrivaient et comme dhabitude, tout le monde passait par mon bureau, enfin passaient le tête avec un « Bonjour Monsieur », la routine quoi. Monique arrivant, respecta la routine. Je lui en su gré mais un petit sourire de connivence maurait réjoui, cétait normal et prudent.
Malgré tout, je fus un peu vexé (susceptible de mâle certainement) quelle nait pas eu le moindre geste damitié. Je me creusais le crane quand une idée me vint. Je pris le téléphone et appelant ma secrétaire (Monique) lui demandait de venir prendre une lettre. Très professionnelle elle arriva, carnet en main. Elle me dit cest pour ? »
Moi : « Quelle élégance aujourdhui, tu es splendide »
Monique : « Merci Monsieur »
Moi : « Quand on est seuls tu peux me tutoyer »
Monique : « Je ne pense pas que ce soit prudent Monsieur »
Moi : « Oui, bon, tu as peut-être raison,
mais je vois que tu as résolu ton problème ? »
Monique : « Quel problème Monsieur ? »
Moi : « Celui de vêtement ? »
Monique : « Je ne comprends pas Monsieur »
Moi : « Hier, javais une parfaite secrétaire dambassade, robe ou tailleur strict, la classe quoi, aujourdhui, jai une nouvelle secrétaire, habillée dune jupe bleue claire, large, plus courte, un chemisier dans le même ton, agréablement rempli paraissant plus jeune que la précédente. Jen suis parfaitement heureux »
Monique : « Tu ne penses pas que tu exagères ? »
Moi : « Absolument pas, je timagine ce matin en train de choisir. Je mets le même tailleur que hier, ça sera clair, je redeviens la secrétaire classique, ce qui sest passé hier, cest un incident Monsieur.
Mais jai apprécié ce que nous avons fait et, il part bientôt, je ne voudrais pas quil croît que je le snobe. Bon,
je mets cet ensemble bleu, je me trouve bien avec, mais, non je ne peux pas, il va penser que, malgré ce que je lui ai dit hier, je suis une femme facile,
un coup le tailleur, un coup lensemble bleu,
enfin lensemble bleu a gagné, car il correspond à ton humeur, tu sembles heureuse.
Monique : « Tu as fini avec ton analyse. La secrétaire avec son ensemble bleu doit aller soccuper du courrier .... Je peux me retirer Monsieur, »
Cette femme avait le don de mexciter et jétais curieux de savoir ce quelle avait dans la tête. Son invitation hier soir, cétait quoi. Elle avait voulu samuser avec moi,
satisfaire une envie,
cela mintriguait, je voulais la pousser,
Prenant le téléphone, je lui demandais de venir prendre une lettre (cétait certainement une des dernières à savoir prendre une lettre en sténo)
Moi : « Prenez note : Madame, Après le départ du personnel pour le repas, vous êtes prié de prendre votre voiture et en sortant du parking de tourner à gauche et de remonter jusquaprès les Kiwis
Monique : « Vous êtes certain que je doive continuer ? »
Moi : « Affirmatif, vous ferez vos commentaires à la fin, je reprends, donc après les kiwis, il y a un grand parking, bordé dune haie, vous irez vous garer derrière la haie - Bien cordialement »
Monique très professionnelle mais avec un léger sourire: « A qui dois-je adresser, ce courrier Monsieur ? »
Moi : « A toi, jaimerais te revoir avant le départ définitif »
Monique toujours très professionnelle : « Bien Monsieur, ce courrier sera adressé et je ferais en sorte que cette personne suive vos instructions »
Moi : « Petit détail, le truc au clip est inutile et ne sert à rien »
Monique, avec un sourire à peine perceptible: « Bien Monsieur » et elle partit.
Environ une heure après, prenant le téléphone, je lui demandais si le courrier était prêt pour la signature : « Oui Monsieur, je vous lapporte »
Elle arriva dans mon bureau avec le parapheur du courrier à signer, je le parcourais rapidement et layant repris elle me dit : « Vous avez oublié la dernière page » et se penchant pour me montrer cette, soit disant, dernière page, sa position me permettait davoir une vue plongeante par léchancrure de son large décolleté sur ses seins, libres de toute chose.
Cette femme avait le don de mexciter et je voulais savoir si elle irait plus loin, pour la fin de matinée sur le parking, elle avait acceptée et jeu une idée. Prenant le téléphone :
Moi : Vous êtes seule, »
Monique : « Oui Monsieur »
Moi : « Jaimerais savoir,
»
Monique : « Quoi,
Monsieur »
Moi : « Sous ta belle jupe ton minou est caché par une petite culotte ou un slip, enfin un petit slip »
Monique : « Je ne saurais vous répondre à cette question »
Moi : « Jaime bien les devinettes,
jopte pour un petit, non mini slip blanc, peut-être transparent, comme celui de hier, merveilleux, qui ne cachait rien, et avec cette petite fleur au-dessus des belles lèvres. Tu devrais me le donner,
en souvenir »
Monique : « Arrêtes,
si tu veux savoir, jai changé ce matin,
je suis idiote, je lui réponds,
dis donc, tu demandes à toutes tes maitresses leur slip, ça doit faire une sacré collection ? »
Non : « Un, je nai eu que quelques amies et en générale elle me donnait une touffe, bien choisie, de poils de leur toison. Mais, toi, tu as la toison très très courte, donc difficile den avoir une touffe. »
Monique : « Tes un drôle de numéro. Arrêtes, je te signale, jai du travail »
Moi : « Tu ne veux pas me dire, comment est ce tissu qui cache ton joli minou,
bon, remontes ta jupe,
jusquau dessus des bas,
heureusement que tu as un jupe large,
avec une jupe droite ce serait plus difficile,
»
Monique : « Non,
tu es fou,
cest pas possible,
»
Moi : « Mais si cest possible,
ce nest pas une jupe droite,
Je suis certain que tu en as envie,
et je pense que déjà ça te donne des idées,
et que ta chatte commence à sexprimer, ..»
Monique : « Et pourquoi veux-tu que je remonte ma jupe,
»
Moi : « Pour enlever ta petite culotte,
et me lapporter,
que je sache comment elle est,
»
Monique : « Cest tout,
tu es fou,
et moi je suis folle de técouter,
et ten feras quoi,
cest pas vrai ça,
»
Moi : « Je la garderais,
pour avoir toujours ton odeur avec moi,
»
Monique : « Cest vrai, ce que tu dis,
tu la veux vraiment,
dis moi que je suis folle,
»
Moi : « Bien sur,
je tattends avec elle dans une enveloppe,
cest plus discret que de lavoir à la main,
»
Monique : « Je suis folle de lécouter,
je devrais raccrocher,
bon, cest tentant, je vais aux toilettes, je lenlève,
et je te lapporte,
»
Moi : « Oh, non,
il faut lenlever au bureau,
car elle sentira ce plaisir un peu pervers de lexhibitionniste,
sans grand risque tout de même, .
Monique : « Tu te rends compte,
je ne peux pas faire ça,
et pourquoi je le ferais,
»
Moi : « Par curiosité ou par défi,
mais je suis presque certain que ça te fait vibrer,
en fait, je suis presque certain que tu en as envie,
mais tu veux quon te pousse un peu,
oses dire que tu nen nas pas envie,
»
Monique : « Sois gentil,
arrêtes,
je ne sais plus où jen suis,
on se voit à midi, je te la donnerais,
tu mauras,
jen ai envie,
dis moi que tu veux vraiment que je le fasse,
dis moi que tu maimeras après,
très fort,
»
Moi : « Oui,
je sais que tu as envie de le faire,
tu seras toute chaude après,
»
Monique : « OH,
ma jupe est remontée,
attends,
mon slip est au niveau des bas,
attends,
ça y est je viens de lenlever,
heureusement personne nest venu,
»
Moi : « Félicitations,
tu lapportes,
»
Monique : « Jai le cur qui bat,
dis moi que je suis folle,
avoir fait ça,
mais laisses moi me calmer,
»
Une dizaine de minutes après Monique arrivait avec une enveloppe kraft à la main, quelle me tendit avec lair dune petite fille qui vient de réussir un exploit : « Voilà le courrier
Monsieur !!!!
»
Et devant elle, je louvrais, aussitôt elle me dit : « Je peux me retirer, .. »
Moi : « Non, attendez,
il y a peut-être une réponse,
» et je humais, avec application son odeur et la regardant : « Quelle merveilleuse odeur »
Elle se mit à rougir comme prise en faute et je lui dis : « Viens à coté de moi, je veux te sentir »
Monique : « Non, ... je devine ce que tu veux faire,
tu m as déjà fait découvrir une face de ma personnalité que je ne soupçonnais pas,
je veux me reprendre,
tout à lheure,
oui,
mais pas ici, cest trop risqué,
toi tu ten vas, moi je reste,
»
Moi : « Tu as raison,
à toute à lheure,
»
Monique : « Oui,
promis,
tu as eu ce que tu voulais et tu auras ce que tu voudras,
»
A midi, je surveillais le départ des trois personnes qui étaient encore au bureau, quand je vis Monique dégager sa voiture et prendre la bonne direction, celle du parking.
Moi : « Dis moi que tu as aimé mapporter ta petite culotte,
»
Monique : « Arrêtes,
je ne reconnais plus,
jai honte et
oui, jai aimé,
»
On était debout contre la voiture, relativement caché dans ce parking.
Moi : « Relève ta jupe »
Monique : « On va dans la voiture, on sera plus tranquille »
Moi : « Attends,
avant je veux te sentir,
je veux sentir ta chatte,
je veux gouter à ton jus damour,
remonte ta jupe,
je suis certain que tu en as envie,
»
Monique : « Tu es fou,
on va nous voir,
» Malgré ses protestations elle remonta sa jupe. Je lui caressais la chatte, et maccroupissant, je commençais par sentir lodeur aigre douce de sa chatte chaude et humide avant, men occuper avec langue et doigts. La réaction fut rapide les cuisses sécartèrent encore largement et le bassin savança pour me faciliter laccès à son intimité. Le jeux dura peu, la femelle était chaude à point et bien que mappuyant la tête contre son intimité me dit dans un souffle : « Arrêtes,
tu mexcites,
si tu continues tu vas me faire jouir,
arrêtes,
je veux que tu me prennes,
je veux te sentir me prendre,
»
Me relevant, je lui disais de sappuyer sur la voiture pendant que je déballais mes outils, qui se trouvaient à létroit dans mon caleçon, et le pantalon sur les chevilles, jentreprenais de promener ma queue de la raie de sa chatte à la raie de ses fesses, ce qui entraina de la part de ma partenaire des reproches véhéments : « Arrêtes,
prends moi,
si tu continues je vais hurler,
arrêtes de me faire attendre,
prends moi,
je suis à toi,
jattends ça,
tu mas excité,
à toi de me calmer,
je ne pense quà ça,
»
Moi : « Tournes toi, penches toi, cela fait ressortir ta chatte et ton joli cul » en même temps je lui appuyais sur les épaules et ainsi penchée en deux, javais sous les yeux les rondeurs de ses fesses si tentantes, mais, je me guidais vers et dans sa chatte que jenfonçais facilement dun seul coup de reins et je commençais à la travailler à grands coups de reins, ce qui entraînait des commentaires dencouragement : « : « Oui,
rentres,
prends moi,
remplis moi,
OH, OHHH,
oui continues,
oui cest bon,
encore, ne tarrêtes pas,
» et tout à coup elle se raidit, son corps se contractant, en disant : « OUIIIIIII,
ne tarrêtes pas,
OUIIIIII,
. je JUOIIIIIIS,
» et je me vidais dans sa chatte. Elle se redressa et se collant de nouveau à moi : « Tu sais toccuper de moi,
me faire jouir,
on se met dans la voiture,
»
Cest ce que lon fit, sinstallant à larrière, cette jeune femme, très classe, qui mavait invitée, avec quand même un petite arrière pensée, que je trouvais excitante, qui me faisait bander par ses réactions, de plus quand on lui demandait quelque chose, elle refusait dabord puis acceptait avec enthousiasme, je me demandais jusquoù elle aimerait aller dautant quelle cétait découverte sensuelle, aimant le sexe. Dans la voiture, je lui demandais douvrir son corsage, ce quelle fit sans la moindre hésitation : « Oui,
occupes toi de mes seins,
je les sens gonflés,
jaime quand tu les suces,
têtes moi,
ouiii,
jaime,
encore,
cest bon,
» Après cette partie de lèches tétons, je lui proposais daller déjeuner, dans un petit restaurant discret, où personne ne poserait de questions et où il y aurait peu de chance que lon rencontra des connaissances. Avant de parti, elle me demanda de lui rendre sa petite culotte. « Non, tu es mieux sans,
»
Monique : « Je naime pas me promener nue, même sous ma jupe, .. ; »
Moi : « Qui sen rendra compte,
»
Monique : « Sil te plait,
je te la rendrais après,
»
Moi : « Tu es mieux sans,
» et nous partîmes déjeuner dans ce petit restaurant et Monique était un peu contractée, puis au fur et à mesure que le repas avançait, lambiance aidant, elle finit par ne plus se poser de questions. Lheure de lembauche avait presque sonnée, je la ramenais à sa voiture et la laissais arriver la première au bureau. Laprès-midi se passa tranquillement, nayant rien fait dans la matinée et ayant encore du boulot avant mon départ. Un peu avant la débauche Monique vint : « Je voudrais que tu me rendes ma petite culotte,
Je ne peux rentrer nue chez moi,
»
Moi : « Tu me las donnée, je la gardes »
Monique « Sil te plait,
je me sens nue,
mon mari sera rentré,
je ne voudrais pas quil saperçoive de ça, .. »
Moi blaguant : « Pourquoi, il soulève ta jupe quand tu rentres ? »
Monique : « Non,
mais je ne suis pas à laise ainsi et il risque de sen apercevoir,
je te la donnerais demain matin,
sil te plait,
»
Moi, hésitant : « Daccord,
tu la portes jusquà demain, quelle soit bien imprégnée de ton odeur et tu lenlèves demain matin et tu me la rends
»
Monique : «
Oui,
tu exagères,
tu me tourneboules
je suis folle,
mais oui,
je ne vais penser quà ça
»
Moi : « Dautre part, dis à ton mari que demain soir tu risques de rentrer un peu tard, car jaurais du travail à finir et tu dois être là,
disons jusquà environ 20,00 heures »
Monique : « Bon, daccord,
je le préviendrais,
»
Moi : « On se retrouvera chez moi vers 18,00h, on sera plus tranquille
»
Monique : «
Mais,
quest-ce que tu dis,
»
Moi : « Tu me rejoindras,
nue sous ta robe,
et on aura deux heures à nous,
ce sera mieux quici,
Monique quitta mon bureau, avec un retentissant « NON, il nen est pas question »
Quelques instants après je lappelais au téléphone : « Je pense que tu mas mal compris,
Viens prendre ton enveloppe, ... »
Elle arriva et je lui rendis lenveloppe en lui disant : « Demain soir je tattendrais chez moi, à partir de 6,00 h,
jespère que tu viendras,
deux heures à nous,
où je pourrais te faire lamour,
où on pourra baiser comme tu aimes,
noublies pas de me rendre cette enveloppe demain matin
» De nouveau elle quitta le bureau sans un mot.
 
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