Caro 2 (Imaginez)
Je mappelle Karl, vingt quatre ans, célibataire, et, je dois lavoué, plutôt beau gosse, daprès mes multiples conquêtes. Même les femmes mariées succombent à mes charmes. Bref, là nest pas le sujet.
Je faisais parti des invités de Steph et Elodie, lors de la pendaison de la crémaillère. A cette occasion, jai fait la connaissance de Caro, une femme dune beauté à couper le souffle. Javais, au cours dun slow, tenté ma chance, malgré la présence de son mari. Mais, même si elle na pas été farouche, jai de suite compris que cétait une femme très fidèle. Je navais donc pas insisté, même si jétais persuadé que si son mari navait pas été là, les choses auraient évoluées dune autre façon.
Le couple était parti précipitamment, le lendemain matin.
Ce matin là, en allant aux toilettes, je tombe sur une trousse de toilette. A lintérieur, je découvre des affaires intimes réservées aux femmes. Parmi ces affaires, une carte de visite, avec un numéro de téléphone personnel, au nom de Caro Verdier.
Serait-ce un signe. Il me fait à tout prix emmener cette femme dans mon lit. Pour ça, il me faut élaborer une stratégie.
Je laisse passer quelques jours, et décide de lappeler.
Ca sonne, puis une voix me répond.
« Allo »
-Allo, dis-je, bonjour, cest Karl, vous voyais qui je suis ?
« Bien sur, répond-elle, que me vaut cet appel »
-Ben
voila, vous êtes partis sans nous saluer la dernière fois. Rien de grave jespère.
«Pas du tout, mais vous étiez à lécart avec Guy et son épouse. Vous connaissez les tensions quil y a avec mon mari. »
-Mais nous pourrions nous revoir, prendre un verre.
« A loccasion, pourquoi pas. Désolé, jai énormément de travail, on se rappelle. »
Japprends que tous les jours, elle prend le café dans un bar tout près de son travail.
Un soir, jattends quelle soit rentrée chez elle, pour lappeler.
« Allo, répond-elle dune voix douce »
-Cest Karl, je ne vous dérange pas, jai envie de vous parler ce soir.
« Vous avez de la chance, mon mari nest pas encore rentré. Allez-y Karl.»
-Voila, depuis ce fameux slow, je narrête pas de pensez à vous.
« A bon, nexagérez pas Karl, ce nétait quune danse. »
-Je sais Caro, mais sentir vôtre corps contre le bien
jai terriblement envie de vous.
« Reprenez vous Karl, je suis mariée, et jaime mon mari. Du reste, il arrive. Au revoir »
Jattends quelques jours, toujours pas de nouvelles. Jen déduis quelle na rien dit à son mari, au sujet de mon appel. Je décide de faire une autre tentative.
Soudain, mon téléphone sonne. Cest Caro.
-Allo
« Cest Caro, désolé lautre soir, jai été obligé de raccrocher. »
-Cest à moi de mexcuser de vous avoir importuné.
« Mais non
nous en étions ou déjà. »
-Je vous disais que javais terriblement envie de vous
écoutez ce que jai à vous dire.
« Allez-y Karl, je vous écoute. »
-Imaginez quon ait une relation tous les deux.
« Mais Karl
je vous rappelle que je suis mariée, et jaime mon mari »
-Je nen doute pas, mais une petite aventure sans lendemain, ça ne veut pas dire que vous naimez pas vôtre mari. Cest pour savoir jusquou vous pouvez aller.
Imaginez
nous deux dans une chambre dhôtel, allongés nus sur le lit, en train de faire lamour.
« Sil vous plait Karl
arrêtez »
-Imaginez mes doigts caresser vos seins, vos hanches
ma bouche couvrir vôtre corps de baisers
je vous sentirais frémir sous mes vicieuses caresses
imaginez mon visage enfouit entre vos jambes, ma langue lécher vôtre petite chatte, mes lèvres aspirer vôtre clitoris, que jaurais pris soin de décalotter
imaginez tout ça
avouez que ça vous excite, que vôtre petite chatte est toute mouillée
avouez Caro
« Vous êtes fou Karl
arrêtez
je vous en prie
raccrochez.
-Avouez
soyez honnête
« Oui
javoue que ça mexcite
heu
et que ma petite chatte est toute mouillée. Oh mon dieu, quest-ce que vous me faites dire
ayez du respect pour mon mari. »
-Imaginez quil soit dans la chambre
quil voit vôtre chatte empalée sur ma queue, il vous entendrait hurler de plaisir quand je vous ferais jouir
imaginez tout ça Caro.
« Sen est trop Karl
sil vous plait
raccrochez
moi je nen suis pas capable.
Jentends son souffle saccadé au bout du fil. Si elle me demande de raccrocher, cest quelle ne veut le faire, que son attitude est en train de changer. Serait-elle tentée par ma proposition. Autant de questions qui me poussent à poursuivre mes investigations. Il me faut marmer de patience. La balle est dans son camp.
A peine raccroché, que le téléphone sonne.
-Allo...Caro
« Karl
je voulais vous dire
je suis libre cet après-midi. »
-Voulez-vous que je réserve une chambre à lhôtel ?
« Oui
jai trop envie de vous
jy serais à quatorze heures.
Arrivé dans la chambre, je la prends par la taille, lembrasse dans le cou. Je la sens tendue. On se déshabille, et nous allongeons sur le lit. Je me colle contre elle, lembrasse dans le cou. Je la sens frissonner sous mes baisers. Je passe une main, caresse les magnifiques seins, descends plus bas, frôle la chatte. Je suis surpris quand je sens une main saisir ma queue en érection
-Mon dieu, fait-elle.
-Que vous arrive-t-il, Caro
-Vôtre queue, comme elle est grosse.
-Comme celle dun homme normalement constitué.
-Faut croire que non, celle de mon mari, est beaucoup plus petite.
Laprès-midi a été torride. On a fait lamour pendant trois heures Caro sest offerte sans retenue, dans toutes les positions. Elle mavoue navoir jamais connu ça avec son mari, quelle mavait accordé des faveurs aux quelles il navait jamais eu droit. Cétait la première fois, par exemple, quelle tailler une pipe, quelle connaissait le gout du sperme.
Je tombe par cul quand elle me dit que, finalement, elle aurait aimé que soit mari assiste à nôtre relation, pour quil voit comment se servir dune femme.
On quitte lhôtel séparément. Il est dix sept heures trente.
A peine arrivé chez moi, jappelle Guy, pour connaitre le planning de son mari.
Il me dit quen ce moment, il reste au bureau, et quil rentre tous les soirs chez lui. Par contre, il me donne une info très intéressante. Il me dit quil doit partir tout un weekend à la chasse avec des potes. Ca tombe pour le mardi gras.
Ce weekend, mes parents ne sont pas là, jaurais la propriété que pour moi. Je décide dorganiser une fête. Bien évidemment, jen informe Guy.
Le lendemain, jappelle Caro.
-Allo, Caro, tu vas bien ?
« Oui, et toi
»
-Je tappelle parce que jorganise une petite fête pour mardi gras. Je tiens à tout prix que tu y assistes.
« Cest sympa...ou ça ?
-Dans la propriété de mes parents, ils sont absents ce weekend là.
« Ok, mais
il aura Guy et sa femme. Tu sais que je les ai en horreur ces deux la. »
-Tu nauras quà les ignorer, ma chérie, et puis je serais là. Dautant que tous les invités devront porter un masque. Il y a à peu près cinq couples, Je compte sur toi ?
« Bien sur, comment refuser. »
Mon plan se déroule comme prévu.
Il fait une journée exceptionnelle pour un mois de mars. Seul le midi connait ça.
La réception à lieu sur limmense terrasse. Tout le monde a mis son masque. A ma demande, celui de Guy est rouge, celui dAngélina représente un aigle.
Il est dix sept heures quand Caro se gare sur le parking de la propriété. Elle aussi, porte un masque. Noir, en forme il de chat. Elle est vêtue dune mini-jupe, dune chemise nouée sur le ventre, et des chaussures à talon compensé. Une bombe !
Les invités, hommes et femmes, nont dyeux que pour elle.
Après de brèves présentations, jinvite les couples à se rendre à la piscine.
Je la prends par la taille, et nous dirigeons vers la piscine. Soudain, elle marque un temps darrêt, en voyant le spectacle qui se déroule devant elle. Cest lorgie.
Tous les invités sont entièrement nus.
Guy est assis sur un banc, la bite en érection. Angélina, son épouse, est à côté de lui, empalée sur lénorme bite de Fred, un black taillé en hercule. Elle tend la main, saisit la bite de son mari, commence à la branler. A côté, deux femmes se bouffent la chatte, dans un soixante neuf de folie
elles gloussent de plaisir. Plus loin, cest Elodie qui suce son mari, pendant quelle se fait baiser par Arnaud, qui nest autre que son beau frère.
-Cest quoi ça, demande Caro.
-Cest mardi gras. Chez nous, cest la journée du libertinage, du sexe. Ce qui explique le port du masque
personne ne reconnait personne. Ton mari est absent, autant en profiter ma chérie
Elle acquiesce en souriant. Je me dis que nôtre relation, à peut être réveillé la cochonne qui sommeillait en elle, et que son époux na su réveiller.
Je prends Caro par la taille, dénoue le nud du chemisier, libérant sa superbe poitrine. Ne sentant aucune résistance, je passe à la mini-jupe. Deux minutes après, Caro est entièrement nue, devant des invités scotchés par tant de beauté. Je devine le regard vicieux de Guy, derrière son masque, qui doit préparer sa vengeance.
Je me colle derrière elle, lui caresse les seins, descend entre ses jambes, passe mes doigts sur la chatte, la caresses, puis la pénètre avec deux doigts. Caro se cambre, gémit de plaisir.
-Salaud
tu sais que jaime ça
-Tant mieux ma chéri, tu ne vas pas être déçue.
Après lavoir copieusement baisée, sodomisée, après mêtre fait sucer jusquà me vider les couilles, je la lâche en pâture aux autres invités. Mais sans la perdre de vue.
Mais le pire rode. Un masque, représentant une aigle tournoie autour de Caro, tel un animal qui cherche à coincer sa proie. Cest Angélina.
Elle saisit Caro par la taille, et lentraine sur la terrasse. Là, elle lui demande de sallonger sur un matelas gonflable. Angélina se tient à genoux à côte delle, commence à la caresser. Elle saisit le bout des seins un à un, les fait rouler entre ses doigts. Puis ce sont deux doigts qui descendent sur le ventre, caresse la chatte, excite le clitoris. Caro commence à sagiter.
-Chut, dit Angélina, calmes toi
taimes ça, hein, petite salope.
-Oh oui madame
cest bon ce que tu fais à ma petite chatte
vas-y
-Ecartes-toi, que je te branle
oh putain, comme tu mouille.
-Cest vous qui me faites mouiller
ha
ha
je vais jouir
je jouis
oui
oui
-Si ton mari savait quelle chienne tu es
sale pute
tu veux que Guy te baise.
-Oh oui
sil vous plait Guy, jai envie de niquer
jai envie de sentir une grosse queue dans ma chatte
je veux quon mencule aussi. Après je vous taillerais une bonne pipe
sil vous plait
viens, jai envie de vous
-Dis salope, répond Guy, il dirait quoi ton cocu de mari, sil savait que tu te fais baiser par son pire ennemi, que tu lui tailles des pipes, que tu avales tout
-Je men fou, pleure Caro, cest de ta grosse queue que je veux dans le cul
Sil te plait Guy, encules moi
Impassible, je suis la scène, assis à table devant un verre de whisky. Angélina tombe à genoux devant moi, et entreprend de me sucer la queue.
Quant à Guy, il la tient sa vengeance. Caro est entièrement soumise à tous ses caprices.
Angélina sapproche de Caro, lui prend les lèvres
-Souvent on organise des soirées de ce genre. Alors chaque fois que ton mari sera absent, tu participeras, Ok
Bon, Guy, on y va. ?
-Non Guy, sil te plait, reste, jai envie de toi.
-Comme tu voudras, poursuit Angélina. Fred, tu me raccompagnes, moi aussi jai envie de baiser
Guy, jespère que tu vas bien la défoncer cette salope.
Guy, qui veut assouvir sa vengeance, rejoins Caro sur le matelas. Il sagenouille à côté delle, embrasse les seins, caresse la chatte, Puis cest sa bouche qui prend la place des doigts. Caro ne reste pas inactive, elle saisit la queue de Guy, la branle lentement. Les doigts de Guy font un travail dévastateur dans la chatte de Caro, il accélère ses va et vient. Caro gémit de plaisir devant lassaut de ces doigts pervers.
Guy déclenche un orgasme terrible. Les gémissements se transforment en cris.
-Alors, dit Guy, cest bon davoir dautres mains sur ton corps, une autre queue que celle de son mari dans la chatte, hein ?
-Oh oui
cest bon, souffle Caro, surtout quand elle est plus grosse.
-A bon, cest vrai ça quelle est plus grosse, samuse Guy.
-Oui cest vrai, sil te plait, baise moi
Il est six heures du matin, quand Caro me rejoint dans ma chambre. Câline, elle se blottit entre mes bras, sassoupit.
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