Amant D'Un Couple - Jean

Le lendemain de notre soirée, en fin de matinée, on frappe à ma porte. C’est Jean. Tout seul. Sans Sophie.
On se dit bonjour, il entre. Je suis content de le voir et lui demande si tout va bien. Il me dit qu’hier soir, c’était très bien. Que Sophie et lui avaient pris un grand plaisir avec moi. Qu’ils sont prêts à recommencer dès que possible. Mais je sens qu’il y a autre chose.
Il me dit qu’il a beaucoup apprécié me prendre, que j’ai un « joli petit cul, ferme et musclé ». Que c’est la première fois qu’il prend un homme et qu’il a beaucoup aimé. Je lui dis que moi aussi j’ai beaucoup aimé son traitement.
Il sourit. Se rapproche de moi et laisse courir timidement une de ses mains sur ma hanche. Je lui souris également et caresse sa poitrine. Il me dit qu’il a envie de recommencer, qu’il a envie de moi, qu’il y a quelque chose qui l’attire. Je descends une main sur son entrejambe. « Ah bon ? ». Je sens que son sexe se réveille. Il ferme les yeux et respire profondément. Ses bras m’entourent, ses mains descendent sur mes fesses qu’il caresse et pétrie. De ma main droite, je lui caresse le sexe qui grossi. Il pousse un petit grognement de contentement. « Hummm ». Ses mains passent sous mon short et mon slip qu’il fait descendre. Je me retrouve cul nu. « Hummm, j’aime ton cul. J’aime tes fesses. Tu as un cul à bites ». Ses caresses se font intenses, viriles. Mon excitation monte, je bande.
J’ouvre à mon tour son short pour libérer sa queue bandée. Je le pousse en arrière jusqu’au canapé ou il s’allonge sur le dos. Je rampe à quatre-pattes entre ses jambes et fait glisser ma langue le long de ce barreau de chair. Un sexe dans la moyenne, 17 ou 18 cm, décalotté, veiné. Sans me presser, je le lèche, puis le prend en bouche. A la fois ferme et doux. « Oui, vas-y ! Suce-moi bien à fond ! C’est bon ! Une vraie bouche à pipes ! ».
Ma bouche s’active sur ce sexe plein de promesses. Je lèche, suce, aspire, ne laisse rien couler.

Tantôt je le branle en roulant ma langue autour de son champignon, tantôt je le suce et essaie de lui faire une gorge profonde, le nez dans sa toison. Je lui lèche les couilles, lui gobe les boules. Je m’excite sur ce pieu dur et tendu. N’y tenant plus, je remonte le long de son corps, il prend ma tête et me roule une pelle. Je me redresse à califourchon sur lui. Prends sa queue et la fait coulisser le long de ma raie. Il prend mes hanches pour accompagner mon mouvement. « Viens, j’ai envie de toi ». Je lubrifie son sexe et ma fleur avec de la crème solaire qui est à portée de main, me soulève et positionne son gland à l’entrée de mon second sexe, mon sexe féminin. L’entement, je m’assieds sur lui. Son gland à tête chercheuse trouve l’entrée. Il passe d’un coup, m’écartant ma rosette. C’est bon, je le sens bien vivant, dur, doux chaud, palpitant. Tout doucement, je descends sur lui, m’empalant sur cette queue dressée. Il m’encourage « Oui, vient, empale toi, Humm tu me sens ? ».
Je suis complètement assis sur lui. Sa queue toute entière dans ma petite chatte. Je commence des mouvements de hanche d’avant en arrière. Je sens ce pieu me labourer les chairs, se frotter contre ma prostate. Mon plaisir est décuplé. De ses mains, il accompagne mes mouvements. Je glisse une main derrière et flatte ses bourses. Il fait bouger des hanches lui aussi. Il fait des mouvements de bas en haut. Il entre et sort de mon « vagins ». C’est bon ! Je n’en peux plus ! Je bande mou mais j’ai l’impression d’exploser. Mon orgasme me fait resserrer autour de son sexe fiché en moi, je jouis sur son ventre, sur sa poitrine. Il jouit quelques secondes après m’envoyant ses jets de foutre dans le ventre.
Las, je me laisse aller sur lui, son sexe toujours planté en moi. Il me prend dans ses bras, m’embrasse et me remercie. Nous restons quelques minutes comme ça, sans bouger. Puis son sexe glisse hors de moi. Je me lève pour aller me vider aux toilettes.
Je le retrouve assis sur le canapé de nos ébats.
Il me sourit. Il me dit qu’il a apprécié, que j’ai un bon cul. Qu’il n’est pas homo (à l’époque on ne disait pas encore gay), mais qu’il était attiré. Je lui ai dit que j’aimais aussi bien les femmes que les hommes, parce que complémentaires. Il me répond qu’il avait plus envie de prendre que de se faire prendre. Notre discussion dure quelques minutes. Je lui demande si Sophie est au courant, il me répond que non. Que je dois être discret. La discussion dure quelques minutes.
Je vais au coin cuisine pour nous servir de l’eau. Il m’accompagne en discutant. Alors que je remplis les verres devant l’évier, il me caresse les fesses. Je le laisse faire. Il sait y faire. Sa caresse est légère mais présente. Il me souffle à l’oreille qu’il en a encore envie. Il se colle à moi, je sens son membre reprendre de la vigueur. Il se glisse derrière moi. Me caresse avec sa queue, la fait coulisser dans ma raie. J’att sa queue et la met entre mes jambes. Elle est chaude, son gland caresse mes couilles. Il m’embrasse dans le cou. « Hummm, j’ai envie de toi. Tu es une vraie salope ! Je vais te prendre comme une femme. Je vais t’enculer à fond. » Ses paroles ont un effet euphorisant sur moi. « Oui, viens me prendre ». Mon anus palpite d’envie. Je pose mes deux mains sur le bord du plan de travail, me cambre pour mieux l’accueillir, pour mieux m’offrir. Il att la plaquette de beurre que je n’avais pas rangé du petit déjeuner et m’en met un bonne noisette sur ma rosette. Immédiatement après il présente son bâton des plaisirs devant ma chatte. Il rentre comme dans du beurre (c’est la cas de le dire) et s’enfonce sans coup férir jusqu’au plus profond de mon intimité. « Hummm, Salope ! T’as un cul fait pour ça ! Hummm ! t’es bonne ! » Il m’att ma queue mi-bandée qu’il branle tout en me sodomisant. Je geins de plaisir comme une femme, et l’encourage. « Oui, viens bien à fond ! Prends-moi bien ! Hummm, ta queue est bonne, chaude, dure ! Vas-y ! »
Je suis penché sur le plan de travail, le cul bien offert, soumis à ses coups de butoirs.
Il m’att par les hanches et accélère le rythme. Chaque coup de hanche est accompagné d’un « Han ! » de plaisir. Il entre et sort complétement de moi. Il me traite de salope qui aime ça, de chienne qui aime la queue, me demande si je le sens bien… toutes ces paroles m’électrisent et accentue mon plaisir. Il me prend sauvagement ! Il m’encule profondément ! Je me sens jouir du cul.
Il laisse exploser son orgasme au fond de moi. Me remplit encore une fois de sa semence. Les vibrations de son sexe au plus profond de mon cul provoquent mon orgasme et je jouis laissant mon foutre se répandre sur le petit plan de travail de la cuisine. Il s’effondre sur moi. Je sens le poids de son corps sur le mien. Sa queue toujours plantée en moi. Je serre autant que possible mes sphincters afin de la garder le plus longtemps possible en moi. Il m’embrasse dans le cou en me disant qu’il avait aimé, que j’étais une bonne salope et qu’il aimait les salopes.
J’ai été de nouveau à la salle de bain pour me vider de sa semence et me nettoyer le cul. Alors que j’étais à croupi dans la douche en train de me laver les fesses, il s’est entré et s’est positionné devant mois, la bite au repos, luisante de beurre. « Je ne peux pas repartir comme ça. » « Je m’en occupe ». Je la prends tendrement en bouche et m’applique à la « nettoyer » du mieux que je peux.
Après ça, nous nous sommes rhabillé. Avant de partir, il m’a gratifié d’un magnifique baisé. Nous nous sommes promis de nous revoir très vite.

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