Une Histoire Inattendue 5
UNE HISTOIRE INATTENDUE 5 : mes adieux à Vanessa
Ce matin, après une explication nécessaire, nous nous apprètons à partir quand on sonne à la porte. Quand jouvre, je découvre deux hommes qui se présentent comme des policiers et nous montrent leur carte ; ils viennent nous poser des questions, ce dont je me doute déjà.
-« Vous avez joué hier, au tennis avec Mr Daniel X ? »
-« Oui, nous nous sommes retrouvés à 17h pour disputer une partie, que jai perdue, dailleurs. »
-« Et ensuite quavez vous fait ? »
-« Je suis venu me doucher ici. »
-« Et lui ? »
-« Je lignore. Je suppose quil a dû faire la même chose. »
-« Il ne vous a rien dit ? »
-« Ma foi, non. Vous savez, nous ne sommes pas amis. Nous sommes résidents ici pour la semaine, et jai rencontré Daniel après avoir posé une affichette pour trouver un partenaire de tennis. Nous avons joué quasiment tous les jours. »
-« Je sais, laccueil confirme vos dires. Vous êtes donc venu vous doucher, et après. »
-« Après je suis all é à la piscine. »
-« Oui, on vous y a vu aux environs de 19h15. Entre les deux vous avez fait quoi ? »
-« Je me suis douché, cest tout. »
-« Pendant près dune heure ? »
-« Demandez donc à mon épouse ! »
-« Vous confirmez madame ? »
-« Oui inspecteur. Il a pris une douche . » répond Sandra
-« Allons, ce nest pas si long. »
-« En fait je lai rejoint dans la douche. Vous voyez inspecteur ce quun homme et une femme peuvent faire ensemble dans la douche ? » explique telle avec un petit sourire.
-« Oui, je vois très bien, mais vous navez pas de témoin, et donc pas dalibi au moment où Daniel a été agressé. »
-« Inspecteur, jai appris que Daniel avait été agressé, mais je ny suis pour rien. »
-« Quand à notre douche » complète Sandra, elle est bien trop petite pour que nous puissions y entrer à trois. »
-« Inspecteur, Daniel maurait-il mis en cause ? »
-« Non, il nous a parlé de deux types avec des cagoules.
-« Dans ce cas, qui serait le second ? ma femme, peut-être ? »
-« Non bien sur, la description ne correspond pas. Nous devons, malgré tout, envisager toutes les pistes.Il me reste à vous remercier. »
-« Avez vous des nouvelles de Daniel ? »
-« Oui, il a eu de la chance. Quelques jours dhopital, un bras cassé, mais rien de vraiment grave. »
-« Tant mieux » exprima Sandra « cest toujours effrayant de savoir quon peut se faire attaquer, nimporte où sans pouvoir se défendre. »
-« Désolé Monsieur, mais pas de tennis aujourdhui » me dit lautre flic avant de partir.
Quelques instants plus tard, nous sommes dans ma voiture. Sandra porte son éternelle tunique sur son maillot de bain, mais elle me montre quelle a pris une jupe et un caraco, ainsi quun string noir, pour se changer après la plage.
-« Tu vas aller la rejoindre , me demande telle »
-« Je dois lui faire mes adieux, et organiser létat des lieux de départ. »
-« Je taime, noublies pas. »
-« A tout à lheure » lui dis-je avant de la déposer.
-« De retour à la résidence, je vais directement à la piscine. Vanessa est déjà là.
Il y a un peu de monde, alors elle ne membrasse pas. Je vais nager, et elle rejoint le bassin juste après. Midi approche et les gens quittent petit à petit les transats, pour aller déjeuner. Il reste deux chaises longues occupées par de jeunes femmes qui déballent leur pique-nique en papotant, et un monsieur, assez agé, qui lit le journal, assis dans un fauteuil en plastique.
Vanessa a fait ses longueurs et récupère, les coudes posés sur la margelle de pierre. Je viens à côté delle. Et nous discutons. Je lui apprends que notre relation touche à sa fin, et que je vais essayer de reconquérir ma femme.
-« Donne lui plus de liberté » conseille telle « mais quoi quelle fasse, exige dêtre là. »
-« Pas toujours facile. Aujourdhui, je lui ai laissé carte blanche, pour mettre fin à son aventure.
-« Cest une erreur, je parle en connaissance de cause. Et si elle ne revenait pas
»
-« Cest indispensable que je sache si je peux lui faire confiance. Et dans le cas contraire, je tai toi. » dis-je en lui caressant doucement les seins.
-« EH, toi, ne te fais pas dillusion. Je ne suis pas ta roue de secours. Je vis très bien seule. Dans une semaine, je vais récupérer mon fils, qui est chez ses grands-parents. »
-« En attendant, on peut toujours se faire du bien. »
Mes mains glissent sur son dos, et ses fesses. Elle se tourne vers moi, et, dans le mouvement, ma main se retrouve sur son ventre. Je vais tout doucement glisser mes doigts sur son sexe, au travers du maillot. En quelques secondes, je sens la châleur de son jus qui trempe le tissu. Jécarte le maillot et introduis un doigt, puis deux dans son intimité. Elle reste immobile mais doit se mordre les lèvres pour ne pas gémir. Tout en remuant mes phalanges en elle, je jette un coup dil alentour. Les deux femmes sont en pleine discussion et ne prêtent pas attention à nous. Quand au vieux monsieur, jai limpression que son regard, au delà de son magazine, est braqué sur nous. Vanessa, écarte largement les jambes, et pousse son bassin à ma rencontre. Je ressors mes doigts avant de la pénétrer de nouveau. Un soupir séchappe de ses lèvres. Les jeunes femmes, ont dû lentendre, car elle se sont interrompues, et ont tourné la tête vers nous.
_ « Je crois quil est temps daller ailleurs. Nous avons un peu trop de spectateurs. » dis-je tout bas.
-« Jai trop envie de toute façon, je ne vais pas pouvoir me retenir. » me murmure telle.
Nous sortons de leau et commençons à nous sécher.
Vanessa me glisse, en apparté que le vieux sur son fauteuil, est le même que celui qui nous a vu sur la terrasse.
-« Je vais lui en donner pour sa journée » me dit elle en se défaisant de son maillot de bain.
Nue, elle se baisse pour attr sa robe, les jambes tendues, légèrement écartée, la vulve encore ouverte par mes doigts, directement dans laxe du vieux qui nen rate pas une miette.
-« Viens en moi, vite. » me demande telle
En un tournemain, je baisse mon boxer, et viens présenter ma queue déjà raide, entre ses fesses, avant de menfoncer dun coup dans son vagin, provoquant un soupir daise.
-Oh oui !, cest bon ! vas y fort !. »
Je la lime le plus fort possible, madaptant à ses coups de reins qui accentuent la pénétration, en tirant en arrière sa longue chevelure blonde, comme la crinière dune pouliche sauvage.. Très vite, elle commence à haleter, et jouit dun coup en gémissant. Je sors, et cueille un peu de son jus dont je me sers pour lubrifier son anus. Elle se cambre et maccueille avec un « oui ! » quand je lui plante un doigt dans le fondement, puis un deuxième. Quand je présente ma queue à lorée de son cul, cest elle qui vient sempaler en poussant vaillamment vers moi. La résistance est symbolique, et je bute bientôt contre ses fesses à chaque mouvement. Je lui laboure les reins, en la cramponnant aux hanches, pendant quelle se titille le clito. Elle jouit très vite à nouveau, et sappuie contre moi pour retirer sa robe. Jen profite pour malaxer ses seins, et en pincer les tétons, ce qui la fait gémir de nouveau.
Dun coup elle se dégage, et étend un drap de plage sur le sol, minvitant à my allonger.
-« Quelle bonne baise. Dommage que tu doives partir. »
-« Je te rappelle que tu veux vivre seule. »
-« Oui mais pas comme une nonne . Jaime le sexe masculin ; cette baguette magique qui se met au garde à vous devant moi. »
-« Pas toujours » rétorquai-je.
-« Oui mais même au repos, jaime le toucher, chercher ce qui le fait vibrer, le caliner, lexciter et le sentir peu à peu prendre forme entre mes mains. »
En disant cela elle sest emparée de ma queue, quelle manipule avec douceur. Elle va malaxer mes bourses et me gratouille le périnée. Le résultat ne se fait pas attendre. Dès que mon mât se redresse, elle me fait venir à califourchon sur elle, et le coince entre ses globes mammaires,
-« Jaime le sentir se raidir, entre mes seins.Jaime voir le gland grossir et devenir turgescent, Enfin, jaime labsorber entre mes lèvres, le sentir battre sous ma langue, lavaler le plus loin possible pour nen laisser rien à personne, le lécher tout du long et le sentir trembler quand je suçote le frein, et finalement quand le le sens enfler et se tendre à lextrème, le sucer jusquà lexplosion finale. Sentir les jets violents, contre mon palais. Le presser pour en extraire toute la semence, et le sentir sapaiser enfin satisfait. »
Pendant sa tirade, mon sexe a repris une belle consistance, entre ses seins. Je la laisse sur le dos et la prends en missionnaire. Plus doucement cette fois.
-« Ah, encore ? je nen espérais pas tant. »
Elle relève ses jambes et les verrouille sur mon dos, alors, je la lime longuement, Elle soupire daise. Ses jambes se relèvent et passent sur mes épaules. Mappuyant sur ses cuisses, je viens lenfiler très profondément, en ressortant et en la réinvestissant chaque fois. Elle gémit et profite de ce long coït sensuel. Elle jouit encore deux fois avant de savouer épuisée. Comme jai déjà joui, cest plus long pour moi , et elle sen rend compte. Elle me dit quelle va remédier à ça et commence à suçoter mon gland, avant de lécher ma queue entière et mes couilles. Elle arrondit sa bouche qui accueille bientoT mon sceptre. Elle maspire, ou mengloutit presque jusquà l, son visage venant taper contre mon pubis. Elle me masse les couille sans sarrêter. Je sens que je vais partir à nouveau. Elle mouille son doigt, et au moment ou elle mengouffre en entier, elle me le plante dans lanus, et cherche à masser ma prostate. Cette intromission déclenche une nouvelle éjaculation quelle avale. Puis elle me lêche partout, comme une chatte ferait à ses petits. Mon sexe, encore a moitié érigé est enfin relaché et elle membrasse à pleine bouche.
Je suis encore sous le coup de ce plaisir dévastateur, quelle est déjà debout, vétue de sa petite robe, toujours nue dessous, comme je vois en contre plongée.
-« Tu ne mets jamais de culotte ? »
-« si bien sur, mais en été, cest bon de sentir lair sur ta peau, le vent vient chatouiller ton intimité, et il y a ladrénaline dêtre découverte. »
Je la dévisage tandis quelle se recoiffe et enfile ses chaussures plateformes.
-« Je ne travaille pas aujourdhui, je peux utiliser ma douche. Tu men as mis un peu partout. »
je lui rappelle que cest sa douche, et mon maillot remis, nous repartons. Tandis que je la suis entre les buissons, je ne peux mempêcher dadmirer son port altier, sa démarche un rien ondulante sur ses très hauts talons, ses longues jambes galbées.
Sur le chemin du retour, nous croisons les deux jeunes femmes qui étaient à la piscine. Elles nous reconnaissent et échangent à voix basse avant de nous croiser.
Vanessa, leur adresse un grand sourire, sans leur adresser la parole.
-« Tu crois quelles se doutent ? » demandai-je
-« Evidemment, elles ont bien vu doù on venait, et par là, il ny a pas de marguerites à cueillir. »
-« Tu nas pas peur quelles racontent
? »
-« Quelles racontent quoi ? Quelles ont vu ma chatte à la piscine ? A part ça elles nont rien vu. Et même si cétait le cas, elles ne diraient rien. »
-« Quest ce qui te rend si sure de leur silence ? »
-« Dabord, elles connaissent très bien la clairière où nous étions, puisquun jour, je les y ai trouvées en train de se gouiner. » raconte Vanessa.
-« ET alors ? »
-« Alors, jai filmé un peu avec mon smartphone, avant dêtre découverte. Ces deux charmantes, contrairement à moi, sont mariées et ont des s. En plus jen ai vu une se faire baiser sur son balcon, par un type qui nétait pas son mari. La discrétion est donc de mise. »
La douche est un moment de caresses et de volupté, mais, je viens de tellement donner, quil ne se passe rien. Je suis changé et habillé dun bermuda en toile et dun polo quand elle me rejoint, merveilleuse dans sa nudité, et vient sétendre sur un transat.
-« Tu vois » mexplique telle « Je ne suis pas vraiment pudique, mais jai, quand même choisi cet appartement parce quil ny a pratiquement pas de vis-à-vis.. »
-« Cette grande terrasse, cest vraiment super. Cest vrai quen été, tu peux vivre dehors. Il y a le coin barbecue non loin de la table de repas,, le coin solarium devant la chambre, coin bar avec ses fauteuils profonds en osier, et le store qui descend très bas recouvre le tout si nécessaire» commentai-je.
-« Oui, je voulais même installer un grand jacuzzi, il y a la place, mais pour des contraintes de poids, et dévacuation, la copropriété na pas donné son accord. Tant pis, il y a la piscine. »
Je compose une salade avec ce quil reste dans le frigo et nous nous restaurons, en discutant.
-« Ta femme est partie rejoindre son amant ? »
-« Oui, je le pense. Je dois la rejoindre à 19 heures dans un bar sur la plage de la chambre damour. »
Après le repas, Vanessa me propose daller sur la côte basque pour se baigner.
Je passe un maillot de bain, sous mon bermuda, et des mocassins bateau. Vanessa est vétue dun mini short en jean, et dun tee-shirt sideboobs (on ne peut pas vraiment dire habillée, car ses seins sont parfaitement visibles par léchancrure du vêtement) et est perchée sur des plateforme shoes qui la rendent plus grande que moi. Une fois installée dans le siège baquet de mon cabriolet MX5, elle fait remarquer :
-« Heureusement que je nai pas mis une jupe, jaurais eu la chatte à lair dans ta voiture. »
En effet, ses longues jambes pliées sont plus hautes que son bassin , mais je me dis que son haut nest pas davantage décent. Les deux roues, qui sarrètent à sa hauteur aux feux rouges, ont bien du mal à garder leur concentration. Nous commençons par Biarritz, et après un tour en ville, longeons le bord de mer. Nous empruntons à pied les allées menant au rocher de la vierge, où nous faisons quelques photos. En suivant la route de bord de mer, nous arrivons à une petite plage, après le vieux port. Abritée des vagues au fnd dune crique, elle est moins surpeuplée que la grande plage. Une soixantaine de baigneurs se répartissent sur le sable. Je remarque que le monokini est la rêgle. Certains sont même complètement nus. Vanessa mentraine sur le sable, et après avoir étendu soigneusement un grand drap de plage, elle se défait de ses vêtements, sous lesquels elle a un string ridiculement petit. Moins à laise quelle avec mon corps, je me contente de rester en maillot. Nous nous allongeons et, une heure durant, sommeillons sous la châleur de laprès-midi. (Jai bien sur, emporté lindice 50 qui ne me quitte jamais, afin de ne pas finir comme une écrevisse). Quand je me réveille, Vanessa est contre moi, sa main posée sur mon sexe, à travers le maillot. Je me tourne vers elle et essaie de lui caresser la poitrine, le plus discrètement possible. Elle soupire daise, et me propose daller nager.
Nous entrons donc dans locéan, qui nest pas si chaud. Cela na pas lair de rebuter Vanessa, malgré la chair de poule, et ses pointes de seins qui dardent fièrement. Pour moi, leau froide a leffet inverse et lexcitation qui montait en moi se calme instantanément. Nous ne nageons pas vraiment, mais nous chahutons dans leau. Je mhabitue peu à peu à la température de leau, mais je comprends pourquoi il y a si peu de baigneurs.
Vanessa se rapproche de moi et membrasse en plaquant ses seins contre mon torse, son ventre et ses hanches se frottant à moi.
-« Je crains que leau froide ait un effet castrateur. » dis-je
Elle passe sa main entre nous et la glisse dans mon boxer
-« Effectivement, mais il y a peut-être un remède. »
Nous avons de leau jusquà la poitrine. Elle tire mon maillot vers le bas et plonge sa tête sous leau. Je sens un fourreau chaud qui absorbe mon sexe encore mou, et une langue agile vient senrouler autour, et le lécher. Mon sexe réagit en se gonflant un peu. Vanessa, ressort et me regarde en souriant, reprenant son souffle, avant de replonger pour continuer . Quand elle obtient une consistance qui lui convient, elle se relève et continue à me branler à la main. Un peu inquiet, je regarde alentours, si personne na remarqué notre manège. Personne na lair de nous observer. Les mains de Vanessa, me lâchent un instant, avant quune vienne de nouveau cajoler ma queue, pendant que lautre fait surface, tenant son mini slip de bain, quelle me tend. Je lattache à mon poignet. Elle se pend à mon cou et je sens ses jambes entourer mes reins. Son pubis vient se frotter au mien et je nai quà guider
Ma queue qui senfonce avec délices, dans son vagin brûlant. Nous restons immobiles un moment, et ses hanches basculent vers moi pour accen ma pénétration. Je passe mes mains sous ses fesses et commence a la faire coulisser lentement. Vanessa pose la tête sur mon épaule, et murmure :
-« Cest si bon ! continues ! » ce que je mempresse de faire
Accrochés lun à lautre comme des naufragés, nous oscillons, légèrement déquilibrés par les vagues (peu fortes).
Vanessa, serre ses muscles internes sur ma queue en continuant ses balancements lents et profonds, jusquà simmobiliser, en me mordant lépaule.
Elle se rejette, tout de suite en arrière, et méclabousse, alors que je remonte mon maillot.
Quand je sors de leau, je fais plusieurs pas avant de réaliser que jai le maillot de Vanessa autour du poignet. Personne ne fait mine de lavoir remarqué, mais tous les regards sont tournées vers Vanessa, qui travers , nue, la plage jusquau drap de bain où elle sétend. Quand je lui tends son slip, elle le met de côté et pose sa tête contre le sol, tournée vers moi.
-« Cétait bon. Jaime bien baiser avec toi. ».
Nous passons le reste de la journée à paresser, entre baignades, et caresses furtives, alanguis sur notre serviette, flirtant en faisant semblant de nous protéger du soleil, nos mains effleurant nos corps gorgés de chaleur et de désir.
Les meilleures choses ont une fin, et le soleil baisse, la plage se vide nous signifiant la fin de la récréation. Nous nous rhabillons et Vanessa me demande de la déposer chez elle. Je profite encore de ses longues jambes durant le trajet . Devant son domicile, nous nous étreignons dans un long baiser. Mes mains passent dans léchancrure de son sideboobs, pour malaxer une dernière fois ses seins aux tétons si expressifs. Puis je la regarde séloigner. Je ne la reverrai sans doute jamais.
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