Jeudi 16 Juin 1988 - Archives
Jeudi 16 Juin 1988 - Archives
Le matin le rituel des bonjours,
Japerçus à peine Monique, mais je remarquais quelle avait abandonné, définitivement les tailleurs stricts de la parfaite secrétaire pour une jupe portefeuille gris clair et un chemisier perle. Vers 9,00 h Monique arriva, un léger sourire aux lèvres, avec le parapheur du courrier. Rapidement jarrivais à la dernière page où était posée lenveloppe kraft que jouvris instantanément et la portant à mon nez je lui dis : « Quelle douce odeur,
il faudra que de nouveau jaille à la source,
» alors elle se pencha comme la veille en me disant : « Ça te plait toujours
? »
Moi : « La vue toujours, cest toujours aussi beau et jaimerais en voir plus,
et lodeur mennivre,
»
Monique : « Si, il y a toujours du travail à finir, jai prévenu chez moi, que je risquais de finir un peu tard,
Je peux reprendre le parapheur, Monsieur »
Moi : « Oui,
je serais toi, je classerais le contenu de lenveloppe kraft à sa place pour ne le sortir que ce soir, il nen serait que plus,
disons apprécié »
Monique : « Effectivement, je vais le remettre en place ! »
Wouah,
ce soir, elle serait de nouveau à moi pour quelques instants et volontairement,
cette nana narrêtait pas de me surprendre. En travaillant je ne pensais quà cette future soirée et soudain, je pris le téléphone :
Moi : « Es-tu seule ? »
Monique : « Oui,
pourquoi ? »
Moi : « Tu sais, tu me fais bander » et je la sentais un petit sourire de triomphe
Monique : « Jen suis ravie, est-ce que je peux faire quelque chose »
La vache elle me retournait le coup,
Moi : « Oui,
toujours là,
je veux que tu me suces,
»
Monique : « Bien Monsieur »
Moi : « Dans dix minutes vas à la salle des archives,
jy serais,
»
Monique : « Bien Monsieur »
En fait cette salle était au fond du couloir derrière mon bureau. Métant dirigé vers le fond de la salle plus ou moins caché par lalignement des étagères jétais relativement content de moi et me demandais si elle viendrait et effectivement elle arriva, me chercha, me vit et vint à moi.
En chemin, je vis quelle avait augmenté léchancrure de son décolletée ce qui laissait apparaître la rotondité de ses seins en liberté, je voulus la prendre dans mes bras pour lembrasser, elle se recula et dit : « je ne suis pas venu pour ça » et me mettant la main sur la braguette : « mais pour ça, comme cela a été dit » et elle saccroupit et commença à défaire ma braguette, puis glissant la main dans mon caleçon sortit mon service trois pièces, avec un peu de difficulté, tellement je bandais. Et là, elle semblait hésiter, ne pas savoir quoi faire, enfin elle se décida et tenant « popol » à pleine main elle commença à me lécher à grands coups de langue, pour enfin sattaquer au gland en le suçant comme on mange une glace. Effet surprenant, mais pas désagréable et semblant se décider elle mengouffra et se mit à pomper avec ardeur. Déjà sous pression, il ne lui fallut pas longtemps pour, encore, faire monter la pression et ny tenant plus je lâchais une première giclée, ses lèvres se contractèrent pour menserrer complétement et elle eut une seconde d hésitation avant davaler le tout. Avant de mabandonner, elle passa deux ou trois coups de langue et se relevant : « Jespère que tu as aimé ? Jattends ce soir, avec impatience
» et elle partit.
Je regagnais mon bureau et prenant le téléphone je lappelais : « Vous êtes seule, ... »
Monique : « Oui,
Monsieur,
»
Moi : « Je tenais à vous remercier pour les soins que vous mavez prodigués, ils ont été bénéfiques,
»
Monique : « Jen suis ravie,
»
Le soir
Javais quitté le bureau un peu plus tôt quhabituellement, afin de vérifier si mon studio était digne (en ordre) pour recevoir cette belle femme. Jen profitais pour mettre une bouteille de pineau et une bouteille de bon vin rosé au frais et en arrivant je métais arrêté à la superette pour acheter des amuses gueules au cas où,
Monique avait du quitter le bureau à la minute prés, car il fallait à peine 20 minutes pour rejoindre mon studio et elle était arrivée à 18,20 heures.
De ma fenêtre javais vue son arrivée. Elle mit un certain temps à quitter sa voiture pour arriver à ma porte et avant quelle ne sonne, javais ouvert la porte, pour lui montrer limpatience que javais de la retrouver. A peine rentrée, elle se précipita dans les bras, mettant ses bras autour de mon cou et moffrant ses lèvres pour un baiser gourmand et goulu accompagné dune langue chercheuse et fouineuse. Jen profitais pour la caresser, partant de ses fesses et remontant jusquaux épaules, puis redescendant doucement ce qui me permit de vérifier quelle ne portait pas de soutier gorge et méloignant légèrement, jallais glisser une main entre nous, quand elle recula en tirant sur le nud de la ceinture de sa robe portefeuille qui tomba à terre, montrant quelle était nue sous sa jupe et elle me dit : « Jespère que cest ainsi que tu voulais que je vienne,
prête pour toi,
offerte à tes mains,
caresses moi un peu,
je veux te sentir me caresser le sexe,
après on fera ce que tu voudras,
» Effectivement, je glissais une main vers son entrejambe et écartant les cuisses jeus un accès aisé à sa chatte quelle « posa » dans le creux de ma main avec un soupir de plaisir. Je sentis que ses grosses lèvres étaient gonflées, chaudes et surtout humides. Je mempressais dy introduire deux doigts qui se glissèrent dans lespace de ses grosses sans problèmes et je commençais à la masturber doucement afin de la faire monter le plaisir lentement dans son esprit et dans son corps. « Oh, cest bon,
continues,
jaime que tu me prennes comme ça,
» Elle devait apprécier, car en peu de temps cest elle qui menait la cadence en se plantant avec régularité sur mes doigts, puis : « Arrêtes,
tu vas me faire jouir,
jaime ça,
mais je veux que tu me fasses lamour,
que tu me baises,
viens,
on va au lit, ce sera plus confortable,
» Le temps que je me déshabille, elle avait jeté son corsage au loin et sétait étendu sur le lit : « Dis moi que je te plais,
que tu as envie de moi,
dis moi ce que tu veux,
jai un peu honte de le dire,
jai très envie de toi,
jai envie dêtre à toi,
viens,
(écartant largement les jambes) regardes ,
viens,
»
Moi : « Tu réfléchis trop,
tu aimes le sexe,
cest bien,
tu changes de partenaire,
viens,
montres ta chatte,
je vais venir te lécher,
à toi de me dire ce que tu aimes que je te fasses,
ouvres toi,
» Sans hésiter elle ouvrit largement le compas de ses jambes, me permettant davoir une vue splendide sur sa chatte et me glissant entre ses cuisses jatteignais son minou, et me régalais de son odeur, lodeur de son jus damour.
Je me dis quil fallait accélérer le mouvement, le temps métant compté pour la sauter et surtout pour la faire jouir. Je me disais que même sil fallait que je la bouscule un peu, seul le résultat comptait et je pourrais en avoir bénéfice plus tard. Donc ma langue se mit en action alors que mes deux doigts reprenaient leur place et commencèrent à la masturber avec application. Elle était tellement chaude et prête quil ne me fallut pas beaucoup de temps pour quelle souvre largement : « Oui,
cest bon,
oh, oh oui,
jaime ta langue,
oui,
lèches moi,
» Avec de telles disposition, je décidais de maventurer vers sa rosette et voir sa réaction. A peine effleurée, elle se cabra : « Non,
sil te plait,
je ne me suis pas préparée,
demain si tu veux,,
maintenant prends moi,
je te désire,
viens,
» Jabandonnais sa chatte et remontais vers ses seins, dont les tétons étaient durs et dressés, et qui ne demandaient quà être pris, ce que je fis en les tournants entre les pouces et index : « Arrêtes,
suces les,
têtes moi,
cest bon,
tu me fais mal,
continues,
viens,
» De façon à se faire obéir, elle prit ma tige et la guida vers sa grotte damour et ainsi guidée je pus la pénétrer dun seul coup de rein, ce qui fut apprécié par un : « Oui,
oh,
oui,
jaime te sentir me prendre,
dis moi que tu aimes me prendre,
»
Pendant que je mactivais, comme elle le voulait et que je voulais la pousser : « Oui,
jaime te baiser,
je vais te bourrer la chatte,
je veux te faire jouir,
je veux que tu en redemandes,
»
Et non seulement jaccélérais le mouvement, mais je le faisais un peu brutalement, voulant savoir jusquoù elle était capable daller, se donner sans réserve et en vouloir encore ou tout dun coup se rétracter et fuir,
enfin me faire comprendre que jétais allé trop loin. Au début, bien écartées, elle avait replié les jambes, puis reposant ses pieds sur le lit à chaque coup de queue, elle se cambrait : « Oui,
continues,
jaime te sentir,
tes un peu brute,
oui,
jaime,
fais moi des souvenirs,
» et rapidement elle partit : « Oui,
encore,
continues,
ne tarrêtes pas,
je sens que ça vient,
OOOOHHHH,
OUIIIIII,
OUIIIIIIIII,
» En même temps elle écarta les jambes et les referma brutalement sur mes reins, les bloquant de telle façon que bloqué dans son minou, je le remplissais de ma semence.
Puis elle se relâcha et je basculais de coté. Elle mit quelques minutes à reprendre son souffle et posant sa main sur sa chatte, elle sembla faire des contractions abdominales et sécoula de sa chatte du sperme que jy avais laissé en jouissant dans son fourreau. Elle recueillit quelques gouttes du bout de ses doigts et me regardant, les porta à sa bouche, quelle se mit à sucer. Le réveil se mit à sonner, (je lavais programmé pour 20,00 h) ce qui nous fit sursauter et réalisant lheure, elle se rhabilla rapidement alors que je passais un caleçon. Un dernier corps à corps et elle partit.
admin
Jan. 31, 2023
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