Mes Professeurs De Plaisirs - Chapitre 4
Semaine de cours barbante mais très bonne coté évaluation. Le retour au bureau se fera dans une bonne ambiance.
Lundi il nest pas encore 9 h, je passe au vestiaire. M. Bruno me demande de passer. Jentre dans son bureau. Nous faisons le point de ma semaine de cours comme tous les lundis après ma semaine dabsence. M. Bruno mannonce que je vais être seule cette semaine pour tenir la place de Martine car elle est absente pour une semaine. Montée de pression. Mais les ponts de mai vont maider à faire passer cela rapidement. M. Bruno me demande de lui faire parvenir tous mes travaux pour le valider.
Jallume mon ordinateur. Et je vois un mail de Martine avec toutes les consignes de la semaine. Je suis rassurée car la plupart des dossiers sont traités. Je nai quà traiter et redistribuer les courriers. Gilles me fait parvenir un dossier avec quelques documents à mettre en forme. Je transmets mon travail à M. Bruno. La journée se poursuit, et je bloque sur une procédure. Je demande à M. Bruno de me guider. Il me montre la démarche et me dit que nous nous verrons à 17h30.
Lheure de ma convocation sonne, je toque au bureau. Jentre et reste à attendre.
- Ma petite Maggy, le document de ce matin ne me convient, jai dû apporter des corrections que Martine naurait pas laisser passer. Donc je te retransmets le dossier et jaimerais pouvoir le signer ce soir car demain je ne serais pas présent avant la levée du courrier.
Je sors du bureau, et me met à la tâche immédiatement pour revoir les documents. 18h30, les collaborateurs quittent le cabinet. Je nai pas encore fini. M. Bruno mappelle à linterphone.
Je quitte mon bureau et je vais voir ce que veut M. Bruno.
- Où en es-tu ?
- Il me reste deux documents à revoir M.
- Bien, tu me les présenteras et tu prendras soin de fermer la porte avant de venir me voir.
- Oui M.
Presque une heure plus tard je finis le boulot et me rend dans son bureau.
- Maggy, alors cette première journée seule ?
- Stressante M. car livrée à moi-même.
- Bon, le bilan nest pas mauvais, tes copies étaient correctes mais tu nas pas été assez pointilleuse. Comment te faire comprendre que tu dois être plus attentive ?
Je baisse la tête, je nose pas ouvrir ma bouche.
- Bon dans un premier temps tu vas te montrer gentille.
Je savais que jallais faire des heures supplémentaires pour le plaisir. Du moins je le sentais.
- Allez à genou.
Sans me faire prier je me pose sur le tapis. M. Bruno approche et son sexe déjà bien raide et dur me le présente devant ma bouche. En bonne élève je débute la fellation, appliquée et savante jusquà lexplosion de son propriétaire. Soigneuse, javale son sperme.
- Parfait, cela tavait manqué ? Au fait tu nas toujours de petit copain ?
Un peu honteuse, javoue que cela mavait manqué et que non je nai pas pris le temps dy penser mais que pour le moment je nen éprouve pas le besoin, car avec M. Bruno et Martine je suis bien entourée.
- Parfait, jai envie de te faire franchir une étape. Je sais que ton souhait est de rester vierge. Tu le resteras mais jai envie dexplorer ton autre possibilité.
Je suis un peu surprise par cette demande mais je me doutais que le cadeau de Noël nallait pas rester un accessoire décoratif dans mon sac à main.
- Donne-moi ton cadeau de Noël et présente-moi tes fesses nues, installe-toi dans le canapé.
Me voici à genou, je prends mes fesses à pleine main et je les écarte pour lui laisser libre, à son regard, ma rondelle. Il approche et commence à le caresser. Je sens du froid coulé entre mes fesses puis un doigt étaler cette substance. Il me montre le cadeau et lenduit de gel. Puis le pose sur mon anus.
- Te sens-tu prête ?
Sans autre forme de réflexion, jaffirme mon attention de passer à lacte.
- Détends-toi, laisse-toi aller.
Je sens le métal froid sur mon illet, petit à petit par de court va et vient il dilate doucement mon anus.
- Félicitation ma chérie, tu vas le conserver le plus longtemps possible. Si tu peux toute la nuit. Sauf si tu dois le retirer pour tes besoins et que tu narrives pas à le remettre.
Je quitte le bureau, gênée dans ma démarche, je passe au vestiaire passe mon doigt sur ma raie pour constater sa mise en place. Je quitte le cabinet. Je reste debout dans le bus de peur de massoir et de sentir lobjet disparaitre ou tomber. Je mempresse denvoyer un SMS à Martine pour lui annonce mon dépucelage anal. Elle me répond avec un emoji daubergine et une tête qui rigole.
Voilà, encore un apprentissage extra professionnel. Je rentre, je file dans ma chambre pour me mettre à laise et prendre ma douche. Je retire ce jouet non sans une appréhension. La sensation est étrange. Je pose lobjet du plaisir sur le lavabo et me glisse sous la douche. La porte souvre, je réalise que là cest le drame. Ma mère sans énervement me dit
- Il va falloir parler.
Je ne sais plus où me mettre. Je fini ma douche, me saucissonne dans ma serviette, tire-bouchonne mes cheveux. Je me dirige vers le salon. Ma mère mattend, et la première question est :
- As-tu perdu ton pucelage ?
Évidemment je réponds non.
- Bien, mais où ou qui ta procuré ce plug ?
Je vois bien que ma mère nest pas novice. Je lui explique très vite mes 7 mois dapprentissage. Ma mère est sur les fesses. Mais je crois que la plus surprise sera moi après les aveux de ma mère. Qui pour me permettre mon intégration, elle donner de sa personne, me passant les détails. Et cest ainsi que je compris le choix de sa tenue le jours de la signature du contrat et de mon éviction savante par Martine du bureau.
Une chose de faites, maintenant plus besoin de trouver des excuses pour mes retards après le boulot, et encore moins pour mes escapades chez Martine. Maintenant faut que je réussisse à remettre en place le jouet. Dur, même bien salivé. Je menquière des conseils de Martine qui sera de grand conseil car je nai pas de lubrifiant artificiel chez moi et je ne mouille pas assez. Jai du mal mais le plug reprend sa place en moi. Je mempresse de lui raconter également la conversation que jai eu avec mère.
Mon éducation anale se poursuit, Martine et M. Bruno sapplique à me rendre accessible. Jai eu droit dêtre voyeuse aux plaisirs donnés à Martine par M. Bruno, et inversement. Quand je vais chez Martine, elle me travaille lanus, car pour mes 17 a, Martine ma dit que M. Bruno aimerait me sodomiser. Jai un peu dinquiétude, car le sexe de M. Bruno est très large et dune longueur correcte.
Le jour de lété est là, mes 17 ans aussi, je me sens prête, mais inquiète, à recevoir mon cadeau. La journée se passe mes collègues me fête mon anniversaire et une petite cagnotte réalisée par mes collègues mest remise autour dun gâteau que javais ramené. La fin de journée arrive. Les bureaux sont fermés. Passage au vestiaire, petite toilette intime et pour moi particulièrement ma rondelle puis nous entrons dans le bureau de M. Bruno.
- Bon Mesdames, mettez-vous à laise.
Martine et moi, retirons nos vêtements. Martine reste en pj bas et ses talons et moi mes dim up et mes talons.
- Maggy, va te mettre dans le canapé et offre tes fesses à Martine. Martine prépare-la.
Martine apporte un soin particulier à mon petit trou, le rosebud fait place à un gode dont la taille me semble respectable au ressenti de la pénétration. M. Bruno fait face a moi, son sexe en érection quil mordonne de sucer. Je mapplique à bien saliver son membre car je sais ou il va finir et je souhaite satisfaire mon boss.
Bien dur et bien raide, il tourne autour du canapé, Martine, quant à elle, amuse mon trou et ma fente de sa langue.
- Félicitation Ma chère Maggy et joyeux anniversaire. Merci Martine. Donc une nouvelle étape de validée, parfait. Pour remercier Martine, occupe-toi delle, je veux lentendre jouir car il me semble que vous vous connaissez de mieux en mieux.
Martine sinstalle dans le canapé et moi entre ces cuisses, accroupis, je la lèche et lui caresse le clito. Avec ma position, mon anus pas encore totalement refermer je sens quelque chose séchappe de mon cul. Martine jouit assez rapidement. Nous prenons congé jusquau lendemain.
Une nouvelle étape, pas la plus plaisante et jouissive, mais ma reconnaissance du plaisir de moffrir à la « perversité » de mes professeurs. 17 ans et déjà je me sens salope, une sensation qui ne me déplait pas
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