Comment J'Ai Chiennisé La Meuf De Mon Pote, Le Commencement
Avant de débuter cette histoire, je tiens à préciser que jen ai changé les prénoms. Certains secrets doivent rester bien gardés.
Bientôt la fin de semaine. Départ ce week-end avec deux amis direction le fin fond de la Bourgogne où un pote et sa femme ont posé leurs bagages depuis peu. Ensemble depuis 7 ans, les tourtereaux ne semblent pas vivre une idylle sans nuage. Après un crochet de trois années par Majorque, ses eaux cristallines et ses folies nocturnes, le retour en France, dans un bled paumé a eu raison de leur vida loca. Leurs potes si prompts à se pointer pour faire la fiesta en Espagne nont pas daigné venir faire un coucou depuis leur installation il y a déjà huit mois
. Dailleurs nous sommes les seuls à descendre pour son anniversaire mais peu importe, ça lui fera du bien, son moral semble dans les chaussettes. Le dépaysement et labsence de travail lui font accuser le coup, le poil quil se trimballe dans la main depuis des années fait le reste. Pour elle cest une autre histoire. Infirmière, elle na pas eu de problème à trouver de boulot et son planning est bien chargé. Nos relations nont jamais été extraordinaires mais pas non plus pitoyables. Un différent il y a une dizaine dannées lorsquelle sortait avec un autre mec a laissé des traces mais elle noubliera pas que celui avec qui elle fait sa vie, je lui ai présenté. Pour la petite histoire, Sonia est la sur dun bon pote à moi, vous comprenez mieux pourquoi je préfère rester discret. Bref, revenons à nos moutons. Je vous ai planté le décor. Lheure est venue pour nous de prendre la route. Du 93 à la Bourgogne le chemin ne prend pas beaucoup de temps, jalterne le volant avec Thomas tandis que Farid pionce à larrière. A peine arrivés Sonia et Smaïn nous accueillent avec le sourire, on sent que notre présence lui fait un bien fou. Alors que sa petite femme multiplie les allers-retours, il nous confie son spleen, « jai limpression que je vais mourir ici, y a rien à faire ».
Sonia ne ma jamais plu. Attention, elle nest pas moche, loin de là, elle a même beaucoup de succès auprès des hommes, mais je dirais simplement quelle nest pas mon type. Dune taille normale, 1m67 je dirai, elle a une corpulence très fine, des fesses pas assez prononcées pour moi et surtout de petits seins. Je suis un amoureux des fortes poitrines, et ce détail a toujours été rédhibitoire à mes yeux. Sans oublier que cest la sur de mon pote et la meuf dun ami
Ses cheveux, mi-long, décolorés, surplombent un visage doux aux traits parfois tirés. Sa minceur et la pâleur de sa peau lui donnent, par instant, de faux airs des amatrices de crack qui arpentaient le canal gare Saint-Denis la nuit. Jimagine que durant leur séjour espagnol ils nont pas du se priver pour toucher à toutes sortes de substances mais comme le disaient les plus connus dentre nous, cela ne nous regarde pas. Souvent habillée de manière « masculine », elle nest pas une grande adepte des robes que ses formes rachitiques peineraient à mettre en valeur. Pour ne pas déroger à la règle, elle porte un jeans et un sweat à capuche Champion. Vous le connaissez tous, le bleu foncé avec le logo au milieu, jai limpression quil me suit depuis le collège.
Après avoir pris lapéritif sur la terrasse, rendez-vous est pris dans le salon de cette vaste maison. Les bouteilles déjà bien entamées, se vident vitesse grand V. Heureusement Thomas ne boit pas dalcool, et je reste raisonnable, pas envie de finir à 4 pattes au dessus de la cuvette des chiottes, jai connu ça étudiant, plus lâge pour ces bêtises. Sonia, Smaïn et Farid nont pas le pied sur le frein, bien au contraire, et à minuit tous les trois sont dans un été second. Ils grimpent sur les chaises, mettent le son à fond et chantent à pleins poumons.
Déjà 4h du matin. Si les langues se sont déliées ce soir, la fatigue commence à nous rattr. Thomas qui semble avoir des vues sur Sonia finit par jeter léponge et rejoint Farid dans la chambre. Je reste dans le salon et commence à ouvrir le canapé lit aidé par Sonia qui me ramène des draps. Je massois un instant dessus et elle me rejoint, tout proche de moi. Elle commence à me parler de leur arrivée, de leur couple qui bat de laile, de leur sexualité médiocre, de son envie de faire un gosse alors que lui nen veut pas pour le moment
. Comment lui dire poliment que jaspire juste à dormir quelques heures. Je ne trouve pas les mots alors je lécoute et plus elle parle plus jai le sentiment quelle se rapproche. Et sans savoir pourquoi ni comment nos bouches se retrouvent lune sur lautre. On sembrasse allègrement, elle passe ses mains sur mon corps, mon torse, elle retire mon t-shirt. Je me retrouve torse nu et je la repousse. « Stop, faut quon arrête tout de suite ». « Pourquoi ? Jen ai envie depuis longtemps, je ne pensais pas que toi aussi ». « On sest juste embrassé, on est pas allé trop loin encore. Et qui te dit que jai envie ? ». Elle sourit et pose sa main sur ma braguette gonflée à bloc, elle commence à me déboutonner, jenlève sa main. « Faut quon arrête là Sonia, va fumer une clope, réfléchis à tout ça et nallons pas plus loin ». Elle recule presque résignée, sans doute aussi vexée, se lève et traverse le couloir pour sortir de la maison fumer sa clope. De mon côté je bande comme un âne et je nai quune envie, aller la rejoindre et la défoncer comme une chienne mais hors de question, je ne peux pas. Je reprends mes esprits, je me mets en boxer et je me glisse sous le drap sur le canapé. A ce moment javoue que je me taperais bien une queue histoire de faire redescendre la pression mais si elle venait à repasser à ce moment là
Je vais mabstenir.
Quelques minutes plus tard jentends le bruit de la porte, elle revient dans le salon.
Trois mois plus tard, Smaïn et Sonia sont de passage sur la région parisienne pour passer du temps en famille. Ils en profitent pour venir faire un crochet à la maison prendre le café. Aucune nouvelle de Sonia depuis la fameuse soirée. A leur arrivée, ils semblent mieux, elle sourit et ne semble plus gênée pour un sou. Tant mieux, javais peur que ça laisse des traces. Alors que Smaïn reste à lintérieur à discuter avec Thomas qui nous a rejoins, je sors sur la terrasse avec Sonia qui veut fumer une clope. On discute de tout et de rien puis elle met les pieds dans le plat, « tu repenses à ce quil sest passé ? ». « Oui ça marrive, je pense quon a bien fait
», « je ne sais pas mais je tavoue que je narrête pas dy penser, je veux aller plus loin ». Silence. « Tes avec mon pote et
», « on va bientôt se séparer, on ne partage plus rien. Là jai juste envie de toi ». « Ecoute, tu as mon numéro ? Si tu veux plus tu sais où me joindre mais attention, je vais pas te ménager ». « Cest ce que je veux ». Toc toc toc, je me retourne, Thomas tape à la fenêtre, mon téléphone à la main. Je rentre pour répondre.
Deux jours après je reçois un SMS, « Hello, je me lance, cest quand tu veux, où tu veux ». « Je ne vais pas te ménager je tai dit, ça sera pas trois secondes avec moi ». « Je veux que tu fasses de moi ta chose ». Elle venait dactiver les mots magiques, le retour en arrière nétait plus possible.
Les jours qui suivirent cet échange ne firent quactiver la tension sexuelle qui existait entre nous. Mon pote passait désormais au second plan, et son frère que je voyais régulièrement ne changeait pas la donne. Elle poussait le bouchon, se plaignait régulièrement de labsence de sexualité ou de rapports ridiculement courts, me caressait dans le sens de la queue
Rendez-vous fut pris au B&B à côté de chez moi un mardi midi. Alors que je préparais le lubrifiant et la boite de 12 la veille, voilà que la neige est annoncée. En ce matin du 7 février 2018, pour ceux qui sen souviennent, la région parisienne a été enveloppée comme rarement auparavant. Je lui envoie donc un message, « on va peut-être décaler, tu ne vas pas te taper la route », « je suis déjà en chemin, ça va le faire, je serai là », de la pure motivation mon gars. Je termine de me préparer et je mets les Tim de rigueur, impossible de prendre le scoot sauf si je veux me casser la gueule sur mon parking. Pas de voiture à cette époque, pas grave, jen ai pour 20mn à pied, le jeu en vaut la chandelle.
A peine arrivé dans la chambre je la sens plus intimidée, « cest la première fois que je fais ça tu sais
». Ouais ouais. Ni une ni deux je la choppe par la taille pour lui prendre la bouche, elle se laisse faire et me donne sa langue. Nos salives se mélangent, je caresse son petit cul serré par un jeans délavé, son string rouge tente de sen extirper. « Je vais faire de toi ma pute ! ». Ni une ni deux je la descends à genoux, sors ma bite, « allez suce salope ! ». Aucune hésitation, elle avale ma queue comme une glace, la bouffe littéralement. Elle crache dessus, passe sa langue des couilles jusquà mon gland en me lançant un regard de chienne. Je latt par les cheveux pour lui baiser la bouche, de plus en plus rapidement puis à toute vitesse. Elle respire à peine mais ne rechigne pas, elle me surprend même en lavalant presque jusquaux couilles sans vomir. Je latt par les cheveux pour la faire monter sur le lit. Je retire son jeans, lui laissant juste son string rouge assorti à son soutien gorge. Sa peau est si pâle, à chaque gifle que je dépose sur ses fesses, une trace rouge apparaît. Allongé sur le lit je la fais sucer et elle ne semble pas prête à arrêter. Pendant quelle continue son ouvrage, je caresse son cul, puis je retire son string. Elle dégouline, des gouttes coulent le long de ses cuisses et viennent former une petit cercle sur la couette bon marché de cet hôtel premier prix. Je rentre un doigt, puis deux, elle continue de sucer. Jen mets un troisième et commence mes allers retours tout en stimulant son clito. Elle gémit mais continue de pomper allègrement. Et dire que son mec ne voulait pas quelle le suce
Elle lèche, avale, nettoie ma queue pendant que je continue de la doigter. Ma main droite attaque désormais son anus, je glisse un doigt qui a du mal à passer lobstacle du sphincter, elle pousse un râle mais ne dit rien. Elle se met même à redoubler dardeur pour pomper ma queue. Je fais des petits allers retours et lorsque le doigt entre, jen profite pour mettre un second pour un troisième. Je me retrouve à lui mettre trois doigts dans chaque trou à toute vitesse, et son assurance pour me pomper seffrite aussi vite que sa chatte coule le long de mon bras. Jen peux plus, je la retire, jenfile une capote et je la fais grimper sur moi, « déhanche-toi sur ma queue sale pute », « allez plus vite ». Elle gigote dans tous les sens alors que sa chatte continue de couler de manière incroyable. Je la tourne et claque son cul de plus en plus violemment à chaque fois quelle sempale sur mon pieu. « Oh oui, aaaaaahhhhh ». Elle sécroule sur moi. Sept ans dabstinence donne un orgasme en moins de 5 minutes. Je la décale sur le lit, elle est avachie sur le dos. Je retire la capote, je lui fais lécher ma queue puis javance et je lui présente mon trou du cul, « nettoie salope », « jai jamais fait ça » dit-elle dans un murmure avant de glisser sa langue dans mon anus et de le récurer de fond en comble. Pendant quelle découvre les joies de lanulingus, jatt un nouveau préservatif. A mon tour de mamuser. Je latt violemment par les cheveux, « aiiie », « ta gueule ! ». Je la balance sur le sol où elle se retrouve à 4 pattes sur la moquette usée du B&B, je commence à la pilonner si violemment quau bout de 15mn dacharnement elle sécroule une première fois, ses genoux nont pas supporté le choc thermique après sept années de précocité. Je la remets en place et je présente mon gland à lentrée de son cul, « vas y doucement, ça fait très longtemps », jentre difficilement le bout de ma queue, fais un premier aller mais la préparation naura pas suffit. Je ressors, crache dedans et mets deux doigts, « oh oui
. », je sors le lubrifiant, jen dépose une bonne dose et je continue les allers retours avec mes doigts. Lorsque je sens son cul plus dilaté, je remets ma queue qui continue dêtre dure comme de la pierre. Cette fois plus aucun problème et je men donne à cur joie. La pauvre encaisse mes coups de brutes alors que ses jambes flageolent de plus en plus, ce qui ne lempêche pas de gueuler à pleins poumons désormais, « oh oui !!! Défonce moi le cul !!! Je suis ta chienne !!! Encore !!! Salis moi !!! ». Ces encouragements me mettent en transe, je la détruis littéralement, je la tire par les cheveux, je la gifle tout en lui démolissant son cul qui ne semble vraiment pas habitué. A chaque fois que ma queue ressort, la capote devient de plus en plus brune. La miss naura rien préparé pour loccasion, faudra lui dire pour la prochaine fois. En attendant ça ne va pas mempêcher de continuer de la fracasser. Elle sécroule sur le sol mais je continue, encore. Hors de question de marrêter maintenant. Allongé sur elle, je lécrase de tout mon poids, continuant inlassablement de lui matraquer le cul. Je lui crache sur sa gueule en même temps, et lui fait lécher la moquette. Elle nen peut plus, essoufflée, elle sexécute et le spasme anal qui secoue tout son corps me fait comprendre quelle vient davoir un orgasme par le cul. Je me retire, jette la capote dans un coin de la pièce, mapproche de son visage collé à la moquette pour tout lui cracher dans la gueule. Elle tourne à peine la tête quune première giclée latteint au dessus de lil, puis une deuxième directement dans sa bouche, une troisième lui recouvre le visage pour terminer. « Nettoie sale chienne ! ». Elle sexécute sans un mot, nettoie ma bite et les gouttes tombées sur le sol. Hum, quel potentiel de chienne, il va falloir pousser un peu plus le truc la prochaine fois.
Cet après-midi là je lai baisée encore 3 fois mais la pauvre narrivait plus à tenir le rythme. A son retour chez elle, elle mavoua quelle avait failli sendormir plusieurs fois dans la voiture sur le chemin jusquen Bourgogne. « Désolé pour les traces, la prochaine fois je ferai le nécessaire ». Les traces ? Lol. Jai cru quelle avait mangé au KFC avant de venir ! « Achète une poire à lavement et une laisse pour la prochaine fois. Et désormais appel moi maître. On va instaurer des règles ». « Daccord maître, à vos ordre ». Le dressage ne faisait que commencer
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