Coréenne 2

Après la superbe pipe que ma chère colombienne m'avait prodigué j'étais sur mon petit nuage. Je ne pris même pas la peine de me rhabiller, il faisait chaud, encore dans un état de plaisir, bref le pied. Je fermais les yeux pour me remémorer le moment ou j'avais jouit dans sa bouche, son regard...hmmm vivement son retour que je lui rende la pareille. Perdu dans mes pensées je ne fis pas attention quand une jeune femme espiègle pénétra dans l'appartement avec un immense sourire.

-Tu parles d'une tenue. Tu compte rester comme ça toute la journée ?

J'ouvris mes yeux. La coréenne était la, regard pétillant et ronronnant presque comme un chat devant une souris. Elle était habillé de vêtements d'un gris délavé et usé qui renforçait sa silhouette frêle.

-Si j'avais su que tu serais ici je me serais complètement mis à poil plutôt. Comment es tu entrée ?
-Ta colombienne n'avait pas envie de te laisser seul, et surtout elle m'a proposé de me rencarder avec ta kenyanne avec des ballons à la place des seins.
-Ah, ce n'est même pas pour moi ?
-Oh non. Elle s'approcha de moi en minaudant, levant les yeux comme pour réfléchir, Pour qu'elle obscure raison voudrais je bien de toi ?
-Il me semblait que tu avais un amour propre à combler...en plus du reste.Tu ne m'en veux donc pas de t'avoir prise comme une soumise et de m'être branlé sur ton visage ? Disant cela j'ôtais rapidement mes vêtements pour me retrouver nu face à elle, jambes écartées ostensiblement.
-Rêve pas. Tu as juste profiter de la situation. Je vais te baiser si fort que c'est moi qui vais t'encastrer dans le canapé. Elle s'installa accroupie sur moi, son délicieux visage en face du mien, son haleine de pomme verte m'arrivant aux narines. Je te laisserai même pas demander pardon.

J'allais pour l'embrasser mais elle se recula prestement. Elle défit rapidement les boutons de sa veste en jean qu'elle balança à l'autre bout de la pièce.

En dessous un débardeur gris que je voulus enlever mais une tape de ses mains me consigna à simplement caresser ses cuisses et ses jambes. La jeune ingénieure se dégagea un petit peu pour que je puisse être aux première loges quand elle défit les boutons de son jean. Elle eu plus de mal pour l'enlever, surtout que je ne l'aidais pas mais elle finit finalement en petite culotte. Mon sexe avait bien repris de l'ampleur et c'était un délice commun que de le sentir contre ses cuisses et le tissus.

-Maintenant le spectacle, imagine la musique et interdiction de te branler.
-Tu sais tu ne me fais pas tant d'effet que ça.
-Redis ça quand tu te seras jouis sur les cuisses.

Elle se mit debout devant moi entama un strip-tease des plus chauffant. Elle enleva son débardeur d'un seul geste souple et l'envoya négligemment dans un coin du salon. Je devinais sa poitrine sous son soutient gorge aussi gris qu'une souris et ma bite réagit en se dressant comme un mat. Se tournant ensuite elle me mit son joli petit cul à quelques centimètres, le temps d'enlever ses chaussettes, puis se redressa en se caressant sensuellement. Elle pouffa devant mon air plus qu'impatient et dégrafa son soutient gorge, de dos toujours, puis le lança dans un autre coin de la pièce. Ses bras était en croix pour me masquer l'objet de mon désir immédiat. Prenant un air d'adolescente délurée elle fit une moue puis écarta les bras bien haut, exposant avec une certaine joie sa poitrine menue, mais bien proportionnée. A ce moment la mon mat était devenu un véritable rostre et je n'avais qu'une envie, rentrer en elle. Je me souvenais encore de la manière dont j'avais pris mon pied avec ma belle dans le laboratoire.

Ma coréenne glissa sensuellement ses mains le long de son corps, se caressant à peine et furtivement la poitrine. Elle joua avec sa petite culotte durant un moment qui me parut bien bien long. Elle fit mine de la descendre, puis non, puis un peu, hop on remonte. Mais le désir d'être nue fut le plus fort et elle fit glisser son dernier vêtement le long de ses jambes fuselées en une seconde.Enfin face à moi dans sa splendide nudité elle prit un moment pour regarder ma bite dressée comme la tour de Pise

-J'adore cette partie la.
-Je m'en souviens encore. Tu comptes en reprendre ?
-Hmmm pas encore. Et j'ai envie de commencer vite.

Elle se mit sur moi et je crus qu'elle allait s'empaler sur ma queue, mais avec sourire elle se décala au dernier moment commença à bouger le long de mon membre avec ses lèvre. C'était très stimulant mais aussi très frustrant. Elle m'embrassa avec force, me plaquant contre le canapé et m'empêchant de bouger. Elle avait carrément ma bouche pour y rentrer sa langue et sentant que je perdais pieds elle se mit à accélérer le long de mon de sexe en frottant de plus en plus contre mon gland.

Quand je me disais que c'était insupportable et que je voulais qu'elle me baise pour de bon elle s'empala enfin sur moi avec un soupir de plaisir.

-Ah oui ! Hmmmm je la sens bien, ta queue est pile comme il faut.
-Je dirai bien la même chose mais tu me fais pas trop d'effet la.
-Ah oui ? Et LA, LA, LA et LA !

Elle ponctua chacun de ces la par des grands coups de reins qui me firent arracher des cris. Elle continua de me sonner ainsi à coup de bassin, je ne pouvais que subir ses assauts qui ne semblaient pas l'épuiser pour un sou. Prise dans la folie du moment elle me donna même une gifle.

-C'est autre chose que le labo n'est ce pas ? Vas y mon soumis hurle !

Je serrai les dents et tentai de me rebeller mais peine perdue, c'était juste trop bon. Je continuais de crier en sentant mon orgasme dangereusement approcher. Mais avec ma bite malmenée comme elle l'était ce n'était même pas la peine de penser le refréner.

-Arrête je t'en prie ! Je vais jouir !

Ma coréenne s'arrêta un moment...et se mit à bondir sur ma queue brusquement !

-Aaaaaah !
-Hahahaha ! Tu cris comme une donzelle ! Elle se soulevait et retombait à un rythme infernal, me faisant parfois quitter son antre pour mieux s'empaler. Je parie qu'aucune nana t'a autant dominé ?
-Ah...Oui t'es en tête !
-Cool ! Tu seras un bon soumis pour ta maitresse ok ? Elle approcha son regard de braise, me faisant frissonner. Son souffle rauque fouettait ma peau et à part une mince pellicule de sueur elle ne semblait pas moins en forme qu'au début de sa chevauchée fantastique.
-Alors la va te faire foutre salope ! Attend que je te démonte la bouche et la chatte !

Je crois que je dus l'énerver pas mal. Elle hurla « Ah oui ? » et me donna une gifle monumentale qui me fit voir trente-six chandelles. Ma très fougueuse amante se déchaîna, elle ondulait comme un serpent, non, comme un arc qui se tendait avant de relâcher sa puissance, et la la sentais bien ! En moins de deux minutes elle me fit jouir, bondissant pendant que je me vidais en elle. Le supplice ne s'arrêta pas la car elle n'avait pas encore jouit. Elle resta à me démonter au moins 5 bonnes minutes, malmenant ma queue sensible comme pas permis avant de se redresser et de hurler de plaisir.

Ma coréenne appuya ses mains sur mes épaules pour rester à peu près en place. Ses cheveux courts bien ordonnées étaient en bataille, ce qui lui donnait un petit air sexy ma foi. Elle écarta ses mèches et pouffa en me regardant.

-Eh bien mon chéri, on peut dire que c'était mémorable.
-J'ai même pas eu l'occasion de me rebeller. T'es une tueuse.
-J'avais un club de sport près de chez moi, j'ai eu tout ce qu'il fallait pour m’entraîner.
-A ce point ?
-Bon j'exagère, souvent c'était moi qui subissait le démontage en règle. Je me souviens d'un mec qui m'avait enculé sous la douche...heureusement avec toi ça passera mieux.
-C'est un compliment ?
-Oui ! T'imagine pas à quel point c'est horrible quand elle est beaucoup trop grosse. Faut trouver un juste milieu. Par contre niveau endurance....
-Oui oui je sais. Mais ensuite je dure bien comme il faut..
-Ouais je sais aussi.

Elle se dégagea de mon pieux ramollit et se rhabilla vite fait.

-Tu pars déjà ?
-Non. J'ai juste la dalle. J'ai vu un resto chinois pas loin, je vais chercher de quoi bouffer.
-Attend je viens, je connais d'autres coin ou on pourra prendre des trucs.
-Ok, je me recoiffe et on part. Au fait les cloisons sont bien isolées ?
-Oui pourquoi ?
-Parce j'ai pas finit de te faire crier aujourd'hui mon grand...