Chapitre Un
Chapitre 1
6 Juillet. (séance 5)
Le matin, il mavait dit : « Ce soir, 19 heures, dîner à la maison, tenue publique ». Bien sur, j'avais acquiescé. Avais-je le choix?
Tenue publique fait partie du vocable du contrat : Petit haut boutonné sur le devant, jupe courte, escarpins noirs. Evidemment, aucun sous vêtement sauf ordre contraire. Jai eu tout le temps nécessaire pour me préparer. Une douche minutieuse, un lait légèrement parfumé pour le corps, quelques retouches épilatoires, maquillage, coiffure.
Le dress code » tenue publique » me laisse quelques options, jupe plus ou moins courte, haut plus ou moins transparent. Voyons
Dîner à la maison: Je pourrais peut être me permettre une petite initiative en portant un chemisier très fin, à peine opaque, qui laisserait entrevoir mes seins. Jhésite
Et me ravise. La consigne est simple et ne laisse aucune place à limprovisation. Je reste donc dans les clous avec une mini-jupe à volants qui marrive un peu au-dessous des fesses, et un chemisier à boutons cintré mais somme toute, assez pudique.
Tout en m'habillant, mon esprit vagabonde. Dans quoi étais-je embarquée? Quelle imbécile ! La vie aurait pu continuer à être simple et agréable. Pas de gros moyens, mais beaucoup de temps libre. Alors pourquoi cette bêtise, il y a environ un mois, cet adultère, qui avait failli ruiner mon couple et ma vie. Sept ans damour, de connivence et bien sûr, de fidélité. Quest ce qui ma pris !
De labattement, il était passé à la colère, puis aux décisions : séparation, vente, divorce. Heureusement, aucune progéniture, cest déjà ça. Bien penaude et paniquée par sa détermination, javais tenté de relativiser, de faire peser ces sept années sans accros. Sans aucun succès.
Il est 19 heures. Cest lheure, je descends.
Comme à chaque fois, un sentiment menvahit. Lappréhension : je nai aucune idée de ce qui va se passer.
Jai mis au point une technique : Je respire profondément, je vide mon esprit de toutes préoccupations matérielles, je rentre dans une espèce détat second dans lequel je deviens un objet, une chose qui ne mappartient plus.
Je suis en bas, je traverse lentrée, la porte vers la pièce à vivre est ouverte. Il maccueille.
« Tu es très belle ma chérie ».
« Merci » (ça fait toujours chaud au cur de lentendre quand cela vient de lhomme quon aime)
« Tu es prête ? Tu peux encore faire marche arrière, tu le sais »
Oh, oui je sais : séparation, vente, divorce. Pour une marche arrière, c'en est une. Mais bon, je my étais mise toute seule dans cette situation.
Et puis, pour être honnête, au fil des séances et grâce à ma technique de relaxation, il mest arrivé de prendre du plaisir. De plus en plus même. Ben oui ! Ça y est je lai dit. Bon, cest compliqué : Bien sûr, ce chantage, cette domination quil exerce sur moi me dégoute. Mais
cette attention quil me porte pendant les séances pour que je nai jamais froid, pour que les douleurs qui me sont infligées soient non seulement supportables mais même excitantes, pour que je me sente belle et désirée à tout instant, m'ont fait revoir mes aprioris.
« Je suis prête » Je respire profondément.
Au rez de chaussée, lentrée donne sur la pièce principale qui comprend une vaste salle à manger avec cuisine intégrée et un petit salon contigu. La table est longue, massive. Elle peut recevoir jusquà huit convives. Trois fenêtres souvrent sur la rue, distante de quelques mètres de pelouse. Il sassoit.
« Alors nous allons commencer ! Position n°1 ! »
Depuis un mois, même à raison dune fois par semaine, jai eu le temps de les apprendre ces positions.
Position n° 1 : Je me tourne vers lui, je baisse les yeux, je mets mes deux mains sur la tête, jécarte légèrement les jambes. Ne jamais avoir les jambes serrées.
« Oui monsieur ! »
Je fais le vide dans mon esprit. Je ne pense plus qua sa voix, aux ordres quil me donne, et à la façon dobéir au plus près de ses attentes et même, si je peux, un peu au-delà.
Ah oui ! Pendant les séances, je suis sa chienne, sa salope et sa pute. A loccasion, je suis également sa pisseuse et sa suceuse. Cette vulgarité et ce manque de respect ont étés spécifiés sur le contrat que jai signé. La première fois, ça fait drôle. Je me suis dit : cest fini ! Il ne maime plus du tout et même, il me déteste pour minsulter de la sorte. Jai vécu lenfer pendant toute la première séance, persuadée que cétait la fin de notre amour.
« Bois un verre deau ! » Ah ? Bon !
« Oui Monsieur ! »
Le verre est là, sur la table. Il lavait déjà mis en place. Curieux ! Je bois puis je reprends la position. Je navais pas vraiment soif mais la température est en hausse et ce verre deau ne ma pas fait de mal.
« Place toi devant la fenêtre, ouvre les rideaux et retrousse ta jupe pour que je puisse voir tes fesses ! »
« Oui Monsieur »
Javance vers la fenêtre, je tire les voilages d'un côté puis Je relève le pan arrière de ma jupe et le bloque sous la ceinture pour bien dégager les fesses. Je remets les mains sur la tête.
Nous sommes en été, il est 19 heures et il fait grand jour. Je sais que je suis visible de lextérieur. Rien de bien méchant puisque, de la rue, on ne doit voir que la partie haute de mon corps à partir du nombril et mon chemisier est tout ce quil a de plus correct. Quand même, sil y a des passants, ils doivent se demander ce que je fais dans cette position.
Ah Oui! Toujours le contrat : jai des seins de chienne, une chatte de salope, des fesses et un petit trou de petite pute.
« Je suis une bonne petite pute ».
Me voilà donc face à la fenêtre, mains sur la tête et le postérieur à lair. Dans cette tenue, je me sens terriblement exposée, je sens le regard de mon homme sur mes fesses et un petit courant dair me rappelle que je ne porte pas de culotte.
Dordinaire, je veux dire, dans la vie de tous les jours, je ne pense pas à mon corps dun point de vue « érotique ». Cest même le contraire : mon corps et plus précisément les zones dites érogènes me donne plus de tracas que de plaisir. Je moblige à porter un soutient gorge alors que je nen ai nul besoin, je me rase intégralement vite fait parce que sinon, dans les vestiaires, les autres femmes trouveraient que je suis négligée, je mets une culotte parce quil le faut, donc je mets un vieux machin.
Je suis tentée de relever les yeux pour voir sil y a des passants, mais je m'abstiens. Pour que cela fonctionne je sais quil faut que je respecte les ordres et que je me concentre dessus. Alors, voyons :
1- Il mexpose à la fenêtre : je redresse ma position pour faire ressortir mes seins. Il y a peut-être des gens dehors mais je ne regarde pas. Tiens, le tissu a encore glissé sur mes tétons.
2- Il ma fait relever ma jupe pour voir mes fesses : je me cambre et jécarte un peu plus les jambes. Je sais quil apprécie quand je fais du zèle. Sil sassoit, son angle de vue étant plus bas, il pourra voir au-dessous de mes fesses le renflement de ma chatte.
Que fait-il ? Jentends des bruits de cuisine, le tintement de verres. Cest un apéritif quil prépare ? Apparemment puisquil découpé des tranches de
.
Ah ?... Une caresse dans le dos. Plus exactement, une légère griffure qui partait de la nuque et allait mourir sur les reins. Je frissonne malgré une température ambiante au-dessus de la moyenne.
Dordinaire, disais-je, je ne pense pas à mon corps dun point de vue érotique. Mais dans cette situation, je sens que mes fesses sont nues et exposées, je sens que mes seins saillent sous le tissu et que cela se voit de la rue, je sens lair circuler sur chaque millimètre de mon entre jambe mais surtout, je sais que mon homme nen rate pas une miette et que surement, je le fais bander.
Aaaah!
Faire bander les mecs !
Evidemment, pour une femme, cest plutôt flatteur ! Quelque part cela veut juste dire quils te trouvent désirable. Sauf que : si tu fais quoi que ce soit de manière « intentionnelle », tu nes plus « désirable » tu es une allumeuse. Et ça, chez les femmes encore plus que chez les hommes, cest très, mais alors TRES, mal vu. De nos jours, il est quasi obligatoire de se raser le sexe, de porter des ficelles à la place des slips, de passer une heure à se maquiller, mais ça, ça nest pas pour plaire aux mecs, non !... Cest parce que cest plus hygiénique, plus fun, plus tendance. Comment sy retrouver ?
Là, au moins, les chose sont claires. Dans ce jeu, il me fait comprendre quil a envie que je me comporte comme la dernière des chiennes et que ça lui plait.
Le mois dernier, pendant les trois premières séances, il ma fait apprendre :
Les 5 positions.
La façon de mhabiller, de masseoir, de faire pipi.
Les réflexes de langage que je devais adopter.
Le tout avec des différences selon que lon est en public ou en privé.
Il a aussi ajouté des options sur la grille adjointe au contrat avec des cases à cocher. Par défaut, tout était sur : « Jaccepte », mais au fil des séances javais modifié :
Port de pinces sur les seins : Jaccepte X Ca mexcite
Port de pinces sur la chatte : Jaccepte Ca mexcite X
Port dun rosebud : Jaccepte X Ca mexcite
Claques sur les seins : Jaccepte X Ca mexcite
Claques sur les fesses : Jaccepte Ca mexcite X
Claques sur la chatte : Jaccepte Ca mexcite X
La grille sétait étoffée au fil des semaines :
Martinet sur les seins : Jaccepte X Ca mexcite
Martinet sur les fesses : Jaccepte Ca mexcite X
Martinet sur la chatte : Jaccepte X Ca mexcite
Port dun collier de chien : Jaccepte X Ca mexcite
Être promenée en laisse : Jaccepte X Ca mexcite
Boire dans une gamelle : Jaccepte X Ca mexcite
Une nouvelle rubrique « exhibition », était apparue cette semaine.
Être nue devant un inconnu : Jaccepte X Ca mexcite
Séance devant un inconnu : Jaccepte X Ca mexcite
Être nue devant un inconnu ? cela me terrorisait. Si javais pu, jaurais tout de suite cocher « Je naccepte pas » si la case avait existé, mais malheureusement, cela ne marchait pas comme ça. Autant dénoncer le contrat tout de suite et cétait hors de question. Javais fait une grosse bêtise, il me fallait maintenant en payer le prix et jétais là devant la fenêtre, les mains sur la tête et les fesses à lair à attendre la suite.
Entre deux séances, jai le droit de demander à modifier la grille mais de toutes façons, en dernière instance, cest lui qui décide.
Le collier par exemple, cétait un de ces colliers pour chien en cuir noir qui me serrait le cou en me donnant une désagréable et permanente sensation détranglement. Javais demandé à en changer. Jespère que
Toc Toc Toc ! Je sursaute.
Tout sentrechoque dans ma tête : Si quelquun est arrivé jusqu'à la porte dentrée, cest quil est passé devant la fenêtre et quil ma ment vue, les mains sur la tête et les seins en avant. De là où il est maintenant, la porte dentrée étant vitrée, si celle de la salle à manger est restée ouverte, il a vue sur mes fesses. Mon mari : daccord mais un inconnu, cest autre chose. Je lutte pour ne pas méchapper. Les secondes sont des heures.
« Fais redescendre ta jupe et tourne-toi. Position n°3 ! » Ouf !
Je rajuste ma jupe, me retourne, Il est déjà dans lentrée. Je nai pas entendu la porte intermédiaire souvrir. Aie ! Ou alors, la porte était restée entrouverte et il na eu quà la pousser pour rejoindre lentrée. Impossible de savoir.
Je suis dos à la fenêtre. Position n°3 cest la position dattente en public : Yeux baissés, bras croisés derrière le dos, jambes légèrement écartées. Je me félicite davoir choisi le chemisier opaque.
Mon mari ouvre la porte: « Entre Laurent ! Juste à lheure »
« Woua ! Quelle vue ! » s'exclame le nouvel arrivant.
Le sang me monte à la tête. Est-ce quil parle de mes fesses ?
« Je ne savais pas que tu étais si proche de la plage »
Ouf! Il parle de la maison. Depuis le décès de ses parents, la maison familiale est inoccupée et mon homme est venu lhabiter en attendant de régler notre histoire. Devant les fenêtres, un peu de pelouse, la rue et un peu plus loin, la mer.
La voix de mon chéri:
« Tu permets ? Jai un mot à dire à ma femme »
Il revient vers moi. Je pourrais voir relever les yeux et essayer de lire sur le visage de Laurent sil ne ma pas vu à moitié nue. Je lutte.
« Va faire un tour jusquà la plage, garde la position et marche doucement ! »
Ce disant, il défait le bouton supérieur de mon chemisier qui déjà nétait pas fermé jusquau col. Ce bouton en moins cest déjà beaucoup moins correct. Si je me penche, on peut voir mes seins par lencolure et si je
. Quest-ce que ? Un autre bouton. Cette fois, le chemisier est ouvert à moitié. Nul besoin de me pencher, le simple fait davoir les bras croisés dans le dos écarte le tissu et dévoile ma gorge jusquau nombril. Les deux pans du vêtement cachent à peine les tétons et je vais devoir passer devant un inconnu qui ma peut-être déjà vue les fesses nues. Je passe pour une sacrée salope. Ah Oui, cest vrai ! Cest le but. Il va falloir que je minterroge sur la définition de ce mot : Salope. Dans certains cas cest une insulte, dans dautre cest un compliment
. Compliqué. Mais ça nest pas le moment. Jai reçu un ordre, jobéi, cest simple.
« Oui Monsieur »
Toujours les yeux baissés, je passe devant Laurent qui sefface. Jai limpression de sentir le feu sur mes seins. Je sors et contourne la maison.
Aie! Ma gorge se serre en constatant que de l'autre côté de la rue, le terrain vague qui descend vers la plage n'est pas désert: Des véliplanchistes utilisent l'espace pour démonter leur matériel.
Je comprends maintenant la rubrique "exhibition".
Le savait-il que je devrai passer devant au moins trois inconnus ? Bien sûr que oui ! Il avait vu, lui, par les fenêtres, que le terrain d'en face était occupé . Il avait évalué ma jupe, déboutonné mon chemisier. Il mavait mise en position n°3, les bras dans le dos, sans aucune possibilité de retenir les pans de mon chemisier ni ma jupe légère et il m'avait donné l'ordre d'y aller.
Chaque épreuve que je surmonte est pour lui un gage damour et cest de ma faute sil en a tant besoin. Il ne cherche pas à mavilir mais il adore me mettre dans ces situations embarrassantes, mexhiber, comme on expose un beau bibelot chez soi et quon est fier de montrer. Je sais quil me trouve belle alors je veux quil soit fier de moi. Donc, jy vais.
Je traverse la rue et très vite je me retrouve en prise avec les courants dair qui singénient à dévoiler les parties les plus intimes de mon corps. Par moments, je sens larrière de ma jupe se soulever jusquà la taille puis se rabattre pour me claquer les fesses. Un pan du chemisier est parti sur le côté, mettant presquà nu mon sein gauche.
Je lutte pour ne pas replier les bras sur ma poitrine, retenir la jupe qui senvole, mais je sais que de la fenêtre, il prend plaisir à me voir ainsi, obéissante et soumise. Je suis sa chienne, sa salope, sa pute.
Malgré mes yeux baissés, je sens les regards des planchistes qui m'ont, bien sur, repérée dès mon arrivée. Ils semblaient pourtant avoir fort à faire avec leurs planches et leurs voiles mais avec ces courants d'air, ils ont changé de centre d'intérêt
Je sens le rouge me monter au visage. Bon sang! Je me promène quasi les fesses à l'air !
« Marche doucement ! » Avait-il dit.
Alors j'obéi: J'essaie d'adopter la démarche nonchalante de celle qui se promène tranquillement mais, bien sûr, cela ne trompe personne. Les escarpins, le chemisier ouvert jusqu'au nombril, les bras croisés dans le dos: Ils ont vite compris que j'étais là pour tout autre chose, alors ils ne se privent pas de me mater sans aucune gêne.
En temps normal, je suis dun naturel plutôt prude. Me retrouver, comme ça, dehors, à moitié nue nétait pas fait pour mexciter. Il y a un mois, jaurais été morte de honte, imaginant que tout le monde me prenait pour la dernière des salopes ou pire si cest possible. Maintenant, cest différent : Ça me fait peur, mais ça mexcite en même temps. Jai vu des tas de femmes sur Uporn qui font bien pire pour faire plaisir à leurs maris et sûrement, se faire plaisir elles mêmes.
Mais quest-ce que je fais ! je réfléchis trop ! Pour que ça marche, il faut que je me concentre sur les ordres. Je lai signé ce putain de contrat ! Et pas en cinq minutes : Deux jours !
Deux jours à discuter de chaque terme, à remplir des grilles de ce qui mattendait. On ne peut pas dire que jai été prise en traître.
Jarrive au bout du terrain vague, après cest la plage. Je doute quil ait envie que jaille plus loin puisquil ne me verrait plus. Je sais quil veut me voir. Pour profiter du spectacle certainement, mais aussi pour assurer ma sécurité.
Je respire profondément, je vide mon esprit etc
etc
.. et je fais demi-tour.
Sur le retour, avec le vent dans le dos et sans avoir esquissé le moindre geste pour me couvrir, la jupe sest plaquée sur mes fesses et les pans du chemisier se sont presque remis en place. Jai cru pouvoir palper la déception chez les planchistes qui continuaient à m'observer. Je commençais à me rasséréner mais c'était un peu trop tôt. En effet, dans ce sens là, c'était le devant de la jupe qui devenait fou et, sur tout le trajet; l'étoffe se soulevait et offrait la vue sur ma chatte parfaitement épilée.
Il est bien léger ce tissu ! Je ne me souviens pas que... Ca y est, j'y suis! La doublure a été enlevée. Je sentais sans comprendre qu'il y avait quelque chose d'inhabituel dans ce vêtement. Mon mari a retiré la doublure pour le rendre plus léger. J'ai malgré moi un petit sourire attendri en l'imaginant s'affairer sur le vêtement en espérant atteindre ses objectifs. Le moins qu'on puisse dire c'est que c'est réussi! Au moindre courant d'air il s'envole.
J'ai, l'espace d'un instant, levé le regard vers un des planchistes. Il avait un petit sourire aux lèvres l'air de dire: " Alors, tu fais la pute pour ton mec? Ca te plait ? Ca fait mouiller ta petite chatte?"
J'ai honte et en même temps je suis assez fière d'être capable de le faire. Surtout, je sais que mon homme est aux anges alors je bombe le torse sur les derniers mètres qui me séparent de la maison. Après tout ce ne sont que des inconnus et je ne les reverrai sûrement jamais.
Je me demandais maintenant ce qui allait se passer. Il avait dit à Laurent : « juste à lheure » donc cette visite était prévue. Qui était ce Laurent ? Ça yest ! Je recommence à me poser des questions. Ce nest toujours pas le moment. Jai été une bonne soumise, jai répondu aux ordres de mon homme, je nai pas triché, je nai pas levé les yeux, je nai pas essayé de me cacher des regards des inconnus. Je peux être fière et rentrer près de lui.
Je frappe à la porte. Ben oui ! Ça nest pas chez moi, ni chez nous dailleurs. Cest une sorte de terrain neutre où ont lieu nos séances depuis un peu plus dun mois, une fois par semaine, le temps de régler nos affaires. Cest pratique : ici et alentour, personne ne nous connaît.
Il vient mouvrir :
« Viens nous rejoindre au salon ! »
«Oui Monsieur ! »
Je traverse lentrée, la salle à manger. Laurent est assis au salon, un verre à la main, je suppose quil me regarde, je ne sais pas, jai les yeux baissés. Un autre verre est posé sur la table basse, à la place que doit occuper mon mari. Vite je revois le contrat dans ma tête.
En public, je dois masseoir en relevant discrètement larrière de ma jupe de façon à ce que mes fesses soient à même lassise. Ensuite je dois écarter légèrement les jambes et, quand cest possible, faire en sorte quil ait vue sur ma chatte.
Je cherche donc un siège qui fait face à mon chéri.
Comme par hasard, c'est un tabouret qui à été placé là. Un hasard? je ne pense pas! Avec un fauteuil, mes gestes auraient été dissimulés par les accoudoirs mais avec un tabouret... Pas moyen.
Je m'assieds et relève larrière de ma jupe dans un seul mouvement. Avec un peu de chance, si Laurent regardait ailleurs, il ny a vu que du feu.
Le cuir est un peu froid. Je ne risque pas d'oublier que je ne porte de culotte mais je suppose que c'est le but. Le devant de ma jupe est remonté sur mes cuisses. Pour Laurent qui est à ma droite, le tissu cache mon intimité mais pour celui qui est en face, la vue est imprenable. Jécarte un peu les jambes pour respecter le contrat. Toute à mon calcul, javais un instant oublié que mon chemisier ouvert ne cachait pas grand-chose, surtout pour quelquun situé sur mon côté. Je sens de nouveau le rouge monter à mes joues. Je respire profondément. Je place les bras le long de mon corps et les mains posées à plat sur les cuisses. Je ne cherche pas à cacher mes seins, cest interdit.
Mon mari revient avec mon cocktail préféré quil pose devant moi.
« Ou en étions-nous Laurent ? Ah oui ! Tu tes mis au tennis la semaine dernière ?» Raconte !
Laurent semble gêné :
« Oui
mais
excuse moi, mais
.. Tu ne mas pas présenté ta femme. Cest bien ta femme
enfin, cest bizarre
.. »
Je prends une gorgée de ce cocktail, je prends bien le temps davaler pour ne pas m.
Mon chéri, très à laise :
« Quest ce qui est bizarre ? »
« Ben.. Tu fais sortir ta femme dès mon arrivée sans même me la présenter. Ensuite tu passes ton temps à la fenêtre, et puis quand ta femme revient, tu ne me la présentes toujours pas et puis il y a
. »
« Il y a quoi ? «
« Non rien, mais bon cest bizarre
et puis elle ne dit rien »
« Je comprends, je te dois des explications : Ma femme et moi avons mis en place un jeu selon lequel, à certains moments, elle doit se soumettre à certaines règles. Ce soir est un de ces moments. Mais si ça te gêne, je peux lui demander de se retirer dans une chambre et nous passerons la soirée tous les deux. »
Curieusement, jai envie de tout sauf ça. La soirée toute seule dans une chambre ? Non merci !
J'écarte un peu plus les jambes et je remonte le devant de ma jupe le plus haut possible pour signifier à mon homme que je suis prête à faire tout ce qu'il veut.
Laurent reprend :
« Je ne comprends pas : certaines règles ? comme quoi par exemple ? Cest un truc à la Christian Grey ou je sais pas quoi ?»
Mon homme opine :« Oui si tu veux. Cest un jeu à connotation sexuelle. »
Il ressert son invité
« Je te passe les détails, mais elle a accepté, à certains moments définis à lavance, dobéir à tous mes ordres. Sans discuter. »
Je ne vois pas Laurent mais je sais quil me regarde. Incrédule.
« Tu veux dire que tu peux lui demander tout ce que tu veux et quelle va accepter ? Mais je croyais que ta femme était médecin ou un truc comme ça ».
Mon chéri ne relève même pas.
« Cest ça ! Tu veux voir une démonstration ? »
Un ordre fuse : « Mets-toi debout. »
« Oui Monsieur ! » Ma jupe est sympa, elle est, semble-t-il, redescendue toute seule.
« A quatre pattes et viens vers moi !»
D'accord ! Donc, cette fois ci, je passe pour une salope devant un de ses amis. Dailleurs, un ami ? cest curieux ! Au bout de sept ans de vie commune, je croyais tous les connaître. Je respire profondément, je vide mon esprit.
« Oui Monsieur ! »
Je suis une bonne soumise obéissante : je pose les genoux puis les mains au sol et javance lentement à quatre pattes vers lui. Je prie pour que ma jupe couvre bien mes fesses. Laurent est maintenant juste derrière moi. Nimporte quelle femme dans cette situation aurait passé une main derrière elle pour vérifier que la jupe était bien en place et même tirer un peu sur le tissu. Moi je nai pas le droit. Si elle sest mal repositionnée, joffre actuellement une vue sur mes fesses et ma chatte à un parfait inconnu. Un peu comme tout à l'heure avec les planchiste sauf que là, je suis à quatre pattes et que surtout, il est à moins d'un mètre de moi. S'il tendait la main, il pourrait...
Bon sang! Me voilà maintenant à m'imaginer me faire pelotter par un mec dont je n'ai même pas vu le visage.
Une fois à destination je pose ma joue sur la cuisse de mon homme.Cest le moment décisif. Si Laurent soffusque, tout se termine là, mais j'en doute. Effectivement, il s'ébahit:
« Oui Monsieur ? Woua !!! ça a lair trop cool »
Ah ! ces mecs, ils sont tellement prévisibles.
La voix de mon mari: « Tu veux essayer ? »
Tu parles Charles. Bien sûr quil veut essayer.
Il se lance :
« Euh
Met-toi debout et Euh
.Lève une jambe !»
« Oui Monsieur » Je me lève, me retourne vers lui, je lève la jambe droite et je suis comme ça : une chose, un pantin, une esclave. Tiens pour un peu, je trouverais ça drôle et même ridicule. Mais je sais quon en est quau début.
Mon homme intervient :
« Enlève ton haut. Position n°1 ! »
Je repose ma jambe, je défais les deux derniers boutons, je retire mon chemisier. Je me cambre pour bien faire ressortir les seins et surtout je noublie pas de dire, puisquil sagit de mes seins :
« Je suis une petite chienne »
Jai les yeux baissés mais je devine un air ébahit sur le visage de Laurent. En tous cas, il ne dit mot.
Cest la première fois que je montre ostensiblement mes seins à un inconnu. Pendant sept ans mon mari na pas cessé de me dire que jétais jolie. Il est vrai que je suis assez grande, mince, jai les traits du visage fins et harmonieux, les yeux bleus, une chevelure blonde et longue, jai, je crois, tous les archétypes de la beauté. Enfin tous ? Peut-être pas. En effet, daucun dirait que ma poitrine manque dopulence. Je remplis à peine ce bonnet B dont, de toutes façons je nai nul besoin et que je ne porte plus que très rarement.
Mon mari reprend le contrôle : "Mets-toi en mode privé ! et position n°3 !»
« Oui Monsieur ! »
Purée ! Là cest autre chose. Le mode privé cest entièrement nue.
Les seins daccord, parce-que bon: Il ny a pas si longtemps, toutes les femmes étaient seins nus sur les plages, mais là, je vais dévoiler ce que jai de plus intime, ma chatte, mes fesses enfin tout quoi. Et puis cette satanée mode de lépilation intégrale. Plus nue cest impossible. Mais bon ! Jai signé.
Au moment de déboutonner ma jupe, une vague de chaleur me monte au visage.
Je suis folle, je vais le faire. Je fais glisser la jupe jusquaux chevilles, puis je me penche, jambes tendues, pour ramasser le vêtement que je dépose sur un fauteuil. Ca y'est, je suis complètement nue.
Position 3 : les bras croisés derrière le dos.
Je reprends lentement ma respiration. Les jambes un peu écartées, contrat oblige, joffre une vue intégrale sur tout mon corps et ils ne doivent pas sen priver. Mes seins et ma chatte sont exposés dans les moindres détails. Je reste comme ça un bon moment pendant que les hommes discutent.
« Alors Laurent, quest-ce que tu en penses ? »
« Ben
Elle est super belle ! »
« C'est-à-dire ? »
Je vois ou il veut en venir. Je suis là, entièrement à poil devant eux et ils vont se mettre à parler de mon cul. Comme si on était à la foire aux bestiaux.
« Ben
moi jaime les seins pas trop gros alors
et puis elle est entièrement épilée, on voit tout »
Les entendre parler ainsi des parties intimes de mon corps commence à méchauffer malgré moi et je sens comme une moiteur à lentre jambe. Il a dit : « on voit tout ». Ça veut dire quil a bien regardé tous les détails de mon minou ? Mon Dieu, si ça se trouve, ça se voit que suis humide. Quelle salope je fais !
"Que veux-tu dire par on voit tout?"
Laurent s'explique: "Ben... Avant, le sexe d'une femme, c'était principalement une touffe de poils à travers laquelle on ne distinguait rien, mais maintenant c'est la petite bosse du mont de Vénus puis la fente avec le renflement des deux grandes lèvres et même un peu des deux petites qui dépassent en dessous"
En effet, rien ne lui échappe et 'entendre donner des détails aussi précis me donne des frissons sur tout le corps. Et puis cette émotion dans sa voix. On jurerait qu'il parle d'une oeuvre d'art. C'en est touchant. J'ai presque envie qu'il se mette à parler de mon clito.
Mon homme enchaîne: « Position n°2 ! »
Je ne sais pas si cest le cocktail ou la situation, mais jai lesprit un peu embrumé. Heureusement, jai un moyen mnémotechnique pour les positions. On part du haut vers le bas :
1 la tête. ( les mains sur la tête )
2 les seins. ( je présente mes seins en les soulevant par-dessous avec les mains )
3 le dos. ( bras croisés dans le dos )
4 la chatte. ( je présente ma chatte en lécartant avec les deux mains )
5 les fesses. ( je me penche en avant et je présente mon petit trou en écartant les fesses avec les deux mains )
Numéro deux, cest présentation des seins. Allons y.
« Oui Monsieur ! » Je passe mes mains sous les seins, je les soulève et les tends vers lavant. Cest la position quil a inventé pour la pose des pinces.
Cest bien ça, les pinces sont là, dans les mains de mon homme. Il a choisi celles avec des grelots. Quand je les porte, je les entends tinter, me rappelant que jai des seins de petite chienne qui bougent au gré de mes mouvements, et quand je me fais prendre en levrette, le tintement se fait entendre de façon encore plus nette et jadore ça. Elles sont réglées pour pincer juste ce quil faut pour exciter mes tétons sans provoquer de vraie douleur.
Une petite morsure à droite, une autre à gauche. Elles sont posées.
« Merci Monsieur, Je suis une bonne petite chienne ».
Jai rajouté un « merci » je sais quil apprécie.
« Position n° 4 ! »
Je sens que je vais avoir droit à la totale. La n°4 cest présentation de la chatte. Deux autres pinces ? ou alors un doigt pour constater si je mouille.
Je connais la procédure : Javance le bassin pour faire ressortir la vulve, jécarte largement les grandes lèvres et je noublie pas de dire, sagissant de ma chatte :
« Je suis une bonne petite salope »
Dans cette position, jexpose carrément mon clitoris. Je lai senti quand jai écarté les lèvres, il a frémi et cette onde est remonté dans mon dos. Jai senti un creux dans mon bas ventre. Un doigt se promène à lentrée de mon vagin, cest mon homme qui vérifie. Le doigt rentre facilement, je suis plus mouillée que je ne pensais. Le doigt bouge, je sens tous les contours de lintérieur de ma chatte et je me prends à avoir envie de quelque chose de plus gros. Cest plus fort que moi, je laisse échapper un petit gémissement de plaisir. Ça nest pas le tout de le dire parce que jy suis obligée par contrat, mais Je suis officiellement, car devant témoin, une vraie salope.
Le doigt fait des va et vient et dans le même temps le pouce de mon homme appui fortement sur le clito en le massant. Ça y est ! Cest les chutes du Niagara.
Quand il retire son doigt, il est trempé.
« Merci Monsieur »
« C'est bien ! Maintenant : finis ton cocktail »
« Oui Monsieur »
Il saisit mon verre sur la table basse et me donne à boire.
C'est le faire de boire tout en m'écartant les lèvres de mon sexe qui m'ont fait comprendre: Ca n'est pas le but de menivrer, il a une autre idée en tête.
Non ! Il ne va pas faire ça ? Je vais mourir de honte.
Laurent, qui maintenant ne regarde plus que moi, veut en savoir plus :
« Mais comment vous en êtes venus à
Enfin à ça ? »
Mon homme explique :
« Disons que nous avons mis en place ce jeu pour diversifier notre vie sexuelle. Nous sommes en phase de découverte. Cest un jeu dangereux pour des personnes qui saiment et on se demande si tous les fantasmes sont faits pour être réalisés ».
« Et elle ? elle en a des fantasmes ? »
Elle y réfléchit
Pour linstant, je suis entièrement nue, les jambes écartées, la chatte ouverte, en présence de deux hommes habillés qui discutent tranquillement. Je suis un objet sexuel exposé, dont ils vont profiter toute la soirée. Bien sûr, je devine les regards, je sais que mon corps est lattraction, jentends que lémotion est dans les mots et je me surprends à me demander si ça nest pas moi qui mène le jeu. Etonnement, ça nest pas ça qui mexcite. Je nai nulle envie de dominer deux hommes. Ni même un seul dailleurs. Moi, mon homme, je veux quil soit mâle Alpha, que ce soit le meilleur, le plus fort
Alors ce nest pas pour lattacher et lui donner le fouet ou lui enserrer les parties génitales dans un carcan hérissé de pointes.
Non ! Je nai pas envie de mener ce jeu : Ce doit être fatigant dhourdir des plans, de passer des annonces, dorganiser des rencontres. Bénie soit la testostérone. Pour ma part, faire la gazelle effarouchée, traquée et abusée par des prédateurs, cest ça qui me fait mouiller. Jen ai presque honte. A notre époque où le féminisme est roi, sexuellement, cest en étant la proie que je me sens vibrer.
En parlant de vibrer, cest autre chose qui marrive maintenant et cest normal avec tout le liquide que jai ingurgité : jai envie de faire pipi.
Dans le contrat, pendant les séances en privé, quand jai envie duriner, je dois dire :« Je suis une petite pisseuse ».
Ensuite, deux solutions : soit il me met un collier et une laisse pour m'emmener à quatre pattes faire sur la pelouse, soit il me demande daller chercher ma gamelle pour faire pipi dedans, devant lui.
Le collier, la laisse, la gamelle cest un truc quil ma fait faire à la troisième séance. Après mavoir mis un collier de chienne, il a rajouté une laisse et il ma fait faire tout un tas dexercices à quatre pattes en me guidant avec des petits coups de cravache sur les fesses. Jai appris par exemple à manger et à boire dans une gamelle pour chien posée à terre, les coudes au sol, les fesses très relevées, les jambes très écartées, cambrure maximum. Vu de derrière, ce doit être un régal. Enfin bref
Pour le moment, Je ne tiens plus. Jattends une pause dans la conversation et je dis :
« Je suis une petite pisseuse »
Laurent manque de s' avec un gâteau apéritif.
Mon homme doit sourire.
« Va chercher ta gamelle »
Je ne sais pas lequel est le pire. Faire pipi debout devant un étranger ou aller dehors, tenue en laisse, pour me soulager à quatre pattes. De toutes façons, le choix ne mappartient pas. Je me lève, je vais chercher la gamelle dans laquelle jai mangé et bu pendant la troisième séance, je reviens et je minstalle debout devant mon homme.
« Je pense que Laurent aimerait aussi en profiter »
Je recule et me tourne un peu vers Laurent pour quils soient tous les deux aux premières loges. Jécarte les jambes, javance le bassin. Dune main je dégage les lèvres de ma chatte pour quelle soit bien ouverte et de lautre main je positionne le récipient entre les cuisses.
En termes dhumiliation on est bien ! Me retrouver dans cette position est très, très gênant. Déjà que Laurent avait tout vu de mon corps mais là je lui mettais carrément mon clito sous le nez et je m'apprêtais à me soulager comme la dernière des chiennes.
J'ai du mal à décontracter mes sphincters. Le regard des deux hommes est rivé sur ma chatte béante et c'est pour le moins embarrassant. Et si j'en mettais partout ? Je me rassure en me disant que le fait de bien séparer les lèvres avec les doigts devrait résoudre le problème.
Jexerce une profession médicale, jai fait des études, passé des concours. Jai une vie normale avec une famille, des amis, des collègues : Quest-ce que je suis en train de faire ? Cest sexuel, cest ça ? Cest vrai ! Le sexe cest à part de tout. Des linstant ou on est entre adultes consentants on peut se lâcher. Mais quand même !
Ah ! ça vient. Le jet est dru et résonne dans la gamelle en métal.
Les hommes se taisent, captivés par le spectacle que je leur donne. Cest moi qui mène le jeu ? Non ! je nai pas envie, moi je fais la chienne, la salope, la pute.
Le contrat : Quand jai fini, je messuie avec mes doigts et je dis :« Je suis une bonne petite pisseuse » ensuite jattends un ordre. Quelque fois, il peut se passer plusieurs minutes et je dois rester dans cette position extrêmement humiliante, bassin en avant, un bol sous la chatte et les doigts mouillés de mon pipi.
Je compte les secondes. Jai honte, mais je sais que mon homme jouit de cette situation et ça me plait de lexciter.
Au bout d'un moment: « Va ! »
Je me redresse, je vais vider et nettoyer la gamelle dans les toilettes, je me lave les mains. Jentends la conversation dans le salon. Cest Laurent :
« Ben mon salaud, tu temmerdes pas. Et ça va jusquoù votre histoire ? »
Ça, jaimerais bien le savoir ! Daprès le contrat, il nest pas question davoir une relation sexuelle avec un étranger, pas de gang bang ou autre partouse. Il na pas été prévu que je me fasse sauter par qui que ce soit dautre que mon mari.
Jai confiance en lui. Je reviens vers le salon.
« Position n°5 ! »
Je révise. Voyons
. Mnémotechnie, 1 2 3 4, 5 cest la présentation des fesses. Jambes écartées, penchée en avant, les deux mains écartent les fesses. Cest la position idéale pour la pose dun plug anal par exemple. Cest ça, mais vers qui ? Sur le contrat, je dois toujours, sauf indication contraire, privilégier mon homme. Mais tout à lheure, pour faire ma pisseuse, il a souhaité que Laurent profite du spectacle, donc je me mets dos à eux deux, je me penche, jécarte. Je sens mon petit trou qui se détend. Il ny avait plus que ça que Laurent navait pas vu en détail : Ma rondelle en train de se dilater. Eh bien comme ça, il maura vue sous toutes les coutures.
Je tiens la position. Je mattends à recevoir le rosebud dans mon cul, et là, contre toute attente :
« Ça ma fait plaisir de te revoir Laurent. Une prochaine fois, plutôt quun apéritif, on dîne au restaurant ? »
Laurent est cueilli, mais, bien élevé, il fait semblant que tout est normal :
« Oui moi aussi
Bla Bla
Bla Bla
.. » Et ce jusquà la porte , « Bon ben Salut » Le voilà parti.
Je ne sais pas lheure quil est. Peut-être 20h 30, jai limpression que la séance est terminée. Mon mari range les verres et les bouteilles. Je suis toujours dans le salon en train de mécarter les fesses.
Et quand est-ce quil me baise ?
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