Aveux Et Enterrements

Nous étions nombreux ce 31 juillet pour suivre le corbillard amenant Charles, 85 ans vers sa dernière demeure, j'étais aux côtés de Charles encore un mais celui-là bien vivant et mon mari depuis plus de 40 ans. Pour faciliter la compréhension du récit, j'appellerai mon mari Charly. Rapidement après notre rencontre très vite fusionnelle mon chéri m'a dit qu’il voulait partager sa vie avec la mienne mais que je restais libre sexuellement car il ne voyait pas comment on pouvait rester fidèle toute une vie. Bref, j'ai eu des amants, certains d'un jour où d'un soir, d'autres de longue durée. Les 2 Charles étaient issus d'un même petit village dans les Alpes et souvent on voyait le défunt bien vivant alors pendant nos vacances dans ce village de ma belle-famille. Je devais avoir 27 ans environ et lui 50 lorsque pendant la fête du village j’ai eu une envie pressante et Charles m'a proposé ses toilettes juste derrière la place du village. On a commencé à faire l'amour debout contre le lavabo puis sur son canapé. J ai bien sûr raconté le tout à mon chéri Charly et avec son accord j'ai passé un après-midi avec lui dans son lit en l'absence de sa femme. Ce fut très agréable, Charles était physiquement à l'opposé de mon mari, très grand et très calme mais avec un sexe similaire au sien. Malgré notre liberté mutuelle j'ai mis 35 ans à oser raconter ce qui s'était réellement passé entre Charles et moi et c'est le soir de son enterrement que j'ai pu révéler à mon chéri l'histoire complète.
Pendant les années où nos s étaient en âge de partir en vacances avec nous, Charly prenait ses vacances au mois de juillet et nous partions au bord de la mer en variant les lieux selon les années. Au mois d'août, nous allions 2 ou 3 semaines dans son village et mon chéri nous rejoignait pendant ses jours de repos. Le 1er été où Charles avait été mon amant 2 fois, nous n'avions qu’ un , peu après nous avons décidé de faire le second, je suis tombée enceinte le mois suivant, de ce fait l'été d'après je n'avais pas complètement retrouvé ma ligne mais lorsque j'ai croisé Charles avec ma poussette, il n'a pas hésité à me complimenter sur ma silhouette avant de me proposer d'aller boire un café chez lui ( sa femme partait presque tous les après-midi retrouver de jeunes amants tout juste majeurs).

Pendant que mon dernier fils dormait dans sa poussette Charles a su me montrer que malgré ma silhouette encore déformée j’étais très désirable à ses yeux il m'a fait l'amour magnifiquement et je me suis sentie très femme lorsqu'il me baisait avec ferveur. Pendant cet été je me suis donnée à lui 4 ou 5 fois dont une dans la montagne un jour où mon amie complice s'occupait de mes s. Nous étions parti marcher vers un lac à 2 h du village et après un petit pique-nique on a fait l'amour sur une couverture au bord de l'eau. J'ignore pourquoi je n'ai pas raconté ces baises à Charly pourtant complice de mes frasques sexuelles. Le pli étant pris, pendant de nombreux mois d'août en l'absence de mon chéri j’allais retrouver Charles souvent les après-midi et grâce à mon amie qui prenait mes s chez elles pour la nuit j'ai pu aussi aller dormir avec mon amant toujours lors des nombreux découchés de son épouse. Je regagnait notre maison lorsque le village était encore endormi afin de ne pas entacher ma réputation. Durant un été je n'ai pas été sa maîtresse car j'ai été celle d'un copain de mon mari de 5 ans plus jeune que moi. J'ai retrouvé cet amant d'un été il y a 3 ans et depuis, étant divorcé et habitant à 20 km de chez nous, il est devenu mon amant régulier avec l'accord et la complicité de mon chéri. Charles a été mon amant du mois d’août pendant plus de 20 ans, des médicaments des suites de son infarctus ont mis fin à ses prouesses sexuelles mais nous sommes restés amis et complices par nos regards. Chaque année on retrouvait notre complicité, nos corps s'emboîtaient à merveille, sa langue dans mon minou me faisait partir dans des orgasmes aussi rapides qu'intenses, j'adorais sucer son sexe à genoux devant lui et fixant son regard bleu. Lors de nos 69 en général je me mettais dessus les jambes ouvertes de chaque côté de sa tête, il me léchait d'abord le minou et s'attardant longuement sur mon clito puis venait me lécher ma petite rondelle qui s'ouvrait sous les assauts de sa langue.
Ses doigts la remplaçant pour me dilater profondément. Je savais qu'en général il allait me sodomiser dans la foulée et lorsqu'il était entièrement dans mon anus, je ne disais « ça y est, le grand Charles est en train de m’enculer. J'aimais utiliser dans ma pensée ce terme que je trouvais sale mais terriblement excitant. Ce n'était pas et ce n'est toujours pas ce que je préfère mais j’ai donné en général le plaisir de la sodomie à mes amants réguliers. Charlie n’étant pas un adepte de la sodomie j'ai eu beaucoup plus de rapports anaux avec mes amants qu'avec mon mari.
Je ne sais toujours pas pourquoi je n'avais pas mis mon mari candauliste dans la confidence, il l'avait été la première année et aurait approuvé la continuation de ma liaison. D'une année à l'autre je ne pensais pas à cet amant du mois d'août et ce n’était qu'une fois installée au village que mon envie de sexe avec lui refaisait surface, je ne cherchais même pas à le voir, je savais que nos chemins allaient se croiser et que rapidement on baisserait ensemble. Même après l'arrivée d'internet et des portables on ne se contactant pas de l'année, mon mari et lui échangeaient leurs vœux de nouvel an en m'incluant dedans. Lorsque j’étais au village avec Charlie, on n'avait aucun contact si ce n’était des bises d'amis lorsqu'on se rencontrait, par contre, seule au village je savais qu'on couchait très vite ensemble.
Charles, mon mari a regretté que j’ai mis autant d’années à lui raconter toute cette liaison, c’était autant d’histoires à nous raconter pour ensuite faire l’amour ensemble très très fort, heureusement, entre deux étés j’avais de quoi le ravir car bien sûr je ne me contentais pas de cette liaison pendant quelques semaines du mois d’août.




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