Séjour En Prison
Jai la cinquantaine, une vie de famille bien rangée, 2 s presque adultes, une femme avec qui sest installée une routine quotidienne, la flamme qi nous animait à nos débuts sest fortement refroidie dernièrement.
Une petite incartade, me vaut 2 mois de privation de libertés. Me voici donc entre 4 murs partageant ma chambrée avec 3 voisins dinfortune. Il y a Pierre, la quarantaine, légèrement bedonnant et blagueur, Joseph, un metis café au lait qui oscille entre 30 et 35 ans, de taille moyenne, mais bien bâti, qui entretient sa condition physique comme il peut et Youss, diminutif de youssef, dorigine nord-africaine, qui doit avoir dans les 45 ans, grand, avec les yeux malicieux.
A mon arrivée, la cohabitation semble bonne, pas de tension, une certaine complicité mapparait entre les trois hommes. Les présentations sont faites rapidement, on mexplique également les us et coutumes de la cellule et du fonctionnement général de la prison. Enfin, on me désigne la couchette restante, en bas à droite.
Javoue que je nen mène pas large, pas fier davoir à passer des vacances aux frais du contribuable, pas fier davoir mis ma famille dans lembarras. Je suis en légère dépression, pas les conditions idéales pour affronter le monde carcéral. Pierre mexplique quil ne faut pas faire de vague, sadapter et tout se passera pour le mieux.
Le premier soir arrive, je mets un peu de temps à mendormir. Je sens le lit bouger, jentends des bruits de frottements et des soupirs, je pense que Youss, mon voisin du dessus, est en train de satisfaire un besoin hormonal. Sa respiration, quoique très discrète, devient haletante. Bien malgré moi, je sens une certaine excitation. Jai déjà eu auparavant quelques expériences avec des hommes, et ai entendu comme tout le monde des histoires sur ce qui se passait en prison
Plus tard au cours de la nuit, je me réveille et aperçois dans la pénombre Pierre, debout devant le lit de Joseph.
Tout à mon spectacle, je ne vois pas Youss passer la tête par-dessus le bord du lit qui mobserve.
Il minterpelle doucement : « le spectacle tintéresse ? ». Je reste interdit. « Ça te plait ? Tu te caresses ? »
Je ne sais pas quoi répondre et fini par lui lâcher en souriant un : « Chaude ambiance !»
Il descend de son perchoir et vient sassoir sur le bord de mon lit. « Ce sont des choses qui arrivent en prison. Il ne faut pas de formaliser. Et ici tout le monde est consentant. » Je lui réponds que je comprends. Il passe alors sa main sous mes draps et vient tâter mon membre. Excité, désorienté, je le laisse faire. Il prend mon sexe bandé et commence à me caresser. Sa main est douce, sa caresse est agréable, je le laisse faire. « Tu aimes quon te caresse ? » Je lui réponds que cest bon et que japprécie. Il prend ma main de son autre main et la dirige vers son sexe lui aussi tendu. Je passe la main sous son caleçon et le caresse à mon tour.
Pendant ce temps, Pierre et Joseph tout à leur affaire se sont rendu compte de la visite que me fait Youss. Joseph arrête sa fellation puis se retourne à genoux sur le lit, face au mur. Pierre lui malaxe les fesses, se baisse et fourre son nez (et jimagine sa bouche et sa langue) dans sa raie. Je comprends, aux soupirs que fait Joseph, quil apprécie les caresses de Pierre.
Youss baisse son caleçon pour libérer son membre et minvite à le sucer. Je ne sais pas pourquoi, lambiance feutrée, les hormones, la situation, lexcitation
Je me laisse guider vers ce membre dressé que je lèche timidement avant de prendre son gland décalotté en bouche.
Ses paroles mexistent et je poursuis ma fellation avec ardeur et application. Javoue que je suis complètement retourné, jai perdu mes repères et me laisse aller à mes envies de sexe.
Au bout dun long moment, il me dit de me mettre à genoux sur le lit face au mur et quil va soccuper de ma rondelle. Jobtempère. Il me baisse complètement le caleçon que javais gardé pour la nuit et je me retrouve nu, le cul offert. Sans perdre une seconde, il commence à me lécher la raie, laissant aller sa langue visqueuse visiter ma rondelle. Je sens un ou deux doigts sapprocher de mon trou. Puis ils sinvitent pour une visite intrusive. Japprécie sa délicatesse et son attention. Ses doigts vont masser ma prostate ce qui me procure un grand plaisir et fait monter ma jouissance. Je ne peux réprimer quelques soupirs et couinements de satisfaction. « Chutt, on va tentendre. Cest bon hein ? Je te prépare comme il faut, tu vas jouir comme une salope ! ». Je mouvre à cette intrusion, par des mouvements du bassin, je linvite à aller plus loin, plus profond.
Me sentant prêt à laccueillir, il présente son membre viril devant ma rosette, sans préservatif ! Je pousse pour aller à sa rencontre. Le gland passe dun coup. Hummm ! Cest bon mais je sens une douleur. Il temporise le temps que ma grotte se détende. Puis il commence sa progression, par petits à-coups. Lubrifiant avec sa salive, il finit par coller ses couilles aux miennes.
Je nai pas jouis !
Il se retire et je sens une autre paire de mains sur mes hanches. « Vas-y Joseph, il est chaud et lubrifié ! ». Sans protestation de ma part, Joseph introduit directement son membre, plus gros, dans ma chatte et commence ses allez et venues au fond de moi. Sa bite est dure et me laboure les entrailles. Il alterne les mouvements lents et rapides. Il se retire jusquà ne laisser que son gland puis senfonce tel un piston bien huilé dans ma chatte. Je suis au bord de la jouissance. Je bouge mes hanches et mon cul pour aller à sa rencontre. Je passe une main entre mes jambes pour bien sentir ses couilles sécraser contre les miennes.
Je jouis enfin sans me toucher et balance mon jus sur les draps.
Il finit par exploser au fond de moi ! Et me glisse des mots doux à loreille. « Humm tu as un cul denfer ! Une bonne petite femelle ! Bienvenu dans la famille ! »
Jai les jambes toutes flasques et me laisse aller sur le lit quand il se retire après mavoir lui aussi bien rempli.
Chacun regagne sa couchette et Pierre qui sétait bien soulagé dans Joseph dit « une bonne recrue, on va sentendre à merveille ! ». Puis il mexplique que ces joutes viriles sont le liant des occupants de la cellule.
Cette nuit-là, jai eu des fuites, mon cul à écoulé dans mes draps ce que je navais pas réussi à expulser dans les toilettes.
Inutile de vous dire que sans être des vacances, mon séjour en prison fut soulagé par ces moments (nombreux) de joutes entre mâles. Jai tour à tour sucé et été sucé, baisé et été baisé par chacun de mes camarades dinfortune. Toutes les tensions disparaissaient dans ces moments de « liberté » volés.
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