Solange La Bourge « Saison 3 » : Un Maçon Portugais Peut En Cacher Un Autre. (Partie 12-2/5)
Solange la bourge « Saison 3 » : Un maçon portugais peut en cacher un autre. La visite dune maison en construction (Partie 12-2/5)
Solange enseignait dans un lycée technologique, lhistoire-géo, pour des classes allant de la seconde à terminale. Qui dit lycée technologique, dit 5% de filles pour 95% de garçons en moyenne, et la totalité des enseignants de techno, atelier, était pourvus par des hommes, seules quelques femmes comme elle, enseignaient le français, les maths et lhistoire et géographie.
De toutes les professeures de cet endroit, Solange était de loin la plus jolie et surtout la plus bandantes. Le fantasme de la femme mature, pour des jeunes de 17 à 18 ans devaient tourner dans leur tête à plein régime. Les élèves de classes pour cette catégorie détude nétaient pas des lumières et considéraient lhistoire et géo assez rasantes. La classe, dont il sagit aujourdhui pour ce récit, était constituée en majeure partie de délinquants et de quelques paumés qui abaissaient considérablement le taux de réussite à lexamen. Cette histoire remonte donc à cinq ans auparavant, à la fin de la période scolaire, en juin 2015. Solange vous raconte donc ce quelle avait vécu à cette époque.
En fin daprès-midi à 17 heures, je rejoignais ma salle de classe située au bout du bâtiment, les élèves dans le couloir chahutaient comme souvent. Pour ne pas les provoquer et rester polie, arrivée à leur niveau je leur lançais des : « Excusez-moi messieurs, pouvez-vous me laisser passer ? ». Arrivée à la porte de la classe fermée à clé, je sortais mes clefs pour louvrir, lorsque je me suis sentie oppressée par quatre élèves qui se collaient à moi. Ce fut très rapide, car je navais pas eu le temps de crier, lun deux mavais mis sa main afin de me ceinturer et en plaquant son autre main sur ma bouche. Je me suis aussitôt débattue mais impossible de bouger, ils étaient bien plus nombreux et plus forts que moi, je me suis vite retrouvée à terre.
Très vite, un élève placé dans mon dos saisit mon col et dun violent coup arracha cette fermeture. Lui ou un autre malgré mes gestes avait baissé le haut de ma robe jusquau-dessous de ma poitrine, faisant du même coup une sorte de camisole à mes bras. Mon soutien-gorge fut tiré vers le bas et fit jaillir mes seins lourds de leurs bonnets.
Pendant ce temps, en me débattant de mes jambes, ma robe sétait retroussée, des mains avaient immobilisé mes cuisses tout en les écartant au maximum. Je sentis quon crochetait ma culotte au niveau de mon entre-jambes, elle fut baissée et se retrouva à mi-cuisses, découvrant ainsi mon sexe glabre. Les injures grossières fusèrent immédiatement. Des doigts mavaient fouillée, non seulement le sexe mais également mon anus, alors que dautres pétrissaient mes seins violemment. Javais même reçu des crachats, des bouches maspiraient et mordaient mes tétons
Jen connais tous les détails, car lun deux filmait toute la scène.
Tous les profs étaient en cours, javais pu rejoindre mon vestiaire sans être vue par ceux-ci, ni par les surveillants. Javais enfilé une veste sur ma robe que je ne pouvais plus fermer et jétais rentrée à la maison. Je téléphonai au secrétariat afin de les prévenir que je venais de faire un petit malaise. Je navais pas porté plainte sur le moment, car lhomme qui avait filmé la scène, mavait menacé lorsque je métais relevée. Il mavait saisi le cou dune main en me lançant « si tu dis quelque chose, tu vas te retrouver partout sur le net, tu vas faire fureur avec ta petite chatte rasée ma salope ».
Javais un gros problème maintenant, javais prévenu le proviseur de mon agression et je ne pouvais pas laisser Karim parler de cette histoire au lycée.
Je ne porte pas plainte, mais vous obtenez ma mutation dès la rentrée prochaine à Amiens.
Je désirais partir vivre là-bas avec Patrick, cétait loccasion rêvée. Le rectorat avait reçu ma demande de mutation, qui fut acceptée rapidement puisquelle était appuyée par le proviseur et un ami policier de Patrick.
Après ce viol, dont ce nom navait jamais été prononcé, ces menaces et chantage, ma mutation fut acceptée. Ayant vécue durant ma jeunesse vers Amiens, je désirais me rapprocher de cette ville. Entre mon mari et moi, nos revenus mensuels nous permettaient de rechercher une demeure assez cossue, mais le temps que ladministration se mette en branle pendant les congés scolaire malgré lurgence de cette mutation, je reçus laccord que mi-août. Il ne me restait quune quinzaine de jours pour trouver un pied à terre. Alors avec Patrick nous avons joué sur deux possibilités. La première, trouver la maison de nos rêves, toutefois avec peu despoir en si peu de temps, lautre prendre un studio ou un F2 pour quelques temps.
Patrick avait pris rendez-vous avec une agence immobilière pour seize heures trente. Nous nous rendions à ladresse indiquée. Bien que ce soit le quartier que nous désirions, nous arrivions dans une zone pavillonnaire en construction. Nous étions en avance, et quoique nous nétions pas au bon endroit, Patrick voulu voir à quoi ressemblait le projet. Après avoir parcouru une cinquantaine de mètres, il me dit :
Viens avec moi, on va voir comment cest aménagé.
Cest en construction, on ne va pas perdre notre temps à visiter des pièces vides.
On est en avance, on a le temps de jeter un coup dil, si Mathieu ou Chloé (nos s) veulent investir on pourra toujours leur en toucher un mot.
Je me résignais à le suivre, lorsque Patrick à une idée en tête, il nest guère facile de la lui ôter. Cétait un pavillon sur un étage qui navait pas de porte ni fenêtre, encore à létat brut. Lorsque nous entrions à lintérieur, un type de lautre côté de la rue nous apostropha :
Hé ! Cest interdit dentrer ! Ça devait être un maçon daprès sa tenue, au fort accent ibérique.
On veut juste regarder comment cest aménagé à lintérieur, cest tout, lui rétorqua Patrick.
Y a une maison témoin pour ça !
Le type traversa la rue et vint à notre rencontre alors que nous restions dans lentrée.
Cest interdit dentrer, réitéra-t-il lorsquil nous eut rejoint, dautant, ajouta-t-il en me considérant dun regard pétillant, que vous risquez de vous salir ma ptite dame, et avec vos talons aiguilles vous risquez de tomber.
Cest une délicate attention de vous préoccuper de ma femme Solange, cher monsieur, répondit Patrick dun air pompeux.
Puis il sengagea dans lescalier : « accompagnez-nous, et restez derrière Solange au cas où elle viendrait à se tordre le pieds en montant. » Puis sadressant à moi il poursuivit : « Ce nest pas parce que monsieur est bel homme et fort, que tu le fasses exprès pour te retrouver dans ses bras.
Ça ne me déplairait pas, ricana louvrier.
Le message de Patrick était clair, il voulait que jaguiche le type. « Soit » Me dis-je, dautant que le jeu ne me déplaisait pas, bien que lhomme fût assez petit, au visage rondouillard au teint rosi. Je suivais Patrick dans lescalier, montant les marches assez lentement, tout en cambrant mes reins afin que ma jupe qui couvrait mes cuisses à moitiés en fasse découvrir davantage au type qui devait se rincer lil.
Nous arrivions dans le couloir et mon mari se dirigea dans une pièce brute de béton et de Placoplatre qui devait être une chambre.
Dommage, dit-il en se penchant dans lembrasure de la fenêtre, il y a du vis-à-vis avec les voisins.
Et oui, il faudra éteindre la lumière pour faire la chose, railla louvrier.
Si ça se fait la nuit, mais pour nous, on na pas dheure pour baiser, pas vrai Solange ?
Je nai pas répondu, jai rejoint Patrick à la fenêtre. Il avait pris son téléphone pour appeler, il voulait joindre le type de lagence, pour le prévenir de notre retard. Quelques secondes plus tard, il me fit un clin dil complice en ajoutant :
je te laisse en bonne compagnie, je nai pas de réseau ici, je vais voir, sil y en a dehors
Dès quil fut parti, je me penchais sur le rebord de la fenêtre, souhaitant que ma position dévoilerait un maximum mes cuisses.
Cest haut ? Demandais-je. Retenez-moi, on ne sait jamais, dis-je dune intonation emplie de sensualité.
Ne vous inquiétez pas ma ptite dame, me rassura louvrier qui venait de se placer derrière moi en me plaquant ses deux mains sur ma jupe.
Oh, fis-je en sentant ses pognes, vous avez des mains dhomme viril. Je ne sais comment vous remercier de votre délicate attention.
Je me disais que ça sonnait faux, que jen faisais un peu trop, comme une comédie de boulevard, mais quimporte. Tout en restant appuyée au rebord, je me redressais, mais en gardant ma posture cambrée. Puis je fis un geste à Patrick qui était au pied de la maison, moins pour lui dire bonjour, cétait pour rassurer le portugais et lui montrer que mon mari était bien à lextérieur.
Cest vrai, ce que dit votre mari, que vous faites la chose, pas que le soir ? Osa le type.
Dune main je fis glisser ma culotte à mes pieds et jécartais les jambes et lui intima :
Oui, cest vrai. Baisez-moi.
Il eut un temps de réaction, le temps de comprendre que lun de ses fantasmes se révélait certainement devenir réalité. Il retroussa le pan de ma jupe sur mes reins et ses mains calleuses prirent la forme de mes fesses. Il déboutonna sa salopette et son sexe déjà en érection se coinça entre mes rondeurs.
Jvais me branler dans la raie de ton cul, je nai pas de capote !
Je suis saine, prenez-moi !
Il était déjà en train daller et venir entre mes fesses tout en métreignant fortement pour que je ne maffranchisse de ses coups de butoirs simulant laccouplement. Patrick me voyait depuis le jardin, ne sachant de quel orifice jouissait le maçon, alors quil ne me pénétrait pas. Très vite, trop vite, il poussa un râle et trois jets rapides de sperme épais éclaboussèrent mes fesses. « Salaud » me dis-je, il avait joui, il mavait souillé, et moi, pas le moindre frisson. Il se décolla de mon corps, alors que je restais telle quelle, étonnée de son comportement. Sa main caressa ma croupe pour lenduire de sa semence.
Tu peux revenir demain ? Jai des collègues que ça ne dérange pas de baiser sans capotes.
Ses doigts joints et englués de sperme sétaient glissés entre mes lobes et venaient lustrer mon anus.
Cest aujourdhui que javais envie, pas demain.
Sils te payent ?
Entre temps, Antonio, le collègue maçon qui cherchait José demanda à Patrick sil ne lavait pas vu :
Il est à létage, il baise ma femme. Tu veux venir ? Suis-moi.
Le maçon le regarda, les yeux écarquillés et le suivi dans lescalier.
Solange ne se fait pas payer, annonça Patrick qui venait de nous rejoindre. Alors, ten a bien profité ?
Antonio voyant le spectacle, ne perdit pas de temps, il baissa son pantalon et sapprocha de mes fesses nues. Après sêtre branlé, il frotta son sexe de bas en haut titillant mon clitoris puis de haut en bas chatouillant mon anus, quil pénétra sans retenu. José avait passé sous moi, pour me téter les mamelles et caresser mon bouton. LorsquAntonio éjacula dans mon fondement, jobtint un orgasme, je ne métais pas donnée à eux pour rien. En quittant la pièce, tandis que je me nettoyais avec des mouchoirs, sous le regard satisfait de Patrick. José avait marmonné un « salope »
Ça a été vite, on ne sera même pas en retard, dit Patrick. À mardi prochain...
Chères lectrices et chers lecteurs, jaimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.
Si comme Solange et Patrick vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email. Vous me donnez un petit résumé puis avec le jeu des questions, réponses, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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