Il Est Presque 8 Heures, On Sonne À Ma Porte...

Voici mon récit d’une histoire de bondage…

« ... Il est presque 8h. en ce début de matinée très ensoleillée et déjà très chaude pour un début de mois de juin ...
On sonne à ma porte. Je suis encore en petite tenue mais j'enfile en vitesse mon long débardeur informe, tant pis ! … que je porte habituellement pour prendre mon premier café de la journée et être à l'aise. Je vais ouvrir car la sonnerie se fait insistante. Le facteur avec un recommandé ? Un paquet ? Mais je n’ai rien commandé. Bizarre si tôt...
J’ouvre ma porte et en face de moi se tient un homme pas très grand mais les épaules larges, costaud. Même habillé je vois qu’il est musclé. Il porte un masque mais quoi de plus normal en cette triste période de Covid... ? Il a aussi une casquette rabaissée sur ses yeux dissimulant presque entièrement son visage. Je vois juste ses yeux derrière ses lunettes. Subitement il me pousse brusquement à l’intérieur. Je suis comme paralysée, totalement surprise, je ne réussis pas à dire un seul mot. Il me prend aussitôt et fermement par les bras, m'emmène et me fait asseoir de force sur une des chaises de ma cuisine. J’ai le cœur qui bat très fort, je tremble un peu…
Tout de suite il se met derrière moi et me bande les yeux avec un foulard. Encore de force il m'arrache mon débardeur en le faisant passer par-dessus ma tête. Je suis tétanisée. Mais ma première pensée est : Heureusement je ne suis pas toute nue dessous ! J’ai le souffle court. Je l’entends fouiller, dans un sac ? Je n’ose toujours rien dire ni bouger mais surtout je suis encore libre à ce moment-là et cela aura une grande importance pour la suite du déroulement de cette incroyable journée ! Je suis très loin de m’imaginer cette suite justement, sans ça je me serais levée au plus vite et je me serais enfuie sans réfléchir. Un mal pour un bien ? L’avenir me l’apprendra, me le dira... ou pas.…
Non, au contraire et contre toute logique je reste assise bien droite sur ma chaise comme une statue.

Alors il prend mes deux bras et les ramène en arrière. Je sens sur ma peau nue l’empreinte de ce que je pense être une… corde ! Oui c’est bien une corde ! La corde enserre mes bras au niveau des biceps, les entoure, se resserre toujours plus. Je devine des nœuds se faire dans mon dos… Mes bras sont maintenant ligotés serrés en arrière aux barreaux du dossier de la chaise !!! Je ne peux déjà presque plus bouger. Je reste de marbre aussi quand mon ravisseur me maintient les poignets croisés dans le dos puis les attache également et méticuleusement avec une nouvelle corde, elle aussi bien serrée et nouée. Plus encore une nouvelle corde pour attacher mes mains pourtant déjà liées, les attacher mais cette fois aux barreaux du dossier de la chaise. Il ne se gêne pas ce petit salaud pour trop bien serrer tous ces nœuds et toutes ces cordes !!
Me voici bien partie .. En plus de mes bras déjà entravés se sont mes mains qui sont doublement attachées dans le dos et à la chaise !! Je suis déjà plus que très bien ligotée je devrais dire. Rien à faire. Cependant ce n’est apparemment pas suffisant pour mon ravisseur. Et hop !.. mes chevilles sont également liées, jambes écartées, chacune à un des pieds de la chaise. Puis encore d’autres cordes, ça ne finira donc jamais ? , .. que je sens se nouer autour de mes cuisses les plaquant à la chaise et même mes mollets sont entourés de cordes ! Quel ligotage au final mes amis ! Même si je ne peux « l’apprécier à sa juste valeur » visuellement !!!
Ligotée et prisonnière, attachée avec tant de cordes !! Il y a quelques instants j’étais libre de tout mouvement. Tout ceci s’est déroulé comme dans un rêve, à la fois rapidement mais aussi comme si chaque étape de mon ligotage était minutieusement disséquée et analysée par mon cerveau, comme des images au ralenti, très nettes malgré mon regard masqué par le foulard.
J’essaie de détendre mes liens discrètement mais je n’arrive pas à faire bouger une seule corde même d’un millimètre ! Il n’y a pas à dire, mon ravisseur est un expert en bondage.
Malgré que je sois attachée si solidement, assise sur cette chaise, je ne suis pas paniquée. Mais pourquoi je n’ai pas réagi avant ? Pourquoi je ne me suis pas jetée sur lui ? J’avais encore une chance de m’échapper en courant dans le couloir de mon immeuble, en criant, en sonnant chez ma voisine de palier, en demandant de l'aide, avant qu’il me ligote si facilement, honteusement et définitivement, sans réaction de ma part… ?
Et c’est là que tout commence… je suis parcourue de frissons car une petite voix me dit que je ne suis pas en danger, bien au contraire. Etonnamment je prends petit à petit du plaisir à être pieds et poings liés de la sorte sur cette chaise… A sentir sur mes membres, sur mon corps, l’empreinte des cordes serrées et nouées. Je me rends compte maintenant que je suis définitivement sa prisonnière ! A ma grande surprise ça ne me déplaît pas, je commence plutôt à apprécier ma situation très inhabituelle.
Entravée de partout, toujours rendue aveugle de par le bandeau sur mes yeux, assise de force sur cette chaise, je sursaute... Je crois rêver ! Il commence maintenant à me masser la nuque, puis les épaules ! Il descend le long de mes bras prisonniers en les serrant, en les tâtant, comme si j’étais une esclave attachée et prête à la vente !!! Il « contrôle » la fermeté et la grosseur de mes muscles ? (Je suis bien musclée). Mais il les masse également. Il prend dans ses doigts mes mains attachées, ils sont chauds et doux…. Il pose une de ses mains entre mes seins, descend, puis caresse mon ventre… Je me trémousse sur ma chaise, je tire sur mes cordes. Je commence à avoir très chaud et je sens le début d’une excitation monter.
Un inconnu m'a capturée et attachée sur une de mes propres chaises et m’a ligotée chez moi, ce matin, quelle honte ! Dire qu’il m'a ligaturée avec une telle aisance et si solidement alors que je restais passive…
Que me veut cet inconnu ? Hum, ce n'est pas pour me déplaire. Sauf s’il part définitivement et me laisse attachée sur ma chaise, sans se donner la peine au préalable de détendre au minimum tous mes liens.
Ou juste de délier une seule de mes mains. Mais même avec une main de libre il me faudrait bien une heure ou plus pour me délivrer complètement. Et ce n’est pas sûr que j’y arrive vu comme il m’a ligotée !! Je ne pourrai peut-être pas détacher mon autre main ? Si c’est le cas, la journée risque d'être longue, très longue... Je suis perdue dans mes pensées de comment cela va se terminer…
Paradoxalement et contre toute attente, il y a aussi « autre chose » qui devient délicieux au fil des minutes… Oui cette « autre chose » c’est cette chaleur inhabituelle entre mes cuisses nues, ces picotements dans le bas de mon ventre. La chaleur se fait plus intense dans mon intimité. Je l’imagine à défaut de le voir et de le toucher, je le vis réellement, que mon clitoris est excité de cette situation !!! Je le sens se durcir dans ma petite culotte et devenir plus gros et se tendre. Il se durcit encore plus et devient bouillant du fait de l’excitation qui se dégage de mon corps ligoté, et surtout chaque fois que j’essaie de bouger et de tirer sur mes liens. Mon esprit sait que je ne peux pas me détacher et que chaque fois que je bouge les doigts de mes mains étroitement liées dans le dos et aux barreaux, que je tire sur les cordes emprisonnant mes poignets, cela fait comme une connexion avec mon sexe.
Je le sens qui se mouille et s’enflamme de plaisir dans ma chatte qui passe de chaude à très chaude … Malgré que je sois solidement attachée, j’ai des soubresauts chaque fois que je tortille mes bras entravés pour essayer de détendre les cordes, et que j’essaie de me dégager les mains. Cela me procure des petites décharges électriques sur mon clitoris qui se répercutent dans l’entier de mon vagin. Et même sur tout mon corps qui est parcouru de frissons malgré la chaleur montante. Même mes seins sont très chauds, fermes et leurs bouts tout excités… Heureusement et je ne me force pas à le dire, mon ravisseur est bien là, je l’entends. Par contre il n’a toujours pas prononcé un seul mot… ?
Presque au même moment une de ses mains se pose sur ma petite culotte, puis la presse un peu plus en me caressant de bas en haut avec des mouvements lents.
Puis des doigts s’introduisent à l’intérieur cherchant les lèvres de mon vagin, les trouvant et les effleurant juste un peu mais suffisamment pour commencer à me faire mouiller. Sa deuxième main se pose sur ma poitrine touchant au passage mes liens qui ligotent mes bras et mes poignets ce qui me fait sursauter. Hum, ma chatte se mouille bien plus, mon sexe se durcit encore mais il continue à l’envelopper de ses doigts en faisant des petits mouvements. Sa main est entièrement dans ma petite culotte et caresse plus intensément mes lèvres en enroulant mon clitoris si brûlant, si rigide, si tendu, si excité, de ses doigts habiles.
Subitement il s’arrête. Je l’entends farfouiller quelque chose dans son sac puis il revient. Je sens ses doigts qui s’affairent sur ma petite culotte puis je devine des bruits comme des « crrr » « crrr » Ma chatte est mise à nue, ma culotte découpée au ciseau ! Je sens comme un léger vent frais la caresser.
Ma chatte est enfin débarrassée de son fin tissu ! Il me doigte maintenant intensément mais de façon une fois douce et l’autre fois plus posée sur mon clitoris qui se gorge de sang bouillant comme de la lave en fusion. Son autre main caresse mes seins. Elle touche le bout de mes tétons qui pointent de plus belle. Il masse ma poitrine, il la palpe. Je la sens chaude, ferme et vivante sous ses doigts agiles. Pendant tout mon « traitement » mes gémissements du début deviennent de plus en plus bruyants. Il ne m’a pas (encore ?) bâillonnée. Je me trémousse dans mes liens. J’essaie de bouger mes bras, mes mains liés, je gigote autant ce que les cordes serrées me le permettent.
Je suis excitée. J’aimerais bien le toucher mon nappeur, toucher son corps, sentir ses bras puissants, ses muscles, sa force à la fois dominatrice et calme. Mais, attachée, je ne peux rien faire. C’est ce paradoxe qui commence à me rendre folle, dans le bon sens du terme.
Comme s’il avait deviné mes pensées et même en allant bien au-delà, je l’entends se déplacer, je le devine à nouveau derrière moi. Mes mains dans mon dos sont déjà prisonnières des liens depuis un moment, elles sont donc devenues un peu engourdies et froides. Il ouvre les doigts repliés d’une de mes mains pour y déposer un « objet » sur la paume. Puis il referme mes doigts sur cet « objet ». Au contact de cette « chose » mystérieuse mes doigts reprennent doucement leur sensibilité. Une minute, deux minutes ? Ma main est déjà beaucoup plus réceptive maintenant pour toucher et deviner ce qu’est cet « objet ». Mes poignets liés étroitement me permettent aucun mouvement sauf celui de refermer ma main sur l ’«objet ».
Ma première réaction c’est qu’il est…chaud ! Et ça me fait du bien. Ma deuxième c’est qu’il est dur, épais et long. C’est comme s’il grossissait au seul contact de ma main ! Il devient aussi encore plus raide, plus grand, plus tendu. A mon grand étonnement cet « objet » se met à bouger tout seul dans ma main pourtant refermée dessus. Des petits mouvements lents au début qui prennent de plus en plus d’ampleur en s’accélérant, puis redeviennent plus courts et moins rapides pour presque s’arrêter. Puis ce cycle recommence, pour se calmer à nouveau. Je sens dans ma main bien réchauffée que cette « chose » grossit encore, devient aussi dur qu’une épée, sa chaleur devient comme un feu ardent. Puis la « chose » disparaît comme par magie mais vient aussitôt se loger dans le creux de mon autre main attachée, qui elle aussi se réchauffe rapidement. L’«objet» est toujours aussi dur et gros. Là aussi des mouvements rythmés, des va - et -vient dans ma paume de main…
Puis, sans que je m’y attende, mon ravisseur me pince le nez ! Presqu’à bout de souffle j’ouvre la bouche pour aspirer de l’air et au même moment la « chose » s’introduit dans ma cavité buccale ! le sexe de cet inconnu est dans ma bouche ! Mon réflexe est de le retirer mais j’ai presque oublié que j’étais ligotée depuis bien longtemps… Je suis tellement surprise de recevoir ce gros et grand sexe en érection monstre entre mes lèvres, puis sur ma langue, que j’étouffes presque…Sa verge est maintenant tout au fond de ma gorge.
Il me tire la tête en arrière par les cheveux, il me fait faire des mouvements de va – et - vient sur son phallus … Il accélère ou ralentit la cadence à sa guise. Il m’oblige également, en alternance, à lui lécher les boules l’une après l’autre langoureusement ! Puis il remet sa verge dans une de mes mains attachées dans le dos pour que je le branle simplement avec mes doigts. (je ne peux de toute façon pas bouger ma main) Que je sente son érection et la dureté de son pénis. Il me fait comprendre que c’est lui l’homme fort contre lequel on ne peut pas lutter. Et à nouveau il le plonge dans ma bouche, entre mes lèvres. Je dois le sucer presqu’à en vomir. Attachée comme je suis, je parviens juste à bouger ma tête de gauche à droite et de haut en bas avalant son sexe en érection.
Tout le reste de mon corps est immobilisé par les liens serrés. Je sens sa bite se gonfler encore plus, son éjaculation est proche. Ma bouche est brûlante tout comme mon clitoris, et est comme paralysée. Ma langue lape son sexe et sa hampe de plus en plus vite… Mes lèvres fermées dessus. Son pénis devient encore plus gros et se durcit tellement, si c’est possible, que ma bouche a de la peine à le contenir. Son gland forme une grosse boule tellement chaude où sa semence est comprimée et au bord de l’expulsion ! Il m’oblige à pencher ma tête en arrière et par un dernier mouvement de mes lèvres sur son sexe, une dernière succion sur cette bite dans ma bouche.
Il éjacule avec une force incroyable un premier jet de sperme sous pression dans ma gorge. Puis un deuxième jet encore plus fort tel un torrent de semence déversée avec furie.
Ma bouche se remplit en une seconde de son nectar chaud et visqueux. Je crois m’ car il me maintient fermement la tête. Je résiste du mieux que je peux pour ne pas avaler, j’essaie d’échapper à sa queue. Je me débats, j’essaie de bouger mes bras et aussi mes jambes comme pour m’enfuir. Comme si je le pouvais… Je tords mes bras liés dans mon dos en me torturant, je tire sur mes liens. Tous mes muscles sont tendus à se rompre comme un arc bandé, comme son sexe qui bande, prêt à envoyer des flèches.
Juste une main, me dégager une seule de mes mains…, sans qu’il le remarque, comme une lueur d’espoir… Mais je ne peux absolument pas les bouger encore moins les dégager. Pas un seul de mes membres qu’il a liés échappent à ses cordes et ses nœuds magiques. Les cordes qui me ligotent sont encore plus serrées qu’au début de mon ligotage et empêchent tous mouvements. Elles sont dans ma chaire, elles rentrent dans mes chairs, elles font partie de moi…Tous mes liens sont serrés et noués avec art. Je me débats comme dans un dernier spasme mais je suis définitivement trop bien attachée. Je dois m’avouer vaincue.
Je suis au bord de l’ et dans un dernier soubresaut je tourne la tête. Je suis obligée d’avaler tout son éjaculat. Je suis au bord de la nausée, sans force. Comme une poupée dégonflée. Puis… enfin ! Je croyais que ça n’arriverait plus, comme un miracle il retire son énorme sexe de ma bouche. J’ouvre la bouche toute grande, mes poumons sont en feu, j’aspire goulûment cet air providentiel comme si je m’accrochais à la dernière bouée de sauvetage perdue dans l’océan alors que je me noie.
La domination de cet homme sur moi, ces fellations es, la façon dont il m’a attachée sur la chaise, mes mains et bras ligotés dans le dos, à me faire mal maintenant à force de tirer sur mes liens ce qui a eu pour effet de les serrer encore plus ! Ensuite mes chevilles liées, elles aussi me font mal. Toute ma captivité et les « supplices » subis, paradoxalement et contre toute attente, cette soumission e et pas consentie me fait terriblement jouir !! Plutôt que de le détester… Ma chatte est enflammée et mon clitoris est devenu comme un sexe en érection. Mon vagin est noyé par ma mouille mais ce n’est pas suffisant pour éteindre le brasier qui couve en moi. Comme un incendie caché entre mes cuisses et mon bas-ventre…
D’un geste brusque il m’arrache le foulard de mes yeux. Je suis comme aveuglée par la lumière crue. Je le devine prendre son sexe entre ses mains puis il éjacule un troisième jet encore plus chaud sur mon visage. Je ferme les yeux juste avant de recevoir sa semence, je n’ai plus la force de lutter. Je sens son foutre se coller sur mes yeux puis descendre lentement le long de mes joues que je devine rouges et que je sais bouillantes, jusqu’à mes lèvres fermées. Il me force à ouvrir une nouvelle fois la bouche et y ramène tout le sperme répandu sur mon visage avec un doigt que je suis obligée de sucer comme si je suçais une glace.
Ayant estimé que mon visage est maintenant débarrassé de son sperme, pour terminer cette « toilette », il l’essuie avec ma petite culotte précédemment découpée. Il prend soin de ne jamais me montrer son visage, juste son sexe et parfois ses mains grandes et puissantes. Avec deux doigts il m’entrouvre mes lèvres et introduit à nouveau son sexe dans ma bouche pour que je le nettoie, le suce, l’aspire jusqu’à la dernière goutte de son nectar au bout de son gland. Il faut que sa queue soit entièrement propre et débarrassée de toute sa semence. Je passe plusieurs minutes à lécher son pénis qui a à peine débandé. Il essuie mon vagin de sa mouille abondante, consciencieusement, avec ma petite culotte. Enfin il retire de ma bouche sa verge à nouveau en érection et, toujours avec ma culotte, il la souille de son sperme qu’il vient fraîchement d’éjaculer à nouveau…
Il me re- bâillonne avec en l’enfonçant dans ma bouche et en faisant tenir le tout par un foulard qu’il passe entre mes dents et qu’il noue à l’arrière de ma nuque. Histoire que je garde toujours en bouche le goût de son sperme écœurant et le goût que je trouve plutôt salé de ma mouille. Ou c’est aussi le goût de son sperme ? Je n’entends plus rien, plus aucun déplacement de mon ravisseur, plus aucun son de ses pas sur le sol. C’est comme s’il avait disparu par magie, s’il s’était évaporé ! Je n’ai plus le bandeau sur les yeux depuis un moment mais les seuls mouvements que je peux faire c’est de bouger ma tête verticalement et horizontalement. Pour autant mes yeux n’ont pas croisé l’image de mon nappeur, même juste ses pieds ou ses mains. Je ne peux strictement pas bouger ce qui rétrécit considérablement ma vision.
Et j’ai peur même de seulement remuer mes doigts au cas où les cordes qui attachent mes mains se resserraient encore plus. Et s’il ne revenait pas ? S’il me laissait là impuissante et totalement ligotée sur la chaise, des heures et des heures ? Il faut absolument que je repousse cette idée mais mon cœur s’emballe naturellement à cette perspective. Difficile de dire combien de temps s’écoule alors que je suis dans l’incapacité d’avoir la moindre emprise sur les éléments. Parmi ces éléments il y a bien sûr les cordes et les nœuds savants qui m’attachent et contre lesquelles je ne peux pas lutter. Pourtant ce n’est pas faute d’avoir essayé ! Mais mon ravisseur est un maître des cordes et du bondage et je suis un bon sujet pour lui !!!
Soudain mon corps est parcouru de frissons. Deux mains se sont posées sur mes mollets. Les caressent, les touchent, les palpent, passent par-dessus les cordes doucement, redescendent jusqu’aux chevilles, aux pieds pour les caresser également. Les mollets ne sont pas ment des zones érogènes mais le contact de ses mains sur cette partie du corps inattendue me procure comme une onde de jouissance. Là où il n’y a pas de corde ses mains tâtent mes mollets bien ronds, galbés et musclés. C’est une sensation unique et incroyablement jouissive que je ne pensais pas vivre un jour. Les caresses et les palpations de mes mollets qui sont attachés me fait mouiller instantanément !
Les deux mains remontent le long de mes cuisses et là également elles pressent, touchent, sentent, massent les muscles, caressent le devant de mes cuisses puis s’attardent à l’intérieur devenu rose et bouillant. Également des caresses et des palpations à pleine main. Ces mains qui se referment et se relâchent simultanément sur la chair ferme de mes cuisses ardentes et nues.
Je mouille d’une telle façon si forte et incontrôlable que je sens ma cyprine couler de mon vagin et descendre le long de mes cuisses tel un filet d’eau chaude d’une douche dont on aura laissé le robinet à peine ouvert…
Toujours en prenant soin de se dissimuler, « l’homme mystère » dénoue le foulard de ma nuque et retire ma culotte de ma bouche. Puis mon bâillon se frotte à mes cuisses, les remonte essuyant toute ma mouille méticuleusement. Cela m’excite encore plus et je mouille encore davantage. Cela n’a pas l’air de déranger mon nappeur plus que ça. Il s’emploie à essuyer à nouveau et avec soin mes sécrétions, aussi la mouille dans mon vagin, comme s’il s’agissait d’un jeu.
Subitement il enfonce à nouveau ma culotte plus que mouillée au fond de ma bouche. Une de ses mains ouvre les lèvres de ma chatte, son autre main se pose à nouveau sur mes mollets et à l’intérieur de mes cuisses qu’il caresse. Je distingue qu’il se penche et, si je n’avais pas été attachée, j’aurais fait un énorme bond sur ma chaise lorsque j’ai senti le contact de sa langue chaude sur mon pubis rasé !!! Je hurle de plaisir dans mon bâillon ! Une de ses mains est maintenant sur mes seins les massant ou titillant mes tétons durs et pointus. Il continue de me lécher le haut du vagin mais sa bouche descend lentement de plus en plus bas et profondément, alors qu’un de ses doigts excite les lèvres bouillantes et trempées de ma chatte !!!
Même d’une façon rendue presque impossible par l’emprise des cordes, je me trémousse dans mes liens. Sa langue est maintenant à l’intérieur de mon vagin, lèche mon clitoris en ébullition. Des « humm,.. humpfff…, mmppfff…s’échappent de mon bâillon. Je jouis. C’est une véritable prouesse car pendant qu’il me lèche, une de ses mains est toujours sur mes seins les palpant, les enveloppant, les massant. Parfois leur bout est pincé entre deux doigts.
Les lèvres de sa bouche pressent doucement mon clitoris tendu, gros, rendu ultrasensible au contact de sa langue, gorgé de sang en ébullition et de plaisirs partagés. Puis la pression sur mon clitoris se relâche et aussitôt sa langue s’enroule autour à nouveau. Le caressant, le léchant, l’explorant. Il se dresse fier d’une couleur rose intense que je devine presque rouge. Sa bouche et ses lèvres qui le sucent, qui le mordillent d’une façon délicate, fine et voluptueuse. Ce qui me fait crier de plaisir dans mon bâillon, dont seuls les sons atténués s’en échappent.
A nouveau le ballet de sa langue autour de mon sexe qui a pris son volume maximal… Ses coups de langue, mon clitoris est comme un jouet dans sa bouche. Sa langue qui s’entortille autour le suçant à nouveau. Une main toujours sur mes seins les effleurant parfois ou les palpant. Sa bouche dans ma chatte, ses mains fortes et douces sur mon corps, dans mon corps. Ce délicieux supplice dont jamais je voudrais qu’il ne s’arrête. Une gigantesque vague de jouissances profondes me submerge, me noie, m’étouffe.
A chaque coup de langue sur mon clitoris me fait avoir un orgasme monstre. Le fait que je sois si bien ligotée et que je ne peux pas bouger, rien faire de mes mains liées dans le dos, amplifie encore plus mes orgasmes. Je suis sa prisonnière, sa soumise captive, son objet sexuel vivant. C’est lui qui décide de mes orgasmes ou non, de mes jouissances, quand et s’il va me détacher. Ce mélange de contraintes et de servitude subliment mes orgasmes jusqu’ à l’extase. Tout s’embrouille dans ma tête. Je vois des formes troubles voler devant moi comme des nuages noirs. Puis ces nuages se transforment en un voile noir. J’entends mon cœur battre dans ma poitrine comme un fou essayant de maintenir un peu de sang dans mon cerveau car ma chatte et mon clitoris en sont gorgés au maximum.
Je tire sur mes liens une dernière fois, sur mes mains attachées dans le dos pour être sûr que tout cela est bien réel, que tout cela m’arrive bien à moi. J’aimerais rester dans cet état subliminal au bord de la conscience, au bord du précipice de l’inconscience. Je ne sens plus la douleur des cordes serrées et nouées autour de mes poignets, mes chevilles, sur chaque partie de mon corps entravé, sur mon corps dénudé. J’aimerais que mes orgasmes ne puissent jamais mourir. A nouveau des coups de langue portés sur mon clitoris, c’en est trop, il explose maintenant dans un énorme geyser…
Je perds pied. Je tombe dans le précipice. Je perds conscience. Je m’évanouis.
Toujours bien ligotée sur ma chaise, toujours les mains solidement attachées dans le dos, exactement comme ce matin vers les huit heures ... »



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