Il Est Presque 8 Heures, On Sonne À Ma Porte...
Voici mon récit dune histoire de bondage
« ... Il est presque 8h. en ce début de matinée très ensoleillée et déjà très chaude pour un début de mois de juin ...
On sonne à ma porte. Je suis encore en petite tenue mais j'enfile en vitesse mon long débardeur informe, tant pis !
que je porte habituellement pour prendre mon premier café de la journée et être à l'aise. Je vais ouvrir car la sonnerie se fait insistante. Le facteur avec un recommandé ? Un paquet ? Mais je nai rien commandé. Bizarre si tôt...
Jouvre ma porte et en face de moi se tient un homme pas très grand mais les épaules larges, costaud. Même habillé je vois quil est musclé. Il porte un masque mais quoi de plus normal en cette triste période de Covid... ? Il a aussi une casquette rabaissée sur ses yeux dissimulant presque entièrement son visage. Je vois juste ses yeux derrière ses lunettes. Subitement il me pousse brusquement à lintérieur. Je suis comme paralysée, totalement surprise, je ne réussis pas à dire un seul mot. Il me prend aussitôt et fermement par les bras, m'emmène et me fait asseoir de force sur une des chaises de ma cuisine. Jai le cur qui bat très fort, je tremble un peu
Tout de suite il se met derrière moi et me bande les yeux avec un foulard. Encore de force il m'arrache mon débardeur en le faisant passer par-dessus ma tête. Je suis tétanisée. Mais ma première pensée est : Heureusement je ne suis pas toute nue dessous ! Jai le souffle court. Je lentends fouiller, dans un sac ? Je nose toujours rien dire ni bouger mais surtout je suis encore libre à ce moment-là et cela aura une grande importance pour la suite du déroulement de cette incroyable journée ! Je suis très loin de mimaginer cette suite justement, sans ça je me serais levée au plus vite et je me serais enfuie sans réfléchir. Un mal pour un bien ? Lavenir me lapprendra, me le dira... ou pas.
Non, au contraire et contre toute logique je reste assise bien droite sur ma chaise comme une statue.
Me voici bien partie .. En plus de mes bras déjà entravés se sont mes mains qui sont doublement attachées dans le dos et à la chaise !! Je suis déjà plus que très bien ligotée je devrais dire. Rien à faire. Cependant ce nest apparemment pas suffisant pour mon ravisseur. Et hop !.. mes chevilles sont également liées, jambes écartées, chacune à un des pieds de la chaise. Puis encore dautres cordes, ça ne finira donc jamais ? , .. que je sens se nouer autour de mes cuisses les plaquant à la chaise et même mes mollets sont entourés de cordes ! Quel ligotage au final mes amis ! Même si je ne peux « lapprécier à sa juste valeur » visuellement !!!
Ligotée et prisonnière, attachée avec tant de cordes !! Il y a quelques instants jétais libre de tout mouvement. Tout ceci sest déroulé comme dans un rêve, à la fois rapidement mais aussi comme si chaque étape de mon ligotage était minutieusement disséquée et analysée par mon cerveau, comme des images au ralenti, très nettes malgré mon regard masqué par le foulard.
Jessaie de détendre mes liens discrètement mais je narrive pas à faire bouger une seule corde même dun millimètre ! Il ny a pas à dire, mon ravisseur est un expert en bondage.
Et cest là que tout commence
je suis parcourue de frissons car une petite voix me dit que je ne suis pas en danger, bien au contraire. Etonnamment je prends petit à petit du plaisir à être pieds et poings liés de la sorte sur cette chaise
A sentir sur mes membres, sur mon corps, lempreinte des cordes serrées et nouées. Je me rends compte maintenant que je suis définitivement sa prisonnière ! A ma grande surprise ça ne me déplaît pas, je commence plutôt à apprécier ma situation très inhabituelle.
Entravée de partout, toujours rendue aveugle de par le bandeau sur mes yeux, assise de force sur cette chaise, je sursaute... Je crois rêver ! Il commence maintenant à me masser la nuque, puis les épaules ! Il descend le long de mes bras prisonniers en les serrant, en les tâtant, comme si jétais une esclave attachée et prête à la vente !!! Il « contrôle » la fermeté et la grosseur de mes muscles ? (Je suis bien musclée). Mais il les masse également. Il prend dans ses doigts mes mains attachées, ils sont chauds et doux
. Il pose une de ses mains entre mes seins, descend, puis caresse mon ventre
Je me trémousse sur ma chaise, je tire sur mes cordes. Je commence à avoir très chaud et je sens le début dune excitation monter.
Un inconnu m'a capturée et attachée sur une de mes propres chaises et ma ligotée chez moi, ce matin, quelle honte ! Dire quil m'a ligaturée avec une telle aisance et si solidement alors que je restais passive
Que me veut cet inconnu ? Hum, ce n'est pas pour me déplaire. Sauf sil part définitivement et me laisse attachée sur ma chaise, sans se donner la peine au préalable de détendre au minimum tous mes liens.
Paradoxalement et contre toute attente, il y a aussi « autre chose » qui devient délicieux au fil des minutes
Oui cette « autre chose » cest cette chaleur inhabituelle entre mes cuisses nues, ces picotements dans le bas de mon ventre. La chaleur se fait plus intense dans mon intimité. Je limagine à défaut de le voir et de le toucher, je le vis réellement, que mon clitoris est excité de cette situation !!! Je le sens se durcir dans ma petite culotte et devenir plus gros et se tendre. Il se durcit encore plus et devient bouillant du fait de lexcitation qui se dégage de mon corps ligoté, et surtout chaque fois que jessaie de bouger et de tirer sur mes liens. Mon esprit sait que je ne peux pas me détacher et que chaque fois que je bouge les doigts de mes mains étroitement liées dans le dos et aux barreaux, que je tire sur les cordes emprisonnant mes poignets, cela fait comme une connexion avec mon sexe.
Je le sens qui se mouille et senflamme de plaisir dans ma chatte qui passe de chaude à très chaude
Malgré que je sois solidement attachée, jai des soubresauts chaque fois que je tortille mes bras entravés pour essayer de détendre les cordes, et que jessaie de me dégager les mains. Cela me procure des petites décharges électriques sur mon clitoris qui se répercutent dans lentier de mon vagin. Et même sur tout mon corps qui est parcouru de frissons malgré la chaleur montante. Même mes seins sont très chauds, fermes et leurs bouts tout excités
Heureusement et je ne me force pas à le dire, mon ravisseur est bien là, je lentends. Par contre il na toujours pas prononcé un seul mot
?
Presque au même moment une de ses mains se pose sur ma petite culotte, puis la presse un peu plus en me caressant de bas en haut avec des mouvements lents.
Subitement il sarrête. Je lentends farfouiller quelque chose dans son sac puis il revient. Je sens ses doigts qui saffairent sur ma petite culotte puis je devine des bruits comme des « crrr » « crrr » Ma chatte est mise à nue, ma culotte découpée au ciseau ! Je sens comme un léger vent frais la caresser.
Ma chatte est enfin débarrassée de son fin tissu ! Il me doigte maintenant intensément mais de façon une fois douce et lautre fois plus posée sur mon clitoris qui se gorge de sang bouillant comme de la lave en fusion. Son autre main caresse mes seins. Elle touche le bout de mes tétons qui pointent de plus belle. Il masse ma poitrine, il la palpe. Je la sens chaude, ferme et vivante sous ses doigts agiles. Pendant tout mon « traitement » mes gémissements du début deviennent de plus en plus bruyants. Il ne ma pas (encore ?) bâillonnée. Je me trémousse dans mes liens. Jessaie de bouger mes bras, mes mains liés, je gigote autant ce que les cordes serrées me le permettent.
Je suis excitée. Jaimerais bien le toucher mon nappeur, toucher son corps, sentir ses bras puissants, ses muscles, sa force à la fois dominatrice et calme. Mais, attachée, je ne peux rien faire. Cest ce paradoxe qui commence à me rendre folle, dans le bon sens du terme.
Comme sil avait deviné mes pensées et même en allant bien au-delà, je lentends se déplacer, je le devine à nouveau derrière moi. Mes mains dans mon dos sont déjà prisonnières des liens depuis un moment, elles sont donc devenues un peu engourdies et froides. Il ouvre les doigts repliés dune de mes mains pour y déposer un « objet » sur la paume. Puis il referme mes doigts sur cet « objet ». Au contact de cette « chose » mystérieuse mes doigts reprennent doucement leur sensibilité. Une minute, deux minutes ? Ma main est déjà beaucoup plus réceptive maintenant pour toucher et deviner ce quest cet « objet ». Mes poignets liés étroitement me permettent aucun mouvement sauf celui de refermer ma main sur l «objet ».
Ma première réaction cest quil est
chaud ! Et ça me fait du bien. Ma deuxième cest quil est dur, épais et long. Cest comme sil grossissait au seul contact de ma main ! Il devient aussi encore plus raide, plus grand, plus tendu. A mon grand étonnement cet « objet » se met à bouger tout seul dans ma main pourtant refermée dessus. Des petits mouvements lents au début qui prennent de plus en plus dampleur en saccélérant, puis redeviennent plus courts et moins rapides pour presque sarrêter. Puis ce cycle recommence, pour se calmer à nouveau. Je sens dans ma main bien réchauffée que cette « chose » grossit encore, devient aussi dur quune épée, sa chaleur devient comme un feu ardent. Puis la « chose » disparaît comme par magie mais vient aussitôt se loger dans le creux de mon autre main attachée, qui elle aussi se réchauffe rapidement. L«objet» est toujours aussi dur et gros. Là aussi des mouvements rythmés, des va - et -vient dans ma paume de main
Puis, sans que je my attende, mon ravisseur me pince le nez ! Presquà bout de souffle jouvre la bouche pour aspirer de lair et au même moment la « chose » sintroduit dans ma cavité buccale ! le sexe de cet inconnu est dans ma bouche ! Mon réflexe est de le retirer mais jai presque oublié que jétais ligotée depuis bien longtemps
Je suis tellement surprise de recevoir ce gros et grand sexe en érection monstre entre mes lèvres, puis sur ma langue, que jétouffes presque
Sa verge est maintenant tout au fond de ma gorge.
Il me tire la tête en arrière par les cheveux, il me fait faire des mouvements de va et - vient sur son phallus
Il accélère ou ralentit la cadence à sa guise. Il moblige également, en alternance, à lui lécher les boules lune après lautre langoureusement ! Puis il remet sa verge dans une de mes mains attachées dans le dos pour que je le branle simplement avec mes doigts. (je ne peux de toute façon pas bouger ma main) Que je sente son érection et la dureté de son pénis. Il me fait comprendre que cest lui lhomme fort contre lequel on ne peut pas lutter. Et à nouveau il le plonge dans ma bouche, entre mes lèvres. Je dois le sucer presquà en vomir. Attachée comme je suis, je parviens juste à bouger ma tête de gauche à droite et de haut en bas avalant son sexe en érection.
Tout le reste de mon corps est immobilisé par les liens serrés. Je sens sa bite se gonfler encore plus, son éjaculation est proche. Ma bouche est brûlante tout comme mon clitoris, et est comme paralysée. Ma langue lape son sexe et sa hampe de plus en plus vite
Mes lèvres fermées dessus. Son pénis devient encore plus gros et se durcit tellement, si cest possible, que ma bouche a de la peine à le contenir. Son gland forme une grosse boule tellement chaude où sa semence est comprimée et au bord de lexpulsion ! Il moblige à pencher ma tête en arrière et par un dernier mouvement de mes lèvres sur son sexe, une dernière succion sur cette bite dans ma bouche.
Il éjacule avec une force incroyable un premier jet de sperme sous pression dans ma gorge. Puis un deuxième jet encore plus fort tel un torrent de semence déversée avec furie.
Ma bouche se remplit en une seconde de son nectar chaud et visqueux. Je crois m car il me maintient fermement la tête. Je résiste du mieux que je peux pour ne pas avaler, jessaie déchapper à sa queue. Je me débats, jessaie de bouger mes bras et aussi mes jambes comme pour menfuir. Comme si je le pouvais
Je tords mes bras liés dans mon dos en me torturant, je tire sur mes liens. Tous mes muscles sont tendus à se rompre comme un arc bandé, comme son sexe qui bande, prêt à envoyer des flèches.
Juste une main, me dégager une seule de mes mains
, sans quil le remarque, comme une lueur despoir
Mais je ne peux absolument pas les bouger encore moins les dégager. Pas un seul de mes membres quil a liés échappent à ses cordes et ses nuds magiques. Les cordes qui me ligotent sont encore plus serrées quau début de mon ligotage et empêchent tous mouvements. Elles sont dans ma chaire, elles rentrent dans mes chairs, elles font partie de moi
Tous mes liens sont serrés et noués avec art. Je me débats comme dans un dernier spasme mais je suis définitivement trop bien attachée. Je dois mavouer vaincue.
Je suis au bord de l et dans un dernier soubresaut je tourne la tête. Je suis obligée davaler tout son éjaculat. Je suis au bord de la nausée, sans force. Comme une poupée dégonflée. Puis
enfin ! Je croyais que ça narriverait plus, comme un miracle il retire son énorme sexe de ma bouche. Jouvre la bouche toute grande, mes poumons sont en feu, jaspire goulûment cet air providentiel comme si je maccrochais à la dernière bouée de sauvetage perdue dans locéan alors que je me noie.
La domination de cet homme sur moi, ces fellations es, la façon dont il ma attachée sur la chaise, mes mains et bras ligotés dans le dos, à me faire mal maintenant à force de tirer sur mes liens ce qui a eu pour effet de les serrer encore plus ! Ensuite mes chevilles liées, elles aussi me font mal. Toute ma captivité et les « supplices » subis, paradoxalement et contre toute attente, cette soumission e et pas consentie me fait terriblement jouir !! Plutôt que de le détester
Ma chatte est enflammée et mon clitoris est devenu comme un sexe en érection. Mon vagin est noyé par ma mouille mais ce nest pas suffisant pour éteindre le brasier qui couve en moi. Comme un incendie caché entre mes cuisses et mon bas-ventre
Dun geste brusque il marrache le foulard de mes yeux. Je suis comme aveuglée par la lumière crue. Je le devine prendre son sexe entre ses mains puis il éjacule un troisième jet encore plus chaud sur mon visage. Je ferme les yeux juste avant de recevoir sa semence, je nai plus la force de lutter. Je sens son foutre se coller sur mes yeux puis descendre lentement le long de mes joues que je devine rouges et que je sais bouillantes, jusquà mes lèvres fermées. Il me force à ouvrir une nouvelle fois la bouche et y ramène tout le sperme répandu sur mon visage avec un doigt que je suis obligée de sucer comme si je suçais une glace.
Ayant estimé que mon visage est maintenant débarrassé de son sperme, pour terminer cette « toilette », il lessuie avec ma petite culotte précédemment découpée. Il prend soin de ne jamais me montrer son visage, juste son sexe et parfois ses mains grandes et puissantes. Avec deux doigts il mentrouvre mes lèvres et introduit à nouveau son sexe dans ma bouche pour que je le nettoie, le suce, laspire jusquà la dernière goutte de son nectar au bout de son gland. Il faut que sa queue soit entièrement propre et débarrassée de toute sa semence. Je passe plusieurs minutes à lécher son pénis qui a à peine débandé. Il essuie mon vagin de sa mouille abondante, consciencieusement, avec ma petite culotte. Enfin il retire de ma bouche sa verge à nouveau en érection et, toujours avec ma culotte, il la souille de son sperme quil vient fraîchement déjaculer à nouveau
Il me re- bâillonne avec en lenfonçant dans ma bouche et en faisant tenir le tout par un foulard quil passe entre mes dents et quil noue à larrière de ma nuque. Histoire que je garde toujours en bouche le goût de son sperme écurant et le goût que je trouve plutôt salé de ma mouille. Ou cest aussi le goût de son sperme ? Je nentends plus rien, plus aucun déplacement de mon ravisseur, plus aucun son de ses pas sur le sol. Cest comme sil avait disparu par magie, sil sétait évaporé ! Je nai plus le bandeau sur les yeux depuis un moment mais les seuls mouvements que je peux faire cest de bouger ma tête verticalement et horizontalement. Pour autant mes yeux nont pas croisé limage de mon nappeur, même juste ses pieds ou ses mains. Je ne peux strictement pas bouger ce qui rétrécit considérablement ma vision.
Et jai peur même de seulement remuer mes doigts au cas où les cordes qui attachent mes mains se resserraient encore plus. Et sil ne revenait pas ? Sil me laissait là impuissante et totalement ligotée sur la chaise, des heures et des heures ? Il faut absolument que je repousse cette idée mais mon cur semballe naturellement à cette perspective. Difficile de dire combien de temps sécoule alors que je suis dans lincapacité davoir la moindre emprise sur les éléments. Parmi ces éléments il y a bien sûr les cordes et les nuds savants qui mattachent et contre lesquelles je ne peux pas lutter. Pourtant ce nest pas faute davoir essayé ! Mais mon ravisseur est un maître des cordes et du bondage et je suis un bon sujet pour lui !!!
Soudain mon corps est parcouru de frissons. Deux mains se sont posées sur mes mollets. Les caressent, les touchent, les palpent, passent par-dessus les cordes doucement, redescendent jusquaux chevilles, aux pieds pour les caresser également. Les mollets ne sont pas ment des zones érogènes mais le contact de ses mains sur cette partie du corps inattendue me procure comme une onde de jouissance. Là où il ny a pas de corde ses mains tâtent mes mollets bien ronds, galbés et musclés. Cest une sensation unique et incroyablement jouissive que je ne pensais pas vivre un jour. Les caresses et les palpations de mes mollets qui sont attachés me fait mouiller instantanément !
Les deux mains remontent le long de mes cuisses et là également elles pressent, touchent, sentent, massent les muscles, caressent le devant de mes cuisses puis sattardent à lintérieur devenu rose et bouillant. Également des caresses et des palpations à pleine main. Ces mains qui se referment et se relâchent simultanément sur la chair ferme de mes cuisses ardentes et nues.
Je mouille dune telle façon si forte et incontrôlable que je sens ma cyprine couler de mon vagin et descendre le long de mes cuisses tel un filet deau chaude dune douche dont on aura laissé le robinet à peine ouvert
Toujours en prenant soin de se dissimuler, « lhomme mystère » dénoue le foulard de ma nuque et retire ma culotte de ma bouche. Puis mon bâillon se frotte à mes cuisses, les remonte essuyant toute ma mouille méticuleusement. Cela mexcite encore plus et je mouille encore davantage. Cela na pas lair de déranger mon nappeur plus que ça. Il semploie à essuyer à nouveau et avec soin mes sécrétions, aussi la mouille dans mon vagin, comme sil sagissait dun jeu.
Subitement il enfonce à nouveau ma culotte plus que mouillée au fond de ma bouche. Une de ses mains ouvre les lèvres de ma chatte, son autre main se pose à nouveau sur mes mollets et à lintérieur de mes cuisses quil caresse. Je distingue quil se penche et, si je navais pas été attachée, jaurais fait un énorme bond sur ma chaise lorsque jai senti le contact de sa langue chaude sur mon pubis rasé !!! Je hurle de plaisir dans mon bâillon ! Une de ses mains est maintenant sur mes seins les massant ou titillant mes tétons durs et pointus. Il continue de me lécher le haut du vagin mais sa bouche descend lentement de plus en plus bas et profondément, alors quun de ses doigts excite les lèvres bouillantes et trempées de ma chatte !!!
Même dune façon rendue presque impossible par lemprise des cordes, je me trémousse dans mes liens. Sa langue est maintenant à lintérieur de mon vagin, lèche mon clitoris en ébullition. Des « humm,.. humpfff
, mmppfff
séchappent de mon bâillon. Je jouis. Cest une véritable prouesse car pendant quil me lèche, une de ses mains est toujours sur mes seins les palpant, les enveloppant, les massant. Parfois leur bout est pincé entre deux doigts.
Les lèvres de sa bouche pressent doucement mon clitoris tendu, gros, rendu ultrasensible au contact de sa langue, gorgé de sang en ébullition et de plaisirs partagés. Puis la pression sur mon clitoris se relâche et aussitôt sa langue senroule autour à nouveau. Le caressant, le léchant, lexplorant. Il se dresse fier dune couleur rose intense que je devine presque rouge. Sa bouche et ses lèvres qui le sucent, qui le mordillent dune façon délicate, fine et voluptueuse. Ce qui me fait crier de plaisir dans mon bâillon, dont seuls les sons atténués sen échappent.
A nouveau le ballet de sa langue autour de mon sexe qui a pris son volume maximal
Ses coups de langue, mon clitoris est comme un jouet dans sa bouche. Sa langue qui sentortille autour le suçant à nouveau. Une main toujours sur mes seins les effleurant parfois ou les palpant. Sa bouche dans ma chatte, ses mains fortes et douces sur mon corps, dans mon corps. Ce délicieux supplice dont jamais je voudrais quil ne sarrête. Une gigantesque vague de jouissances profondes me submerge, me noie, métouffe.
A chaque coup de langue sur mon clitoris me fait avoir un orgasme monstre. Le fait que je sois si bien ligotée et que je ne peux pas bouger, rien faire de mes mains liées dans le dos, amplifie encore plus mes orgasmes. Je suis sa prisonnière, sa soumise captive, son objet sexuel vivant. Cest lui qui décide de mes orgasmes ou non, de mes jouissances, quand et sil va me détacher. Ce mélange de contraintes et de servitude subliment mes orgasmes jusqu à lextase. Tout sembrouille dans ma tête. Je vois des formes troubles voler devant moi comme des nuages noirs. Puis ces nuages se transforment en un voile noir. Jentends mon cur battre dans ma poitrine comme un fou essayant de maintenir un peu de sang dans mon cerveau car ma chatte et mon clitoris en sont gorgés au maximum.
Je tire sur mes liens une dernière fois, sur mes mains attachées dans le dos pour être sûr que tout cela est bien réel, que tout cela marrive bien à moi. Jaimerais rester dans cet état subliminal au bord de la conscience, au bord du précipice de linconscience. Je ne sens plus la douleur des cordes serrées et nouées autour de mes poignets, mes chevilles, sur chaque partie de mon corps entravé, sur mon corps dénudé. Jaimerais que mes orgasmes ne puissent jamais mourir. A nouveau des coups de langue portés sur mon clitoris, cen est trop, il explose maintenant dans un énorme geyser
Je perds pied. Je tombe dans le précipice. Je perds conscience. Je mévanouis.
Toujours bien ligotée sur ma chaise, toujours les mains solidement attachées dans le dos, exactement comme ce matin vers les huit heures ... »
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