Mon Nouvel Oncle (3)
Lui et Moi
Claude me manquait vraiment
Mais entre son installation, le début de son nouveau boulot et moi, surchargé de TD dans les 3 langues que javais choisies à la Fac, les moments ensemble étaient assez rares.
Ni lui, ni moi, ne souhaitions que notre famille sache que nous étions, comment dire, devenus très proches, encore moins, aborder le sujet sexuel évidemment, mais les laisser plutôt dans lesprit quune relation affectueuse sinstaurait petit à petit entre nous. Il était fils unique et moi aussi, donc, à leurs yeux, cétait plutôt la recherche du grand et du petit frère manquant, qui prenait place, vu notre faible différence dâge.
Il était ingénieur dans le BTP, spécialiste dans les constructions parasismiques. Je comprenais maintenant pourquoi il avait été sollicité à Nice, seconde industrie la plus prospère après le tourisme, et où il avait été coopté par le plus grand groupe local, décidé, compte tenu de notre sol, à ne construire que des bâtiments résistants aux secousses que nous ressentions assez souvent, certes faibles, mais qui pouvaient samplifier.
Si jétais hyper fier des compétences de mon homme, je me disais aussi que cela allait être beaucoup plus facile pour ma mère daccepter, et dapprécier son frère. Il nétait pas un « nègre » conçu de la « mauvaise vie » de sa mère, mais un légitime, brillant, avec une excellente situation, dont le professionnalisme était, non seulement respecté, mais sollicité aussi.
De ce fait, une relation plus cordiale, plus régulière sest instaurée entre mes parents et lui, lorgueil démesuré de ma mère avait été comblé par la réussite de son frère. Elle avait beaucoup de défauts, mais elle nétait pas raciste. Si la couleur de peau de Claude lavait surprise au début, normal, elle ne pouvait pas sy attendre, cela ne la gênait pas vraiment. Elle adorait nos voisins, noirs de chez noir, Antillais, et entretenait, avec eux, dexcellentes relations de bon voisinage, avec visites et échanges de plats réguliers.
Si pour mes parents, Claude devenait à la fois mon oncle et mon « grand frère », pour nous deux, il en était très différent. On était fous lun de lautre maintenant, dun amour, dune passion, dune complicité, dun désir qui atteignaient une intensité qui croissait, encore et encore, pour mon plus grand bonheur, et mon plus grand désarroi aussi.
Un jour où Claude déjeunait chez nous, assis à la table le plus loin de moi possible pour tenter de rester imperturbables, un simple contact nous rendait incontrôlables, il a soudain demandé à ma mère :
« Camille, Marc bosse beaucoup en ce moment, et il a des résultats excellents. »
« Oui, Claude, et jen suis super fière. »
« Alors, cest bientôt les vacances des Pâques (Comme on disait à lépoque), Tu me permets de lamener avec moi pour lui faire découvrir les calanques de Cassis ? »
« Je
. Sais pas
. Pourquoi pas sil le veut
Mais
»
« Jai compris Camille. Cest à Cassis, pas à Marseille. »
« Pas ta mère, daccord ? » Elle ne pouvait toujours pas dire Maman en parlant de sa mère.
« Non
. Juste lui et moi
Je vais lui apprendre à pêcher, à attr des langoustes, cuisiner des grillades, je sais quil adore ça »
« Mais vous allez loger où ? »
« Un de mes meilleurs potes de Fac de Marseille a une sorte de cabanon près de Cassis, dans une calanque quil me prêtera volontiers. Je ne lui encore rien demandé, je voulais ten parler avant. Je pense que ça ferait plaisir à Marc de souffler un peu, de se détendre quelques jours, profiter de la mer et du super barbecue, il la gagné, non ? »
« Cest sûr, mais je sais pas trop
. Marc, tu en penses quoi ? »
Bien évidemment, mon homme adoré ne mavait absolument pas parlé de ce projet. Il voulait men faire une surprise totale, et cest loncle, bien sage et sérieux, qui a demandé à sa sur, la permission damener son neveu en vacances bien méritées. Jai failli hurler de rire, nerveux je pense, mais nous étions tellement complices tous les deux que javais complètement saisi son stratagème.
« Ma foi Maman, jaimerais bien, jadore la mer et avec Claude, je me sentirais en confiance, en sécurité, cest ton frère. »
« Tu las mérité Marc, tu as trop bien travaillé, tu as besoin de te profiter aussi »
Jespérais bien que tout en moi allait se détendre complètement avec mon Claude adoré
Bien évidemment, mes parents nétaient pas du tout au courant de mon homosexualité et ne pouvaient pas imaginer, ne serait-ce quun seul instant, que mon oncle, black de surcroit, me défonçait à qui mieux mieux, dès que nous en avions loccasion, trop rares à notre goût.
« Tu es daccord toi aussi, Papa ? »
La décision fut prise pour un départ le vendredi suivant, début des vacances. Claude avait entre temps joint son ami qui mettait volontiers le cabanon à notre disposition. Le matin, ma mère avait rempli le coffre de la 4L de Claude, de vêtements, de nourriture, de médicaments aussi, comme si nous nous rendions en plein milieu du Sahara pour des mois, après maintes recommandations.
Sortis de lautoroute à Fréjus, dont cétait la fin à lépoque, Claude a garé la voiture dans un endroit discret, un bosquet au bout dun petit chemin, me disant quil avait besoin de détendre un peu ses longues jambes. Une fois sortis, jai compris très vite que ce qui devait se « détendre » incluait la troisième
Cette énorme barre qui déformait son short, descendant jusquà mi-cuisse, dont le gland, gros presque comme une pêche dépassait. Une halte de décontraction
Mais sans doute, pas de tout repos, ni pour lun ni pour lautre, notre désir était trop fort.
Être si proche de lui dans ce petit habitacle de la 4L, son incomparable odeur emplissant mes narines, mes yeux ayant du mal à quitter la déformation grandissante du tissu recouvrant avec difficulté le centre de son corps, jattendais cette pause avec une impatience que jessayais de montrer très sage
!!!
Larrêt tant désiré, où nous pourrions nous repaître de notre désir, inassouvi depuis plusieurs jours.
Je lai savouré, je men suis délecté, le caressant, le léchant, alternant les simples coups de langue sur son gland, prolongé sur toute limmense longueur de son sceptre, jusquà la caresse fatale qui, je le savais, le faisait toujours craquer. Mes doigts aux ongles toujours un peu longs, attisant, à petits coups, ce monstre de chair.
Il ne lui a pas fallu très longtemps pour que le mâle dominant reprenne le dessus. Pendant quil appuyait sur mes épaules pour que je le prenne en bouche, le tube de Vaseline était très vite sorti de sa poche, enduisant lorifice de mon calice mais aussi, son intérieur. En quelques secondes, il ma courbé sur le capot encore chaud de la voiture, pantalon baissé et a pris possession de ma fente, ouverte et humide, nattendant que la saillie de son homme.
Il est entré en moi dun coup, me perforant au 2/3 de sa longueur et cherchant à aller encore plus profond encore. Je voulais autant que lui lavoir entièrement en moi. Il y était presque parvenu, seul manquait la base, vraiment hyper large pour que je puisse encore parvenir à le sentir en totalité, avec ses couilles si volumineuses tapant enfin sur mes fesses.
Il nous a fallu trois accouplements, où à chacun deux, il a pu se déverser au fond de mon calice, tant notre manque était intense pour nous deux. Enfin apaisé, on va dire, en partie le connaissant, nous avons repris la route jusquà arriver au « Cabanon ». Ma foi
Une construction en dur, avec un grand salon et cuisine attenante et une super chambre
Cétait pas vraiment ce javais dans lesprit, je pensais plutôt à une simple cabane en bois et jétais agréablement surpris de ce cadre qui allait être le nôtre pour une semaine.
« Jai envie
!!!»
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