Un Week-End-Chez Son Père (Épisode 1)

Salut c’est Bob ! Comment allez-vous ? Je suis content de savoir que vous appréciez mes récits. J’adore lire vos commentaires. Du coup, je vais vous raconter une autre histoire de moi et de ma chérie et vous pourrez juger après de la personnalité de ma dulciné.

Cette histoire s’est passée presque à nos débuts, on va dire à peu près un an, sûrement moins, après notre rencontre Virginie et moi. Bref, cela faisait plusieurs mois que nous étions ensemble et que nous avons, de même, consommer notre union, si vous voyez ce que je veux dire. Notre couple était désormais notaire auprès de mes parents et aussi auprès de sa mère et de son père à elle, qui, je vous le rappelle, ont divorcé quand Virginie était à peine ado. Son père, M. (M. pour l’initiale de son prénom) avait du coup quitté la maison qu’il fit construire à Senlis avec sa première femme, la mère de Virginie. Virginie et sa mère continuèrent de vivre dans la maison, à Senlis ; et lui, s’était retiré sur Beauvais, région où se trouvaient les bureaux de son entreprise car M. était chef d’entreprise. Je passe sur les détails de sa vie professionnelle car ce n’est pas le sujet.

Bref, M. finit par se remarier avec une femme ayant déjà eu des s d’un premier mariage. Une vraie famille recomposée ! Virginie s’en alla de temps en temps en week-end, ou pour des vacances chez son père à Beauvais. Ce dernier avait acheté une petite maison très chic et très sympa. La façade était tout en brique rouge comme cela se trouve souvent dans le nord de la France. Le toit était recouvert d’ardoises grises et il y avait un étage. Le tout était agrémenté d’un petit jardin clos de murs sans vis-à-vis. Bref, le paradis sur Terre, quoi.

Son père donc, que j’avais rencontré une fois ou deux chez ma chérie à Senlis, un jour où sa mère n’était pas là, souhaita que je passe un week-end chez lui avec sa fille pour mieux faire connaissance. C’est Virginie elle-même qui me fit part de l’invitation.

Etant de nature un peu coincé, j’hésitais à dire Oui mais je ne pouvais pas être lâche et me défausser. J’acceptai donc et nous voilà partis tous les deux, ma chérie et moi un week-end chez son père. Je fis alors la connaissance de sa femme mais pas de ses beaux-s car ces derniers étaient eux-mêmes en week-end chez leur père à eux.

Nous arrivâmes le vendredi soir pour deux jours. Nous devions repartir le dimanche après-midi. Après les présentations faites et les salutations habituelles, nous passâmes à table. Margaux, la femme de M., nous avait préparé un bon petit plat. Nous étions donc quatre à table : M., le père de Virginie ; Margaux, sa femme ; Virginie, et moi. L’ambiance était détendue et cool. Le courant passait bien entre nous. M. n’était pas du genre à se prendre la tête et acceptait facilement que sa fille, à 18 ans, ait un copain.

Après la soirée, M. nous présenta la chambre dans laquelle nous allions coucher. Je fus surpris de savoir que ma chérie et moi allions dormir dans le même lit, non pas que nous ne l’avions jamais fait mais là, on était chez son père et lui et sa femme allait dormir sous le même toit que nous, même si nous, nous étions à l’étage, et eux, au rez-de-chaussée. Cela me surprit un peu, mon naturel coincé sans doute. Virginie, elle, en revanche, n’avait pas du tout l’air gênée et trouvait même cela cool et génial.

Le soir venu donc, au moment de se coucher, nous découvrîmes la chambre. Elle était donc située à l’étage. Il y avait juste à côté de la chambre, une salle de bain rien que pour nous car M. et Margaux avaient la leur également au rez-de-chaussée près de leur chambre. Leur chambre était d’ailleurs située, si je me souviens bien, immédiatement en-dessous de la nôtre. Pourvu que nous ne fassions pas de bruit. Lol !

Après avoir pris une douche, Virginie et moi, nous nous couchâmes dans le même grand lit. Cela me faisait drôle car c’était la première fois que je couchais avec ma chérie et avec quelqu’un d’autre que nous dans la même maison, qui plus est était son père et sa belle-mère.


Le temps passait comme cela et nous étions ma chérie et moi sagement allongés l’un contre l’autre et elle blottie contre moi. Je passais mon bras autour de son cou et nous étions allongés tranquillement sur le dos presque à contempler les étoiles. Malheureusement, il y avait le plafond (rire).

Dans la chambre, il y avait une énorme armoire normande, genre le vieux meuble de famille tout en bois massif. Elle était située d’un côté du lit. Nous n’avions pas de télé. L’univers était calme.

Mais soudain, ma chérie eut l’idée de me caresser et je trouvais que c’était une mauvaise idée :
- « Si tu commences comme ça, je vais finir par bander, tu sais ? » lui dis-je avec un petit sourire pincé.
- « Justement, me répondit Virginie, c’est le but recherché. »

La belle, dont je vous ai raconté quelques exploits dans mes autres récits, n’avait déjà pas froid aux yeux. En moins de deux, elle me fit bander, et arriva ce qui arriva : doucement mais surement, elle se glissa sous la couette à l’attaque de mon sexe. D’une main, elle tenait fermement mon phallus en érection et de l’autre elle caressa mon torse, m’embrassant délicatement jusqu’à descendre toujours plus bas vers mon sexe. La belle me faisait fantasmer. Chaque fois qu’elle faisait cela, je devenais fou de désir pour elle.

Je sentis vite ce qui allait se passer et je laissai faire : ma belle allait se saisir de mon sexe, le prendre en bouche et réaliser une de ses formidables fellations comme elle sait si bien les faire.

Cela ne manqua pas, en effet, et mon sexe tout entier pénétra dans sa bouche. Elle venait et repartait, en bougeant juste la tête, sur mon sexe. Moi, je n’avais même pas besoin de bouger pour me faire sucer. C’était le top ! J’étais allongé sur le dos et je regardais le plafond. Cette fois-ci, je voyais les étoiles.

Soudain, problème, on entendit du bruit dans la cage d’escalier. Quelqu’un s’approchait. C’était son père.
Ma belle s’arrêta alors de sucer et moi, je fis semblant de dormir, toujours allongé sur le dos un bras replié sous la tête. Ma belle, sa fille, était entièrement recouverte par la couette. Son père qui était entré dans la chambre ne pouvait pas la voir. La belle avait encore mon sexe dans sa bouche. En arrêtant ses mouvements, au lieu de rester à côté de moi, elle préféra mais peut-être n’était-ce pas un choix me conserver entre ses lèvres et sur sa langue. La venue de son père dans la chambre l’avait peut-être surprise au moment même où elle me suça et ce fut alors au moment où elle avait mon sexe pleinement dans sa bouche qu’elle s’arrêta de bouger.

Virginie et moi, nous ne nous attendions pas à cette visite importune. Sitôt que son père eut quitter la chambre, ma chérie ressurgit de dessous la couette. Elle était comme en apnée. Elle me demanda alors ce qu’il était venu faire là.

- « Je ne sais pas, lui répondit-je. Je l’ai vu prendre un peignoir et repartir discrètement peu après. »

M. était venu effectivement chercher un peignoir dans la grande armoire normande qu’il y avait dans la chambre. Sans doute n’avait-il pas prévu le coup et sans doute ne voulait-il pas nous déranger. Il devait penser que nous dormions déjà car cela faisait déjà un petit moment que nous étions couchés Virginie et moi.

Je ne sais si M. vit sa fille me sucer. Je ne pense pas. Virginie était bien cachée entièrement sous la couette. S’est-il aperçu que je fis semblant de dormir ? Je ne pense pas non plus. Il a dû voir pourtant que ma belle, sa fille, (voir ou plutôt comprendre ou deviner) s’occupait particulièrement bien de moi.

Le lendemain matin, au petit déjeuner, M. fit comme si de rien n’était, et Virginie et moi en faisions autant. Pourtant, je le soupçonne d’en avoir parler à sa femme juste après être redescendu et retourné se coucher. Je ne sais ce qu’il en fut réellement mais il nous restait encore à vivre Virginie et moi près de deux jours chez son père et une autre nuit.


A suivre…

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