Surprise À La Maison : Une Revanche ! (Partie 1)
Je rentre à la maison, légèrement plus tôt que d'habitude, après être rentré relativement tard ces derniers jours avec cette saison très active au travail. Je me sens plutôt bien et je me réjouis déjà de retrouver mon canapé et un apéro agréable avec ma délicieuse femme. Devant la maison, une voiture inconnue. Aurions-nous de la visite ?
Alors que je me demande bien qui pouvait donc bien être arrivé chez nous en fin d'après-midi, je me souviens aussi que ma chère compagne m'avait déclaré qu'il y aurait très probablement une surprise un de ces jours.A la manière dont elle me l'avait dit, je n'avais pas osé poser plus de questions. Je me demande alors si cette voiture a un rapport avec cette surprise à venir.
En tous les cas, je me réjouis vraiment de rentrer, de pouvoir déposer mes chaussures dans le placard, de me mettre en tenue décontractée et surtout, de retirer la cage de chasteté qui retient sévèrement mon sexe entre mes jambes. Depuis plus de trois mois, je suis contraint, sous peine de séparation, de porter cet appareil lors de mes sorties hors de la maison. Une question de manque de confiance : en effet, j'ai commis un écart coupable avec une des secrétaires de mon entreprise. Quelle bêtise de ma part ! Je ne sais pas pourquoi j'ai craqué soudain pour elle, alors que il n'y avait rien à imaginer dans la durée. Ma femme a évidemment découvert le pot-aux-roses et après une discussion serrée, elle m'a promis de trouver rapidement des solutions afin d'éliminer tout risque à l'avenir. Elle est très énergique et entreprenante. Et donc, quelques jours plus tard à peine, elle est arrivée avec cet objet en métal que je n'ai pas tout de suite identifié : une cage de chasteté en métal fin épousant assez fidèlement la forme de mon sexe, avec un petit anneau métallique qui la fait tenir en place en serrant mes testicules. A la maison, je peux la retirer et la déposer dans la petite coupelle en bois qui accueille nos clés de voiture et d'appartement.
En évoquant la surprise à venir, ma femme avait précisé, en me regardant bien droit dans les yeux que, quoi il arrive, je ne devrais pas réagir négativement et qu'elle comptait sur mon esprit ouvert et constructif. Cela pouvait vouloir dire beaucoup de choses. C'est ce que j'ai à l'esprit au moment d'arriver devant la porte de la maison. Là, accroché à la hauteur des yeux se trouve un morceau de papier jaune portant la mention "Aujourd'hui, surprise !". Mon cur se met à battre plus fort et je me demande bien ce qui se trame ici. De plus en plus, j'ai la conviction qu'il s'agit de quelque chose de sexuel, peut-être pas si agréable pour moi. Je me sens encore coupable de mon écart d'il y a trois mois et j'appréhende encore une réaction forte de Sonia dans ce domaine. Que peut-elle bien préparer : un jeu sado-maso, avec coups de fouet et liens bien serrés, peut-être ? Ou une séance d'humiliation, menotté au lit avec des fessées ? Je connais trop bien ma femme pour savoir à quel point elle peut être très créative et même un peu perverse. C'est en ayant tout cela à l'esprit que j'ouvre la porte et que je pénètre dans le vestibule. Un manteau masculin inconnu s'y trouve suspendu. Il y a donc un autre homme dans la maison.
Je dépose donc mes chaussures tout doucement, j'y glisse mes chaussettes et je monte à l'étage à pieds nus. J'aimerais surprendre plutôt qu'être surpris. Le silence règne dans la maisonnée
Toutefois, en m'approchant de notre chambre, j'entends de petits bruits discrets : des petits rires étouffés, quelques mots chuchotés, une voix basse d'homme.
Cet homme serait-il l'amant de ma femme ? Tout à coup, je ne suis plus sûr de rien et je ne me sens pas très bien. Un pincement au cur, les mains qui tremblent, je suis très déstabilisé. Elle m'avait assuré avec tellement d'aplomb qu'elle, elle ne me tromperait jamais que je suis très ébranlé par la scène à laquelle j'assiste. C'est un spectacle assez inimaginable pour moi. Je décide de retourner à l'intérieur et d'aller écouter à la porte. Très lentement, sur la pointe des pieds, je me dirige vers la chambre et je vais coller mon oreille à la porte.
Je commence à comprendre. Elle lui parle de ma tromperie. Elle lui raconte brièvement toute l'histoire et la discussion qui a suivi entre elle et moi. Il lui donne raison à chaque fois qu'il le peut. Elle lui explique qu'elle a décidé de me donner une bonne leçon : elle me trompera mais en quelque sorte sans me tromper. MOn cerveau panique un peu : "Comment cela ? Mais que veut-elle faire ? Tromper sans tromper, qu'est-ce que cela signifie ?" Elle lui explique alors qu'elle veut coucher avec un autre homme, mais devant moi. Je serai le témoin de ses ébats. En ce sens, elle ne m'aura pas trompé, parce qu'elle aura fait les choses franchement. Et ainsi, j'aurai eu une relation extraconjugale et elle aussi, mais de façon franche, à la loyale en somme. Ainsi, elle et moi serons quittes. Je me sens tout à fait fébrile, je tremble, je suis tout chose, je sens la panique monter en moi. J'ai vraiment le sentiment de perdre le contrôle des événements, que ma relation avec ma femme est en train de tourner complètement. Je suis très inquiet. Et C'est moi qui ai mis en route cette machine infernale, qui l'ai indirectement incitée à vouloir se trouver dans les bras d'un autre, à vouloir jouir avec un autre homme que moi. Je les entends maintenant tous les deux imaginer divers scénarios possibles. Il lui propose toutes sortes de choses qu'elle pourrait faire et surtout qu'elle pourrait me faire, sous les yeux de son amant d'un jour.
Je concentre mon attention sur ce que mon oreille entend à travers la paroi fine de la porte. Je n'entends plus beaucoup de mots, mais des petits bruits comme des glissements, des bruits de bouche comme des embrassades, des bruits de vêtements. Je les imagine en train de commencer à se toucher, à se caresser, à s'embrasser. Aïe ! Les choses sérieuses ont commencé, fini la discussion et moi je suis là comme un idiot à écouter à la porte pour attr des mots et des bruits comme je peux. Je me sens comme un moins-que-rien, s humilié: J'ai l'impression de ne plus compter. Suis-je en train de perdre ma femme ou ne s'amuse-t-elle en vrai qu'à construire ce scénario, cette revanche dont elle parlait il y a à peine quelques minutes. Je n'y tiens plus, j'ai besoin de voir, de mettre des images sur les événements, de comprendre ce qui se passe. Sur la pointe des pieds, avec une prudence de sioux, je repasse par la chambre d'amis pour atteindre le balcon et retrouver le point de vue me permettant d'apercevoir ce qui se passe dans notre chambre. Et je les vois alors dans les bras l'un de l'autre, en train de se caresser, leurs visages se font face, s'approchent de plus en plus et finissent par s'embrasser du bout des lèvres
comme pour essayer, timidement. Ils sont toujours habillés. Mais cette scène est pour moi à la fois révoltante et excitante. Je ne sais pas ce qui me prend : je devrais être jaloux, je le suis d'ailleurs, mais je ressens aussi une forte attirance pour la scène à laquelle j'assiste de l'extérieur et j'ai une envie incontrôlable de continuer à la regarder
En fait, je n'arrive même plus du tout à détacher mon regard et je contemple ma femme en train de se faire peloter par un bel homme, mince, grand et blond. L'excitation intérieure que me provoque cette jalousie teintée d'excitation sexuelle est tout bonnement incroyable, presque insoutenable. J'ai envie de me toucher le sexe, de me rassurer, de prendre mon érection en main pour vivre complètement ma propre excitation. N'y tenant plus, je repars en direction du couloir, je redescends au rez-de-chaussée et je tends la main vers la coupelle en bois dans laquelle se trouvent les clés. Mais, mais
la clé de la cage, avec son porte-clés en forme de clitoris, ne s'y trouve plus ! Pourquoi ? Ah
la coquine s'en est emparée avant que je rentre
pour m'obliger à vivre les événements sans pouvoir y prendre du plaisir, d'aucune manière
Estomaqué, la boule au ventre et la tête basse, je remonte lentement en direction de mon balcon d'observation. Je sais désormais que je ne pourrai pas les observer en me masturbant derrière la fenêtre, que je ne pourrai pas participer, même de loin.
(à suivre)
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