Souvenirs De Vacances
SOUVENIR DE VACANCES
Juin, en ce qui me concerne je trouve que cest le mois idéal pour partir en vacances, les journées sont longues, il y a pas laffluence de juillet aout, il est vrai aussi que nous sommes retraités mon épouse et moi nous pouvons partir comme bon nous semble, en plus les locations sont abordables dans ces périodes, la villa que nous louons est très spacieuse et confortable, géographiquement bien situé à 10 minutes à pied de la plage, les commerces de la station balnéaire sont à peu prêt à égal distance. Nous sommes là en famille, mon beau-frère, ma belle -sur et notre amie Suzanne.
Voilà déjà 3 jours que nous sommes arrivés, chacun a vite trouvé ses marques, il y a les lèves tôt dont je fais parti, les lèves tard qui profitent au maximum de leur lit, je suis le seul sportif de la troupe, jaime la marche sportive, je suis accroc, si je ne peux pas en faire une journée, cest une journée gâchée. Je vais être honnête, japprécie surtout mes ballades en solitaire.
Il est à peine 9 heures, me voilà sur la plage, cest marée basse, la plage est immense, ici on peut marcher des kms et des kms, le temps est magnifique, il fait même déjà chaud, cela promet pour le reste de la journée, je marche dun bon pas, je croise quelque sportifs émérites qui font leur joggings mais plus je méloigne de la station, je ne vois plus personne, jai vite très chaud, à porter mon petit sac à dos, mon teeshirt est trempé de sueur, malgré ces petits inconvénients, je suis ravi, jai limpression dêtre comme Robinson Crusoé, seul au monde, je regarde du côté des dunes, pas âme qui vive.
Je suis quelquun de plutôt très pudique, il mest arrivé de faire du nudisme, mais toujours bien caché, à la vue de personne, mais aujourdhui je ne sais pas ce que jai, une envie irrésistible de me lancer un grand défi et si je me promenais tout nu. Je commence à regarder une nouvelle fois autour de moi, je scrute surtout les dunes, non rien ne bouge, je suis seul au monde, bon déjà je retire le teeshirt, il est trempé de sueur, je ne le mets pas dans le sac, trop mouillé, ensuite mon short, me voilà en slip, ce nest pas un maillot de bain, un sous vêtement classique, je me sens tout chose, cest ridicule mais jose pas le baisser, une nouvelle fois je regarde partout, je suis très hésitant, je me dit que je suis vraiment stupide, je me lance un défi et au moment de le réaliser tu te dégonfles, si quelquun arrive jaurais le temps de me rhabiller, je retire mon dernier rempart, me voilà tout nu.
Je marche, mon teeshirt a la main, quelle agréable sensation dêtre tout nu, le vent me caresse le corps, ma verge, je me sens libre, leffet se fait pas attendre, mon sexe se réveille, tout en marchant je me caresse, je me décalotte, je mouille de salive mon prépuce, leffet de laire sur mon gland mouillé me donne des sensations super agréables. Faut que jarrête sinon je ne vais pas résister.
Je continue ma marche, tout à coup au loin, je devine une silhouette, je ne peux pas savoir si cest une femme, un homme, quest-ce que je fais ? je me rhabille ou je continue comme ça, une nouvelle fois le doute me reprend, non je reste motivé, si je dois croiser cette personne, elle me verrat tel que je suis.
C est un homme, il est a porté de vue maintenant, il se baigne, il me semble quil est tout nu, je suis pas sûr, il joue avec les vagues, je vois que le haut de son corps, jarrive à sa hauteur, je me sens tout chose, il me regarde passé discrètement, à cet endroit de la plage les tempêtes de lhiver on fait échouer quelque troncs darbre, dailleurs sur lun je vois un maillot et un short, je continue mon chemin, mais je me dis quand il ma vu arrivé, il a cessé ses jeux pour me regarder cest pas anodin , rien que de penser ça ma mis le trouble, comment faire pour être sûr, difficile de savoir, il faut reconnaitre quand on voit passer quelquun tout nu, on a tendance à mater par curiosité cest humain. Je parcours une 40aine de mètre, encore un tronc échoué, je marrête, jen profite pour faire sécher le teeshirt que je tenais à la main, je massois, pour me donner de la constance je sors ma bouteille deau et je me désaltère, tout en matant dans la direction de cet homme. Justement il sort de leau, il est tout nu, je nai pas une vue perçante, il parait svelte de loin, peut-être la 50aine ou plus je ne sais pas, il se dirige vers ses affaires et sassoit.
Du coin de lil je lobserve, il regarde locéan, mais de temps en temps il tourne la tête vers moi, je ne sais pas trop quoi faire, je me pose des questions, de ma vie jai jamais osé aborder un homme, ce nest pas évident, il se passe un bon moment sans quaucun dentre nous ose faire le 1er pas, il doit se poser les même questions que moi, on est un peu timide sans doute.
Il ma pas vu mapproché, je métais pas trompé, il était-là, les jambes écartées, se donnant du plaisir, je vous jure jai tout de suite remarqué qu il avait un sexe magnifique, assez long, mais très fin, complètement lisse, 2 petites bourses, cest un bel homme, a peine de ventre, probablement habitué au nudisme bronzé de haut en bas, je lui donne à priori la 60aine. Cheveux poivre et sel, plus sel que poivre dailleurs.
Quand il sest aperçu de ma présence, il a été très surpris, trop absorbé à se masturber, il sest arrêté je lui ai dit surtout de continuer, que cétait trop agréable et troublant de le voir se donner du plaisir, rassuré il a repris, je me suis assis à côté de lui, étonné par mon audace, ma main a remplacé la sienne, sa tige était dune douceur incroyable, jai commencé la masturbation, jai pris délicatement sa verge entre mes 2 doigts au niveau du gland, je le décalottais tout dabord avec douceur, puis en tirant de plus en plus la peau vers le bas, lui massant ses petites couilles en même temps, il soufflait, gémissait, il ma dit quil était trop excité, quil allait pas pouvoir résister longtemps. Je lui ai demandé de se lever, moi toujours assis, javais maintenant sa belle bite a porté de bouche, elle me faisait trop envie je lai sucé, comme il venait de se baigner son sexe avait un gout salé, un vrai délice, il me criait oh ouiiii oh ouiiii, jai redoublé dardeur, il ma prévenu quil allait éjaculer, je me suis vite écarté, jai adoré le voir jouir, son jus plutôt abondant a giclé sur le tronc darbre. Il était la devant moi, il reprenait ses esprits, je lui ai fait remarquer quil avait du sperme sur ses cuisses, il est parti se laver dans locéan, en le voyant séloigner, je me suis fait la réflexion, il a des fesses de femmes, décidemment cet homme a tout pour lui.
Malgré la frustration quil ne mest pas touché , je garde un excellent souvenir de ce moment particulier pendant ces vacances.
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