Une Fantaisie De Charlotte
Ma femme Charlotte (1m75, 58 kilos, blonde cendrée, cheveux mi-longs, pour ceux et celles qui aiment les détails
oh, joubliais, 80A), vient davoir trente ans. Nayant pu fêter lanniversaire de ma bien aimée convenablement, pour des raisons de travail, je suis à court dexcuses quand on reçoit un mail de la part dune de ses amies de la fac. Simone habite dans lest de la France. Elle va fêter ses trente ans aussi, et elle nous invite à passer quelques jours chez elle pour marquer loccasion. Personnellement, Simone nest pas très à mon goût, une prof hyper-sérieuse au sens de lhumour plutôt atrophié. Cependant, ça fait un moment que je nai pas loccasion de parler allemand, alors on accepte. Comme ça je pourrai passer la frontière avec Charlotte et lui faire visiter un peu lAllemagne.
La Forêt Noire nest pas loin. Jy fais un détour pour retarder notre arrivée chez Simone. Charlotte et moi, nous aimons bien faire des balades dans la nature et une fois quelle est absolument certaine que nous sommes seuls , elle cède à ma suggestion de se promener torse nu. Manque de chance, peu après, elle entend des bruits et remet vite son teeshirt. Je lui dis que les daims qui traversent le sentier sen fichent quelle ait les seins à lair, mais rien à faire. Le teeshirt reste en place.
Cette visite a été organisée au dernier moment et on est venus avec un petit sac chacun. Le premier soir, Claude, le mari, propose une sortie dans une petite boîte de nuit dans une ville allemande qui nest pas loin. Simone nen a pas lair trop enchantée, il faut dire. Charlotte nest vraiment pas équipée pour aller danser. Elle emprunte une robe à Simone, qui est très petite, mais heureusement aussi fine que Charlotte. Ça fait une robe plutôt mini pour les un mètre soixante-quinze de ma femme. Jaime, mais quand jessaie de lui montrer combien la robe me plaît, Charlotte me repousse en rigolant, et senferme dans la salle de bain pour faire son maquillage en paix.
Cest une petite boîte et quand on arrive il y a pas mal de clients, mais très peu de femmes. Une table à côté de la piste de danse se libère et on sen empare vite pour Charlotte, Simone, Claude et moi-même. Dire quon est serrés serait être trop généreux. On boit un peu mais on ne danse que très peu. Cette ambiance de mâle nest pas pour me mettre à laise, ni Simone et Charlotte non plus. Charlotte est biglée de tous les côtés, et pas discrètement. Normalement, ça ne me dérangerait pas, me plairait, même , mais pas ici, pas ce soir. On commence à se demander ce quon fait là.
Puis les lumières baissent, et on annonce «Meine Damen und Herren ! Unsere Tänzerin Sharon ! Und heute Abend hat sie die versprochene Überraschung für uns ! Sie wird sich ohne BH präsentieren !». Le public braille son plaisir. Charlotte me demande de traduire. Je lui explique que ça veut dire que ce soir la danseuse aura les seins nus. Je comprends maintenant lenthousiasme de Claude et la réaction négative de Simone, sans parler du surnombre dhommes.
Elle nest pas mal, la fille. Elle doit être très jeune, il me semble, avec de longs cheveux noirs et un corps formé par la danse ou la gymnastique. Dailleurs, ne elle porte quun un collant de gym qui moule ses belles fesses comme une seconde peau. Comme elle est masquée, ce qui frappe surtout cest quelle a de très jolis seins bien fermes, un peu plus grands que ceux de Charlotte. Simone narrête pas de donner de coups de coude à Claude, qui, je vois, apprécie trop la demoiselle à ses yeux. Je regarde ma femme. Elle semble inconsciente que la robe empruntée, qui ne lui arrive même pas à mi-cuisse quand elle est debout, sest remontée et révèle un triangle en dentelle noire. Tous les yeux, sauf les miens, sont rivés sur la danseuse, y compris ceux de Charlotte. Mon épouse croise les jambes et quand je pose une main sur sa cuisse, elle me sourit. Elle sait que je sens le tremblement qui me dit quelle est en train de se masturber en serrant les cuisses très fort et en faisant un petit va-et-vient sur le rebord de sa chaise.
Une minute plus tard, Charlotte dit quelle va aux toilettes et se lève. Sa moue me dit quelle nen est pas trop contente quand Simone se lève aussi. Elles disparaissent. Claude et moi, on discute de la danseuse, qui, nous trouvons, à offert un joli spectacle, pas hyper sexy mais une jolie fille aux seins nus, ça sapprécie. Charlotte revient ; elle a lair un peu morne. Simone met encore quelques minutes à nous rejoindre. Elle na pas lair plus contente que Charlotte. On ne tarde pas à rentrer. Il y a du mécontentement dans lair, et on ne traîne pas avant de se coucher.
Une fois au lit, je sens que Charlotte a envie de parler. Je suppose que cest de la danseuse et je me prépare à inventer une de ces expériences qui lexcitent tant. Dans ces fantasmes il est souvent question de femmes. Sachant que rien ne mempêchera de regarder une belle femme, elle a pris lhabitude de me les faire remarquer, et souvent elle me souffle ce quelle aimerait faire avec. Cest un jeu qui nous amuse et nous chatouille limagination. Charlotte ma déjà dit quelle serait tentée par une aventure lesbienne si loccasion se présentait, mais jusqualors na pas franchi le pas en réalité . Mais avant que je ne démarre, cest elle qui commence.
-Javais remarqué que la fille était sortie des toilettes pour monter sur la scène. Je me suis dit quelle avait dû se changer là-dedans, alors si je la suivais, je la verrais peut-être nue. Jaurais aimé voir ça. Je sais que tu aurais aimé mentendre décrire une jolie fille à poil, alors ne le nie pas !
-Je nen avais pas lintention ! Que sest-il passé, alors ?
- Simone est arrivée et a commencé à engueuler la fille comme du poisson pourri.
Maintenant, Charlotte se retourne sur le ventre et commence à se caresser. Je ne dis rien. Je sais quelle est en train de fantasmer sur la danseuse, et quelle ne résistera pas à la tentation de me raconter ses pensées.Elle se met à parler.
- Tu crois que la fille maurait laissé toucher ? Jen avais très envie. Jaurais pris ses tétons entre mes lèvres pour les sucer et les mordre. Jaurais voulu lui prendre la main pour quelle me caresse les seins à son tour.
Jattends. Elle continue :
- Tu as remarqué ? Il y avait surtout des hommes au club, à cause de la danseuse. Le club va avoir un problème, parce que je suis sûre que la fille nosera plus y aller. Tu comprends ? Plus de danseuse, moins de clients
Jallume le bout de la mèche que me tend Charlotte.
- Et si cétait toi, qui remplaçais la danseuse, qui montais sur la scène avec tes jolis petits seins exposés à la vue des clients ? Je ne fais que commencer, mais cette pensée suffit pour que Charlotte jouisse, très fort, et la conversation sarrête là.
Elle ne veut plus en parler ce soir-là. Elle sendort, épuisée par ses deux orgasmes, dans le club et au lit. Si jamais on va revisiter la conversation, ce sera plus tard.
De retour chez nous, jattends deux jours avant de remettre le sujet sur la table, ou plutôt sur les draps. Charlotte, nue, est dans sa position habituelle de masturbation nocturne, à plat ventre, les doigts recourbés et qui manipulent son sexe. Je lui rappelle quelle a joui en simaginant à la place de la jeune danseuse, et je lui demande si elle a envie den discuter encore. Elle fait oui de la tête, alors je démarre avec une mise en scène, mais je nous place dans une boîte-discothèque quon a déjà fréquentée, qui nest pas loin de chez nous.
- Nous sommes dans « Le Charlot ». Ce soir on annonce une danseuse exotique. La patronne est inquiète, car le club est pleine à craquer, lheure arrive, mais pas la danseuse prévue . Jappelle la patronne, et je te propose comme remplaçante. Elle te regarde, voit que tu es belle et bien faite. Mais
- Elle nest pas habillée pour, dit la patronne..
- Oh, pas de problème. Elle enlèvera le haut. Tu veux bien danser seins nus, nest -ce pas, Charlotte ?
Ma femme a les yeux grands ouverts, choquée, mais je la connais et je sais que la fantaisie la tente.
- Seins nus ? Hmmm
peut-être . La tension dans sa voix est évidente.
- Tu finis ton verre et tu te lèves. Tu enlèves ton haut. Tu ne portes pas de soutif, comme dhabitude . Tu montes sur la scène. Les gens te regardent. Tu les regardes aussi. Que remarques-tu dabord ?
- Il y a une grande majorité dhommes.
- Oui. Et alors ?
- Tu as dit à la patronne que je me présenterais avec les seins nus, comme laurait fait lautre fille. Tu acceptes que je montre mes seins devant ces hommes inconnus ? Lidée te tente ?
Je reconnais ce genre de question de la part de mon épouse . Elle a envie que je la pousse, et jaccepte de bon cur. Tant quon reste dans limaginaire, elle a très peu de limites et elle accepte volontiers que je lui fasse participer dans des scénarios impossibles à réaliser et qui la troublent énormément , ce qui lexcite encore plus.
- Connus ou inconnus, peu importe. Pourquoi pas ? Tu sais combien japprécie ta beauté quand tu fais du topless, et encore plus quand tu es toute nue, alors pourquoi est-ce que je priverais les autres de ce plaisir ?
Un frisson fait trembler son corps entier. Sa voix, aussi, tremble.
- Moi, je suis daccord pour danser seins nus, puisque cest ce que tu as déjà proposé à la patronne. Mais là, et tu me diras si je me trompe, mais là, cest bien toute nue que tu as dit ? Je serai complètement nue sur scène ? Je croyais que je ne devais montrer que mes seins. Ce nest pas assez pour toi ?
Je durcis le ton de ma voix.
- En effet. Maintenant que jy pense, non. Ce nest plus assez.
- Tu veux quils voient mes fesses aussi ?
- Évidemment. Elles sont belles.
- Et
et mon sexe ? Tu veux que je leur montre mon minou ? Quils voient ça aussi ?
- Si ça texcitera, pourquoi pas ?
Je la connais, simaginer avec les seins nus, ça ne lui suffira plus, maintenant que jai parlé de nudité intégrale. Son minou, aux poils claires soigneusement taillées, fera fureur, cest certain, car ce public imaginaire a les mêmes goûts que moi. Ça linquiète quand même, et elle fait une dernière tentative pour refermer cette boîte de Pandore qui est maintenant grande ouverte.
- Mais à la patronne, tu as dit juste topless
.
- Écoute, Charlotte. Que ressens-tu ?
- De lexcitation, cest sûr
mais en même temps javoue que je me sens perturbée .
- Ça ne te gêne quand même pas dexposer tes seins à ces gens ?
Silence. Elle doit réfléchir.
- Un peu. Pas vraiment. Tu sais que ça ma plu quand jai exhibé mes seins nus à des inconnus quand on était en vacances. Mais quand je lai fait ce jour-là sur laire dautoroute, il ny avait pas autant de monde, et je savais quon pouvait partir à nimporte quel moment. Ce que tu proposes pour moi, de le faire sur scène, cest autre chose.
- Autre chose comment ?
- Plus excitant , je crois. Plus flagrant, donc plus difficile et plus compliqué aussi pour moi dans ma tête. Mais, ce nest pas exactement ce qui me travaille.
- Raconte, alors.
Charlotte serre davantage les fesses. Je sais que ses doigts sappuient plus fort sur son sexe.
- Je me sens gênée de te le dire.
- Gênée parce que tu montres tes seins, ou parce que maintenant que jai parlé de nudité, tu es tentée daller plus loin ?
Le silence dure quelques secondes.
- Plus loin ? Oui, je crois que jen serai capable, sil le faut.
- Il le faut. Plus loin, ça veut dire quoi exactement ?
- Tu veux vraiment savoir ?
- Oui.
Sa masturbation accélère.
- Jai envie
de ne porter que mes talons quand je monte sur la scène
dêtre exposée toute nue devant tous ces gens
tous ces hommes
et puis danser, oui, mais pas vraiment
plutôt de mexhiber sous tous les angles
mes seins, mes fesses, mon sexe
caresser mes seins
tirer sur mes tétons pour les faire ressortir
Elle se tait.
- Cest tout ?
- Oui, cest tout
non
oui
Je ne sais pas.
- Si, tu sais. Continue.
Charlotte aspire profondément. Sa voix tremblote.
- Tu penses
quils sattendront à ce que je me touche
là ?
- Où ça, là ?
Charlotte gémit. Elle sait que je ne la laisserai pas sesquiver. Jattends.
On dirait que les paroles sont arrachées de Charlotte, bribe par bribe, avec des hésitations, des pauses, presque des sanglots.
- Le sexe
la vulve
le minou
Ça te suffit ? Non ?
Elle tourne la tête pour me regarder dans les yeux. Je lève un sourcil interrogatoire. Elle souffle un grand coup, puis :
- Alors le con, à la fin. Voilà. Jai dit le mot que tu voulais. Le con. Mon con. Que je leur montre mon con et que je tripote mon con pour eux.
- Et tu as envie quils voient bien que tu es en train de te caresser
le con?
Encore un frisson à mentendre dire le mot à mon tour. Sa voix se fait toute petite :
- Oui. Jai envie quils me le regardent, quils voient ce que je me fais et quils en parlent entre eux. Quils discutent de mon con, de ses formes, que je les entende dire que le con de cette garce leur plaît .
- Mais toi, tu es sur la scène. Eux, ils sont à des mètres de distance. Ils ne verront pas grand-chose.
Le choc est évident dans la voix de Charlotte.
- Tu veux que je descende de la scène ? Que je sois contrainte, toute nue, toute excitée que je suis, de mapprocher de tous ces hommes ? Il faut que je fasse ça ?
- Tu en as envie, non ? Envie dêtre à portée de leurs mains alors que tu es sans défenses et toute exposée ?
Elle marmonne sa réponse, mais je ne lui demande pas de répéter. On sait tous les deux que cest oui.
- Et une fois que tu es parmi ces gens, tu fais quoi ?
- Je continue à toucher mon minou, je me caresse.
- Et eux ? Ils font quoi ?
Sa voix est tremblante :
- Ils mexaminent de tout près. Tu penses que ça leur plairait si j écartais les lèvres de mon sexe pour leur montrer que je mouille et combien mon clito est dur ?
- Tu as envie de le faire ?
- Je crois que jen ai envie, oui
mais je ne sais pas si jose.
- Et ?
- Il est trop tard. Ils le veulent. Je nai plus le droit de marrêter. Il faut que jose. Même si je dois me forcer
cest difficile, mais je le fais. Oui, je le fais.
- Et ça te fait quoi, douvrir ton sexe devant tout ce monde ? Tu te sens comment ?
- Je me sens sale. Que je suis une sale fille. Je sais que ce nest pas bien, ce que je fais. Je suis immodeste, je sais. Dailleurs, jen entends qui disent ça.
- Mais tu le fais quand même ?
- Oui.
- Pourquoi ?
- Parce que ça mexcite tellement de le faire.
- Et maintenant que tu tiens ton sexe ouvert pour eux, tu te sens comment ?
- Ça mexcite. Je crois que
Elle sarrête, tousse, jentends quelle a la gorge sèche. Elle avale, mais ne parle pas.
- Tu crois que
?
Jinsiste. Sa voix craque, mais elle le dit :
- Que jaimerais sils me touchaient.
- Où ?
Ses mots coulent à flot, elle ne peut plus se retenir. Sa masturbation accélère.
- Partout ! Je veux quils me défoncent le con avec les doigts, quils jouent avec mon clito, quils sucent mes tétons, quon menfonce un doigt dans le cul !
Je saisis lallusion et je plonge mon majeur de toute sa longueur dans son cul. Elle gémit à nouveau. La chaleur de son cul enrobe mon doigt. Premier petit orgasme. Il y a un silence. Je sens que Charlotte réfléchit. Puis elle reprend sa masturbation et me pose une question :
- Alors, ai-je bien compris ? Tu me laisseras faire tout ça ? Tu as envie que je leur montre tout ? Sans retenue ? Sans la moindre décence ? Sans limites
et à tous ces hommes ? Quils aient le droit de me faire tout ce quils veulent ?
- Une question pour une question : Ça texcite dy penser ? Tu as envie de le faire ?
Une pause. Elle respire profondément, puis :
- Oui. Jen ai envie. De toute façon je ne suis quun corps pour eux à cause du masque.
- Tu es masquée ?
- Oui. Comme la fille que nous avons vue en Allemagne. Ces inconnus qui regardent et qui pelotent mon sexe, mes fesses et mes seins, tu ne veux quand même pas quils voient ma figure ?
- Si. Tu es belle.
Jentends les sons liquides du travail des doigts de Charlotte qui fouillent et labourent son sexe.
- Ils vont savoir qui je suis. Tu ne veux quand même pas quils sachent ça ?
- Ça texcitera, nest-ce pas ?
- Quils sachent que je suis une femme mariée ?
- Ils doivent bien voir que tu portes une alliance.
- Tu tiens à ce quils sachent que cest ton épouse que tu leur offres en spectacle et qui se vautre comme ça ? Sans gêne, complètement nue, et qui donne son corps en jouet à nimporte qui, qui se permet de faire toutes ces choses honteuses et qui laisse à ces inconnus le droit de faire delle ce quils veulent?
Elle est au bord de lorgasme. Ses fesses tremblent dans un effort de retarder le moment pour le rendre encore plus fort. Une dernière folie se déclare dans ma tête :
- Et noublie pas que demain matin, quand tu devras traverser le centre-ville à pied pour aller à ton bureau, tu croiseras des hommes qui tauront vue te caresser, nue dans la foule de mains qui ta envahie, qui ont peut-être le parfum de ton con ou de ton cul toujours sur les doigts. Ces hommes-là te reconnaîtront, peut-être même te donneront le bonjour avec un sourire complice. Devoir les saluer poliment va te rendre folle dexcitation, tu ne crois pas ?
- Si. Oh, si ! Oh, oui ! Cest tellement bon ! Jaime !
Lorgasme la foudroie. Charlotte se tortille en gémissant, les dents serrées, les muscles du ventre crispés à mort, comme si elle narrive plus à contrôler son corps. Mon doigt dans son cul apprécie les contractions mitraillées et puissantes qui secouent ma femme. Au moins deux minutes sécoulent avant quelle narrive à se calmer, même un peu. Son front est couvert de sueur. Je la laisse respirer. Je sais quaprès un tel orgasme, ce nest pas la peine dessayer de discuter davantage. Le fantasme est dautant plus fort du fait de savoir que Charlotte, mon épouse que jadore, cette dame intelligente, cultivée et bien élevée, noserait jamais faire la dixième partie de ce quon vient dimaginer ensemble
nest-ce pas ?
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