Avoriaz
Cette histoire vécue remonte maintenant à une dizaine dannée.
Je mappelle Audrey, Javais à lépoque 27 ans, mariée et jeune maman de deux garçons que nous avons eu, mon mari et moi, coup sur coup.
Marc et moi, nous nous sommes rencontrés au lycée, mariés à la fin de nos études, ne nous sommes plus quittés depuis.
Comme dans tout couple, il y a des hauts et des bas, et cette histoire vous montrera dans quel état de manque de confiance en moi jétais à ce moment de nos vies.
Et combien une intervention virile peut vous remettre sur les rails.
Je nen ai jamais parlé à mon mari, et compte bien sur vous pour que cette confession reste secrète, en contre partie de votre discrétion, je vous livrerai tous les détails de ce que fut ma 1ere infidélité.
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Pour ces vacances de février, nous avons décidé de partir tous les 4 dans une résidence hôtelière à Avoriaz.
Marc est claqué par son boulot, et moi débordée par les s qui ne me laissent aucun répit.
Notre hôtel sera près des pistes, avec un buffet, donc pas besoin de faire la cuisine, et surtout une garderie pour s.
Où les petits se dépenseront, pendant que nous profiterons en amoureux.
Un bon moyen pour se retrouver, car en ce moment latmosphère est électrique entre nous.
Et les occasions de nous disputer nombreuses.
Le trajet pour nous y rendre nest pas une sinécure.
Le mal des transports pour les s, les embouteillages, et nous arrivons épuisés pour poser enfin nos valises dans la chambre et débuter les festivités.
Petit apéro dans la chambre, et nous partons à la réunion dinformation de lhôtel.
Une équipe danimateur nous présente les différentes activités de la semaine, et nous partons ensuite dîner.
Le principe veut que nous partagions une grande table avec une autre famille pour faire connaissance.
Ils sont 5 et nous 4, de tous âges, et nous sympathisons.
Quand lun des animateurs nous demande sil peut se joindre à nous, puisquil reste une place restante. C que nous acceptons tous.
Il se présente alors : Antoine, 32 ans, à notre service pour la suite de notre séjour.
En mon fort intérieur, je me disais, moi qui suis assez prude, que je lui aurais bien demandé dêtre à mon service exclusif. Et dans bien des domaines.
Javais un peu honte de me sentir si humide dans ma culotte, soudainement.
Mais la vision de ce bel homme, plein dhumour, aux épaules si larges, minspirait des fantasmes inavouables.
En retournant dans notre chambre, peut-être par remord, peut-être pour évacuer ce top plein de désir, je fis lamour à mon mari comme jamais mon corps nen avait eu envie.
En me promettant à mon réveil de calmer mes ardeurs.
Tout le reste de la semaine fut une lutte contre moi-même.
Nous avons eu loccasion, autour dun thé en terrasse, en nous croisant dans un couloir, de faire plus ample connaissance.
Et le constat était imparable.
Javais une envie folle de cet homme, une envie folle quil me prenne.
Le dernier soir nous permit cette formidable occasion.
Jai toute prête à céder, et il forçat le destin.
Nous étions dans le sous-sol de lhôtel, aménagé en boite de nuit.
Marc et moi discutions avec la bande danimateurs, qui se détendaient ensemble pendant leurs temps libres.
Mon mari ayant fini son verre, je lui proposais alors daller lui en chercher un autre, au bar à létage.
Il me fit un grand sourire et accepta volontiers, ravi de pouvoir continuer sa conversation.
Antoine me proposa alors de maccompagner pour me prêter main forte.
Ce que je ne refusai bien évidemment pas.
Pendant que nous attendions nos consommations au bar, nous nous sommes lancés dans une discussion vraiment très sensuelle.
Nos corps, notre attitude, nos regards nous montraient lun lautre combien nous nous désirions.
A tel point que je me demandais si je ne devrais pas monter dans la chambre pour changer de string, tant celui que je portais était trempé de mon envie.
Pas très discret avec la baby sitter
jabandonnais lidée.
Nous sommes repartis avec un verre dans chaque main, rigolants de la situation, et veillant à ne pas renverser nos boissons par terre.
Dans le couloir nous ramenant à lescalier, nous faisions exprès de nous bousculer légèrement pour nous charrier.
Pour rajouter de la difficulté, ce couloir était uniquement éclairé par des veilleuses lui donnant un côté particulièrement propice au flirt.
Je marchais devant lui, et jétais certaine quil me matait le cul, que j exposais à son regard de façon provocatrice.
Quand il mappela par mon prénom. Je me retournais alors et me retrouvais avec ses lèvres contre les miennes.
Le coquin sétait décidé enfin à passer à loffensive.
Nous nous échangions un baiser passionné, et pour lui montrer toute ma bonne volonté, je lui offris ma langue.
Ne pouvant attendre plus longtemps pour revenir, de peur de paraître suspects, nous avons du nous résoudre à rejoindre le groupe. A contre cur.
Mais avant, Antoine me glissa à loreille « Rejouins moi dans ma chambre, ce soir, jadore tembrasser ».
Je promis de faire mon maximum, mais je concevais difficilement comment esquiver la vigilance de Marc
Quand une idée diabolique me vint à lesprit.
Marc avait malheureusement un vilain penchant à ne pas se limiter sur lalcool en soirée.
Mais pour une fois, je nallais pas men plaindre et jouer de la situation.
Nous avons continué la soirée, et Marc descendait effectivement pas mal de verre.
Pendant ce temps, moi, javais bien du mal à lutter pour masquer à notre bande que mon corps était en feu.
Je prétextais daller aux toilettes pour broyer en fine poudre un de mes somnifères.
Que jintroduisis dans sa boisson en veillant à bien touiller pour ne pas me faire repérer.
Une demi-heure plus tard, le somnifère commençait à faire effet, boosté par lalcool.
Marc nétait pas gaillard et me dit quil souhaitait rentrer dans la chambre.
Je protestais en lui disant que nous nétions même pas à la moitié de la soirée, qui était en plus notre dernière, que je voulais rester encore un peu.
Il me dit de rester mais quil montait, lui.
Le voyant tituber, je le ramenais pour le coucher afin quil ne se fasse tout de même pas mal.
Un baiser de bonne nuit, je changeais enfin de string, et redescendais retrouver la bande et mon bel étalon.
Tout à ma disposition, maintenant.
Plus la soirée se déroulait, plus la tension sexuelle montait entre Antoine et moi.
Un slow torride où je pouvais sans la moindre hésitation sentir son érection à travers son pantalon finit de nous achever.
Il me donna le signal, je devais annoncer à nos amis que jallais me coucher, et monter lattendre au bar.
Il my rejoindrait quelques minutes plus tard prétextant aussi être fatigué de sa semaine de travail.
Je tremblais comme une feuille en lattendant. Dexcitation, de remords, ma conscience me criait que ce nétait pas bien. Que ce nétait pas moral. Que jétais une épouse, une mère. Que je devais retourner immédiatement auprès de mon mari.
Mais mon corps vibrait bien plus encore.
Je navais jamais été encore excitée à ce point. Javais limpression d être revenu à mes premiers émois du lycée.
Une telle occasion ne se représenterait peut être pas.
Et javais bien encore 3H avec que leffet du somnifère ne sestompe.
Je décidais donc de me ressaisir, de profiter pleinement du moment, et de montrer à Antoine de quel bois je me chauffe.
Cétait étrange de me sentir aussi coquine.
Voir même cochonne.
Moi qui suis dhabitude si discrète et sage !!
Je moffris dailleurs un petit verre pour me donner du courage.
Quand je le vis au loin, et partis le rejoindre.
Nous sommes montés dans sa chambre en silence, de lélectricité crépitait dans lair.
Il ouvrit sa porte de chambre, me fis entrer et membrassa en la refermant.
Nos langues jouaient lune avec lautre, il embrassait tellement bien !
Je mabandonnais dans ses bras.
Sans pouvoir ignorer à nouveau sa colonne de chair qui déformait son pantalon.
Je lui dis alors que nous reprenions notre souffle : « Antoine, je suis une femme mariée, je ne veux pas être infidèle.
Nous pouvons nous faire des petites caresses mais tu ne dois pas venir en moi, il ne le faut pas ».
Il acquiesça de la tête, me montrant quil avait compris et se remit à membrasser, ses mains caressant mon dos, mes épaules, ma nuque, mon ventre.
Cela me rendait folle de désir.
Puis il souleva ma jupe et ses mains explorèrent mes fesses.
Je me laissais faire.
Il me souleva comme si jétais une brindille et nous nous sommes allongés sur son lit pour continuer notre étreinte.
Je le fis par une ruse bien féminine sallonger sur le dos, et entrepris moi aussi de découvrir son corps.
Un corps musclé, athlétique, dun homme qui sentretient.
Lui continuait à me caresser les fesses, ayant décelé surement que jadorais ça.
En lui retirant son polo, je découvris quil avait des tablettes de chocolat en guise dabdos.
Quel apollon !
Il ne lui en faut pas plus pour me retirer mon top.
Cest étrange de me retrouver en soutif devant un autre homme que mon mari.
Mais ce soir, cela ne me perturbe pas.
Je retire mon soutien-gorge et me délecte de voir la tête dAntoine.
Je sais que jai une très belle poitrine. Pas très volumineuse (90C) mais qui fait toujours de leffet.
Marc ne sen lasse pas.
Et Antoine a la mâchoire qui pend.
Tout de suite, il me les englobe dans ses 2 grandes mains, les découvre, les soupèse, les embrasse.
Ca y est. Il a encore compris.
Jadore que lon me suce les tétons.
Et Antoine le fait avec beaucoup dimplication.
Je mabandonne à ses caresses lui tenant la tête comme une mère ferait en allaitant ses s.
Quand je sens une main sur mon string.
Le coquin veut découvrir dautres terres, pas si vierges que ça.
Je lui fais une petite remontrance en lui demandant de se souvenir de ce que lon sest dit.
Et il me répond de ne pas minquiéter.
Je sens ses doigts sur ma chatte à travers mon string.
Je suis à nouveau toute mouillée.
Puis sa main passe sous le tissu et sa peau est en contact avec la mienne.
Une décharge électrique de plaisir parcourt mon corps.
Il flatte de ses doigts les courbes de mes lèvres, je sens son index à lentrée de mon intimité.
Quil a de grandes mains.
Son doigt me pénètre très facilement tant je suis mouillée.
Il me lenfonce jusquà la phalange et je gémis.
Avec un seul doigt qui sactive, il arrive à me faire monter au 7ème ciel.
De lautre main il me pelote dans les règles de lart, agace mes tétons qui se dressent.
Il se retire et me fait mallonger sur le dos.
Et me retire mon string pour enfouir sa tête entre mes jambes.
Sa langue dance sur mon clitoris, je me cambre en lui attrapant les cheveux pou lencourager.
Cest au tour de sa langue de me pénétrer.
Et elle est tout aussi efficace que son doigt.
Moins longue, bien sûr, mais plus agile.
Je nen peux plus en je jouis.
De la cyprine est expulsée de ma chatte.
JE dégouline.
Je retrouve mes idées pendant quil membrasse.
Sa bouche a le goût de ma chatte.
Je me sens à nouveau partir.
Je ne compte pas le laisser sur sa faim après avoir été tant choyée !!
Et décide de lui administrer la pipe la plus impliquée de toute ma vie.
Je retire sa ceinture, en le regardant me sourire.
Je lui retire son pantalon, et je suis déjà très étonnée par la bosse impressionnante de son boxer.
Jai du pain sur la planche.
Je lui retire son boxer et surgit devant moi une bite hallucinante.
Jai pu comparer 6 bites dans mon expérience.
Certaines étaient plus grosses que dautres, ou plus grandes.
Mais elle, elle ne joue pas dans les mêmes catégories.
Dans les 25 cm, veineuse, et tellement épaisse.
Je ne peux empêcher de pousser un petit cri de surprise.
Ma chatte se rappelle à moi en continuant à menvoyer des décharges.
Ma main savance timidement vers lengin.
Ce sexe qui palpite mattire inexorablement.
Je le caresse doucement comme pour lapprivoiser.
Je ne peux pas refermer ma main tant il est large.
Antoine grogne de plaisir.
Je veux le goûter.
Avec ma langue, jhumidifie son gland.
Je lui dépose plein de petits bisous aguicheurs.
Je me sens chienne devant un pénis si animal.
Jessaie de le sucer, mais cela mest très difficile.
Et autant avec le sexe de marc, je peux en serrant bien mes seins lui faire une branlette espagnole, que là, je nai pas une poitrine assez grosse.
Je suis très frustrée.
Jaimerais lui rendre le plaisir quil m a donné mais ny arrive pas.
-« Je suis désolé Antoine, je nai pas lhabitude dun tel engin, comment pourrais je te rendre ton plaisir ? »
Si je ne peux pas te faire lamour, puisque cest réservé à ton mari, je peux peut être te visiter par derrière ?
Je suis surpris par sa proposition.
Mon mari a essayé de minitier à cette pratique mais je lui ai toujours refusé.
Le maximum quil ait obtenu cest dy mettre son doigt.
Alors un monstre pareil
.
Mais jai une dette.
Et je veux sentir cette bite palpiter en moi.
Jaccepte en lui signifiant que je suis vierge de cet endroit.
Il sort un tube de sa table de nuit et me demande de me mettre à 4 pattes.
Je suis assez prude de nature mais là, jobéis sans hésiter.
Je suis allongée, la croupe remontée sous mes genoux, et je me présente à lui.
Il sapproche de moi, et sassoie sur le lit.
Je peux lui caresser le sexe qui na perdu ni de son volume, ni de sa dureté.
Quelle bête !!!
Il se met une grosse noix de gel dans la paume des mains, et se les frotte.
Puis remet une autre noix de gel quil répartit entre ma chatte et ma raie.
Chacune de ses mains soccupe dun de mes orifices.
Mon clitoris pour la droite.
Mon petit anus tout excité pour la gauche.
Il me masse doucement lanus pendant que son index explore ma chatte.
Je le sens se détendre et même accepter daccueillir une première phalange.
Jai un doigt dans le cul !!!
Qui leut cru ??
Et je vous avoue que le lubrifiant fait toute la différence.
Je sens son doigt dans mes entrailles et me détends.
Un deuxième doigt rendre dans ma chatte.
Je couine de plaisir. Les yeux mi clos.
Le temps sest arrêté.
Deux de ses doigts me massent la raie.
Ils tentent une intrusion, mais je bloque.
Délicatement, Antoine se concentre plus sur son toucher vaginal.
Je sens le plaisir menvahir.
Pour accueillir finalement ses deux doigts dans mon petit trou.
Ils me remplissent.
Jai limpression quils vont me déchirer.
Antoine ne bouge plus sa main.
Je macclimate.
La sensation devient presque agréable.
Antoine me lèche le clito.
Je nen peux plus.
Maintenant ses deux mains se coordonnent pour me pénétrer avec douceur mas fermeté.
Sa bite est dur comme du béton, et monte et descend au rythme de ses pulsations sanguines.
Viens, je nen peux plus.
Il se place derrière moi et se dépose une noix de lubrifiant sur son énorme gland.
Quil positionne sur ma rosette.
Je me frotte contre lui, il est bien plus gros que ses deux doigts réunis.
Jessaie de mouvrir aux sensations, de moi-même je pousse mes fesses contre lui pour atteindre les limites douverture de mon trou.
Et me doigte copieusement sans le moindre amour propre.
Moi qui ne me suis jamais touchée, je me découvre un tempérament de salope !!!
Je ne sais pas bien quand, mais tout dun coup il entre en moi dun coup sec.
Je me fige de douleur.
Lui non plus ne bouge plus.
Son gland est gigantesque. Et je me demande comment un trou si petit peut autant se dilater.
Je lui montre quil peut reprendre et je le sens doucement coulisser en moi.
Quelle impression étrange que de sentir un homme dans ses intestins !
Et un homme tellement bien monté, je ne cous en parle même pas.
Mon anus semble comme anhéstésié.
Et je prends du plaisir à cette pratique.
Jessaie même de moi-même dapprofondir sa pénétration pour le sentir plus en moi.
Mais avec beaucoup deffort, je nen suis quà la moitié.
Antoine ne semble pas de plaindre.
Les yeux fermés, les mains sur mes hanches, il apprécie le côté serré de son hôtesse.
Je peux voir le plaisir sur son visage.
Du bout de mes doigts, à travers la paroi de mon vagin, je peux sentir sa bite dans mon ventre.
Je me sens remplie de partout.
Juste au moment où il jouie en moi, des petites douleurs reviennent.
Je sens son sperme sortir par saccades et se rependre dans mes entrailles d chienne.
Il se reitre et nous tombons lun sur lautre à bout de souffle.
Mais étrangement, je ne suis pas satisfaite.
Enfin pas totalement.
Jen veux plus.
Au diable les préceptes, je veux le sentir dans ma chatte.
Un de mes ex, Damien, avait une grosse bite.
Et jaimais les sensations intenses quelle me procurait quand il me limait à larrière de sa voiture.
Mais cette bite de compète !!
Je serais trop conne de passer à côté.
De toute façon Marc doit être en plein sommeil, il ne rend compte de rien.
Je demande donc à Antoine : Tu as des capotes ?
Il me regarde et dun coup en sort une de nulle part.
Le bougre est équipé !!
Je lembrasse donc et essaie un peu plus, ce coup ci, de lui montrer combien sa bite me plait.
Comme il est au repos », jarrive à entrer son gland.
Et veuille bien à ne pas y mettre les dents, pour ne pas voir redescendre cette érection prometteuse.
Je sens la vigueur revenir à chaque fois que son chibre rentre dans ma bouche.
Et bientôt, je ne peux plus continuer, ny arrivant plus.
Mon bel étalon a repris ses proportions, mais aussi son petit jeu avec mon vagin.
Je suis allongé sur lui, à lui lécher la bite, et je lui présente mon sexe sous le nez.
Je le branle avec délectation, admirant les reliefs de ce pieu imposant.
Deux doigts sont déjà en moi, il présente un troisième.
Ca tire, mais ce nest pas désagréable, et ses doigts sont si habiles !!!
Il mallonge sur le dos et nos langues se rejoignent.
Il sent ma chatte, et je sens sa bite.
Nos deux arômes se mélangent en un parfum aphrodisiaque.
Il enfile la capote en un rien de temps, une capote XXL dans laquelle mes anciennes conquêtes et mon mari flotteraient.
Et enfin il sapproche pour me pénetrer.
Ma lubrification joue en ma faveur, mais laccueillir nest pas une mince affaire et demande encore de nombreuses caresses.
Son gland est en moi.
Il pouse doucement à intervalles réguliers et sa progression avance.
Il est déjà à la moitié et moi je me sens déjà complétement remplie.
Depuis que jai eu des s, je nai plus ressenti cette sensation.
Mais là, grâce à lui, malgré deux accouchements, je suis pleine.
Il me baise doucement, nous gémissons, je lencourage par des « vas y, cest bon, je jouis ».
Je le fais alors basculer sur le dos, et le chevauche.
Je VEUX toute cette grosse bite en moi !!!
Je descends encore de quelques centimètres, maccroche et descends encore.
Jusquà ce que je sente le contact de son pubis sur mes fesses.
Jy suis !!
Jai dompté la bête.
Cela me donne un premier feu dartifice de jouissance vaginale.
Je danse le twerk sur son chibre, qui ne perd aucune vitalité bien au contraire.
Cest à son tour de prendre les choses en main, il mallonge à 4 pattes et revient en moi dun coup sec.
Un râle séchappe de ma gorge.
Deux doigts dans ma bouche, il me ramone avec une endurance que je nimaginais pas chez un homme.
JE crie ma jouissance.
Il en profite au passage pour me coller un doigt dans le cul.
Je sens alors une grande salve de plaisir venir du fin fond de ses testicules.
Et il éjacule en de grands spasmes qui me font à nouveau jouir.
Il est tard.
Je dois rejoindre Marc.
Je me rabhille vite fait, lui laisse mon string en souvenir, et repars dans ma chambre.
Marc dort.
Je prends un bain rapide et mallonge à ses côtés.
5 mn plus tard, il réalise que je suis rentrée.
Dans un demi sommeil, il sapproche de moi et passe sa main sous ma nuistte.
Me carrese le clito.
Je me laisse faire, honteuse, mais je ne peux mempêcher de repenser à Antoine, à son traitement de choc anal qui ma converti, à ses vas et biens.
Marc me pénetre, pas vraiment réveillé.
Et au bout de 3 minutes insipides, éjacule en moi.
Il ne bouge plus, allongé sur moi, et semble endormi.
Je sens son sperme qui coule de mon xexe, pour rejoindre celui dAntoine qui sort encore de mon anus.
Si Marc savait
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