Les Délices De La Robe À Boutons (Fin)
Pierre adorait voir marcher Manuella dans ses robes à bouton. Le mouvement autonome de ses fesses sous la toile légère, libérées par le port régulier du string (ou parfois rien du tout), attirait les regards mâles et Pierre observait avec amusement le manège de certains hommes qui la regardaient évoluer et parfois la suivaient. Certains la dépassaient pour découvrir son visage et leur regard tombait en même temps sur ses seins mettant les boutons du haut au supplice. Un jour dans un supermarché, un gaillard n'hésita pas à la draguer. Il ne savait pas que Pierre l'observait de loin. Manuella adopta une distance de bon aloi sans pour autant jouer la prude. L'homme ne lui déplaisait pas a priori parce qu'il était plutôt jeune et elle était toujours flattée de plaire malgré ses 50 ans. Elle savait très bien que c'était juste une histoire de sexe et après l'avoir écouté distraitement dérouler son baratin pendant qu'elle choisissait un fromage (son péché mignon), elle lui dit :
- Bon, vous voulez me baiser, c'est ça ?
L'autre, décontenancé par son ton, bafouilla et finit par lâcher :
- C'est que... vous êtes très belle.
- Merci jeune homme mais vous voyez l'homme là bas ? C'est mon mari.
- Ah pardon, désolé. Excusez-moi madame, bonne continuation.
Elle raconta l'épisode à Pierre qui s'en amusa et lui dit :
- Il te plait ou pas, ce garçon ?
- Il est pas mal et il est poli. Sa drague n'était pas malsaine. Il n'a pas insisté.
- Tu baiserais avec lui ?
- Mmmm... pourquoi pas ? Mais avec mon garde du corps, hein ?
A la caisse, Pierre repéra le jeune homme qui paraissait embarrassé en les regardant. Puis il le suivit jusqu'à sa voiture pendant qu'il la chargeait et lui dit :
- Bonjour monsieur. Je vous ai vu parler à ma femme. Elle vous plait vraiment ?
- Ah... euh... pardon, je ne savais pas que vous étiez avec elle, excusez-moi.
- Ne vous excusez pas. Nous sommes libertins et très libres d'esprit.
Le jeune homme montra sa stupéfaction et Pierre ne put s'empêcher de rire aux éclats.
- Allez, il fait beau, vous allez nous suivre dans un endroit tranquille. Mais attention. Ma femme est exigeante, elle a un gros appétit, il faudra la satisfaire, ne pas ménager votre peine, si je puis dire. Et je serai là. Toujours d'accord ?
Manuella apparut, un léger sourire aux lèvres, plus pulpeuse que jamais. L'occasion était trop belle de s'envoyer une femme aussi appétissante et le jeune homme, qui n'avait pas forniqué depuis plusieurs jours parce que sa "meuf" l'avait quitté, accepta la proposition. Chacun montra dans sa voiture et gagna la campagne. Manuella profita du trajet pour se débarrasser de son soutien-gorge et de son string. Elle était désormais nue sous sa robe. Pierre emprunta un chemin de terre le menant à la lisière d'un petit bois, ouvert sur l'horizon vide de toute présence. C'était à Manuella de prendre l'initiative, de détendre le jeune homme un peu crispé. Pendant que Pierre restait au volant, elle s'avança vers celui qui allait devenir son amant conjoncturel et lui dit :
- Relax. J'ai envie de toi. Laisse-toi faire.
***********
Elle l'entraina devant la voiture, bien en vue de Pierre derrière son volant. Elle s'accroupit, ouvrit la braguette du jeune homme et en sortit une queue de belle taille, qu'elle se mit aussitôt à sucer. Son propriétaire avait une vue plongeante sur l'ouverture de la robe et les deux melons généreusement exposés, ce qui lui fit très vite arborer entre les jambes un volume conséquent. Elle coiffa la bite tendue d'un préservatif qu'elle avait préalablement extrait de son sac à main. Puis elle s'allongea sur le capot de la voiture, robe et cuisses ouvertes, et commanda :
- Lèche moi.
Le jeune homme s'exécuta sous le regard de Pierre derrière son pare-brise. Parfois, Manuella redressait la tête pour observer son lécheur. De la fenêtre ouverte, Pierre pouvait l'entendre pousser parfois un petit gémissement de plaisir.
Sous l'injonction de Manuella, le jeune homme se redressa et exposa une bite avec un gland étonnamment gros. "Elle va se régaler", se dit Pierre.
De fait, quand elle fut pénétrée sur le capot, elle poussa un couinement laissant présager un coït particulièrement intense. Instruit par les recommandations du mari, le jeune homme, qui exhibait maintenant un torse athlétique propre à ravir sa partenaire, besognait dur et la voiture se mit à tanguer sur ses amortisseurs. De son siège de conducteur, Pierre embrassait un spectacle qui comprenait à la fois le visage du jeune homme, la chevelure blonde de Manuella et le balancement de ses seins étalés sur son torse chahuté. A l'image s'associa aussitôt le son avec les râles, les exclamations et les encouragements de la femelle en chaleur. Pierre avait plein les oreilles de ses "encore... encore... encore" qu'il ne connaissait que trop bien.
Bien que le véhicule fût à l'ombre du petit bois, le couple commençait à ruisseler de sueur, d'autant que Manuella était allongée sur un capot encore chaud. Elle l'entraina à l'arrière du véhicule, un SUV, dont elle ouvrit la porte, et s'allongea dans le coffre. Dans son rétroviseur, Pierre vit qu'elle avait posé ses pieds sur les montants afin à la fois de bien s'ouvrir et de bénéficier d'un bon appui. Elle lui avait laissé sa robe au passage et était désormais entièrement nue. Le jeune homme était visiblement fasciné par cette nudité somptueuse et l'honora avec toute sa virilité, faisant une nouvelle fois tanguer le véhicule sur ses bases. Mais Pierre ne voyait plus Manuella, dissimulée par le siège arrière. Il l'entendait juste bramer de plaisir et cela suffisait à son bonheur. Il imaginait ses hanches agitées de soubresauts, à voir la crispation de ses pieds sur les montants du coffre. "Il ne s'embête pas, le mec", se dit Pierre, ravi de l'endurance de l'inconnu.
C'est alors que Manuella quitta sa position, comme si elle voulait se montrer à son mari.
- Vas-y, fais moi jouir, commanda-t-elle au jeune homme, positionné derrière elle.
Aux premiers coups de bite, Manuella tendit ses lèvres à son mari et un dialogue s'engagea entre les deux époux libertins :
- Il te baise bien, on dirait.
- Oh oui, merci chéri, il est génial, répondit-elle entre deux halètements.
- Il est bien dur ?
- Ah oui très dur, très long aussi, très gros, je suis bien remplie.
Pierre passa une main par la fenêtre et saisit un sein agité pour le pétrir pendant que le jeune homme s'escrimait en tenant Manuella par les hanches. Puis il saisit l'autre sein et lui dit :
- Tu aimerais qu'il t'encule maintenant ?
- Je sais pas, il est très gros.
- Laisse moi faire, je m'en occupe.
Alors, Pierre descendit de son SUV, déposa une couverture au sol et incita Manuella à se mettre à quatre pattes. Le jeune homme observait en se paluchant. Pierre se mit derrière son épouse, lui écarta les fesses et se mit à la lécher longuement tout en la doigtant. Il préparait son anus à l'introduction et Manuella y trouvait un certain plaisir, étant sensible de son petit trou. Puis il commanda au jeune homme :
- Vas-y maintenant, encule-la.
L'autre ne se fit pas prier car un fessier pareil, il n'en avait pas vu des légions. A croire qu'il avait été fait pour la sodomie. Pierre freina son ardeur afin qu'il ne fasse pas souffrir sa femme mais quand il fut engagé, une sarabande effrénée commença. Manuella agitait frénétiquement sa croupe en piaillant, les peaux claquaient, Pierre bandait à ce spectacle si bien qu'il se dégagea et offrit son pénis à la bouche de son épouse, désormais prise par les deux bouts.
- Fais la jouir, fais la jouir ! criait Pierre au jeune homme qui, stimulé, la défonçait littéralement. Manuella abandonna la bite de son mari pour hurler de plaisir tout en tordant les hanches et le jeune homme se vida d'un trait dans sa capote, qui, copieusement lestée, pendouillait désormais entre ses cuisses. Mais Manuella se renversa sur la couche sommaire, prit son mari par la queue et l'entraina entre ses cuisses en criant :
- Finis moi !
Les yeux dans ceux de son épouse, Pierre la fouilla de plusieurs va et viens pendant qu'elle lui renvoyait la balle les pieds arrimés au sol, les abondants nichons rejetés de chaque côté de son torse comme deux outres pleines, et Pierre gicla en elle, tendu comme un arc, les talons de Manuella arrimés sur ses fesses comme pour le maintenir en elle. Ainsi s'achevait ce coït bucolique autant que candauliste qui avait ravi les trois protagonistes... Manuella pouvait reprendre sa robe, la reboutonner mais en restant nue dessous comme pour savourer plus longuement la sensualité du moment.
********
Hélas, le temps de la robe à boutons est éphémère. Vient ment celui du jean, du pull et des collants. Mais parfois, Manuella ressort son vêtement d'été "hors saison", intra muros. Lorsque Pierre la voit papillonner autour de lui dans cette tenue sous laquelle elle est dépourvue de sous-vêtement, il comprend que sa femme lui envoie un message subliminal : elle a envie de baiser. D'abord, il fait mine de ne pas comprendre et la laisse s'exciter, voire s'impatienter. Puis, si elle passe à sa portée, il glisse une main subreptice vers sa cuisse nue et tente de la remonter. Manuella fait mine de s'offusquer et se dérobe. Il revient à la charge, touche ses fesses. Re-dérobade avec un "arrête" qui ne le trompe pas. Enfin, il atteint son sexe et cette fois, plus d'ambiguïté : il est humide. Manuella devient toute molle et se laisse masturber en ondulant légèrement. Tel Sésame, la robe s'ouvre bouton par bouton, dévoile un sein, un ventre, un pubis, puis tombe au sol en corolle. Manuella est nue, s'effondre d'un bloc sur le canapé, cuisses ouvertes et Pierre, pantalon aux chevilles, lui offre la vigoureuse pénétration qu'elle espérait. Et ils baisent, ils baisent...
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!