Confessions Coquines (2)

Lucie arrive avec un grand sourire et nous salue chaleureusement.
- Salut les filles.
- Salut, ça va depuis hier, dis-je en lui faisant un smack.
- Ca roule, mais j'avais un peu la tête dans le cul au réveil.
Elle fait un smack à Sandra.
- Et toi comment tu vas belle rousse.
- Aussi bien que toi mademoiselle Strip poker,hihihi
- Tu es déjà au courant de notre petite soirée.
- Ouais, Virginie vient de me raconter. Ça avait l'air sympa.
- Ouais c'était génial, je t'inviterais la prochaine fois.
- J'espère bien, en plus j'aimerais bien faire connaissance avec ta copine Amandine.
- Pas de soucis.
- Tu as eu de ses nouvelles, demande-je.
- Oui, elle m'a envoyé un texto tout à l'heure, elle m'a remerciée pour la soirée, elle a adoré et elle m'a dit qu'elle vous avait trouvé super sympa Chris et toi.
- C'est gentil. Tu veux boire quelque chose en attendant que Julie arrive, elle vient de partir de chez elle.
-  Non merci, je vais attendre qu'elle soit là pour qu'on puisse trinquer toutes ensemble.
- Comme tu veux. Je vous laisse 5 min les filles, je vais préparer de quoi grignoter, faites comme chez vous.
Je file en cuisine et reviens 10 minutes plus tard avec un plateau d'amuse-gueule. Sandra et Lucie sont allongées sur leur serviette près de la piscine. Les gros seins de Lucie sont également à l'air libre. Elles papotent toutes les deux.
En retournant chercher le saladier de punch que j'ai moi-même concocté, j'entends une voiture se garer dans l'allée, je jette un œil vite fait, c'est Julie. Je lui dis de rejoindre les filles à la piscine.
Quand je les retrouve au bord de l'eau avec les boissons, Julie est déjà installée sur sa serviette et elle est carrément à poil. Je leur donne un verre à chacune, j'embrasse Julie au passage pour la saluer et je m'installe sur ma serviette. Nous sommes enfin réunies toutes les 4 et nous allons pouvoir bavarder sur notre thème de prédilection, le sexe.

J'entame la conversation en taquinant Julie:
- Alors, Sandra m'a raconté votre petite soirée après le cinéma, vous vous êtes bien amusez?
- Oui c'était très sympa, hein Sandra ?
- Je confirme, c'était très excitant.
- Nous aussi, ajoute Lucie.
- Vous avez fait quoi, lui demande Julie.
Lucie et moi lui racontons alors notre soirée avec sa copine Amandine et visiblement notre récit lui plaît.
- Oh, ça me donne chaud tout ça, j'adore quand on se raconte nos histoires de fesses. Qui en a une autre à raconter ?
- Moi j'en ai une, annonce Lucie.
- Cool, vas-y on t'écoute ma chérie.
- Bon, vous vous souvenez de ma copine Katia ?
- Oh oui, on ne risque pas de l'oublier celle-là.
- Oui, je sais que vous ne l'apprécier pas trop, mais je la connais depuis le collège. Bref, la semaine dernière, un de ses voisins organisait une fête chez lui et elle m'a proposé de l'accompagner.
- OK et alors ?
- Bah j'y suis allée avec elle, la soirée était sympa, il y avait une vingtaine de personnes et j'ai commencé à draguer un mec pas mal du tout. Le mec est réceptif à mes charmes, il y a un bon feeling, on échange même nos numéros de téléphone. Je suis contente, je me dis que je ne vais pas rentrer toute seule et qu'on va finir la nuit ensemble.
- C'est cool ça.
- Ouais, sauf qu'un peu plus tard dans la soirée, je le grille dans la salle de bain avec une autre meuf.
- Sérieux ?
- Ouais, il était en train de se faire sucer.
- Et tu lui as dit quoi ?
- Rien, ils ne m'ont pas vu, mais je suis restée regarder discrètement.
- Hahaha, ça ne m'étonne pas de toi. Et alors ?
- Bah j'avoue que ça m'a bien excitée, le mec est bien membré et il s'est s'en servir. Il a baisé l'autre sur le lavabo, par devant, par derrière, c'était chaud.
- Tu m'étonnes. Tu n'as pas voulu les rejoindre ?
- J'ai pas osé, je ne les connaissais pas.
- Bon bah du coup, tu as lâché l'affaire.
- Ce soir-là oui, je suis rentrée avec Katia et ma frustration.
- Mais je suppose que tu l'as revu ?
- Ouais, le lendemain.
- Où ça ?
- Chez moi.
- Oh vas-y raconte.
- Le lendemain soir, j'étais dans ma salle de bain en train de m'épiler la chatte et je repensais à ce que j'avais vu la veille. J'étais à moitié excitée et j'ai commencé à me branler. Je fantasmais sur sa queue, je m'imaginais à la place de l'autre nana qu'il a baisé, j'en pouvais plus. Et soudain je me suis souvenue que j'avais son numéro, alors je l'ai appelé.
- Oh putain, il a dû être surpris.
- Ha bah c'est clair, surtout que j'ai été cash.
- Tu lui as dit quoi ?
- Je lui ai demandé s'il se souvenait de moi, il m'a dit oui, alors je lui ai donné mon adresse et je lui ai dit que j'avais envie de baiser tout de suite.
- Excellent, il n'a pas dû mettre longtemps pour arriver.
- Non c'est clair et 20 minutes plus tard, j'étais en train de le sucer.
- Il n'a pas regretté le déplacement, hihihi.
- Et moi non plus, il m'a tout fait.
- Salope comme tu es, tu as dû l'exciter à mort.
- Oui, mais lui aussi m'a bien excitée en me bouffant la chatte.
- Hum, ça me donne envie, dit Julie.
- Et après il m'a prise en levrette, c'était trop bon. Par contre il n'a pas osé me prendre par derrière.
- C'est con ça.
- Ouais, mais du coup j'ai pris les devant, je lui ai dit de s'allonger et je me suis assise sur sa bite.
- Tu as fait un heureux.
- Ha bah le pauvre, il n'a pas tenu longtemps, il a giclé dans mon cul en 30 secondes.
- Ca t'a fait du bien quand-même.
- Bien sûr.
- Bon et tu comptes le revoir.
- Je ne sais pas, il est marié.
- Ha ouais ?
- Oui, avant qu'il parte, je lui ai dit que je l'avais vu la veille avec la nana, et c'est là qu'il m'a dit que c'était sa femme.
- C'est malin, encore une qui a des cornes à cause de toi.
- Hey oh, j'y peux rien, je ne les force pas à coucher avec moi.
- Tu leurs tends bien la perche quand-même, enfin façon de parler.
- C'est pas faux.
On éclate de rire toutes les 4 et Lucie poursuit:
- Bon et toi Julie, tu as sûrement une aventure à nous raconter?
- Non, mise à part hier soir avec Sandra, j'ai rien fait depuis quelques temps.
- Je comprends pourquoi tu m'as dit que tu étais en manque hier soir.
- Bah oui, en même temps, rien d'intéressant à se mettre sous la dent, ou plutôt à se mettre entre les cuisses. D'ailleurs Virginie, Chris n'est pas là ?
- Pas encore petite coquine, mais vu l'heure il ne devrait plus tarder.
- Cool, dit-elle en me souriant.
- Et bien, moi j'ai une anecdote croustillante à vous raconter, nous lance Sandra d'un air jovial.
- Si c'est croustillant, c'est que ce n'était pas avec Hervé.
- Comment tu as deviné, dit-elle ironique.
- On veut des détails, on veut des détails.
- OK, je vous raconte. Virginie, toi tu es déjà au courant, alors tu ne dis rien.
- Promis.
- Ca s'est passé le week-end dernier. Je suis allée à la piscine sur les conseils de mon kiné pour mon mal de dos. Je suis restée une heure, j'ai fait mes longueurs, je me suis détendue, etc...Puis quand j'ai fini, je suis allée prendre ma douche et quelques instants après, il y a un mec d'une bonne quarantaine d'années qui est arrivé et franchement il était canon.
- Décris-le
- Il était grand, costaud, une petite moumoute pectorale, les cheveux poivre et sel.
- Hum, intéressant dit Lucie.
- Oui, et il était en moule-bite, donc logiquement, mes yeux se sont égarés.
- Et alors, gros paquet ?
- Grave, une grosse bosse.
- Miam-miam
- J'ai remarqué rapidement qu'il me matait aussi.
- C'est normal, tu as vu la paire de nichons que tu as.
- Oui, je sais. Bref, il s'est mis à me dragouiller gentiment, genre c'est la première fois que vous venez ici non ?
- Oh le lourd.
- Oui un peu, mais comme il est canon, je ne dis rien. On discute 5 minutes, il reste très courtois et finalement on se sépare en allant chacun dans son vestiaire. Arrivée dans ma cabine, j'enlève mon maillot et je me rend compte que mes tétons pointent sévèrement. Je repense à la belle bosse de son maillot, j'ai des papillons dans le ventre et je me dis que j'aurais bien fait un peu de natation synchronisée avec lui, si vous voyez ce que je veux dire.
- Oui ou alors un peu de plongée sous-marine avec son gros tuba. Hihihi
- C'est ça. Bon, j'arrête de rêvasser, je me change, je me coiffe, je me maquille, enfin je me fais belle, on ne sait jamais, et j'ai bien fait, car je le retrouve à la sortie.
- Comme par hasard.
- Le mec est super classe, petit pantalon à pince, petite veste de costard très chic. Il m'accoste timidement et il me dit que je lui plais beaucoup et qu'il aimerait m'offrir un verre pour faire connaissance.
- Oh, un gentleman.
- Oui, même quand je lui dis que je suis en couple, il n'insiste même pas.
- Pourquoi tu as fait ça ?
- Parce que je suis franche et pour pas le faire espérer.
- Tu as dû le décevoir.
- Oui, mais il a vite retrouvé le sourire quand je lui ai dit que je voulais bien aller boire un verre, mais dans un endroit discret.
- Et vous avez été où ?
- Il m'a amené chez lui.
- Et bien, il n'a pas perdu de temps.
- C'est à dire que je lui ai bien fait comprendre que ce serait purement sexuel.
- Hum et alors ?
- Alors j'ai découvert sa putain de baraque de friqué. Son salon fait la taille de ma maison pratiquement.
- Un richou ? Faudra que tu me le présentes, ça peut être utile, dit Julie.
- Tu ne serais pas un peu vénale toi ?
- Je plaisante, tu sais bien que j'en ai rien à foutre du pognon.
- Je sais, je te taquine. Donc comme je disais, j'étais impressionnée par sa baraque, il m'a fait visiter vite fait et là il me montre sa salle de billard.
- Oh trop bien, ça c'est un de mes fantasmes, dis-je en souriant.
- Déjà fait, dit Lucie.
- Moi aussi, ajoute Julie.
- Et bah pour moi, ça a été une première.
- Vraiment, vous l'avez fait là ?
- Ouais. Je ne sais pas pourquoi, mais c'est là qu'il a commencé à me caresser. Je me suis laissée faire. Puis il m'a embrassé, ses lèvres étaient douces, hum, il embrassait trop bien.
- Tu as fondu direct.
- C'est clair, en un rien de temps, je me suis retrouvé en sous-vêtements et là, il a baissé sa braguette et il a sorti le colosse.
- Alors ?
- Bah j'ai pas souvent vu un engin comme ça, plus de 20cm facile, j'ai même pas réussi à tout mettre dans ma bouche quand je l'ai sucé.
- Petite joueuse, hahaha, je déconne, continue, lance Lucie.
- Oui, bon je lui taille une pipe, le mec est en extase, me dit que je suis trop belle, qu'il adore les rousses, que je l'excite beaucoup, puis il se met à poil, retire mon soutif et mon string, il m'allonge sur le billard et là il me baise comme un fou pendant je ne sais pas combien de temps. J'en pouvais plus, j'étais trempée, d'ailleurs j'ai dû faire une belle tâche sur le tapis de son billard.
- C'est rien ça, ça sèche vite, hihihi.
- Ouais en tout cas le gars sait manier la queue, il m'a limé encore et encore en soutenant mes jambes en l'air jusqu'à ce que j'atteigne l'orgasme.
- Hum, c'est bon ça.
- Carrément, surtout qu'après il m'a fait un cuni de ouf, je ne savais plus où j'étais rendue.
- Il t'a mis un doigt j'espère.
- Pas qu'un, deux, alors imaginez dans quel état j'étais, j'étais surexcitée, je ne me contrôlais plus, et là je lui ai dit que je voulais qu'il m'encule.
- Hum la cochonne.
- J'avais trop envie. Il ne s'est pas fait prier, par contre j'ai vite déchanté quand il me l'a mise, putain ça a été douloureux au départ.
- On veut bien te croire, si elle était si grosse que ça.
- Ouais, mais vous savez que rien ne m'arrête, une fois que le passage était fait, après ça a été un régal, il m'a envoyé dans les nuages et quand je suis redescendue, j'ai pas résisté, je l'ai sucé à nouveau pour qu'il éjacule dans ma bouche.
- Il avait bon goût au moins ?
- C'était délicieux, hihihi.
- Hum très excitante ton histoire, je suis toute mouillée c'est malin, nous avoue Lucie.
- Moi aussi, dis-je sans honte.
- Je crois qu'on est toutes dans le même état, balance Julie avant d'ajouter, Chris va être obligé de s'occuper de nous pour nous calmer.
- Si il rentre un jour dis-je légèrement inquiète.
- Il ne t'a pas dit à quelle heure il serait de retour ?
- Non seulement qu'il en avait pour 2h grand max, il devrait déjà être là normalement.
- Appelle-le.
- Ouais, c'est ce que j'allais faire.
- C'est pas la peine, je viens d'entendre une voiture, ça doit être lui.
Julie a raison, Chris arrive au bon moment...

A suivre.