Dernier Acte
Dernier Acte
Bonjour ami(e) lecteur/trice ! Je m'appelle Diane et je vis à Strasbourg. Je viens d'entrer dans la vingtaine au moment de ce récit. De taille moyenne, j'ai des cheveux châtains, des yeux bleus. J'ai la grande chance d'avoir un corps bien fait : une cinquantaine de kilos, des fesses rondes, un bonnet D qui attire l'oeil. Je ne suis pas du genre farouche : je connais mes atouts, et j'aime en jouer. J'en profite autant que j'en fais profiter. Ca me plaît et je viens partager avec vous quelques unes de mes aventures autant pour me les remémorer avec plaisir que pour vous en faire profiter.
Les semaines qui avaient suivi ma rencontre avec Eric avaient vu s'accroitre le climat de tension qui existait entre mon petit ami Alex et moi. Il n'était que reproches sur mon attitude qu'il jugeait frivole, remuante, dépensière et éternellement insatisfaite. Moi j'avais besoin de vivre, de sortir. Je faisais de petits boulots pendant les vacances d'été pour gagner un peu d'argent et voir du monde, pour me payer un ciné ou une sortie alors que lui était d'une ennuyeuse platitude : il n'occupait son temps libre que sur ses jeux en ligne et cela me lassait tellement que je préferais me tourner vers des gens plus disponibles et vivants pour m'amuser.
Il y avait aussi ma libido qui s'était réveillée. Ou plutôt révélée par quelqu'un qui avait su créer un terrain terriblement favorable à son épanouïssement. Ce n'était malheureusement pas Alex. Je crois que j'ai toujours eu ça en moi, mais j'en prenais alors seulement conscience. Je ne savais donc pas encore trop comment réagir. Je n'étais pas encore décidée à quitter mon compagnon, j'essayais malgré tout, jusqu'à un certain point, de lui faire prendre conscience de mes envies, de ce que j'attendais de lui pour tenter de rattrapper l'écart qui se creusait entre nous. Peine perdue, je n'arrivais qu'à attiser sa mauvaise humeur. Il me voyait comme une pécheresse obsédée alors que lui ne rêvait que d'une gentille femme douce et docile, qu'il puisse présenter à ses amis ou sa famille comme une potiche et qui lui foute la paix le reste du temps.
Ce soir-là, une enième dispute s'était déclenchée. Nous étions vendredi soir, et je voulais sortir, je voulais m'amuser. Lui semblait être indispensable à sa partie et ne voulait pas quitter son ordinateur. Il détestait l'imprévu et l'improvisation. Le ton monta, je lui dis que j'irai quand même, avec ou sans lui. Il avait du mal à accepter que je puisse aller en boite sans sa compagnie. Un vieux relent de machisme le poussait à se croire obligé de me chaperonner, sans quoi il se sentait diminué dans sa virilité et mis sur le carreau. A vrai dire, c'est ce qui était en train de se passer : je le mettais effectivement sur le carreau. Je cessais d'argumenter. J'avais besoin de me passer les nerfs d'une autre façon et j'allais agir plutôt que discuter sans fin.
Sans mot dire, je me changeais. Je quittais mon pantacourt et mon tee-shirt pour enfiler une robe courte d'été sans manche en imprimé bleu qui se boutonne entièrement sur le devant. Je chaussais mes bottes, j'ajoutais un trait de crayon à mes yeux, un peu de parfum, mon sac. Je laissais mes longs cheveux détachés. J'étais prête. Alex observait mon manège en m'assenant des remontrances en continu mais je jouais la muette. Il voulut me barrer le chemin. ''Tu veux me séquester ?'' Lui-lançais-je sur un ton venimeux. Il voulut me saisir le bras, mais je me dégageais. Il s'effaça, résigné, après m'avoir tenu tête quelques secondes. Il n'était pas un garçon aggressif, il avait au moins cette qualité. Mais m'accompagner n'était décidément pas dans ses intentions. Je le laissais à ses priorités.
Je quittais l'appartement, en claquant la porte, le cur battant. J'étais énervée. Je dévalais les escaliers de l'immeuble et m'adossais au mur dans le hall d'entrée, à côté des boîtes à lettres. Je saisis le portable dans mon sac. Texto. ''Eric, je te veux là. Je t'attends devant le Rétro. Vite.'' Je soufflais un peu pour me calmer, le rythme de ma respiration soulevant avec régularité ma poitrine.
Le Rétro n'était pas loin, heureusement. Les rues le vendredi soir étaient assez populeuses à Strasbourg, de quoi éviter les mauvaises rencontres qu'une jeune fille seule pouvait faire dans les ruelles sombres et désertes. Le Rétro était une boîte de nuit au sous-sol du centre commercial des Halles, relativement sélective. En théorie réservée aux plus de 25 ans, la discothèque était en réalité fréquentée par toutes les tranches d'ages et on y croisant souvent des filles éméchées à peine majeures qui venaient s'y amuser en bande. J'avais marché lentement pour laisser à Eric le temps d'arriver. La soirée était douce, nous étions encore en été. Des idées lubriques trottaient dans mon esprit. Je déboutonnais davantage mon décolleté, j'avais envie d'être aguicheuse. Je me regardais dans le reflet de la vitrine d'un magasin fermé à cette heure. Mes mamelons dardaient et imprimaient leurs pointes dans le tissu léger de ma robe. Je me sentais pleine d'énergie, comme si cette dispute avait stimulé mon adrénaline. A moins que ce ne soit la perspective de voir Eric. Je sentais que j'avais le feu aux fesses, j'étais excitée de me balader sans culotte. Je mouillais déjà. Allez, hop, je déboutonne aussi deux trois boutons au bas de ma robe. Une brise fraiche se glissait entre mes cuisses à chacune de mes enjambées. Délicieux et stimulant ! J'étais une vraie dévergondée ce soir là !
Mon amant arriva et me repèra tout de suite, debout près d'un muret, entre ombre et lumière à priximité d'un lampadaire.
Il me saisit par la taille. Je sentais ses doigts au travers du tissu de ma robe qui me parcouraient, arpentant mon dos, ma chute de rein, ma croupe. Il se rendit vite compte qu'aucun pli ne venait interrompre le tissu lisse de ma robe tendu sur mon corps. Aucun relief de culotte ou de soutien-gorge n'étaient perceptibles. Son baiser redoubla d'intensité suite à cette découverte et je savourais mon effet. Sa main droite se faufila par derrière sous ma jupe et vint se poser sur mes fesses, sa paume épousant le galbe de mon postérieur. Il m'électrisait. Je sentis bien vite comme une raideur bienvenue au niveau de son entrejambe à mesure que nos corps se serraient. ''Viens !'' Lui intimais-je en me dégageant soudainement et en lui prenant la main pour l'entrainer vers l'entrée de la boite. Pas mal de personnes, jeunes et moins jeunes, faisaient la queue pour rentrer ou fumaient en haut des escaliers, discutant par petits groupes. Mais nous n'eumes pas longtemps à attendre avant qu'on nous fasse entrer. J'étaignais mon téléphone portable et nous laissames nos sacs au vestiaire. Une fois dans la place, nous descendimes directement sur la piste de danse déjà bien peuplée.
Le vendredi soir, c'était festif au Retro. Après un show réservé aux dames en début de soirée, l'établissement laissait entrer les hommes et les couples. Les commerciaux en déplacement, les s des bourgeois du centre ville et les étudiants venaient faire relâche et entamer leur week-end en s'amusant.
Nous nous embrassâmes au milieu de la piste, au milieu des autres couples ou danseurs solitaires qui évoluaient autour de nous. Les gens étaient relativement serrés. Eric avait posé sa main gauche sur mes fesses, à nouveau sous ma jupe, cet endroit lui plaisait et je ne m'en plaignais pas. Sa main droite vint empoigner un de mes seins par dessus ma robe et me massa. Je me laissais faire avec délice. Quelques regards furtifs des danseurs alentours m'indiquèrent que notre manège ne passait pas inaperçu, mais nous nous fondions dans l'ambiance du lieu et un peu plus loins, un autre couple dansait également de manière assez rapprochée. J'étais vraiment excitée.
Eric passa alors dans mon dos et m'enlaça par derrière, me mordant le cou après l'avoir embrassé, passant sa main sur mon petit ventre plat en décrivant des cercles caressants. Je remuais les fesses et les plaquais contre son bassin, de sorte à sentir le relief de son sexe qui gonflait son pantalon. Je dansais et je mouillais. C'était aphrodisiaque. Mon amant passa son autre main par dessus mon épaule et vint plonger dans mon décolleté pour me pelotter allègrement. J'étais en pamoison, il me rendait folle, j'avais le cul en feu ! D'une main j'accompagnais le mouvement de la sienne sur mon ventre et de l'autre je caressais ma cuisse en remontant vers mon entrejambe. Je passais sous ma jupe, d'autant plus facilement que les boutons du bas de ma robe étaient ouverts. Mes doigts passèrent sur ma vulve gonflée. J'avais envie de me caresser, de me doigter ! Au milieu de la piste ! Je mouillais comme une dingue. Mais je ne pouvais pas faire ça ici, je sais que les videurs risquaient de nous mettre dehors si on allait trop loin.
Je me calmais en prenant sur moi et me dégageais de l'étreinte d'Eric. De l'index, je lui indiquais un des podiums sur le côté de la piste ou dansait déjà une belle métis en mini-short et débardeur noir. Je surfais sur la vague de mon excitation pour me lancer des défis à moi-même. Mon amant fendit la foule pour me frayer un passage jusqu'au promotoir, et je fis signe à la danseuse de m'aider. Elle me sourit et m'aida à me hisser en me tendant la main. En se penchant, elle offrait un beau panorama sur son décolleté. Il y avait assez de place là haut pour danser à deux. J'étais un peu débaraillée et mes cheveux partaient dans tous les sens, mais je m'en foutais. Je me déchainais la haut comme une diablesse, me caressant les seins et les cuisses, partageant des pas de danse avec la belle métis et bientôt un petit public vint assister à notre performance. Ma partenaire improvisée finit par me laisser la place seule en sautant à terre pour rejoindre ses copines et je pus m'éclater en solitaire en exploitant tout l'espace. Je me cambrais et me déhanchais. Je me caressais les cuisses et les seins. Je tournais sur moi-même. Ma jupe se soulevait. Je suis sûre que les hommes -et des femmes- en contrebas profitaient des apperçus qu'ils pouvaient avoir de mon cul nu, de ma petite chatte bien entretenue et ruisselante de mouille, de ma poitrine bondissante aux tétons tout durs que découvraient de temps en temps les pans de ma robe qui baillaient. Eric en contrebas me sifflait à chaque fois que je virevoltais et tapait des mains au rythme de la musique pour m'encourager de concert avec d'autres spectateurs.
Au bout d'un temps je fis signe à mon amant et il s'approcha du bas du podium pour m'attr par la taille. Je descendis. Je posais direct ma main sur son sexe par dessus son pantalon et lui sussura à l'oreille : ''Je te veux en moi !''. Il me roula un pelle, et m'entraina au bar au dessus de la fosse et nous réclamâmes une boisson pour nous rafraichir. En attendant qu'on nous serve, je m'adossais à un mur et caressais mes seins. Je pinçais et titillais mes mamelons érigés en passant mes mains dans mon décolleté. Il vint face à moi, cachant à la vue des autres mon comportement indécent en faisant un paravent avec son corps. Dos à la foule, il me caressa et entrepris d'explorer ma chatte inondée de ses doigts en séparant les pans de ma robe trempée de sueur. Il en enfourna deux avec aisance tant j'étais lubrifiée et je retins mon souffle tellement cet investissement de mon intimité me semblait salvateur et nécessaire. Il retira sa main et lécha ses doigts trempés. Ce geste me parut cruel tant j'étais en besoin de sexe à ce moment là. Je le voulais dans ma chatte, j'avais un besoin impérieux !
''Baise-moi, Eric, je t'en prie, j'en peux plus !'' Il lut la détresse dans mes yeux et me prit par la main. Au bar nos boissons étaient prêtes -du coca frais-, nous les attrapâmes et nous les sirotions rapidement avant de nous diriger vers les toilettes. Je sais que ce n'est pas très glamour, mais à ce moment là je n'en avais rien à faire, tout ce que je voulais c'était l'assouvissement immédiat du feu intérieur qui me dévorait. Il m'entraina dans celles des hommes. Il y avait quelques mecs au lavabos qui nous vimes passer sans broncher, et nous nous enfermâmes dans une cabine. Je le poussais sur le siège des toilettes, déboutonnais complètement sa chemise et m'attaquais à son jean en débouclant sa ceinture. Il ne portait pas de caleçon et je dégageais son sexe raide comme un piquet. Mourante d'envie, je m'empalais sur sa verge avec un immense plaisir en m'asseyant face à lui sur ses cuisses, ma poitrine à hauteur de son visage. Sa bite s'enfonça dans ma chatte détrempée comme dans une motte de beurre fondu, et je me mordis la lèvre pour réprimer un feulement de plaisir.
Mes mains parcouraient son torse, je l'embrassais. Il me retenait les hanches de sa main gauche et sa main droite empoigna un se mes seins qu'il entreprit de masser avec avidité. Puis il plongea son visage sur ma poitrine, me lécha et suca mes tétons, m'arrachant des frissons de contentement. Je remuais mon bassin pour entamer un mouvement de haut en bas, faisant coulisser en moi son sexe en érection. De plus en plus vite. J'avais l'impression que c'était moi qui était en train de le baiser dans les chiottes, de le violer sur place, et je crois que j'étais tellement en frénésie que mon orgasme vint très vite ! Je le chevauchais comme une furie en limitant avec peine mes vocalises lorsque d'un coup la vague le plaisir me submergea. Je me raidis sur lui, me cambrant en arrière et me retenant à son coup, la poitrine dénudée, la bouche grande ouverte et mon regard planté dans le siens. Putain ce que c'était bon ! Lui continuait à remuer du bassin pour me tarauder et je crois que de me voir partir déclencha son éjaculation. Il s'enfonçait par à-coups dans ma chatte à mesure que sa bite éructait son sperme dans mon vagin. Quand la vague de plaisir rétomba, je m'affalais sur Eric, un peu chose, et je restais là, à le regarder béatement. Lui souriait comme un bienheureux et finalement m'embrassa langoureusement. J'étais bien là, bien au chaud, son sexe toujours au fond de moi, nos langue mélangées.
C'est à ce moment là que nous entendimes des tambourinements à la porte. ''S'il vous plait ! Sortez de là !'' Fit une voix masculine, grave et ferme, de l'autre côté de la paroi. ''Je vous demande de sortir, je vous préviens !'' Gros coup de stress. Un videur. On s'est fait capté, bordel ! Je me remets debout, un peu flageolante, Je m'arrange comme je peux. Eric referme son froc. ''Je vous préviens, j'ai un passe !'' Prévient la voix. ''C'est bon on sort !'' Lui répond Eric en enlevant le verrou. Un mec à la peau sombre et baraqué nous fait face, l'air sévère. ''Je vais vous demander de quitter l'établissement, messieurs dames. On ne peut pas faire ça ici. C'est interdit.'' Ok, on s'en va sans faire de chichi ni discuter. Un peu comme des automates, on traverse la boîte jusqu'au guichet pour récupérer nos sacs, et on ressort.
Tout s'est passé assez vite. Une fois dans la rue, on se regarde en se tenant la main et on commence à pouffer de rire. Très vite, on s'esclaffe de bon coeur et on se jette l'un sur l'autre pour s'embrasser gouluement. Je me rends compte que j'ai du foutre plein la chatte qui coule entre mes cuisses. J'aime bien la sensation d'avoir sa semence sur moi, ça m'excite. Faut croire que je ne suis toujours pas rassasiée. Eric a toujours sa chemise ouverte et je palpe son torse de mes mains. Il sent que j'en veux encore. ''Allons à ma voiture, elle est dans le parking souterrain'' Me dit-il. Je le suis. Le parking des Halles est grand et nous nous arrêtons toutes les deux minutes pour nous embrasser et nous caresser. Nous arrivons tant bien que mal devant sa golf verte après un passage à la caisse du parking. Nous nous regardons. Nous sommes seuls. La place à côté de sa voiture est vide, ce qui nous laisse de l'espace.
Je dégraffe à nouveau son pantalon pendant qu'il parcours de ses mains baladeuses mon cul et mes seins sous ma robe débraillée. Je me mets accroupie devant lui, le visage face à son sexe à peine remis, dans un état de semi-érection. Je m'affaire à réveiller tout ça, et la magie opère très rapidement. Je fais glisser sa verge dans ma bouche et saisis ses couilles rasées que je masse avec la main. Je commence à le lécher, puis à faire coulisser son sexe entre mes lèvres en salivant et en procédant à un mouvement de sucion moelleux et un peu bruyant. Ca l'excite et il accompagne le mouvement en posant sa main derrière ma tête. Il me pousse contre sa bite pour qu'elle s'enfonce bien dans ma bouche, ça fait monter mon désir et je mouille abondament. J'adore, jadore ! Je le pompe avec méthode et énergie. J'ai envie de le faire jouir mais se sentant sur le point de céder il se retire.
Je n'ai pas le temps d'exprimer de regrets, il me souleve pour poser mes fesses sur le capot de la voiture. Je lui adresse un large sourire ! Trop bien ! Il va me prendre sur la bagnole ! Ma chatte déjà inondée de sperme et de cyprine en salive encore davantage. Il relève mes jambes et sa verge au garde à vous me pénètre doucement, il est juste à la bonne hauteur, au même niveau que mon sexe impatient. Il s'engouffre doucement, d'une lenteur presque cruelle, dans mon vagin. C'est atrocement bon ! Il se retire tout aussi doucement, sort complètement, et s'enfonce à nouveau. Cette fois, impossible pour moi de modérer mes râles de plaisir. De toute manière, je n'ai aucune envie de me taire. ''Oh ouiiiii, c'est bon !'' lui dis-je dans un soupir de contentement alors qu'il s'enfonce. Son sexe produit un bruit spongieux et humide en pénétrant ma chatte. Trop trop bon ! Je profite de mes mains libres pour défaire tous les boutons de ma robe. Lui a les mains prises, il retient mes jambes bien haut et écartées. Il observe le spectacle avec avidité. Je vois ses pupilles brillantes se poser sur ma chatte juteuse qu'il pénètre, sur sa bite qui me prend, sur ma poitrine qui ondule, sur mes tétons, sur mon ventre.
Ca y est, je suis à poil, tous les boutons sont ouverts. Pas facile de défaire une bontonnière quand on est en train de se faire déglinguer ! Je profite, je m'exprime bruyament. ''Oh ouiiii !'' Eric accélère ses vas et viens, il se fait plus frénétique. ''C'est bon, ouiii !'' Il m'enfonce. ''Vas-y, ouiii !'' Il me baise. Sa belle bite bien raide plonge au fond de moi, il me ramone, il va et il vient, il me tamponne. ''Oh oui, putain ! Défonce-moi !'' Je crie ! Mes gros seins libres bougent au rythme des secousses qu'il m'impose. Mes tétons pointent comme jamais. Je les masse et les pince avec mes mais libres. ''Vas-y, putain, Ouiiiiii !'' Je sens que je viens ! ''Ouiiiiiiii !'' Je jouis comme une chienne ! A poil, le cul sur le capot d'une voiture, dans un parking souterrain. Mes cris résonnent mais j'en ai rien à foutre. Limite j'ai envie que tout le monde sache que je suis en train de jouir. Tout mon corps est pris d'un spasme géant, je me raidis. ''OUIIIIIIII !!!'' Je hurle de plaisir ! Putain c'que ça fait du bien !
Un dernier grand coup de bite et Eric me rejoint dans l'orgasme. Mais d'un coup il se retire, et empoigne sa verge prise de soubresauts. Il ne veut pas jouir en moi. Il veut éjaculer sur moi cette fois-ci ! Plusieurs jets crémeux sont expulsés de son sexe gonflé et viennent maculer mon ventre et mes seins de foutre blanchâtre, chaud et visqueux. Je fourre mes doigts dans ma chatte et direct, je rejouis tellement ça m'excite ! Mon sexe s'ouvre et se ferme comme la bouche d'un poisson et un ruisselement de mouille s'en échappe. Je reste dans cet état quelques secondes sans doute, je perds la notion du temps. Au bout d'un temps, je me relache, mes muscles se détendent, je m'affaisse.
Eric me regarde, l'air satisfait, fier de lui, comblé. Il peut l'être. Il se penche sur moi pour embrasser ma chatte dégoulinante puis m'aide à me redresser. J'attends un peu assise sur le capot avant de me remettre debout. Eric reboutonne son pantalon. Une voiture aux feux allumés descend l'allée du parking et nous éclaire. Plein feu sur mes nichons, sur mon corps nu tout couvert de sperme. On a droit à un coup de klaxon, mais nous sommes éblouis et ne voyons pas qui est au volant. Peu importe, le véhicule continue son chemin vers la sortie du parking souterrain. Je me relève en mettant pied à terre. Mes jambes sont un peu flageollantes. Eric me contemple, m'embrasse -encore- et propose de me racompagner chez moi. Chez moi... chez Alex... Je ne veux pas rentrer. ''Emmène-moi chez toi'' lui sussuré-je à l'oreille. Je regarde machinalement mon potable éteint, j'hésite à le rallumer. ''Ok,'' me dit Eric, grimpe. Je vais pour refermer les boutons de ma robe mais il interrompt mon geste. ''Non, reste comme ça. Tu es magnifique !''
De manière étrange, au lieu de la honte et de la gène qui auraient pu être mon sentiment à ce moment là, j'éprouvais une immense fierté, j'étais heureuse d'avoir pris mon pied, d'avoir fait jouir mon amant et d'être barbouillée des sécrétions de nos ébats. C'est ainsi que je m'installais sur le siège passager de la golf d'Eric, en bottes, robe ouverte sur mon corps nu, et bouclais la ceinture de sécurité. Durant le trajet, je me massais le corps pendant qu'il conduisait, étalant son foutre sur mon ventre, mes seins et mon cou. Je léchais mes doigts. Je continuais à me tripoter la chatte. Il me conduisit dans sa colloc en esayant de rester concentré sur la route et je passais la nuit chez lui. Cette soirée fut le dernier acte avant ma sépération définitive avec Alex. Ma décision était prise, et je ne regretterai jamais ce choix.
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