Le Temps Suspendu, Séjour En Bretagne
Nous formons ma femme Marie et moi un couple banal. Mariés depuis 10 ans, petit à petit, les premières années de folies ont laissées la place a une relation solide bien quun peu moins excentrique et sensuelle.
Ma femme est très belle, 1M60, brune, assez mince dorigine Chinoise. Ces deux grossesses nont en rien altéré sa grace. Cest la femme de ma vie, et je suis très fier et heureux de me réveiller tout les matins à côtés delle. Les robes droites assez courtes, mi-cuisses, avec de hauts talons, la mettent particulièrement en valeur à mes yeux et je ne suis pas le seul.
J'aime d'ailleurs particulièrement voir les hommes se retourner quand elle passe. Est ce que mon fantasme de la partager est né de la. Peut être.
Toujours est il que j'aimerais la voir dans les bras d'un autre homme ou au moins flirter un peu. Fantasme jusque cette aventure.
En ce début de mois de juin, nous avons prévu de passer trois jours sur la cote sauvage en Bretagne. Libérés des s, nous avons décidés de nous retrouver dans notre intimité et de redécouvrir la fougue de nos débuts.
Profitant dun temps particulièrement estival pour un début de mois de juin en Bretagne, je réussi facilement à convaincre Marie de shabiller légèrement. Jassiste avec plaisir à son essayage. Pour sous vêtement, elle opte, à mon grand enthousiasme, pour un ensemble string et soutien gorge noir transparent avec nuds roses. Elle sest épilée intégralement récemment et ces lèvres sont particulièrement visible ainsi. La vue est indécente et affolante pour moi. Je me sens déjà un peu à létroit dans mon jean. Elle ne met que rarement des strings quelle ne trouve pas très confortable ce qui est de bonne augure pour le reste du week end. Et je men réjouis davance.
Elle a aussi choisi pour ce premier jour une jupe volante grise assez courte et un tee shirt cache coeur que jaffectionnais particulièrement. Il a tendance à souvrir facilement ce qui permets dapercevoir quasiment en permanence la dentelle de son soutien gorge.
Nous avons prévu de profiter de ce premier jour pour partir sur la côte sauvage du côté de Quiberon et de marcher jusquà un restaurant à 7km de la pour se restaurer et faire le chemin inverse dans laprès midi afin de nous ménager, de prendre notre temps, et de sarreter dans les endroits qui nous plairaient. Bref dembrasser notre liberté sans se donner dobjectifs ambitieux.
Le paysage est magnifique. Les rayons du soleils donnes une couleurs turquoise à la mer. Nous avons donc marché, main dans la main, bercé par le bruit de la mer, la piaillerie des mouettes et les sons des ondes se brisant sur les pierres. Étonnamment nous ne croisons presque personne pour profiter de ce paysage paradisiaque. Heureusement, car Marie sest vite rendu compte que la jupe courte volante sous le vent de la côte avait tendance à senvoler facilement. Sen apercevant elle a dabord commencé à vouloir la retenir dune main avant dabandonner à mon grand plaisir en labsence dautres spectateurs.
Devant le restaurant, en bord de mer ne se trouve quun parking ou nous ne repérons quune seule voiture. En passant devant cette voiture, à quelques mètres, un coup de vent plus fort que les autres retourne complètement la jupe de Marie qui passe plusieurs secondes à essayer de la maîtriser. Ma femme panique un peu et regarde autour delle un peu honteusement. Il lui semble apercevoir quelquun au volant de la voiture sans certitude. Au moment dentrer dans le restaurant, nous entendons le bruit dune porte de voiture qui souvre confirmant ces soupçons. Il est encore tôt et nous sommes les premiers dans le restaurant. Nous nous installons à la table et je la sens embarrassée par son exhibition involontaire.
- Chérie ca va ? Jai limpression que tu nes pas à laise.
- Oui ca va mais je crois que la personne dans la voiture a vu.
- A vu quoi ? Quand ta jupe sest relevée ? Ne tinquiète pas ce nétait pas volontaire. En plus
je laisse mourir ma phrase
-En plus quoi ?
Je vois son regard amusé, ce qui me rassure. Jaime beaucoup lidée quelle sexhibe. Mais habituellement elle déteste que jen parle, ou que je lui fasses remarquer que cela lui plaît aussi . Mais aujourdhui je la sens joueuse.
- En plus
ça me plaît que tu te montre un peu. Tu crois que cétait un homme ?
- Je crois, oui. Espère de pervers me dit elle dun ton amusée
- Vu leffet que tu mas fait ce matin quand tu tes habillée jimagine pour lui
A ce moment, la porte souvre. Je suis dos à la porte je me retourne, je vois un homme la quarantaine, plutôt bien fait de sa personne, sportif, cheveux poivre et sel. Mais ce que je repère surtout ce sont ces yeux dun bleu pénétrant, qui fait écho aux couleurs de la mer que nous avons contemplée toute la matinée. Son regard fait le tour du restaurant et se fixe sur nous ou plutôt sur Marie je pense. Il esquisse un sourire quand il laperçoit. Je regarde dans la même direction et je vois un sourire sur le visage de ma femme aussi. Il part sinstaller à une table ou il peut regarder Marie sans trop se faire remarquer.
- Chérie, vu la façon dont cet homme ta souri je parierai que cétait lui dans la voiture.
- Oui je crois aussi me répond elle.
- On aurait pu tomber moins bien, il est plutôt bel homme, tu ne trouves pas ?
Je la sens gêné de me répondre
- Oui enfin oui il est plutôt pas mal murmure telle.
Pendant le repas, Marie est un peu absente. Je sens le regard perçant de lhomme la détailler de la tête au pieds. Je vois bien linsistance avec laquelle il scrute son décolleté et ces jambes mais elle na pas cherché comme, cela lui arrivait jusqualors, à les dissimuler en tirant sur sa jupe. Elle semblait aimer ce regard qui se pose sur elle et être fière doffrir à cet inconnu le plaisir de regarder ces cuisses nues.
Je suis le témoin de ce jeux entre eux qui me bouleverse. Je suis bien sur un peu jaloux de lintensité de leur échange non verbal mais surtout je suis extrêmement excité. Je sens mon membre se gonfler de sang et une envie de faire lamour impérieuse me prend. Notre conversation ne reflète pas du tout ce qui se trame dans le restaurant mais reste assez banal sur les lieux que nous aimerions visiter dans les jours prochains.
A la fin du repas, je propose à ma femme de payer, de passer au toilette et de la rejoindre dehors pour quelle profite du soleil. Je profite au passage pour parler avec cet homme à linsu de ma femme.
Le reste de laprès midi se passe comme un songe. Ma femme est très très câline, mentoure de ces bras et membrasse tout les 10 mètres. Je suis ravi. Nous trouvons une criques magnifique en contrebas de la falaise ou nous descendons avec peine. Arrivé en bas nous profitons du soleil assis sur un rocher. Je la sens excitée depuis le restaurant alors lorsquelle membrasse, je pose une main sur son genoux et remonte doucement sur sa cuisse. Sa peau est douce. Je sens quelle accentue son baiser qui devient franchement fougueux. Je prend ça pour une adhésion. Il faut dire que nous sommes en contrebas de la falaise et que la crique est protégée. Il faudrait descendre ou se pencher très proche de la falaise pour nous apercevoir. Je continue de remonter ma main le long de sa cuisse. Lorsque jatteins le string, je passe doucement sur son sexe que je sens humide. Elle pose la main sur la bosse turgescente de mon jean. Je délaisse un petit moment ces lèvres et mon exploration pour ouvrir mon jean et le descendre un peu ainsi que mon boxer. Elle att immédiatement mon vit et le caresse rapidement.
Le reste de laprès midi et de la soirée se passe comme dans un charme. Amoureux, les yeux dans les yeux, la main dans la main, des discussions de tout et de rien. On se retrouve comme on se létait promis et cest parfait.
Le soir, après une douche, je la retrouve sur notre lit dhôtel complètement nue. Quand je mapproche du lit en peignoir, elle prend linitiative de louvrir et de me caresser de nouveau le sexe. Ma femme prend rarement des initiatives au lit dordinaire et si elle sait montrer son plaisir et son envie lorsque la température commence à monter, jai souvent limpression que si je ne manifestais pas mon excitation elle pourrait tout simplement se passer de relation sexuelle.
Mais ce soir la donne a changée. je la sens dominante, elle me pousse sur le lit, me chevauche et membrasse, je sens sa main attr mon sexe et le poser sur ces lèvres intimes. Elle se redresse un peu et je menfonce en elle. Elle mouille énormément et elle me glisse en elle sans aucun problème.
- Chérie tu avais envie.
- Oui sil te plait plus fort
- Cest lhomme du restaurant qui te fait cet effet
elle ne me répond pas mais accentue les ondulations sur moi.
- Jai vu votre échange dans le restaurant.
Pour réponse elle me regarde dans les yeux. Elle semble en transe.
Je reprend mes yeux toujours rivés dans ces yeux noisettes.
- Tu sais ça ma excité de te voir flirter avec lui. Vous aviez tout les deux envies lun de lautre et ca se voyait.
Des gémissements de plaisirs me récompense alors. Ils nous arrivent de lire des histoires érotiques mettant en scène des couples avec dautres personnes dans nos moments intimes. Mais jamais je ne lavais mis en scène avec quelquun de réel.
- Tu avais envie de lui hein ? Ca te plairait quil soit à ma place. Que ce soit lui qui se glisse en toi.
Elle gémit comme jamais. Je sens quelle se rapproche de sa jouissance et moi aussi mais elle ne répond toujours pas. Ayant peur de ma réaction je pense.
- Moi jai envie quil tembrasse, quil te prenne profondément devant moi pendant que tu me regardes dans les yeux et que tu me tiennes la main. Toi aussi hein dis le ?
A ce moment je la sens vraiment proche, je sens une digue qui sécroule et elle me répond
-Oui jai envie ...
- de lui ?
- Oui de lui, quil me prenne. Jai envie de goûter sa peau, de goûter sa queue. Jai envie de son sexe en moi. Encore et encore.
- Tu voudrais que je le fasse venir pour soccuper de toi.
- Oui
Et la nous partageons un orgasme fulgurant nous laisse tout les deux ko .je sais quelle nassume pas encore à complètement et quelle ma répondu ces phrases tellement exitantes parce quil est peu probable que nous le recroisions pendant le reste de notre séjour.
Jessaie de lui parler mais je pense quelle sendort aussitôt, ou feint le sommeil.
Heureux je ne vois pas lintérêt dinsister et mendort bientôt collé amoureusement contre elle.
Le lendemain matin, lorsque je me réveille, je sens son odeur prêt de moi. Jai encore envie delle, je me rapproche et commence à lui caresser le dos et à lembrasser dans le cou. Je la sens se réveiller doucement. Jexplore lentement sa peau, profite de ces seins que jeffleure puis saisi plus fortement. Puis ma mains glisse de son dos jusque le galbe de ces fesses. Ma bouche suit le même chemin que ma main et je me retrouve rapidement à embrasser ces fesses. Elle se met alors sur le dos et pousse ma bouche sur son sexe. Je découvre son abricot lisse avec la langue avant de le voir. Et avec ma langue jécarte doucement ces lèvres pour atteindre son clitoris que je titille bien vite avec la point de ma langue. Elle me maintient en place un appuyant doucement sur ma tête et je lamène au plaisir grâce à ma langue et me régale de sa liqueur. Elle ne manifeste pas denvie de me rendre la pareil et je ne le réclame pas. Jai aimé lemmener au plaisir et lentendre jouir. Ca me plaît.
Nous nous préparons donc pour notre seconde journée. La jupe laisse place à un pantalon plus pratique. Mais elle reste très amoureuse. La journée de se passe merveilleusement bien.
Le soir venu je la sens encore câline. Je lui propose alors un préliminaire quelle affectionne particulièrement, un massage sensuel. Ma femme sallonge alors sur le ventre nue sur le lit et mattend. Je peux apprécier ces courbes, sa nuque mattire et je dépose quelques baisers dessus. Je descend mes lèvres le longs de son dos, jusque ces fesses que jembrasse et je mordille et ma main caresse entre ces jambes. Je la sens déjà humide.
- « on avait dit un massage dabord » me reprend elle.
- « Oui tu as raison. »
Je me déplace prend un masque de sommeil et le passe sur son visage.
- « Pour que tes sensations soient amplifiées » dis je.
Je verse un peu dhuile comestible dans mes mains que je réchauffe en les frictionnant. Lorsque je pose mes main ainsi chauffées sur ces épaules, jentends son soupir de plaisir.. Jentame alors un massage très professionnel du dos.
Après vingt bonne minutes de massage de la nuque et du dos, je reprend mon massage sur ces jambes. Jessaie de faire oublier à ces muscles les randonnées des dernier jours et je pense y parvenir. Je sens quelle se détend complètement. Elle se laisse entièrement faire, alanguie sur le lit.
Je remonte alors à ces fesses que je masses assez énergiquement. Et marrête après quelque minutes de ce délicieux traitement.
- Attends je reviens lui dis-je.
Elle mentend ouvrir une porte, passer au toilette probablement, et revenir.
Elle a envie de sentir ce massage continuer sur ces fesses et aussi oui déborder sur son sexe. Elle sent son excitation monter et le brusque arrêt du massage la laissé dans lexpectative.
Lorsque des mains se reposent sur ces fesses, elle soupir daise. Les caresses sont moins appuyées car oui maintenant cela sapparente plus à des caresses quà un massage. Les mains passent du bas du dos vers lextérieur des fesses entrouvrant au passage les deux lobes et laissant un peu dair plus frais arrivée jusque son sexe senflammer. Elle aime ce changement de manière.
Les mains se font plus empressées et les passages de plus en plus proched de son sexe mais tout en lévitant. Elle a de plus en plus envie de caresse plus précise sur son sexe mais lapproche est très excitante et elle ne brusque pas les choses, laissant son mari faire monter leur excitation commune doucement.
Son mari prend la parole :
- tu te souviens hier ? Tu as aimé que le bel homme te couvre de son regard.
Par jeu, se souvenant de lexcitation dhier, elle réponds :
- oui
elle se surprend elle même par les picotements dans son bas que provoque ce simple mot conjugué au massage.
- « Tu mas dit que tu aimerais quil te caresse, quil tembrasse le corps et quil tembrase lesprit. Cest toujours le cas. »
Elle a envie de jouir rien que dentendre ces paroles. Elle ne réponds pas.
Elle surprend alors le souffle de son mari près de ces lèvres et il lembrasse dans un baiser fougueux. Elle sent sa langue, qui effleure ces lèvres puis rentre dans sa bouche et lui caresse maintenant la langue.
Elle a dans le même temps un moment de doute. Sa tête est penché vers la gauche et les caresses sur ces fesses ne ce sont nullement interrompus. Quand elle le réalise. Elle embrasse encore plus fort son mari. Puis lui murmure :
- « Que se passe til ? Il ne faut pas. Mmmmmmmh cest bon
»
Son mari la rassure dune voix douce.
- « Ton bel inconnu, à la fin du repas jai pris son numéro et lui ai proposé de nous rejoindre ce soir si tu en as envie bien sur. »
- « Tu as envie qu'il te caresse ? »
Marie: (dans un souffle) « Oui. »
Moi : « Tu as envie qu'il t'embrasse et qu'il te lèche. »
marie: « Humm !oui. »
Moi : « Tu aurais envie de son sexe ? »
marie: « Hummm oui »
moi : « Dans ta bouche ? »
marie:(elle sourie)
Moi : « Tu as envie qu'il te baise »
marie: (dans un gémissement) « Hummm oui. »
Moi: « Tu as envie que je le regarde faire ? »
marie:( féline) « Ho ouiii ! Que tu me voies »
Le massage sur ces fesses sinterrompt en attente de la réponse.
- « Alors tu veux te laisser aller pour de vrai ? »
Sa moralité lui impose de dire non mais ces sens lui impose de se laisser aller. Elle accepte le baiser de son mari. Elle ne voit alors pas le mouvement de main de son mari à lattention de son complice. Mais elle sent bien des effleurements le longs de son sexe se produire. Les mouvements de frottement se précise et elle réalise que ce ne sont pas des doigts mais bien un sexe qui se frotte au sien.
Sa respiration saccelère, elle a envie dêtre pénétrer. Sa langue arrête de jouer avec celle de son mari pour laisser passer plusieurs gémissements. Son mari lui prend la main.
Elle sent alors la queue rentrer doucement en elle. Elle a lair plus grosse que celle de son mari bien que cela peut etre du à lexcitation.
Après un temps qui lui paraît interminable par son envie de plus. Elle sent enfin un pubis cogné ces fesses.
Elle enlève son bandeau des yeux et voit son mari émerveillé par le spectacle.
Quand il croise son regard, il murmure de façon inaudible un je taime qui lencourage à se laisser aller. Elle gémit alors complètement. Elle sent alors son inconnu, dont elle na pas encore vu le visage, sanimer en elle.
Les allers-retours sont lents et puissants, délicieux. Elle ne se rend pas compte que ses fesses cherchent maintenant le contact et quelle commence alors à prendre à lacte amoureux, de moins en moins passive.
- « cest bon chéri il est gros. »
- « tu aimes ? »
- « Ouuuui »
Notre inconnu sent cet engouement et ne peut résister à lenvie de la prendre plus énergiquement. On entend maintenant ces gémissements et les ahanements de son amant. On entend le claquement du pubis de son partenaire sur ces fesses. Ces bruits dordinaire obscène se conjuguent pour lamener au plaisir. Et lorsquelle sent les spammes de la queue de son amant qui éjacule en elle, elle ne peut sempêcher de jouir intensément.
Elle se retourne alors et adresse à son amant un grand sourire. Ignorant temporairement son mari comme dans une bulle seule avec cet homme.
Reprenant ces esprits elle est contente de se rendre compte quil a porté un préservatif. Et son regard sarrête sur son sexe. Bandant mou, il est tout de même bien plus grand et bien large que celui de son mari quand il est dur. Elle sétonne même de navoir pas eu de mal à laccueillir en elle. Sans avoir échanger une parole, sa main se tend vers ce sexe qui lattire, la fascine. Elle le saisi pour le soupeser et se rend compte de leffet quelle a sur lui. Le sexe se tend et grossi encore. Elle retire le préservatif et raffermie sa prise et flatté de cette réaction, elle commence des vas et vient.
Lhomme se relève et se positionne près du lit. Elle repends ces mouvements, la queue maintenant au niveau de la tête.
Elle regarde enfin son mari, voit son grand sourire. Et comprend que lui aussi est fasciné par ce moment. Tout en fixant son mari dans les yeux, elle approche ce sexe de sa bouche et lembrasse puis le mets dans la bouche sensuellement.
Elle qui dhabitude est assez réticent à pratiquer une fellation en a tout simplement envie. Elle se laisse aller à faire monter la tension de son amant.
Elle sent son pouvoir sur ce bel homme, cet étalon. Lorsquelle sent quil ne va plus pouvoir tenir elle accélère ces mouvements et accueille le nectar dans sa bouche. Elle regarde son mari et déglutis. Elle ne la jamais fait avec lui. Mais la, peut être pour le provoquer suite à ce quil lui avait fait faire, ou peut être tout simplement parce quelle en a envie.
Lhomme sest rhabillé et est parti aussi vite quil était arrivé. Invisible parmi les ombres. Aucune parole navait été échangé entre eux. Il ny en avait pas besoin. Elle avait fait lamour à son mari par intermédiaire dun autre.
Cette expérience ne bouleversa pas notre sexualité. Nous navons aucun regret de ce qui sétait passsé. Et ce remémorer et nous reparlé de ces moments entraînent souvent des galipettes excitantes. Mais nous navons pas ressenti le besoin de repasser à lacte jusquici. Une agréable parenthèse dans notre amour et notre intimité, un jeu. Rien de plus, rien de moins.
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