Le Divorce De Sophie

Sophie revient d’une semaine de vacances à Rosas, en Espagne, avec ses 2 s. Ses parents sont venus les chercher à l’aéroport le samedi soir. Ils fêteront les 40 ans de Sophie tous les 5. Elle dormira chez eux afin de laver et repasser les vêtements des s avant qu’ils ne partent avec leurs grands-parents pour la deuxième semaine des vacances de pâques. Elle ne rentrera chez elle que le dimanche en soirée. Son mariage avec Michel bat de l’aile. Ils se respectent beaucoup mais leurs centres d’intérêts n’ont plus grand-chose en commun. D’ailleurs, depuis 6 mois, Michel dort dans la chambre d’amis. Il n’y avait jamais un mot plus haut que l’autre. Ils cohabitaient en bonne intelligence, ce qui aidait bien les s à accepter la situation.
En rentrant à la maison, une surprise l’attendait. Après avoir déposé sa valise dans sa chambre, elle découvrit la salle à manger. La table était recouverte d’une nappe blanche, leur plus belle vaisselle était dressée, du vin dans une carafe, un bouquet de fleurs au centre et sur son assiette, un paquet cadeau. Malgré la situation il avait, non seulement, pensé à son anniversaire mais souhaitait le célébrer ?
- Bonjour Sophie, avez-vous passé de bonnes vacances ?
- Oui, les s se sont fait des copains et se sont éclatés.
- Bon anniversaire. Veux-tu quelques choses à boire.
- Oh merci. Un verre de vin m’ira très bien.
- Parfait, assied toi et ouvre ton paquet.
- Il est magnifique ce foulard.
- Je l’ai choisi turquoise pour tes 40 ans mais aussi pour le symbole de nos 18 ans de mariage.
- Je suis surprise par toutes ces attentions.
- En fait, c’est une double occasion, si je puis dire.
- Je ne comprends pas.
- Laisse-moi t’expliquer mais surtout, je te remercie de ne pas me couper.
- Vas-y, tu m’intrigues.
- Voila, Sophie. Comme tu le sais, notre mariage n’est plus au beau fixe et la situation est compliqué pour les s, pour toi comme pour moi.

Nous avons été heureux pendant de longues années et j’aimerais que l’on réussisse notre divorce comme nous avons réussi notre mariage.
Abasourdi, Sophie avait des larmes qui mouillaient ses jolis yeux.
- Pour cela, je pense que l’on devrait tous régler avant d’officialiser notre séparation. Nous vendons la maison pour acheter chacun un bien immobilier, la garde des s serait en alternés. Pour cela, nous ne devons pas habiter loin l’un de l’autre. Nous partageons les biens mobiliers, vaisselle… Si tu ne vois pas d’inconvénients, je garderais la BMW et toi le 4x4 dit-il sur le ton de la plaisanterie pour détendre l’atmosphère. En ce qui concerne l’aspect financier, je ne veux pas que ta situation en pâtisse. Aussi, je te propose soit de te verser une pension soit te donner une somme calculée sur la durée des études des s. Par la suite, quand ils voleront de leurs propres ailes, je comblerais tes revenus de sorte que ton niveau de vie ne diminue pas, si ma situation le permet toujours. Je pense qu’il faudra environ 6 mois pour régler tous les détails. J’ai pris les devants en allant voir mon avocat. Maintenant, si tu ne veux pas divorcer ou si les conditions ne te conviennent pas, j’arrête tout.
Sophie regardait son mari comme un extra-terrestre. Sur ce qu’elle sait de ses copines divorcées, jamais le mari avait pris les devants. Jamais ils n’étaient si prévenants, jamais ils n’avaient prévu tous les détails et jamais le divorce se passait dans de bonnes conditions et les s étaient au milieu des heurts du couple.
Elle ne s’attendait pas à ça. Elle prit une nouvelle gorgée de vin.
- Michel, c’est vrai que j’ai déjà pensé au divorce mais je craignais que ça tende notre relation. Je te remercie de tant de délicatesse. Le seul point qui me chiffonne, c’est l’aspect financier. Si nous divorçons, je ne veux pas dépendre de toi mais j’accepte malgré tout que tu assumes les études des s. Nous parlerons aux s à leur retour.
- Je voulais aussi te préciser que jamais pendant notre mariage, je ne suis allé voir ailleurs même depuis que nous faisons chambre à part.

- Merci pour le respect que tu as eu envers moi. Moi aussi, je suis restée une femme fidèle.
- J’aimerais que ça reste ainsi jusqu’à l’officialisation.
- Je suis d’accord. Pas de tromperie au sein de notre couple.
- Je te laisse quelques instants, je vais finir de préparer le diner.
- Oh, tu sais je n’ai pas très faim.
- Ne t’inquiète pas, j’ai préparé quelques choses de léger. Je suis aussi noué, ce n’était pas facile.
Une fois la surprise passée, les larmes essuyées, Sophie éprouva de la tendresse pour le mari qu’elle avait tant aimé et dont ses sentiments envers lui restaient confus. Lorsqu’il ramena l’entrée, elle lui offrit un baiser chaste du bout des lèvres. Le repas, qu’elle apprécia, s’était terminé dans un silence pensif.
- Michel, dort avec moi cette nuit. Une dernière nuit.
Il alla prendre une douche et se coucha sous les draps. Sophie le rejoignit dans la chambre, une serviette nouée autour d’elle. Elle regarda son mari et retira la serviette pour se retrouver nue. Elle se coucha près de lui et l’embrassa. Les mains de Michel la caressèrent. Les seins, le ventre, les cuisses puis le sexe. Les 6 mois d’abstinence eurent raison de Sophie et déjà elle eut un premier orgasme. Michel accompagna ses caresses de sa bouche. Lorsqu’il s’attaqua au clitoris et au sexe de Sophie, elle plia ses jambes en les écartant encore plus et caressa les cheveux de son mari. Elle l’attira à elle et Michel la pénétra cm par cm. Une fois entièrement en elle, il accentua ses mouvements et les accéléra. Sophie exprimait son plaisir, elle gémissait.
- Oh oui, c’est bon. Qu’est-ce que j’aime ça. Ça me manquait. Fait ce que tu veux de mon corps.
Michel ne la ménageait plus et la prise dans la position de la cuillère pour une pénétration plus profonde. Sophie osa se caresser l’anus avec un doigt.
- Tu as toujours ton tube de lubrifiant. Va le chercher, je veux t’offrir ce que je t’ai toujours refusé.
Michel, sans se détacher de sa femme, tendit le bras et sortie ce fameux tube de sa table de nuit qu’il tendit à sa femme.
Comme elle était de dos, elle osa plus facilement enduire son anus et son doigt de lubrifiant et ainsi assouplissait son orifice. Elle prit en main le sexe de Michel et l’enduit également de gel avant de le présenter à l’entrée de son cul. Elle l’enfonça lentement sans ressentir de douleur. Une fois ainsi pénétrée, elle lui demanda d’aller doucement au début. Elle ressentait une gêne mais le plaisir prit le dessus. Ce plaisir était double, celui de la pénétration elle-même mais aussi le plaisir de s’offrir ainsi avec le sentiment d’une certaine domination de l’homme sur elle. Lorsqu’il éjacula en elle, elle cria de plaisir et sa jouissance la terrassa. Après s’être retiré de ce fourreau, Michel prit Sophie dans ses bras et ils s’endormirent.
Sophie eut du mal à dormir et se réveilla bien avant le réveil. Elle retira le drap pour voir Michel dans sa nudité. Elle caressa son sexe qui prenait progressivement de l’ampleur. Elle le lécha puis le prit en bouche. Il grossissait encore et elle aimait sentir l’effet qu’elle produisait sur lui. Michel se réveilla.
- Je croyais que c’était la dernière fois, hier soir.
- Tu n’aimes pas ? tu es encore dans mon lit et ce n’est pas la première fois que je te réveille comme ça. En plus tu n’y as pas eu le droit hier.
Il se laissa aller et commençait à sentir des picotements dans son bas ventre. Lorsqu’il sentit son éjaculation proche, il se retira de la bouche de Sophie.
- Laisse-moi aller au bout.
- Oui, mais je veux voir mon sperme sur ta langue.
Sophie le branla devant sa bouche et reçu son sperme dans la bouche. Elle le regarda dans les yeux et avala.

Au retour des s, ils leur expliquèrent la situation. Les s comprirent et acceptèrent la décision de leurs parents. Il fallu effectivement près de 6 mois pour régler l’ensemble des détails du divorce. Les appartements des 2 parents étaient à 500 m et les s n’eurent pas à changer d’école.

(A suivre)

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