Hypnothérapie

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

"Bon sang, Jason, qu’est-ce que tu fais, tu ne m’emmènes pas au restaurant ?"
De rage, Jenny a jeté son réticule sur le tableau de bord. Elle reconnaissait l’endroit où Jason venait de garer sa voiture. 
Ce n'était certes pas le restaurant dansant qu’il lui avait promis. Ici, c'était le cabinet de l’hypnothéute de Jason. 
Jason essayait de l’amener par ruse à se joindre à lui dans une session conjointe de conseil conjugal.
Depuis deux semaines, il harcelait Jenny pour qu’elle l’accompagne, et elle avait fermement refusé.
Plus tôt dans la soirée, le couple a eu une violente dispute conjugale, une de plus dans une longue série de joutes verbales faites de justifications, d’accusations, de dénégations. Jenny était encore furieuse de cet échange virulent.
Maintenant que la promesse d’un dîner romantique suivi peut-être d’une soirée dansante semblait complètement illusoire, elle était enragée. Prête à l’affrontement, ses narines s'évasaient et ses yeux lançaient des flammes. 
Elle se tourna vers son mari assis sur le siège conducteur.
Jason faisait profil bas, essayant de ne pas aggraver les choses. Ils devaient absolument suivre une, voire plusieurs sessions ensemble, le docteur avait été formel. Le conflit permanent avait assez duré.
La raison du conflit ? La jalousie maladive de Jason. La colère, la frustration, le ressentiment, c’était son quotidien.
Depuis trois mois qu’ils étaient mariés. En fait, Jenny aimait porter des tenues sexy, et comme elle était très bien proportionnée, les hommes se retournaient sur son passage.
Jason regarda sa jeune femme, et sa tension artérielle est montée d’un cran.
Jenny Thomas était une jeune femme incroyablement attrayante, dotée d’une silhouette à damner un saint.
Ce soir, sa robe semblait cousue sur elle, trop décolletée et trop courte selon les critères de Jason.


En plus, des motifs gris-bleus étaient disposés de manière à accen ses contours joliment dessinés.
Jenny avait beau tirer constamment son vêtement vers le bas sur ses cuisses et vers le haut sur son opulente poitrine, la robe semblait jouir d’une existence propre, et ne pensait qu’à montrer encore plus de peau.
Des escarpins noirs à talons hauts chaussaient ses pieds. Avec ses longs cheveux noirs ondulés, ses yeux vert émeraude et son sourire éclatant, Jenny débordait de sensualité.
Et c'était exactement le sujet de leur querelle. Jason adorerait voir cette robe sur n'importe quelle femme, sauf la sienne. C'était une tenue pour une salope qui cherche l’aventure, pas pour une femme mariée.
Et c'était typique des tenues qu’affectionnait Jenny. Toutes leurs disputes, depuis le mariage, tournaient autour du même sujet de discorde. Les disputes quotidiennes abordaient ce sujet, tôt ou tard : "Tu t’habilles comme une pute !"
Jenny aimait porter des tenues sexy pour aller travailler, pour sortir, ou même pour rester à la maison. Elle aimait plaire.
Jason pensait qu'elle "faisait étalage" de son corps. De là à penser qu’elle profitait des opportunités qui s’offraient à elle?

Il y a à peine plus d’un an, Jason était tombé amoureux de cette exubérante beauté.
En plus de son éblouissante beauté, Jason la trouvait intelligente et drôle. 
Jenny devait ressentir la même chose pour Jason, car elle avait accepté sa demande en mariage sans hésitation.
Avant les fiançailles, ils vivaient en couple depuis neuf mois. Jenny faisait tourner les têtes des hommes partout où elle passait. Les amis de Jason l'ont convaincu qu'il ne devait pas laisser passer un tel joyau, et il s’était engagé.
Jenny trouvait Jason gentil, tendre et attentionné. Il était loin de ses flirts précédents, le style mauvais garçon typique, le genre de type qui fait pleurer les filles. Elle s’était bien amusée avec ce genre de gars jusqu’à présent, mais pour se marier elle voulait un gentil garçon, et elle l’espérait compréhensif envers ses lubies de tenues affriolantes.

Quand il s’est déclaré, Jenny était ravie, et prête à passer le reste de sa vie avec lui.
La cérémonie était merveilleuse, comme Jenny l’avait rêvé, tout s’est bien passé jusqu'à la réception.
Jason avait un peu trop bu. Après la première danse, pour ouvrir le bal, il est resté assis, maussade et grognon.
Pendant que Jenny passait la soirée sur la piste de danse, à s’amuser avec les invités.
Plus il buvait, plus il exagérait chaque minauderie de Jenny comme un geste libertin. Il voyait de la malice partout.
De plus en plus jaloux, boudeur et tourmenté; si elle souriait c’est qu’elle faisait des avances.
Sur la piste de danse, elle passait de bras en bras, il lui les faut tous ? Va-t-elle faire une tournante ?
Jenny passait beaucoup trop de temps avec Denis, son témoin, c’est sûr qu’il la tripotait et qu’elle se laissait faire !
Plusieurs fois, Jenny et ses demoiselles d'honneur ont également essayé de faire danser Jason, participer à des jeux, mais il a tout refusé. "Non, je ne danse pas, amuse-toi et laisse-moi tranquille !"
Il voulait que Jenny s'amuse, mais pas autant, pas comme ça ! Pourquoi se collait-elle ainsi à Denis? 
Jenny ne dansait pas avec Denis, elle se frottait contre lui, elle glissait sa jambe entre les siennes pour lui broyer sa bite.
Et ce regard qu’ils échangeaient ... c’est sûr, il y a une histoire de coucherie entre ces deux-là !
Après la fin de la réception, il a fallu que Denis aide Jenny à traîner, presque porter, Jason jusqu'à la limousine.
À ressasser toute la soirée ses griefs à l’encontre des supposées infidélités de sa jeune femme, mélangeant diverses boissons, il était bien incapable de donner à Jenny un souvenir impérissable de sa nuit de noces.
Sur le chemin de l’hôtel, Jason a surpris le chauffeur de la limousine en train de dérégler son rétroviseur afin de mater Jenny d’un regard lubrique. Jetant un regard de côté pour surveiller sa femme, malgré l’obscurité ambiante, il a cru la voir faire un clin d’œil en lui envoyant un bisou du bout des lèvres
Plus tard, dans une rue mieux éclairée, il a clairement vu Jenny recouvrir son sein en remontant sa robe.

Elle avait dénudé un sein ? Quand ? Et pourquoi ? Jenny semblait trouver le chauffeur à son goût.
Une fois dans la chambre d’hôtel, Jason a commencé sa litanie de reproches.
Jenny a affirmé que c'était des taquineries inoffensives, qu'elle n'avait rien fait de mal.
Jason ne l'a pas vu de cette façon. Son état d'ivresse n'a pas aidé sa capacité à raisonner clairement.
Ils ont fini par s’engueuler sérieusement.
Jason a quitté la chambre et a passé une grande partie de la nuit au bar de l'hôtel. 
Jenny a beaucoup pleuré avant de s’endormir. 
Cette nuit-là a mis l'ambiance pour le reste de la lune de miel et pour les trois premiers mois du mariage.

À présent, garé devant l’immeuble du psychiatre, Jason regardait sa femme. 
Il essayait de garder son calme malgré toute la chair qu'elle exposait à cause de cette putain de robe de salope.
Il y avait une fureur silencieuse dans les yeux de Jenny tandis qu'elle regardait droit devant elle, mâchoire serrée, frémissante de rage contenue.
"Jenny, j’ai conscience que la majorité des problèmes de notre couple sont principalement dus à ma jalousie. Je vois le docteur Abdoulaye depuis trois semaines, parce que ta mère nous a dit, heu, hé bien, m'a dit, de prendre conseil. Et cela m’a vraiment aidé. J'ai fait des progrès incroyables, je suis capable d’identifier mes problèmes, maintenant ! "
"Ne me parle pas de ma mère, cette vieille folle!" Jenny gronda, menaçante. "Elle nous a traînés papa, mes deux sœurs et moi pour une thérapie familiale pendant deux ans. Cela nous a rendus dingues! Tout ça pour qu’au bout de deux ans, maman foute le camp avec un type de dix ans plus jeune qu’elle, qui l’a larguée au bout de quelques mois ! "
Jenny hurlait de rage, elle commençait à attirer l'attention des passants dans la rue, même avec les vitres de la voiture fermées. Elle prit une profonde inspiration, se calma et reprit plus doucement :
"Tu as dit que tu m'emmenais faire un bon dîner romantique.
"
"On ira après, je te le promets." Jason posa la main sur le genou de Jenny. 
Elle se détourna brusquement, regardant d'un air boudeur par la fenêtre du passager.
"Le Dr Abdoulaye aimerait nous voir ensemble. Il dit que mes progrès sont freinés, et que cela m'aidera."
"Je ne veux pas qu’un psy-machin-chose vienne foutre le bordel dans ma tête, Jason" dit Jenny avec obstination.
"S'il te plaît, Jenny, juste pour cette fois. Si ça ne m'aide pas, je te le promets, je laisse tomber et je ne t’embête plus !"
Jenny n’admettait pas que son mari soit trop faible pour résoudre son problème lui-même. 
Jenny avait une relation très tendue avec sa mère depuis qu’elle avait quitté le domicile conjugal.
Elle détestait l'idée de voir un psy conseillé par sa mère, plus encore, elle détestait l’idée qu’il soit allé demander conseil à sa mère, même seulement qu’il soit allé parler de ses problèmes de couple avec sa mère.
Elle détestait qu’il aille voir un psy parce que sa mère lui avait dit de le faire. 
Pourquoi Jason ne pouvait-il pas admettre que si elle s'habillait sexy, c’était pour lui plaire, à lui? 
Bien sûr, d'autres gars la convoitaient, et elle adorait ça, être admirée, courtisée, au centre des attentions !
Quelle fille resterait insensible aux regards admiratifs, aux compliments ? 
Pourtant, malgré tous ces gars qui bavaient devant elle, elle était sa femme. Fidèle. Le seul qui partageait son lit.
"S'il te plaît, Jenny, juste pour une fois !" répétait plaintivement Jason.
"Très bien !" Jenny attrapa son sac sur le tableau de bord avec colère. 
Elle ouvrit la portière passager pour s'extirper de la voiture. 
C'était une situation délicate, la robe était vraiment courte, et serrée. 
Elle a dû balancer délicatement ses deux jambes vers le trottoir, genoux serrés, puis maintenir fermement sa jupe d'une main tout en essayant de se soulever de l'autre.
Jason se précipita pour l'aider. En voyant Jenny lutter pour ne pas trop s'exposer, il se renfrogna. 
Comment pouvait-elle s’habiller comme une salope pour aller au restaurant ? 
Jenny allait attirer tous les regards et cela a simplement augmenté sa rancœur.
Jason accompagnait Jenny à la porte de l’immeuble, bras dessus, bras dessous. 
Le panneau à l'entrée indiquait : "Dr Michel Abdoulaye, Hypnothérapie".
Lorsque Jason ouvrit la porte, un sifflement admiratif résonna dans la rue. Jenny se retourna. Une paire de jeunes effrontés regardaient Jenny en souriant. Émoustillée par le flirt, Jenny leur répondit avec son magnifique sourire.
"Salut, les gars," dit-elle d'une voix rauque, en remuant ses fesses, les mains sur les hanches..
L'un des gars a mis la main sur son cœur, simulant un malaise. L'autre la regardait et a juste dit: "Waouh!"
Jenny gloussa, leur envoya un baiser du bout de ses lèvres peintes, puis franchit la porte tenue ouverte par Jason.
Le cabinet du Dr Abdoulaye était au 2e étage. Jason dirigea Jenny vers un escalier étroit. 
En montant les escaliers, elle a réalisé que le visage de Jason était sûrement tout près de son cul charnu. 
Elle se demanda s'il appréciait la vue. Bien qu'elle soit toujours en colère contre Jason, elle espérait qu'il était allumé. 
Elle avait acheté cette robe pour lui plaire, et elle pensait que ce soir, cela lui ferait plaisir. 
Jenny a augmenté un peu le balancement de ses hanches rondes, pour voir ...
En haut des escaliers, Jason accéléra et la dépassa dans un souffle.
"Bâtard !" pensa Jenny.
Jason précéda Jenny dans le couloir sur une courte distance. Il s'arrêta, ouvrit une porte et entra dans la salle de réception sans jeter un coup d'œil à Jenny. Les talons de Jenny claquaient bruyamment tandis qu'elle se hâtait.

La salle d'attente était confortable, bien éclairée et richement meublée.
L’endroit ressemblait plus à une étude de notaire qu'à un cabinet médical. 
Des bibliothèques aux murs, une table basse en bois massif, plusieurs confortables fauteuils et un bureau de réceptionniste. Pas d'ordinateur sur le bureau, juste un téléphone, un bloc-notes et un stylo à bille.
Il y avait plusieurs vases garnis de lilas frais. L’air embaumait le lilas. Jenny aimait ce parfum.
Cette pièce plaisait à Jenny, elle s’y sentait bien, elle fut immédiatement à l'aise ici.
Il n'y avait pas de réceptionniste, ni personne d'autre dans la pièce à part son mari. 
Jason avait pris place dans un fauteuil et feuilletait distraitement les pages d'un magazine. 
Jenny a commencé à errer dans la pièce, examinant le décor. Quelques plantes vertes. 
Sur un mur, les diplômes du Dr Abdoulaye. Sur un autre mur, un tableau. Une gouache.
Il était intitulé "Carnaval". Il était signé Michel Abdoulaye. C'était le psychiatre qui avait peint cette toile.
Jenny examinait le tableau. Il représentait une place bondée, avec des ruelles pavées et de vieux bâtiments. 
Il y avait des dizaines de personnes sur cette place, des hommes et des femmes. Les détails étaient soignés. 
Presque comme une photographie. Tous dansaient et riaient. Certains portaient des masques animaliers: cochon, chat, cheval. Un homme était habillé en champignon, il dansait avec une femme habillée en papillon. 
La peinture était vraiment très soignée, très détaillée.
L'attention de Jenny s'est posée sur une scène du tableau, un couple en dehors de la foule. 
Ils étaient dans le recoin d'une ruelle étroite entre deux bâtiments. La femme, une beauté brune, était cambrée en arrière, les épaules appuyées contre le bâtiment. Sa somptueuse robe bleue à froufrous était troussée jusqu'à la taille. Un sein exubérant s’échappait de l’ouverture de son corsage, son visage était pénétré des affres de la passion. 
La femme avait une jambe levée, enroulée autour de la hanche de l'homme, le tirant contre elle, et il tétait son sein.
L'homme portait un costume trois pièces. Ses mains étaient occupées à masser l'entrejambe de la femme. 
Jenny se penchait de plus en plus, essayant de distinguer encore plus de détails du tableau. 
Il y avait quelque chose de familier dans ce couple, ou du moins dans cette femme ...

"Vous devez être Jenny ?"
Surprise, Jenny se retourna vers le grand et bel homme debout près d’elle. 
Depuis combien de temps était-il là? L'avait-il vue bouche bée devant le tableau? Comment ne pouvait-il pas? Était-ce ?
"Je suis le Dr Michel Abdoulaye."
Le Dr Michel Abdoulaye était légèrement plus grand que son mari. 
De type africain, la peau très noire, et avec une carrure impressionnante, démesurée par rapport à sa taille.
Il avait des cheveux crépus et des yeux intensément sombres. Il était vêtu d'un costume trois pièces, d'une chemise blanche impeccable et d'une cravate unie. 
Jenny tendit la main pour le saluer, le Dr Abdoulaye tourna lentement la main, puis la porta galamment à ses lèvres.
"Je m’incline devant la déesse de la beauté, vous êtes une créature magnifique !" a-t-il pompeusement déclaré, fixant intensément Jenny dans les yeux. Sa voix était chaude, grave et envoûtante. 
Cet homme aux manières surannées et à la voix prenante remuait quelque chose au fond de son ventre.
Subjuguée, elle ne parvenait pas à détourner son regard des yeux du docteur.
Jenny essayait de se tourner vers son mari, voulant voir sa réaction face à cet homme. 
Mais elle ne le pouvait pas. Ses lèvres s’attardaient sur le dos de sa main, Jenny rougissait. 
Sa main ne lâchait pas son poignet. Elle pencha la tête et lui sourit, séduite.
"Jason m'a tellement parlé de vous, mais il était en-dessous de la vérité" a-t-il précisé.
Ses yeux ont libéré son regard. C'est ce que Jenny a ressenti. Les yeux du Dr Abdoulaye ont lâché les siens. 
Elle pouvait, si elle le voulait maintenant, regarder vers son mari. Mais Jenny a choisi de ne pas le faire. 
Elle préférait regarder le Dr Abdoulaye. Les yeux du Doc qui contemplaient son corps mis en valeur par la robe. 
Cela ne la dérangeait pas que le Doc la détaille aussi effrontément, elle avait l’habitude du regard des hommes.
Les africains ont une manière de faire, naturelle, sans gêne, de s’extasier ouvertement devant une belle femme.
Ses yeux semblaient lui dire : "Tu es belle, laisse-moi regarder! Offre toi ! Ne te vexe pas !"
Chaque caractéristique de son visage, ses cheveux, son décolleté ... réflexe de femme, Jenny a inspiré, gonflant sa poitrine. Le Dr Abdoulaye haussa les sourcils avec une admiration sincère et acquiesça.
Le Doc tenait toujours la main de Jenny. Il la souleva et l’écarta, ouvrant sa vision vers le reste du corps de Jenny.
Il montrait son plaisir visuel sans vergogne, effronté et audacieux, laissant Jenny sans réaction. 
Et Jason, lui si jaloux, qui ne réagissait toujours pas, cela étonnait tellement Jenny qu’elle s’est tournée vers son mari.
C’est à moment qu’elle s’est aperçue que Jason n’était plus là.
Jenny devint soudain anxieuse, ses yeux firent le tour de la petite pièce. Jason avait disparu. 
Elle reporta son attention sur le Doc, qui était en train de la faire pivoter sur elle-même. Il levait sa main et lui fit faire une volte, en prenant son temps, la main sur sa hanche, appréciant des yeux et de la main les courbes de son corps.
"Où est mon mari?" Demanda Jenny, après que le Doc lui ait fait faire un tour complet. 
Elle était soudain mal à l'aise en présence de cet étrange docteur. Elle se demanda si Jason l'avait juste déposée. 
Et si ce n'était pas une séance de conseil pour les couples? Et si Jason l'avait juste déposée pour une consultation avec son psychiatre, seule! Était-ce sa mère qui avait organisé ça ? Avait-t-elle convaincu Jason de le faire? 
Ce ne serait pas étonnant de la part de cette garce!
"Je suis profondément désolé que mon assistante ne soit pas là pour vous saluer !" a déclaré le Dr Abdoulaye de sa voix chaude qui troublait Jenny. 
Sa voix était apaisante, mais Jenny était perplexe que le Doc ait complètement ignoré sa question.
"Je lui ai donné son après-midi de congé", a-t-il dit, semblant presque le regretter. "Peut-être la prochaine fois ?"
"La prochaine fois quoi?" demanda Jenny.
"Veuillez entrer dans mon bureau" a déclaré le Dr Abdoulaye, ignorant à nouveau sa question.
Le Dr Abdoulaye a tenu la main de Jenny en l'air, comme s'il la conduisait sur une piste de danse. 
Il lui fit contourner la table basse, les fauteuils, passer devant le bureau de la réceptionniste et se diriger vers la porte du fond, en face de celle où ils étaient entrés. Jenny était de plus en plus anxieuse.
Le bureau du Dr Abdoulaye était meublé de la même manière que la salle d'attente. Là aussi, l’air embaumait le lilas. 
Une grande horloge franc-comtoise se tenait dans un coin de la pièce, derrière le bureau. 
Il y avait plusieurs bibliothèques dans ce bureau, ainsi qu'une immense table en bois massif. 
Sur cette table qui servait de bureau, un téléphone, un sous-main en cuir et rien d'autre. 
Apparemment, le Dr Abdoulaye n'aimait pas les ordinateurs ni les autres équipements informatiques. 
Deux fauteuils profonds faisaient face au bureau. Un petit canapé, près de la fenêtre, ressemblait à une causeuse, ou a une méridienne, pas le type de canapé qu'on s’attend à trouver chez un psychiatre, normalement.
''Allongez-vous et parlez-moi de votre mère !'' l’anxiété rongeait Jenny, en revoyant le canapé de son adolescence.
Dans ce cabinet où sa mère l’avait traînée, et ce psy avec ses sales pattes posées sur elle, sous sa robe et qui ...
Jenny fut soulagée de voir que son mari était déjà là, assis dans un des fauteuils. 
Le Dr Abdoulaye fit asseoir sa patiente dans le deuxième fauteuil, libéra son poignet, fit le tour du bureau pour s'installer derrière le bureau. Jenny lança un regard agressif à son mari assis à côté d’elle.
"Où diable étais-tu passé?" siffla-t-elle doucement.
Il ne la remarqua même pas, elle soupira d'irritation.
"Jason, pourquoi ne commenceriez-vous pas ? Pourquoi sommes-nous tous réunis ici aujourd'hui?"
Jason regarda sa femme, cligna des yeux, hébété, comme s'il la voyait pour la première fois. 
Il semblait sortir du sommeil, regardant Jenny de haut en bas, puis se tourna vers le Dr Abdoulaye :
"Oh, oui, heu, eh bien, ces derniers temps, notre vie sexuelle n'a pas été aussi formidable ..."
"Inexistante !" asséna Jenny.
Jason fit une pause, semblant évaluer le commentaire de son épouse.
"Inexistante" a-t-il reconnu. "Depuis notre mariage, Jenny se prête au jeu de provoquer d'autres hommes à …"
"C'est ridicule" l’a coupé Jenny, haussant les épaules afin de bien montrer ce qu’elle pensait de son mari.
"Jenny, s'il vous plaît, laissez-le parler !" demanda le Dr Abdoulaye d'un ton apaisant. 
"Jason, selon vous, combien de temps s'est-il écoulé depuis votre dernier rapport sexuel?"
La voix de Jason s’étrangla : "Nous n'avons pas ... Pas depuis le mariage … !"
Jason désignait la responsable: "Elle s'habille de manière provocante. Habillée comme ça, trop sexy, TOUS les hommes lui font une cour pressante. Ça me rend tellement jaloux. Tellement en colère. Toute cette colère bout à l'intérieur, et quand ça éclate ... enfin, quand ça déborde ... Je dis des choses stupides et nous nous disputons constamment ! "
"Jason !" dit Jenny en lui tendant la main. "Je m'habille de cette façon pour te taquiner et t’exciter ! D'autres gars regardent, bien sûr, mais c’est pour toi que je m’habille ainsi. Pour que tu me remarques. Que tu t’occupes de moi. Je suis jeune, en bonne santé, j’ai besoin de ta chaleur. Tu es le seul par qui j’aimerais être remarquée. Et tu es le seul qui ne me remarque pas. Ces hommes en bas? Qui m'ont sifflée? Je m’en fiche bien ! Je leur ai souri, oui, mais pour que tu réagisses. C’est toi que j’ai suivi. Pas eux. Parce ce que je suis TA femme ! "
"Mais tu t'habilles comme une pu…"
"Assez !" Tonna le Dr Abdoulaye. Jason lâcha prise immédiatement et s'enfonça profondément dans son fauteuil, les yeux dans le vague, déconnecté de la réalité.

"Jenny?" Le Dr Abdoulaye a prononcé son nom sous forme de question. 
Il se leva et contourna le bureau, posant une fesse sur le coin de table. "Savez-vous ce qu'est l'hypnothérapie?"
Il s’ensuivit un long silence inconfortable. Jenny attendait désespérément que Jason vienne à son secours, qu'il dise au Dr Abdoulaye qu'elle ne voulait pas participer, mais il n'avait aucune réaction. 
Le Doc était assis, attendant patiemment sa réponse. Jenny regardait son mari, puis le Dr Abdoulaye, puis son mari.
"Dr. Abdoulaye … !"
"Appelez-moi Michel."
Jenny sourit poliment, puis regarda son mari, implorant son soutien. Jason restait figé, sans réaction.
"Merde, sale con !" pensa-t-elle en colère.
"Dr Abdoulaye" a commencé Jenny, soulignant astucieusement le nom de famille du toubib, d’un ton qui impliquait qu'elle n'était pas à l'aise pour utiliser son prénom, comme il l'avait suggéré : 
"J'ai bien précisé à Jason que je ne voulais pas venir ici. Je n'aime pas l'idée qu'un psy fouille dans ma tête, et je n'aime pas l'idée d'être hypnotisée."
"Non, Jenny, ma chérie !" dit doucement le Dr Abdoulaye. "Pas toi. Ton mari. Regarde-le. Maintenant !"
Jenny se tourna vers son mari.
"Connexion!" dit doucement le Dr Abdoulaye. "Connexion étroite!"
Même si le Dr Abdoulaye était à plus d’un mètre de là, Jenny aurait cru qu'il venait de chuchoter dans son oreille.
Jason respirait lentement, régulièrement. Il regardait dans le vide, droit devant lui. 
Jenny se pencha vers lui, agita sa main devant ses yeux. Son regard est resté fixe, sans émotion. 
Il n’a même pas vu sa main. Il regardait simplement droit devant lui.
"Est-ce qu'il est ..." commença Jenny, laissant sa question en suspens.
"Hypnotisé, oui." Encore une fois, la voix du Dr Abdoulaye vibrait à son d'oreille, comme si ses lèvres étaient toutes proches. Presque à toucher. De plus, son «oui» traînait, comme une roucoulade. 
Sa voix chaude, vibrante, elle la ressentait au fond de son ventre, comme une caresse.
"Votre mari est dans un état hypnotique" lui expliquait le Dr Abdoulaye doucement. 
"Il est programmé pour entrer en transe dès son arrivée. Lorsque j'ouvre la porte de mon bureau, il est conditionné pour entrer directement dans cette pièce et s'asseoir dans ce fauteuil. Dans cet état induit, nous conversons. Cela me permet d'accéder directement à ses sentiments réels, ses émotions de base. Il ne peut pas me mentir, même par oubli, ni masquer ses sentiments. Il est obligé de tout me révéler. Ensuite, il ne se souvient que très peu de ce qui se passe dans cette pièce, et je suis en mesure de parvenir à une compréhension plus profonde et plus véridique de sa situation. "
"Et ... pourquoi suis-je ici?" Demanda Jenny, hésitante.
"Jenny, dis-moi ... aimes-tu ton mari?"
Surprise par la question, autant que par le tutoiement, au lieu de répondre "bien sûr", Jenny s’est troublée, a bafouillé. Indécise, elle regardait le Doc, scrutant son visage, lorsqu’elle fut de nouveau soudain captivée par l’intensité de ses yeux noirs perçants.
"Plus que tout !" parvint-elle à articuler, se sentant un peu oppressée.
"Serais-tu prête à faire n’importe quoi pour lui?" Le Doc faisait des mouvements circulaires très lents avec sa tête.
Derrière elle, Jenny entendait le tic-tac régulier de la vieille horloge. Tic, Tac, Tic, Tac...
La bouche de Jenny s’entrouvrit, comme si elle essayait de parler, mais elle ne pouvait que regarder les yeux du Doc.
Il continuait de balancer lentement sa tête comme s’il voulait délasser son cou. 
Jenny était vaguement consciente qu'elle faisait les mêmes mouvements circulaires avec sa propre tête en le suivant des yeux. Il commençait à faire très chaud dans la pièce, et le parfum de lilas l’étourdissait.
"Mais oui, bien sûr," dit-elle enfin. "Je l'aime beaucoup."
"Jason, vous pouvez vous installer sur le canapé" a ordonné le Dr Abdoulaye.
Jason s’installa sur le sofa. De cet endroit, Jason pouvait observer toute la pièce. Le bureau du Dr Abdoulaye était à sa droite. Jenny était assise à sa gauche, légèrement hors de portée, mais il ne la regardait pas. 
Il regardait droit devant lui, une expression tranquille sur son visage.

Le Dr Abdoulaye vint s’asseoir sur le fauteuil, juste devant Jason. En tendant le bras, il pouvait le toucher.
"Jenny, ma chérie," dit-il doucement, d’une voix apaisante. "Accepterais-tu de venir t'asseoir sur mes genoux?"
"Oui, avec joie !" répondit Jenny, délicieusement excitée.
Dans sa tête, Jenny s’interrogeait, confuse. Qu'est-ce que je viens de dire? Qu’est-ce que je fais? 
Elle s’est levée de sa chaise, a fait deux pas vers le Doc, a pivoté élégamment et s’est assise ... sur ses genoux! 
Jenny a croisé ses jambes, assise en amazone sur les jambes du Dr Abdoulaye. 
Michel glissa commodément son bras autour de sa taille, sa main apaisante caressant sa hanche.
Jenny tournait le dos à son mari. Jenny glissa ses cheveux sur son épaule et se retourna vers Jason. 
Elle s'attendait à le voir rouge de colère, les poings serrés. Au lieu de cela, il était calme. Il n’a rien dit et n'a rien fait. 
Jenny avait l'impression d'avoir son agrément, et d’être livrée à son propre jugement. 
Pendant qu'elle observait son mari, le Doc s'est adressé à lui :
"Jason, pour surmonter ta jalousie, tu dois l’affronter en face. Augmentons la difficulté !"
"D'accord" dit Jason d'un air rêveur .
"Jason, détends-toi," dit Michel. "Jenny et moi sommes tous les deux ici pour t’aider à traverser cette épreuve."
Jenny avait des papillons dans le ventre à présent. Elle regardait Michel. Patience et séduction.
Quand a-t-elle commencé à penser à lui comme Michel, et plus comme le Docteur Abdoulaye?
Jenny pouvait sentir le parfum musqué de Michel, sentir son souffle chaud dans son cou, mais surtout la chaleur de ses cuisses sous ses fesses. Ses lèvres étaient si proches.
"Jenny, ça ne te dérange pas si je mets cette main sur ton genou, n'est-ce pas?"
Il n'attendit pas sa réponse, mais plaça effrontément sa main juste au-dessus de son genou.
"Allez-y," gloussa Jenny. "Ça ne me dérange pas du tout !"
Doucement, la main de Michel caressait lentement la jambe de Jenny, depuis le genou jusqu’à l'ourlet de sa robe. 
Au début, Jenny n'a pas reconnu le mouvement comme étant une caresse. Préliminaires. 
Un homme la touchait d'une manière sexuellement excitante, et cela lui plaisait. 
La main de Jenny caressait machinalement le cou de Michel, sous l’oreille. 
Elle glissa le bout de ses ongles dans ses cheveux, puis dessina le contour de son oreille.
"C'est bien ça, bonne fille!" dit-il doucement.
Le corps de Jenny a répondu aux sollicitations du docteur de la manière la plus naturelle qui soit. 
Des mois de frustrations et de désirs sexuels refoulés se sont réveillés en elle. Elle fermait les yeux. 
Haletante, des frémissements chatouillaient sa colonne vertébrale, depuis ses reins jusqu’à sa nuque. 
Elle a commencé à ressentir une chaude humidité pétiller entre ses jambes.
"C'est bien, ça, bonne fille !" dit Michel à son oreille. Derrière elle, la vieille horloge disait Tic, Tac, Tic, Tac.
Comme elle tournait le dos à son mari, Jenny pensait qu’il ne pouvait pas voir précisément la course de la main de Michel parcourant sa cuisse. Michel a continué de caresser sa cuisse de haut en bas et de bas en haut. 
À chaque passage, sa main repoussait l'ourlet de sa robe un peu plus haut sur sa cuisse.
"C'est ça qui t'énerve, Jason. Voir ta femme se laisser tripoter par un autre homme." Les mots qui sortaient doucement de la bouche de Michel lui chatouillaient l'oreille comme s’il posait ses lèvres contre elle.
Si depuis un moment elle avait chaud, ressentant la chaleur corporelle de Michel, Jenny se sentait maintenant moite, et même humide entre ses jambes. Elle décroisa ses jambes, écarta légèrement les genoux pour faciliter un peu le passage de l’air. Cela a convaincu sa jupe de remonter encore plus haut sur sa cuisse. 
C’est à ce moment que Jenny s’est souvenue qu'elle n’avait pas de culotte! 
Soudain troublée, Jenny se dit qu'elle devrait arrêter Michel avant qu'il ne fasse cette découverte par lui-même.
"Plus j’irai loin, plus ça deviendra difficile," continuait Michel, "mais nous devons continuer, n'est-ce pas, ma chère?"
Ses mots étaient tendres, sensuels et agréables. 
Il les prononça au moment où ses doigts effleuraient le mont de vénus nu et rasé de Jenny.
Jenny gémit doucement. Elle savait que les doigts de Michel étaient poisseux par ce contact,
Jenny écarta encore plus ses genoux. Elle n’avait même pas besoin de baisser les yeux pour savoir que sa féminité était entièrement exposée, la robe étroite remontait le long de ses hanches. 
Elle soupira en sentant les doigts de Michel coulisser le long de sa fente, écartant les grandes lèvres, titillant le clitoris, puis cherchant l’ouverture en tâtonnant avant de plonger lentement en elle. 
Jenny gémissante s’agrippait aux épaules de Michel en lui tendant ses lèvres humides.
Une partie consciente du cerveau de Jenny savait que son mari était assis juste derrière elle. 
Même si elle souhaitait désespérément établir un contact visuel avec lui, elle ne pouvait pas tourner la tête pour le faire. 
Au lieu de cela, elle regardait amoureusement cet apollon africain frotter et doigter sa chatte. 
Elle ne pouvait pas croire à quel point elle était incroyablement chienne à cause de ce contact.
Jenny ondulait lentement des hanches sur les genoux de Michel. 
Elle écarta encore plus ses jambes, permettant aux doigts de Michel un plus large accès pour sa palpation caressante. 
Elle gémissait lorsque ses doigts glissaient en elle, puis tremblait alors qu'ils se retiraient lentement.
Tout en pétrissant consciencieusement la chatte de Jenny d’une main habile, Michel a utilisé l’autre pour dégager les cheveux de Jenny sur le côté. Alors que ses lèvres pressaient sa nuque, Jenny se mit à geindre.
Jenny se mordait la lèvre inférieure pour retenir ses cris, mais ne put empêcher :
"Oh, oui, Michel," plaida-t-elle, "S'il vous plaît, ne vous arrêtez pas !"
Michel ne s'est pas arrêté. Un doigt est devenu deux, puis trois. L’humidité sourdait de sa chatte malmenée.
Les cuisses largement écartées, oscillant des hanches, Jenny s’accordait au rythme imposé par les doigts de Michel.
Pendant ce temps, la bouche de Michel avait trouvé le point sensible sur la nuque de Jenny. 
Jenny râlait, se tordait, suppliait Michel d’accélérer. L'acte était délicieusement gratuit.
"Veux-tu sucer ma bite, fillette?" Lui chuchota Michel à l'oreille.
Cela ressemblait à une question, mais dans l'esprit de Jenny c’était comme une suggestion, ou ... un ordre !
Les yeux de Jenny s'entrouvrirent. Elle flottait légère et frivole, à un niveau de conscience vaporeux. 
Elle s’est aperçue que sa main pressait la bite de Michel à travers l’étoffe de son pantalon.
Elle essayait d'avoir une idée précise de la taille de sa bite. Et maintenant, cette invitation … ou cet ordre, Jenny ne savait pas vraiment, elle a réalisé que c’était son plus cher désir de voir son engin de près.
Non, son plus cher désir, c’était de sucer Michel. Ouais, elle voulait sucer la grosse bite de Michel. 
C'était la seule chose à laquelle elle pouvait penser, il fallait absolument qu’elle suce la bite de Michel.
Sans un regard pour son mari, Jenny se laissa glisser des genoux du bon docteur. En pivotant ses hanches, elle tomba agenouillée entre les jambes écartées de Michel. 
Jenny dégagea ses cheveux en arrière, les glissant derrière ses oreilles.
"S’il vous plaît, puis-je?" Demanda Jenny, tâtant la longueur de Michel à travers son pantalon.
Michel acquiesça : "Bonne fille !"
Jenny se stimulait en ouvrant la braguette et le ceinturon :
"J'adore mon mari. Je dois l'aider à affronter ses démons. Je fais tout ça pour lui, pour qu’il guérisse."
Jenny était vaguement consciente d'avoir déjà entendu ces mots-là. Elle ne pouvait pas se rappeler ni où ni quand. 
L’atmosphère de la pièce était si chaude, si lourde, le parfum des lilas était si présent dans l'air, Jenny avait tellement de mal à se concentrer. La vieille horloge lui disait : "Tic, Tac, Tic, Tac ..."

Jenny s’appliquait à sa tâche, elle écarta le pantalon de Michel de chaque côté. Son sexe à demi-dressé surgit.
Elle était ravie de constater que le sexe de Michel était circoncis. Le gland violacé était énorme.
"Oh, mon Dieu !" chuchota Jenny. Il était immédiatement évident que Michel était beaucoup plus grand que son mari.
Même partiellement dressé, Michel était VOLUMINEUX. Elle tenait son sexe à deux mains, s'émerveillant de sa taille.
"Putain !" entendit-elle Jason crier. Il a essayé de se précipiter en avant.
"Du calme !" la voix de Michel a claqué sèchement. Jason se calma immédiatement, et se rassit sur le canapé. 
"Je t'ai prévenu que cela allait devenir plus difficile, alors tiens-toi tranquille, Jason."
Jenny se demanda si tout était réel ? Cela se passait-il vraiment ? Tout cela ressemblait tellement à un rêve. 
Si cela se passait vraiment, quel souvenir Jason garderait-il de tout cela? Et elle ? De quoi se souviendrait-elle?
"Nous devons continuer, n'est-ce pas, chéri?" A-t-elle demandé en levant les yeux vers Michel. 
"Je veux dire, plus j'avance, plus cela deviendra difficile."
Michel hocha la tête. Quelque part derrière elle, l’horloge cliquetait, comme un métronome géant : "Tic, Tac, Tic, Tac..."
Quelque chose devenait plus difficile, réalisa Jenny. 
Sa main caressait lentement le sexe de Michel, et elle pouvait le sentir se raidir et grandir sous sa poigne.
"Que suis-je en train de faire?" Jenny était pensive, indécise.
"Tu veux sucer cette bite" répondit l’autre partie de son esprit. 
Une image s’imposait, ses lèvres s'enroulèrent autour de la bite de Michel, et elle pompait lentement avec sa bouche.
"Mais c’est tellement monstrueux !" pensait-elle. "Je suis une femme mariée."
Jenny essayait de se justifier, de comprendre sa position, mais elle parvenait pas à réfléchir.
Son esprit était occupé par cette grosse bite charnue qui glissait entre ses lèvres. 
Une petite gouttelette de liquide suintait au bord du méat, vacillante.
Elle était attirée et émue par la beauté de cette perle de liquide clair sur ce gland monstrueux.
Jenny se pencha, sortit sa langue et lécha la gouttelette sur la bite de Michel. Elle avait un petit goût salé sur sa langue.
"C’est délicieux !" pensait-elle, ronronnante, se penchant plus en avant, les yeux fermés.
Jenny ouvrit les yeux, et tira la langue. Cette fois, elle le léchait du scrotum, à la base de la tige de Michel, jusqu'au bout de son gland, comme si elle léchait un bâtonnet glacé. 
C'était la première fois pour Jenny, elle n’avait jamais fais ça pour aucun de ses flirts, encore moins pour son mari.
Elle trouvait cette bite délicieuse, recommençait le même mouvement avec plaisir, elle prenait son temps. 
Elle fut émue en voyant la tige gonfler et durcir sous la caresse de sa langue. "Plus j'avance, plus cela devient dur !" S'émerveilla Jenny, "c’est délicieux ce que je peux faire d'un seul coup de langue!"
Au bout du gland, Jenny tenta une variante. Elle posa ses lèvres pour bécoter le gland de Michel. 
Puis elle écarta ses lèvres pour le laisser glisser lentement dans sa bouche. 
Alors qu'elle parvenait à loger l’intégralité du gland dans sa bouche, Jenny caressa le dessous sensible du pénis avec sa langue.
Michel soupira de plaisir : "Bonne fille !"
Avec la bite dans sa bouche, elle a commencé de coulisser de haut en bas pour tenter d’aller le plus loin possible.
"Oh mon Dieu ! C’est extraordinaire ! J’aurais dû essayer ça avant ! Quel bonheur !" pensait Jenny. 
Jenny releva la tête pour admirer le sexe plein de bave. Elle masturbait la tige raidie dans sa main. 
Elle était intimidée par sa grosseur, ses doigts peinaient à s'enrouler autour! Et sa longueur ! Ses deux mains juxtaposées ne parvenaient pas à recouvrir l’intégralité de la tige, un petit bout dépassait encore sous le gland !
"Je ne devrais pas faire ça" pensa-t-elle,"une femme mariée ne fait ça, pas à son mari, mais à son amant ?"
Elle était contemplative, sans cesser de donner à Michel une caresse de la main délicieusement lente. 
Ses mains le caressaient de haut en bas, accordant son rythme à la cadence de la vieille horloge. Tic, Tac, Tic, Tac.
"Mais je veux être lubrique". Avec cette pensée, elle redescendit sur sa bite. Elle a gobé et sucé, elle a aspiré Michel profondément dans sa bouche. La main de Michel se referma sur ses cheveux, sur sa nuque, puis s’agrippa en la poussant plus profondément sur sa queue. 
Jenny a subi la gorge profonde imposée par Michel jusqu'à ce qu'elle suffoque.
"Oh mon dieu, tu es si fort !" s’est extasiée Jenny.
"Mais je suis la femme de Jason", essaya d’argumenter son subconscient. 
Jenny branlait et suçait la bite, aux prises avec ses émotions et ses pensées contradictoires.

À un moment donné, tandis que sa main caressait de haut en bas le sexe de Michel, un rayon de soleil s’est reflété sur le brillant de son alliance. Un flash a fait irruption dans sa conscience. 
Son alliance en diamant avait attrapé le reflet, et il brillait émotionnellement dans ses yeux.
Jenny cligna des yeux. Elle s’éveillait lentement, comme si elle s’évadait d'un sommeil profondément reposant. 
Ses mains continuaient mécaniquement de cajoler le sexe de Michel quand un autre éclat de soleil scintilla dans sa rétine, l’entraînant vers l’éveil complet.
Une vieille horloge cliquetait Tic, Tac, Tic, Tac.
Jenny cligna des yeux. Plusieurs fois, Plus rapidement.
Elle prenait lentement conscience de sa situation, de l’endroit où elle était, de ce qu’elle faisait.
Elle était agenouillée entre les jambes d'un homme qu’elle branlait passionnément. "Charmant !"
Jenny leva les yeux. C'était le Dr Michel Abdoulaye. Elle l'avait rencontré dans la salle d'attente. Il y a longtemps! 
Le Dr Abdoulaye lui souriait en la regardant branler son sexe lentement.
Jenny baissa ses yeux, rougissante et honteuse. Elle s’aperçut que sa main libre était entre ses jambes. 
Elle se masturbait, frottait son clitoris, ses doigts pénétraient ... Oh, ruisselante !
Ses tétons pressés contre le tissu de sa robe étaient ... Oh, dur comme des diamants !
Il y avait une paire de jambes dans sa vision périphérique. Jenny a jeté un coup d’œil et elle a reconnu son mari. 
Cela l'a beaucoup surprise. Il était assis sur le canapé tout près d'elle. Depuis quand ?
À quel moment s'était-il installé là ? Et pourquoi paraissait-il aussi calme ?
Normalement, il aurait dû bouillonner de colère en voyant ce qu'elle faisait? Jason avait un regard vide.
Son cerveau recommençant lentement à fonctionner, Jenny réfléchissait soigneusement à la situation. Hypnose !
Oui, c’est ça ! Il était hypnotisé. Et elle aussi avait été soumise par l’hypnose!
Jenny n'avait pas cessé de masturber la bite de Michel. Elle avait juste accéléré un peu son mouvement.
"Oh, Jason, mon chéri," dit-elle d'une voix doucement roucoulante. 
"L'alliance en or blanc que tu m'as offerte est du plus bel effet sur la bite noire du Dr Abdoulaye !"
"Quelle chienne je suis !" pensait Jenny. Mais en même temps, elle pensait que c'était immensément libérateur.
Tous ces sentiments de frustrations subit ces derniers mois. Un énorme poids s’est enlevé de ses épaules.
Jenny continuait de masturber la bite de Michel, et elle s’amusait de l’absence de réaction de son mari.
Il restait scotché là, comme une marionnette. Elle leva les yeux vers Michel et lui fit un clin d'œil en gloussant.
Michel s'est étonné, et même inquiété pendant un bref instant. Sous hypnose, elle ne devait rien faire d’elle-même.
Ni parler, ni même reconnaître son mari. Elle ne pouvait avoir d’autre émotions que celles dictées par son théute.
Et elle ne pouvait certainement pas le narguer, comme elle venait de le faire. C’était incompréhensible.
Michel regarda attentivement Jenny dans les yeux.
"J'adore sucer ta grosse bite" lui confia-t-elle, un scintillement lubrique dans ses yeux. 
Elle souriait, heureuse, en reprenant sa queue dans sa bouche. Cette fois, quand Jenny goba profondément Michel dans sa bouche, cela lui coupa le souffle. Puis elle l'a aspiré encore plus profond. 
Michel admirait les talents buccaux de cette suceuse, alors qu'il secouait la tête en arrière en gémissant.
"Oh oui, bonne fille, suce ma bite" implorait-il.
"Devant toi, je me sens comme une ignoble petite salope !" a déclaré tranquillement Jenny, après s’être retirée pour reprendre son souffle. Michel est devenu méfiant. Il n'avait dit aucun de ses mots clés. 
Jenny avait prononcé cette phrase d'elle-même, et elle suçait sa bite avec deux fois plus de conviction qu'auparavant.
Michel ne comprenait pas quand et comment Jenny était sortie de la transe, mais elle l'avait fait. 
Encore plus surprenant, elle était encore plus salope que sous hypnose. Il souriait en pensant :
"Jason avait raison de douter de sa fidélité ! En même temps ce sera mieux, plus intense !"
"J'ai hâte de sentir ta grosse bite au fond de ma chatte," dit-elle d'une voix rauque, pendant une rare pause où elle reprenait son souffle, avant de sucer sa bite profondément.
Elle crachait dessus, étalait sa bave avec son poing et avec sa langue en lui expliquant :
"Je dois tout te mouiller, bien partout, pour que tu puisse te glisser en moi sans me déchirer. Tu es tellement gros !"
"C’est bon ! Je pense que c’est assez mouillé" a jugé Michel en aidant Jenny à se relever.
Jenny se releva, radieuse. Espiègle, elle espionnait le regard de Michel pendant qu’elle glissait les bretelles de sa robe sur chaque épaule. En se tortillant, elle roula le haut autour de sa taille.
Les yeux de Michel s'écarquillèrent à la vue des nichons de Jenny. Sa poitrine tenait sans l’aide d’aucun soutien.
Jenny souriait, heureuse de plaire à l’homme qu’elle convoitait.
Elle baissa les yeux pour admirer ses seins. Elle les prit à deux mains, caressant ses mamelons.
Jenny reconnut brusquement la femme dans le tableau qu’elle avait admiré en arrivant.
"Je suis cette femme qui a ouvert le haut de sa robe bleue pour offrir son sein à la convoitise d’un homme. La femme qui caressait les organes génitaux de l’étranger qu'elle venait de rencontrer. La salope qui s’offrait à un parfait inconnu !"
Jenny a soulevé son sein. Sans quitter les yeux de Michel, en baissant la tête, elle lécha son mamelon avec sa langue.
Jenny contemplait les émotions qu’elle lisait sur le visage de Michel en ce moment. 
Elle ne parvenait pas à croire à quel point elle était effrontée, caressant la bite d'un inconnu, se léchant les seins pour l’exciter; elle était incroyablement salope, et ne savait pas pourquoi.
"Tu me rends tellement chaude, j’ai envie de toi, maintenant !" dit enfin Jenny.
Jenny avait sa robe roulée autour de sa taille comme une ceinture. 
Michel a préféré la débarrasser de son vêtement, il voulait la voir entièrement nue, virginale. 
Il le tira sur la courbe des hanches de Jenny tandis qu’elle ondulait du bassin, tellement chienne.
Dans le même mouvement, Jenny pivota vers son mari et lui demanda timidement d'une voix douce de petite fille: "Chéri, ça ne te dérange pas si le Dr Abdoulaye me baise, n'est-ce pas?"
Jason restait assis là, sans émotion, avec un regard terne et indolent, qui regardait sans voir. 
Jenny continuait d’agacer lentement la bite de Michel du bout des doigts, tout en roucoulant pour son mari :
"Je veux dire, je fais ça pour ton bien, d’accord ? Je me sacrifie pour toi, chéri ! Ce n’est pas comme si je prenais du plaisir à me faire baiser par sa grosse bite noire ! Tu le sais, chéri, je n'ai pas eu de bonne baise depuis, oh, depuis très longtemps ! Tu veux bien que je sois heureuse moi aussi, d'accord, chéri? Et puis, je suis tellement excitée en ce moment. Et voici cette grosse grosse bite qui se dresse, juste pour moi … !"

Jenny sortit de sa robe en tas sur le sol, mais garda ses talons hauts pour se diriger lentement vers le bureau de Michel.
Elle s’appuya des deux mains sur le bureau, cambrant ses reins pour faire saillir sa croupe, leva une jambe pour l’allonger sur la surface du bureau, et jetant par-dessus son épaule un regard de salope à Michel :
"Prends-moi comme ça, grand garçon, et baise-moi comme une chienne !"
Pour sa part, Michel était surpris autant que ravi de son comportement auto-initié de salope. Son regard était magnétisé par la croupe de Jenny, ce balancement suggestif de ses hanches lorsqu'elle traversait lentement la pièce. 
Son cul rond hypnotisait le théute qui sentait sa gorge s’assécher.
Michel se débarrassa rapidement de son pantalon sur le sol, puis s’approcha, bite en main. 
Il frotta son gland le long de la fente de Jenny, en écartant les lèvres pleines de mouille de sa chatte. 
Il fit plusieurs passages de cette manière, étalant les jus de Jenny sur le bout de sa bite.
"Oh, mon dieu," haletait Jenny, lorsqu'elle sentit Michel présenter sa bite à l’entrée de sa chatte. 
Elle envoya sa main derrière elle pour la poser sur le pubis du Doc.
"Lentement, chéri !" murmura-t-elle. "Prends ton temps, fais-moi savourer."
Michel prit son temps, ne se précipita pas, la laissant s'habi à son épaisseur. Jenny ôta sa main, signalant qu'elle se sentait prête pour être comblée. Il poussa lentement d'un tiers.
"Oh, putain, Michel, tu es tellement ..." gémit-elle.
"Oh, mon chéri !" Jenny interpellait Jason à haute voix, en le regardant par-dessus son épaule :
"Il est tellement plus grand que toi. Je pense qu'il va me déglinguer avec sa grosse bite !"
Lorsque Michel commença à pousser plus fermement sa bite géante en elle, Jenny s’agrippa fermement au bord de la table. Elle retenait son souffle, bouche grande ouverte, tandis que le sexe de Michel continuait de fouiller lentement en elle, centimètre par centimètre. Jenny haletait quand il s'arrêta enfin, l’envahissant totalement, étirant sa chatte.
"Oh, mon dieu !" dit-elle simplement. "Oh, putain de dieu ! Quel morceau !"
Jenny essayait de décontracter ses muscles vaginaux autour de cette énorme bite, sa chatte serrant fortement l’intrus.
Ils se figèrent tous deux, attendant que la nature fasse son œuvre, pendant une période relativement longue.
"Ça va ?" lui demanda doucement Michel.
"Oh, oui ! Oh, putain, oui ! Alors c’est vrai, les noirs vous avez de ces putains de bites !" murmurait Jenny.
Michel se retira juste un peu, presque un tiers. Jenny gémissait pendant que Michel revenait au fond.
Il répéta le mouvement, sortant un peu plus loin cette fois. Une courte pause, puis il recommença.
Un peu plus loin chaque fois. Sortir lentement, rentrer plus vigoureusement pour la faire couiner, supplier...
"Oh, mon Dieu, oh, putain !" murmurait-elle.
Chaque fois, quand il se retirait, une sensation de vide, d’abandon, un sentiment horrible qui la faisait mendier.
Quand il revenait, poussant durement en elle, elle couinait, mélange de douleur et de plaisir. Le bureau était solide. 
Il n’a pas frémi lorsque Michel a commencé à forcer sa bite farouchement dans la chatte trempée de Jenny. 
Jenny sentait ses jambes trembler, le souffle court, le ventre en feu tandis que la bite délicieuse glissait dedans et dehors, de plus en plus vite, de plus en plus fort.
Jenny se tourna vers son mari : "Oh, mon chéri. Il me baise. Tu vois? Il me baise tellement bien !"
La bite de Michel était incroyablement cruelle. Son pubis claquait contre ses fesses, provoquant sous sa peau des vagues qui ondulaient. Son gland heurtait le col de l’utérus. Ses seins dansaient la gigue.
Incapable de garder son contrôle, elle sentait une vague immense monter du fond de son ventre.
Elle serrait étroitement sa chatte autour de cette bite merveilleuse tandis qu’il claquait sa bite au fond d’elle.
"Je vais jouir, oh putain, je vais jouir ! Regarde chéri ! Regarde ta femme … Oh, putain !", cria-t-elle.
C’était trop tôt, elle aurait voulu que cela dure beaucoup plus longtemps.
Michel n'a pas modifié son rythme. Il a simplement attrapé ses hanches et continué à la frapper sur le même tempo.
Jenny sentit l’orgasme commencer à battre à travers tout son corps. Sa chatte agrippait la bite de Michel et s’épanchait autour d'elle. Elle tremblait de manière incontrôlable. Elle se cramponnait au bureau pour ne pas sombrer dans le gouffre qui s’ouvrait dans son cœur. Insensible à son vertige, Michel la martelait de toute sa vigueur.
À bout de souffle, Jenny hurla son plaisir de femelle bien baisée. Michel lui accorda une rémission, comme une récompense, et calma un peu sa chevauchée fantastique, la niquant beaucoup plus tendrement.
Jenny était couchée à plat ventre sur la table, un seul pied au sol. Cramponnée de toutes ses forces au bureau, les jointures de ses doigts étaient blanches. Sa plainte, une longue litanie entrecoupée de sanglots, comme des jappements, quand le gland tapait dans le fond, aurait pu faire croire qu’elle pleurait à bout de souffrance.
Mais son bassin, agité de soubresauts, répondait aux poussées de Michel, prouvant si c’était nécessaire qu’elle prenait un pied colossal.
"Toujours bien?" Demanda Michel, indécis.
"Oh, putain, oui ! C'est incroyable ! Ta bite est incroyable! T’es un baiseur incroyable !"

Jenny savourait sa situation actuelle. En tournant son regard vers Michel, son regard accrocha une photo qui dépassait du téléphone sur le bureau de Michel. Elle tendit la main et sortit la photo de sa cachette.
Elle s'attendait à voir la femme de Michel, ou quelqu’un de sa famille. 
Elle a été surprise de découvrir une photo d'elle-même, prise le jour de son mariage.
Dans sa robe de mariée, une grande robe blanche, elle posait avec sa robe étalée en corolle tout autour d'elle. 
C'était la photo que Jason gardait normalement toujours dans son portefeuille.
"Qu'est-ce que c'est que ce bordel?" demanda-t-elle, montrant la photo à Michel.
"Je crois que c'est une photo de toi le jour de ton mariage" a répondu angéliquement Michel.
"Je sais que c'est moi !" dit Jenny, irritée. "Qu’est-ce que ça fout sous ton téléphone et pas dans le portefeuille de mon mari?"
Michel se pencha en avant, sa poitrine vint en appui sur son dos. Jenny a soudainement pris conscience que la bite de Michel était encore très dure, très longue et enfouie très profondément dans sa chatte. 
Il a parlé très doucement à son oreille.
"Ton mari m’a tellement parlé de toi. J’ai demandé s’il avait une photo. Il m’a montré celle-là."
En parlant, doucement, discrètement, il se retirait de sa chatte.
Jenny regardait son image, la robe blanche de l’innocence. Son bronzage, ses cheveux, son maquillage étaient parfaits, Le décolleté plongeant de la robe sans bretelles donnait un aperçu magnifique de ses globes laiteux.
Aucun doute, elle était chaude, terriblement excitante, dans cette robe de mariée.
"C’était le premier rendez-vous avec ton mari. J’ai su ce jour-là que je te voulais !"
Ponctuant sa phrase, Michel poussa son sexe sauvagement en avant.
Jenny cria, surprise et docile, la confusion et l'irritation commençait à fondre. 
Michel fit une courte pause, puis recommença à se retirer lentement.
"Ce jour-là, j’ai su..." il attrapa les cheveux de Jenny, les enroula autour de son poing, "J’ai su que tu serais mienne… !"
"Oh, putain !" cria Jenny, lorsqu'il tira ses cheveux en arrière en se frayant un chemin dans sa chatte. 
Son sexe se sentait si bien, enterré à fond dans la chatte de cette pétasse.
Il se retirait lentement de Jenny gémissante : "Oh, putain, oui, ma chatte t’appartient !"
Michel se retira presque complètement d'elle, puis revint taper sa bite dans le fond.
"Ouais, baise-moi cette putain de chatte !" suppliait Jenny, maintenant complètement conquise.
Les regrets, la colère qu'elle avait brièvement ressentis l’instant d’avant s’étaient maintenant évaporés.
Jenny regardait la photo devant elle et glissa une main entre ses jambes. 
Elle tripotait son clitoris tout en regardant la photo de mariage. Elle se remémorait cette misérable nuit. 
Elle a commencé à fantasmer qu'elle était l’épouse de Michel, et qu'il la baisait dans sa robe de mariée.
Jenny laissait sa main aller plus loin. Ses ongles laqués rouge frottaient le sexe de Michel qui se glissait en elle. 
Elle ne pouvait pas croire qu’un homme puisse l’exciter autant. Il trouvait tous ses points sensibles, de toutes les manières, et il exaltait son désir. Les mains de Michel se sont emparées de ses mamelons,
Michel a synchronisé le pincement et l’étirement de ses tétons avec les poussées de sa bite. 
Il l'a manipulée longtemps, encore et encore, et l'effet a envoyé Jenny lentement vers sa limite.
"Mon chéri, j'espère que tu regardes ce qu’il me fait, tu as tellement de choses à apprendre de lui !" dit Jenny à son mari. "Et ... Oh ! Putain ! Oh merde !"
Jenny s’agrippait de nouveau à la table, tandis que Michel s’acharnait à bourrer sa chatte.
Jenny répondait en oscillant des hanches, balançant son cul de haut en bas pendant que Michel la baisait fort. 
Elle commençait à glisser sur le bureau, et Jenny réalisa que son corps était couvert de transpiration. 
"Oh, ouais, comme ça !" grondait férocement Jenny. "Ne t'arrête pas. Putain, N'arrête pas. Je viens !"
Le tic-tac de la vieille horloge fut bientôt couvert par le bruit de choc de leur sexe bestial. 
La chatte de Jenny suintait de ses jus et elle le serrait fort chaque fois que Michel se retirait. 
Elle tourna son visage vers Michel, haletante, bouche ouverte, ses lèvres formant un "O" parfait.
"Oh, mon Dieu, oh, merde … !"
Elle perdit son contrôle. Son corps secoué de spasmes tremblait tandis que Michel la niquait vigoureusement. 
Il la sentait jaillir autour de sa bite cette fois. Un grand jet de liquide clair giclait sur sa bite,
Cette fois encore, Michel a continué sa chevauchée pendant son orgasme, ne ralentissant son rythme que lorsqu'il la sentit se calmer. Jenny revenait langoureusement d'une euphorie dévastatrice. 
Épuisée, tremblante et étourdie, elle cherchait à reprendre ses esprits et son souffle.
Elle regarda par-dessus son épaule vers Michel :
"C’était si fort. Je n’avais jamais ... Tu marques ton territoire, je suis ta chienne !?"
Michel n'avait jamais baisé une femme aussi ardente, aussi volcanique. Il avait déjà utilisé l'hypnose pour violer l’épouse d’un patient cocu, mais Jenny était la première qui n'était pas sous hypnose.
Maintenant, Michel en voulait plus. Il se retira, lui prit la main et la fit descendre du bureau. Il ôta son veston, sa cravate et sa chemise et vint s’asseoir par-terre, contre le canapé, la tête près des pieds de Jason. Jenny a réalisé, avec grand plaisir, que le sexe Michel était toujours aussi raide. Cet homme avait une endurance hors norme.
Jenny aussi était insatiable. Elle est venue d’elle-même enjamber les cuisses de Michel.
Tout en faisant face à son mari, qui la regardait avec une expression vide, elle s'est accroupie lentement en écartant ses genoux au maximum. Elle descendit s’empaler sur la bite tendue et trempée de ses jus.
S’adressant directement à son mari, en scrutant son visage attentivement, essayant de déceler un sentiment :
"Oh, bébé ! Regarde-moi ! Regarde ta femme baiser ton docteur ! Regarde bien, et profite, mon chéri !"
Jenny s'empala entièrement sur le poteau massif de Michel. Avant, sur le bureau, Michel contrôlait le rythme. 
Maintenant, dans cette position, Jenny pouvait profiter pleinement. Elle joignit ses mains derrière la nuque de Michel pour l'équilibre, ancra ses talons dans le tapis près des hanches de Michel, et oscilla des hanches de haut en bas.
"Mon chéri, regarde-moi, regarde sa grosse grosse bite étirer ma chatte !" Jenny humiliait Jason, méprisante : "Tu vois sa grosse bite défoncer ma petite chatte? Il est tellement fort! Tu vois bien? Regarde mieux, il est en train de m’ouvrir en deux ! Oh, j'adore le sentir glisser jusqu’au au fond de ma chatte. Oh, merde, que c’est bon!"
Jenny rebondissait furieusement de haut en bas sur la queue tendue de Michel.
"Es-tu comblée?" Demanda Michel.
"Oh, putain !" s'exclama Jenny, ses seins gambadaient joyeusement tandis qu’elle pompait sa bite. 
"Jamais je n’aurais pu m’imaginer vivre un tel bonheur!"
Jenny regardait son mari, léthargique, l’œil vide pendant qu'elle sautait sur la bite escarpée de Michel.
"Et toi, mon chéri?" demanda-t-elle mielleusement, se moquant de son état : "Es-tu heureux, mon amour?"
"Oh mon Dieu !" cria-t-elle, et elle s’est brusquement figée. "Je ne peux pas déjà jouir, pas encore."
Jenny était stupéfaite. Elle restait assise là, les yeux fermés, le sexe de Michel profondément enfoui en elle.
Progressivement, Jenny ouvrit un œil.
"Mon chéri," dit-elle à son mari : "Nous allons devoir prendre toute une série de rendez-vous !"
"Pouvons-nous prendre une série de rendez-vous, Michel?"
"Je pense que nous pouvons arranger ça," sourit-il.
"Alors, baise-moi sur le canapé, grand garçon !" quémanda Jenny. 
Elle se souleva courageusement de sa verge enfouie, puis se s’approcha de la causeuse.

"Oh, mon chéri." dit Jenny à son mari. "Le Doc a tellement défoncé ma petite chatte, je peux à peine tenir debout !"
Jenny s'agenouilla au-dessus de son mari. En appui sur les mains, un pied par-terre à côté du canapé, un genou entre les jambes de Jason, elle se pencha pour lui chuchoter à l'oreille : 
"Nous avons besoin de plus de rendez-vous, mon chéri. Toutes les semaines, que je me fasse sauter par ton docteur !"
Le canapé était petit, Jason était assis à une extrémité. Jenny, à cheval sur un genou entre les jambes de son mari. 
Elle se cambra en écartant les fesses autant qu'elle le pouvait, narguant son amant.
Elle regarda par-dessus son épaule vers Michel, et agita son derrière dodu d'un air coquin.
Jenny soupira en sentant la grosse bite de Michel se présenter devant son ouverture. 
Ayant déjà joui par deux fois, Jenny était beaucoup moins serrée, et Michel pouvait la pénétrer sans précaution.
Le coup de rein porté par Michel a projeté Jenny sur son mari.
Elle en a profité pour déposer sur ses lèvres un bisou mouillé en lui disant :
"Oh, mon chéri, merci ! Grâce à toi, je vais bien me faire baiser, aujourd'hui !"
"Tu aimes ma bite ?" Lui demanda Michel.
"Oh, merde !" feulait Jenny, en le regardant par-dessus son épaule avec son visage implorant. "Tu ne comprends pas. Je n'ai jamais eu de relations sexuelles aussi prolifiques, aussi satisfaisantes, aussi jouissives. Jamais ... "
Jenny n'a pas pu terminer sa phrase. La bite de Michel venait de claquer au fond de sa chatte. Ses mains s’agrippaient en griffant le canapé tandis que Michel recommençait son va-et-vient en elle.
"Oh putain !"criait-elle. "Oui, oui, oui ! Un rendez-vous chaque putain de semaine !"
Michel ralentit ... s'arrêta, laissant Jenny faire tout le travail.
Jenny ondulait des fesses de manière à pomper la bite de Michel comme si elle le suçait avec sa chatte.
Elle était excessivement flexible du bassin.
Pour Michel, l’effet était incroyablement bandant de la voir tortiller son cul avec autant d’entrain.
Tout en baisant Michel, Jenny embrassait son mari sur les lèvres, mais Jason restait sans réaction, comme une poupée.
Michel se pencha, l’attrapa par la tignasse pour tourner brutalement son visage et l’embrassa fougueusement sur les lèvres. Jenny lui rendit son baiser, bouche ouverte, pour se sentir pénétrée par sa langue.
Jenny pouvait ressentir la tension de Michel se diriger vers son point culminant. 
Il reprit l’initiative, martelant sa chatte, mais sans pouvoir reprendre un tempo régulier. Il se retenait, au bord de l’explosion, voulant durer encore, mais soudain sa semence a giclé alors qu’il s’arc-boutait profondément en elle.
La libération de Michel a déclenché le troisième orgasme de Jenny.
"Oh, oui, oh, oui, putain, oui ! Remplis-moi de ton sperme, chéri, bourre-moi bien !"
Jenny s’extasiait : "Oh, mon Dieu, je jouis encore ! Putain pour la troisième fois !" 
Pour la troisième fois de l’après-midi, son esprit et son corps ont été emportés vers le bonheur céleste. 
Leurs lèvres se sont jointes dans un baiser passionné.
Quand ce fut fini, ils se figèrent tous les deux, mais Jenny continua de vibrer pendant très longtemps.
Puis ses yeux se rouvrirent, émerveillés : "C'était incroyable," lui murmura-t-elle.
"Habille-toi et retourne à la réception" dit Michel en lui claquant les fesses. 
"Je dois sortir ton mari de sa transe, mon prochain rendez-vous sera bientôt là !"
Jenny rit, se leva et se dirigea vers le hall, attrapant ses affaires en chemin.

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