Sophie Divorcée, Sa Nouvelle Vie

Ça fait presque un mois que Sophie est divorcée. Elle a passé ce mois à bien s’installer et à décorer son appartement. Elle voit régulièrement son amie Cassandre qui vit un divorce compliqué. C’est pour vivre avec une jeune femme beaucoup plus jeune qu’elle que son mari divorce. C’est un salaud qui exige de Cassandre de coucher avec lui tant que le divorce n’est pas prononcé. Il se fout de savoir si elle prend ou pas du plaisir, seul le sien l’intéresse. D’ailleurs Cassandre n’éprouve aucun plaisir puisqu’il n’y a plus d’amour entre eux et se contente d’écarter les cuisses. Heureusement le divorce est proche.
Le temps de trouver un appartement, Sophie héberge Cassandre. Elle utilise le lit d’un des s lorsqu’ils sont chez leur père et dorme ensemble lorsqu’ils sont là.
Ce soir Sophie entraine Cassandre en boite pour sortir en célibataire. Ça fait 7 mois que Sophie n’a pas baisé et a bien l’intention de profiter de cette sortie. Sophie porte une robe noire moulante qui met en avant ses formes, de jolis dessous et des bas auto-fixant à motifs fantaisies. Cassandre, plus fine, porte une robe fleurie décolletée malgré une poitrine assez menue, de jolis dessous mais laisse ses jambes nues.
Les femmes dansent ensemble et il ne faut pas longtemps avant que jeunes hommes, environ 25 ans, s’intéresse à elles et se rapprochent. Sophie laisse l’un d’eux se positionner derrière elle et l’attr par la taille. Cassandre, bien plus timide, cherche à s’écarter de l’autre jeune homme. Sophie dans les bras levés et sent le jeune homme se coller à elle. Un des bras l’entoure et se pose sur son ventre. Elle penche la tête et le laisse l’embrasser le cou. Cassandre s’est finalement laissée attr par l’autre jeune homme, les mains sur ses hanches, l’entraine dans une danse assez sexy. Tous les quatre allèrent s’assoir boire le verre que les jeunes hommes leur offrirent. Sur une banquette, face à la piste, les jeunes hommes entouraient les femmes.


- Vous êtes venus seules les filles
- Oui, nous fêtons nos divorces. Mais pourquoi s’intéresser à nous, interroge Sophie. Il y a pleins de jeunes filles de votre âge.
- Oh, ce ne sont que des allumeuses, elles ne nous intéressent pas.
- Qui vous dit que nous n’en sommes pas non plus, vous êtes un peu jeunes pour nous.
- Espérons que non. Nous sommes peut-être un peu jeunes pour vous mais fougueux.
- Ne sois pas si sûr de toi, jeune homme.
Le garçon était assez serein puisque Sophie avait laissé sa main se poser sur sa cuisse, qu’il caressait. Cassandre avait aussi laissé le jeune homme poser sa main sur sa jambe mais l’empêcher de progresser. Sophie n’avait pas refusé le baiser de Marc, son prétendant et la tête en arrière leurs langues se mêlèrent. Elle se laissa caresser les seins et posa même sa main sur la cuisse de Marc. Voyant Sophie, Cassandre se laissa aller et embrassa Julien qui avait sa main sous la robe et caressait sa cuisse. Ils alternèrent danses et flirts pendant près de 2 heures. Les filles allèrent ensemble aux toilettes.
- Tu comptes faire quoi maintenant, Sophie.
- Je veux me faire Marc.
- Et moi ?
- Toi, tu as Julien, il est pas mal non plus et ça te fera du bien, tu verras.
- Tu n’y pense pas, je ne couche pas avec le premier venu.
- Arrête, tu n’es plus mariée, profites. Allez viens.
Elle attrapa Cassandre et l’emmena rejoindre Marc et Julien. Sophie embrassa Marc.
- Dites, les garçons vous connaissaient un endroit plus calme.
- On peut aller chez moi, proposa Marc. J’aime un deux pièces avec un grand lit.
- On vous suit alors.
Dans la voiture, les garçons se demandaient si elles n’allaient pas leur faire fond bond. Ils roulaient doucement et surveillaient les phares de la voiture des filles.
Arrivés chez Marc, ils entrainèrent les filles sur le lit. Les chaussures retirées, elles s’allongèrent côte à côte. Cassandre avait décidé de se laisser aller aussi.
En l’embrassant, Julien avait fait glisser les bretelles de sa robe et défait son soutien-gorge. Il aspirait maintenant les tétons et une main s’insinua sous la robe. Il lui caressa le sexe par-dessus sa culotte avant de la lui retirer. Cassandre retira elle-même sa robe pour se trouver nue dans les bras de Julien.
Sophie, le bas de la robe retroussé, suçait Marc en s’efforçant de le prendre le plus possible. Elle était excitante le cul relevé avec juste sa culotte et ses bas. Elle se leva et se déshabilla complètement, gardant juste ses bas. Elle s’allongea et Marc se mit entre ses jambes pour lui faire un cunnilingus. Julien prodiguait la même caresse à Cassandre. Les filles gémissaient de plaisir.
Marc, nu également, attrapa un préservatif et s’allongea sur Sophie. En l’embrassant, elle dirigea le sexe de Marc en elle. Cassandre se faisait également prendre. D’être à quatre sur le même lit, les excitaient particulièrement. Cassandre avait entouré ses jambes autour de Julien tandis que Sophie avait ses jambes pliées et écartées au maximum. Le plaisir que les quatre prenait emplissait la pièce de gémissements, de mots excitants et de cris de plaisir. Cassandre jouit bruyamment. Julien fit un signe à Marc qui regarda Sophie. Elle fit un geste de la tête approuvant la manœuvre qu’envisageait les garçons. Tous deux libéraient leur partenaire et échangea de position. Sophie accueilli Julien après qu’il ait changé de préservatif. Cassandre, surprise fit non de la tête avant de pousser un cri lorsque Marc la pénétra. Les quatre partirent dans des orgasmes foudroyants.
Tous les quatre récupéraient, allongés sur le lit. Les garçons voulaient qu’elles passent la nuit avec eux mais Cassandre voulu rentrer. Elles se rhabillèrent, Sophie récupéra le numéro de Marc et de Julien et partirent sans oublier de les embrasser. Sophie enregistra l’adresse dans son GPS car elle était incapable de retrouver l’endroit. Dans la voiture, Cassandre avoua qu’elle avait pris beaucoup de plaisir et que même l’échange de partenaire ne lui avait pas déplu et consentit qu’il fût possible de jouir sans sentiment.

Depuis son divorce, au bureau, le regard des hommes sur Sophie avait changé. Elle s’était jurée de ne pas mélanger professionnel et intimité. Et lorsque son patron lui demanda d’aller amener un contrat à faire signer à un nouveau client à son hôtel, elle sentit le piège dans lequel on l’envoyait. Elle l’avait croisé dans la journée et l’avait trouvé quelconque. Elle avait aussi deviné son regard sur elle. Elle quitta son travail et devait ramener le contrat le lendemain à la première heure. Lorsque la réceptionniste lui donna le numéro de la chambre de l’homme, Sophie refusa d’y aller et demanda de le faire descendre. Ils s’installèrent au bar et Sophie lui tendit le dossier.
- Merci Madame. Comment puis-je vous appeler.
- Madame. Elle stoppa et dit Sophie, ça ira.
- Enchanté, moi c’est Patrick. Je vous offre quelque chose.
- Je veux bien un thé.
- Parfait. Il commanda un thé et un café puis reprit la conversation. Sophie, vous pensez bien que je ne peux pas signer un contrat sans le relire.
- Oui je comprends mais comment pouvons-nous nous organiser car je dois le remettre à mon patron demain à la première heure.
- Bon, je vous propose de venir le rechercher ce soir à l’heure du diner, je vous invite.
- Votre proposition me gêne.
- Ne vous méprenez pas, Sophie, mais les soirées dans un hôtel sont d’un triste. Vous me tiendrez compagnie le temps du diner, en espérant qu’il n’y ait aucune modification à apporter au contrat.
- Bon, disons 20 heures.
- Parfait.
Sophie n’avait pas les s cette semaine et Cassandre n’était pas là non plus. C’est pourquoi elle avait accepté l’invitation. Et puis, à le voir de plus près, il n’était pas si mal. Elle se surpris à se pomponner et à changer de tenue plusieurs fois avant de trouver celle qu’elle penser être de circonstance. L’hôtel était luxueux il fallait que sa tenue soit à la hauteur. Elle opta pour une robe de cocktail noire assez longue, fendue sur le côté à mi-cuisse, sans bretelle et avec ses épaules nues.
Elle pouvait se passer de soutien-gorge car la robe était prévue ainsi avec un maintien des seins. La température extérieure permettait de garder les jambes nues. Ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas porté cette robe et elle se trouva très désirable dans le reflet du miroir psyché. Même si elle était provocatrice, sa tenue lui plaisait.
Lorsqu’elle se présenta à l’hôtel, le client la trouva très en beauté et le lui fit part.
- Vous êtes magnifique, Sophie.
- Merci Patrick. J’ai pensé que cette tenue était de circonstance pour la classe du lieu.
- Venait j’ai réservé une table.
Celle-ci était dans un renfoncement sans nappe et en verre dont les pieds étaient en fer forgé. Nous étions assis l’un à côté de l’autre. A cet instant, je ne savais pas si j’étais rassurée ou déçue qu’il ne puisse atteindre ma cuisse. L’une d’elle grâce, ou à cause, du fendue de la robe dévoilait. Si elle n’était pas accessible au touché, elle était aisément livrée à ses yeux. Le serveur lui gâcha le spectacle en mettant une nappe en tissu blanche. Durant tout le repas, il était charmeur avec un humour dont j’étais sensible. Je me laissais séduire et j’en oubliais le contrat. Puis à la fin du repas, il me fit revenir à la réalité me disant qu’il avait signé le contrat sans restriction et que celui-ci était dans sa chambre. Finalement, il me plaisait et son rentre dedans avait eu de l’effet sur moi. J’acceptais donc de le suivre dans sa chambre. S’il ne pouvait être persuadé et ne pouvais qu’espérer une issue favorable, de mon côté, je savais que j’allais coucher avec lui. Je me sentais d’ailleurs d’humeur très coquine. Si l’aventure avec Marc et Julien avait apaisé mon abstinence, il avait également réveillé en moi le besoin de sexe.
Arrivée dans sa chambre, je me suis assise sur le lit, laissant ainsi ma robe libérer une de mes cuisses. En croisant les jambes, la deuxième cuisse se découvrait un peu plus. Il vient s’assoir à côté de moi. Les événements suivants se firent sans paroles.
Il posa une main sur ma cuisse la plus dénudée tout en me regardant et comme je lui sourit, il m’embrassa. Pendant le baisser, j’ai décroisé mes jambes libérant ainsi l’accès à mon intimité. Il progressa lentement sans atteindre mon sexe. Ce qui me rendait encore plus envieuse et excitée. Puis, il libéra ma bouche pour s’attaquer à ma poitrine en baissant la fermeture éclaire dans mon dos. Ainsi libérés, il put caresser et embrasser mes seins. Je lui tenais la tête, lui montrant que j’appréciait ses initiatives. Alors, je me suis redressée et debout face à lui, j’ai lentement retiré ma robe. Seule mon shorty cachait mon intimité, finalement pas tant que ça puisque la dentelle laissait apercevoir mon épilation. Puis à genou devant lui, je lui ai défait sa ceinture, son pantalon et son boxer pour découvrir un sexe imposant et bien raide. J’ai commencé par le sucer sur toute sa longueur avant de le prendre en bouche. Je les laissais rythmer ma fellation avec ses mains sur ma tête et cette soumission m’excita encore plus. J’aurais voulu le faire jouir dans ma bouche et l’avaler mais lui ne voyait pas les choses ainsi. Il se déshabilla entièrement et m’allongea sur le lit. A mes pieds, il retira mon shorty et entreprit un cunni qui me fit chavirer. J’attrapa mon sac à main qui était resté à ma porté pour prendre un préservatif. Je l’ai fait se coucher et j’ai pris le préservatif dans ma bouche. En m’aidant de la main, je lui déroulais sur son sexe et je me suis mise sur le dos. Il se coucha sur moi et je pris son sexe en main pour le diriger en moi. Il était gros et il me pénétra lentement, ce qui me permit de l’accepter assez facilement. Dès que je l’ai senti au fond de moi, j’ai joui. J’avais écarté mes jambes au maximum ce qui lui permit de me baiser profondément. Maintenant ses mouvements étaient rapides et profond et moi, je ne cessais de gémir et de jouir. Je me retournais pour qu’il me prenne en levrette. Je vous ai dit que j’étais d’humeur coquine. J’ais envi de me donner totalement à lui. C’est ainsi qu’après un nouvel orgasme, j’ai pris le tube de lubrifiant que j’avais glissé dans mon sac à main. Il comprit l’invite et lubrifia mon anus qu’il détendit avec ses doigts avant d’en étaler sur son sexe. J’étais, malgré mon envi, anxieuse à cause de sa taille. Mais la pénétration anale se fit sans douleur. Je faisais avancer et reculer mes fesses pour le sentir à ma convenance. Puis, il reprit les choses en main, si je puis dire, et m’attrapant par la taille accéléra sa pénétration. J’ai bien senti son sexe se gonflait et lâcher son sperme dans son préservatif. Il se retira lentement et s’étendit sur le lit et retira son préservatif qu’il jeta au sol. Heureuse du plaisir qu’il m’avait donné, j’ai nettoyé son sexe avec ma bouche. Le gout de son sperme envahit ma bouche.
- Il faut que je rentre maintenant sinon je ne vais pas être fraiche demain matin.
- Mais personne ne t’attend, dort ici. Tu partiras te changer au petit matin.
- Me laisseras-tu dormir ?
- Je te laisserais rythmer la nuit. Tu es si excitante que je serais opérationnel dans quelques temps.
- C’est mignon mais je vais juste me reposer un peu et je vais rentrer.
Je me suis endormi quelques minutes car ses caresses m’ont réveillé. Il attrapa un préservatif dans mon sac et me pénétra mais cette fois sans ménagement. Son énergie me rendit dingue et je l’encourageais à me défoncer (un terme qui ne m’est pas familier mais de circonstance). Il ne me ménagea pas et c’est lui qui se retirant, enleva son préservatif et mit son sexe dans ma bouche. Je l’ai fait pivoter et couché à moitié sur lui, je l’ai branlé et sucé. Lorsqu’il a joui dans ma bouche, je l’ai regardé et avalé sa semence.
Je suis passé à la salle de bain, me rhabilla et parti sans oublier le contrat. Il était encor nu sur le lit. Je lui ai déposé un baiser et lui dit merci. Je me suis couchée dans mon lit, pleins d’étoiles dans ma tête.

(A suivre)

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