La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1371)

Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1355) -

Ces mots m’excitaient et me faisaient tant mouiller... J’entendis les pas du Maître Vénéré sur le parquet, il se recula puis le premier coup de martinet tomba et vint rougir mon fessier … si blanc auparavant. Ainsi s'enchaina les coups dosés avec force, justesse et savoir-faire. Monsieur le Marquis maniait le martinet avec habilité tel un virtuose sur ma croupe de chienne salope, ce qui me donnait un mélange de plaisirs et de douleur cuisante et rendait ce moment bien plus que délicieux. J’étais si bien ainsi à ma place soumise aux Volontés du Maître me sentant pleinement alors Sa chose, Son objet de plaisir, sous Sa saine Emprise. Je sentis ma croupe commencer à s'empourprer et une chaleur excitante irradiait sur mon postérieur de salope. J’étais si bien à Ses pieds et à la fois si excitée et trempée, que ma mouille coulait le long de mes cuisses... Au bout d'un moment, le Maître Vénéré s’arrêta et j’entendis Ses pas résonner sur le parquet multi centenaire de Sa vaste chambre. Il se rapprochait de nouveau et je restais ainsi immobile, soumise à Son bon vouloir, restant alors imperturbable, les sens en éveil, dans l'attente de Sa prochaine directive, me sentant tellement chanceuse et reconnaissante de ce moment fort excitant à me sentir tout simplement à la seule place qui me sied, à Ses pieds…

Je sentis alors le Maître Vénéré juste derrière moi et dans la minute qui suivit, se mit face à moi. Je gardais la tête baissée, dans la position imposée précédemment. La main de Monsieur le Marquis d’Evans caressa mon visage, puis prit mon menton avec délicatesse et fermeté à la fois, pour me relever la tête à Sa hauteur. Le Noble me regarda fixement alors que je soutenais docilement mais aussi avec difficulté Son regard profond quasi hypnotique de Dominant et si bleutée à la fois. Cet instant était très intense et j'en ressentais instantanément dans tout mon corps des frissons riches en émotions.

Après un bon moment passé à être imposée à Le regarder dans les yeux, la main du Maître Vénéré lâcha mon menton et dans la seconde qui suivit je baissais les yeux, mais j’eus le temps d’apercevoir le Châtelain sourire quand ensuite Il s’adressa à moi, d’une voix joviale et calme :

- Bien, ma chienne salope, je suis très fière de toi et de ton comportement exemplaire et digne d’une soumise MDE. Pour te féliciter de ce bon comportement, tu as le privilège de pouvoir dormir dans mon lit à mes côtés. Et si j’ai des envies nocturnes comme par exemple de me faire sucer ou bien de te prendre en pleine nuit dans l’un de tes trous de chienne, je le ferais autant de fois que j’en aurai envie car tu es Ma priorité la plus absolue. Et ainsi tu peux savourer ce fait, que j'ai le droit d'en user quand bon me semble de ton corps qui M’appartient totalement. Mais avant cela, nous allons nous doucher avant de nous coucher, me dit le Maître Vénéré de sa voix si charismatique et si suave qui me fait toujours fondre...

Monsieur le Marquis d’Evans prit, de Sa main droite, la laisse de mon collier dont il se saisit avec fermeté puis tira légèrement dessus pour m'obliger à le suivre progressant à quatre pattes, la tête baissée, sur le parquet où avait marché le fameux Marquis de Sade il y a des centaines d’années (cf : les origines de la saga) alors j’appréciais ce sublime honneur à sa juste valeur. Arrivés à une salle de bain aussi vaste que majestueuse composée d’un mur carrelé et de remarquables lavabos en marbre et robinetterie dorée ainsi qu’une très imposante baignoire. Je m’arrêtais alors d’un coup lorsque le Noble s’arrêta de marcher. Il se retourna vers moi, puis desserra et enleva mon collier et ma laisse. Le Châtelain me donna la main pour que je me relève puis me dit de Sa voix chaleureuse :

- Ma chienne Maera MDE, nous allons prendre notre douche ensemble et j’exige que tu caresses mon corps et me nettoies la moindre parcelle de celui-ci avec le gel douche que tu trouveras juste à côté et je ferais de même pour toi en te savonnant ton corps de chienne et de salope en chaleurs.
Si l'envie m’en prend je te donnerais l’ordre de me satisfaire, en prenant un de tes trous avec Mon noble Joyau… Joyau, que tu dois toujours vénérer et chérir, me dit Le Maître Vénéré de Sa voix si charismatique et si suave qui m’excitait autant qu'elle me faisait mouiller.

J’entendis alors Son claquement de doigts et je me mis en mouvement trop heureuse de l’honneur que Monsieur le Marquis daignait bien vouloir m'accorder en me permettant de me laver avec Lui avec l’eau chaude de la douche, ce qui n’était que très rarement accordés aux chiens et aux chiennes du Maître des lieux au Château. J'attendis que le Maître se soit bien installé dans Sa luxueuse baignoire en forme d’une immense coquille pour Le suivre avec docilité et obéissance. Je suivis les gestes et signes du Maître et me laissant ainsi guider. C’est alors que l’eau se mis à ruisseler sur mon corps et le Sien et que j’appréciais ainsi ce sublime moment. Je prenais par la suite le gel douche et j’en étalais, toute en douceur, lenteur, bienveillance, application et Adoration à masser et caresser Son divin corps. Cela était très sensuel et je ressentis alors le plaisir charnel de Ses mains sur mon propre corps quand en même temps, Il me caressait les épaules, les seins, les hanches par Ses si sublimes caresses, ce qui mettait tous mes sens en émoi. Je me concentrais alors sur la tâche qu'il avait exigé de moi et me mettais à savonner avec vénération le contact de nos deux corps, ce qui rendait ce moment encore plus sensuel et dans une forme d’osmose, de symbiose uniques.

Plus je le savonnais et caressais sous la douche, plus je me rendais compte que le Noble Joyau commençait à durcir et donc le Maître était, à l’évidence tout comme moi, excité par ce si bon instant divin, après cette soirée tant chargée et riche en rebondissements… J'entendis alors un autre claquement de doigts et m’arrêtais immédiatement, attendant Sa prochaine directive, tellement comblée par ce moment de bien-être partagé, quand Il me dit :

- Ma salope de chienne, penche-toi en avant, les mains sur le mur carrelé, les cuisses bien écartées et cambre ton cul, ouvre-toi bien … j’ai envie de prendre ton trou de salope en chaleurs alors que l'eau de la douche coule sur nos deux corps, ce qui rendra cette saillie encore plus sensuelle.
.. Tu as interdiction de jouir tant que je ne t’en ai pas donné l’autorisation, me dit Le Maître Vénéré…

Je changeais donc de position et me mis dans la position exigé et j’attendis ainsi sans bouger. Je sentis par la suite le contact de Sa main sur mon postérieur de chienne salope et ressentis alors Son gros gland violacé se frotter le long de ma raie du cul afin de trouver le parfait angle à cette saillie. Une fois qu’Il se fut bien positionné et avec Son Noble Joyau, Il me pénétra mon trou du cul de salope en chaleurs de manière bestiale et si excitante à la fois en une poussée lente mais assurée, jusqu’à la garde, entrant Sa Verge en totalité profondément en mes chaudes entrailles... Je me retrouvais alors pleinement possédée et si bien baisée, n’étant plus que considérée comme un simple trou accueillant juste pour qu’Il puisse se vider les couilles, étant utilisée comme un simple objet de plaisir, ce qui m’excitait aussi tellement… Je ressentais alors ses va-et-vient du plus profond de mon cul et plus cette sodomie sauvage, animale durait, plus j’en étais excitée. Une fois le passage réalisé dans mon anus dilaté par Sa grosse queue, le Maître accéléra Ses coups de reins de plus en plus vite pour me besogner sans ménagement… Il s’activait énergiquement tel un mâle en rut sur une femelle en chaleur !... L’eau coulant le long de nos deux corps nus rendait ce moment encore plus intense, sensuel, érotique et mémorable à la fois. C’était comme si ça décuplait notre libido sexuelle, le fait de me faire saillir, enculer sous la douche. Je sentais toujours Ses virils assauts de plus en plus prononcés dans mon fondement de chienne MDE et je pris sur moi pour me concentrer à retenir mon excitation grandissante afin de ne pas jouir... Après un long et si bon moment de coulissements de sa grosse queue en mon cul dans la chaleur de mon fourreau anal par cette torride sodomie, j’entendis alors la voix libératrice de Monsieur le Marquis d’Evans exigeant :

- Aaahhh … Ma salope de chienne MDE… aaahhh … tu peux jouir … C’est bon de prendre ton cul si accueillant et chaud… Aaahhh … Je suis fière de toi, tu as bien retenue ta jouissance… Aaahhh …Nous jouirons ensemble comme de concert à l’unisson comme dans une totale symbiose parfaite….
Aaahhh … Ouiiiiii … je … je viens… Aaahhh … Maintenant jouis Ma salope … Aaahhh …, m’ordonna le Maître en lâchant Sa semence au moment où j’obéissais à cette sublime Exignce.

Je lâchais donc mon explosif orgasme dans des cris presque bestiaux au même moment où le Maître dans des râles de jouissance éjaculait par des jets saccadés au plus profond de mes entrailles…. Le Maître resta ensuite immobile, bien planté en moi en coït anal profond, jusqu’à ce que Sa verge se ramollisse d’elle-même, tout en me tenant fermement par les deux seins qu’il avait empoigné durant la saillie... De mon côté, je redescendais doucement sur terre, peu à peu et profitais de ces quelques minutes de ce sublime coït pour me remettre de mes émotions et de mon intense et puissant orgasme si libératoire... J’étais si reconnaissante de cette atomique jouissance accordée et attendit patiemment le prochain ordre. Monsieur le Marquis sortit de mon cul doucement puis Il exigea que je lui nettoie Son Noble joyau empli de mes sécrétions anales et des souillures de Son sperme. Je m’appliquais et une fois terminé, le Maître sortit de la baignoire-douche et me tendit une serviette éponge. Je l'essuyais avec celle-ci sur tout le corps et m’attarda sur Son divin Joyau que j’essuyais tout doucement tout en le caressant du bout des doigts... Ensuite, ce fut à Son tour qu’il décida de m'essuyer aussi pour que je ne prenne pas froid... Après avoir fini de nous essuyer mutuellement, je me remis en position d’attente à genoux, la tête baissée et mains derrière le dos. Le Maître Vénéré me remit le collier et la laisse autour du cou et tira pour m’obliger à le suivre. Je me remis à quatre pattes et le suivit avec obéissance et bonheur. Le Noble s’installa sur Son lit et m’invita par un geste de Son doigt à monter sur la literie. Je m'allongeais alors avec bonheur et félicité. Je fus mainte fois sollicitée durant la nuit en étant réveillée et à chaque fois avant de me faire prendre par un de mes orifices, je me mis à sucer avec gourmandise et avidité Son noble Joyau...

(A suivre …)

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