Philippe Ep 38 : Petit Retour A La Normale
PHILIPPE
EP 38 : PETIT RETOUR A LA NORMALE
A part Luidji qui me regardait de travers pendant plusieurs jour. Il paraît qu'il avait toujours mal au cul une semaine plus tard
Le pauvre loulou, pfff, la petite nature. Tout le monde remarquait que j'avais le sourire et me le disait.
Vous n'allez pas le croire mais le directeur m'a fait venir dans son bureau pour me demander si je n'étais pas malade
Ils sont tout de même gentils dans cette école. Je ne me faisais plus virer des mes cours et le directeur voulait s'assurer que tout allait bien pour moi !
Moi : Ne vous inquiétez pas Monsieur le directeur, tout va bien.
Le dir : Vous savez Mr Brosso, votre père m'a contacté !
Moi : Il il a dit quoi ? ( une brève panique traversait mon esprit )
Le dir : Rien de mal rassurez-vous jeune homme. Il m'a dit qu'il faudrait réétudier entièrement l'orientation de vos études.
Moi : Ouf ! Ok là ouai ça va !
Le dir : Et quels seraient vos choix ?
Moi : Un truc avec des fleurs !
Le dir : Un truc avec des fleurs ! Vous pourriez être plus précis là ?
Moi : Bein moi j'aime bien les fleurs et tant que c'est vert et que ça pousse ...
Le dir : Jardinier ?
Moi : Les jardins, oui, un truc comme ça !
Le dir : Oui ! Je vois et vous en avez parlé avec votre père ?
Moi : Bein non !
Le dir : J'ai peur qu'il ne trouve pas ça très valorisant !
Moi : Oui mais c'est vous aussi, vous me demandez moi je dis !
Il réfléchissait longuement
Le dir : Des études en botanique ?
Moi : Ça fait pousser des fleurs les botaniques ?
Le dir : C'est plus compliqué que je ne le pensais cette affaire ! ( là il avait pensé à haute voie )
Le dir : BIOLOGIE VEGETALE !
Il avait dit ça assez fort et je sursautais.
Moi : Il y a des fleurs dans ce truc ?
Le dir : Ça concerne tout ce qui touche de loin et de prêt les fleurs, les plantes, arbres, gazon
Il n'y a pas à dire il sait comment il faut me parler !
La discussion continuait un long moment.
Le dir : Et si je vous demandais de formuler un choix secondaire vous me répondriez ?
Moi : Beau Arts !
Le dir : Ça a l'avantage d'être précis
Mais là je pense que ça ne passera pas mieux auprès de votre père que jardinier
Mais des études en biologie si on considère la décision de votre père de ne pas vous confier la direction de la PK, le soutient de votre mère, l'intervention de votre grand père et le soutient de vos deux oncles
Moi : Ah vous avez vu tout le monde ?
Le dir : J'ai vu tout le monde
et donc, c'est un choix qui devrait pouvoir se réaliser
On dit donc biologie végétale !
Les jours suivants j'affichais un sourire encore plus large. Quelques jours plus tard encore on me convoquait de nouveau dans le bureau du directeur
Devais-je m'inquiéter ?
Le dir : Monsieur Brosso, votre requête a été longuement étudiée. Votre oncle Bob qui comme vous le savez sponsorise nombre d'activités culturelles de tous type ainsi que notre musée se fait un plaisir de vous recevoir dans un des organisme culturel qu'il dirige. Votre oncle Luc vous invite à faire un stage (ou plusieurs) dans les bureaux du journal culturel de votre choix
Je ne sais pas pourquoi ces deux là se sont arrêté sur votre deuxième choix !
Moi : Ils sont gentils avec moi !
Le dir : C'est sûr que dans votre cas, avec votre famille, vous ne devriez avoir aucune difficulté pour trouver un stage
Moi : Éh, éh !
Le dir : Il n'y a pour le moment aucune opportunité de stage en laboratoire aussi j'ai pensé vous proposer une stage dans la PK Beaux Arts Université !
Là je faisait la gueule, je ne souriais plus. Mais c'est quoi ce plan ? Il me propose quoi là ?
Moi : Mais c'est l'université PK
Et il me semble qu'il faut porter le truc Là
J'ose même pas dire le mot
Le dir : On vous dispensera de porter un dispositif de chasteté pour ce court séjour.
Je ne porterai pas de dispositif, et je serai le seul
Le dir :
découvrir le travail dans une école
Et ils ont tous le feu au cul les étudiants là bas
Le dir :
le travail qui se fait dans une école Beaux Arts de référence
Je pensais à Ludo, il était chaud Ludo et il était là bas
Le dir :
Vous pourrez découvrir ainsi tranquillement
Et si jamais ils sont tous comme Ludo
Moi : C'est une excellente idée ça Monsieur le directeur !
Le dir :
Ah !
Bien on va organiser ça pour
Disons la semaine prochaine.
Moi : Oué ! Génial !
Le dir : Vous m'étonnerez toujours Mr Brosso, je pensais que ce serait plus difficile que cela de vous convaincre d'accepter un stage dans cette université.
Le dimanche dans l'après midi je prenais ma voiture, sac à dos sur l'épaule, l'université PK est à près de cinq kilomètres et je n'allais tout de même pas y aller à pied. Sur la route je me disais que comme ça je serais toujours aussi loin de la maison. La direction que prenait ma vie me convenait de plus en plus !
J'étais reçu comme un prince, on me donnait une chambre à un lit. Dans ma tête je pensais qu'avec un colocataire ce serait plus pratique mais je n'avais pas de colocataire
Pfff
Dommage il n'y avait qu'un lit !
Il y avait des cours magistraux ( comme dans toutes les écoles ) mais il y avait surtout des ateliers. Là on pouvait mettre les doigts dans la peinture, on a fait une bagarre, je me suis retrouvé barbouillé de toutes les couleurs. C'était le premier jour, il ne m'ont pas épargné mais je me suis défendu.
Le soir aussi il a fallu que je me défende, deux étudiants son venu me voir dans ma chambre, ils avaient emmené de la bière. C'est interdit mais si on ne peut plus picoler aux Beaux Arts, c'est plus les Beaux Arts.
Rapidement la soirée à dégénérée.
Celle là il ne fallait pas la louper au passage
'' Ça m'troue l'cul !''
Éh, éh, c'est avant tout de la théorie mais si on passait à la pratique. Aussi prenant l'air idiot, d'après mon père j'ai des aptitudes pour ça !
Moi : Mais c'est donc vrai, tous les étudiants portent ce genre de truc ici ?
Dodo : Bein oui parfaitement, tu ne le savais pas ?
Moi : Bein on m'avait bien parlé un peu de ce genre de coutume mais j'avais du mal à y croire.
Willy : Moi j'en portais un déjà un an avant de venir ici !
Moi : Bein mince alors et ça ressemble à quoi ? On peut voir ? J'en ai jamais vu !
Vous me croyez j'espère !
Ils rigolaient en échangeant des regards complices, on terminait la bière et ils baissaient leurs pantalons. Dodo sur la lancée retirait tous ses vêtements ce qui semblait amuser Willy. Sans attendre je me penchais sur Dodo, lui tâtais les couilles et le dispositif, c'était le même que j'avais porté l'été précédent. Il avait les couilles bien pleines, bien fermes, bien dures et je sentais la pression dans sa cage.
Moi : Je peux toucher ?
Dodo éclatait de rire.
Dodo : Il ne fallait surtout pas demander avant ! Enfin mieux vaut tard que jamais !
Willy : Et toi tu nous montre ton truc !
Dodo : Mais enfin il a dit qu'il n'en portait pas !
J'avais déjà retiré mon T-shirt.
Willy : Ça veut pas dire qu'il n'a pas un gros machin !
Le reste de mes vêtements était déjà à l'autre bout de la pièce. J'étais nu devant eux, je bandais et j'avais un large sourire béat sur la figure.
Willy s'approchait de moi et me prenait la queue dans la bouche, il passait sa langue sur mon gland, je sentais sa douceur, c'était chaud et ça ne faisait pas de doute, ce n'était pas la première fois, il savait faire.
Quelques instants plus tard c'est Dodo qui prenait la place. Lui aussi il faisait ça bien. Moi je ne faisais rien, enfin si, je gémissais de plaisir mais à part ça
Rien. Je me laissais faire, ils se passaient le relais, je n'avais pas besoin de demander. Au bout d'un moment, tout de même, je me décidais à les encourager en leur caressant les cheveux.
Je m'allongeais sur le tapis, les jambes écartées, doigts et orteils en éventail. Ils étaient adorables ces deux petits gars, tout à fait adorables. L'un me suçais la queue, l'autre les couilles. Ils me faisaient ça avec douceur et tendresses puis il y avait aussi les caresses, les guili-guili, je frissonnais et ce n'était que sous le plaisir de leur douceur.
Ensuite venaient les baisers, pendant que l'un continuait à me sucer la queue avec expertise, l'autre m'embrassait sur la bouche. Ses baisers descendaient le long de mon corps en passant par les épaules, le torse. Il s'attardait sur ma poitrines et mes tétons et pendant que je frémissais de plaisir ses mains me caressaient le corps et se glissaient partout ou c'était agréable.
Son camarade me suçait la queue, me massait les couilles avec une très grande douceur ainsi que les cuisses, les jambes et quand le premier arrivait au niveau de mon bassin ils échangeaient un long baiser puis échangeaient les position. Et tout reprenait !
Ils me faisaient penser à Ludo, ils étaient aussi chaud que lui. Je laissais faire et j'en profitais, je me délectais, j'étais aux anges. Ils n'oubliaient pas une zone de mon corps. Régulièrement un doigt se glissait entre mes fesses, c'était pas pour me déplaire. Je ne sais pas lequel a commencé mais je ne le lui reproche pas, bien au contraire.
Ils me caressaient partout sur le corps avec tellement de douceur. Un doigt s'attardait un peu plus longtemps entre mes fesses et forçait un peu le passage, je gémissais de plaisir et je laissais faire. Là encore je laissais faire.
Au moment ou j'ai réagi, c'était pour les encourager en leur caressant la tête, je caressais ensuite leurs corps, ils avaient la peau douce, je bandais encore plus, ma queue était aussi dure que du bois.
Un des deux prenait position, face à mon lit, jambes écartées il se penchait en avant et m'offrait son cul. Je me relevais, je le caressais encore, lui donnais quelques baisers sur le dos puis en position je poussais ma queue contre son cul. Elle rentrait sans résistance, c'était doux, j'y allais doucement ( je ne sais pas ce qui m'a pris ), je prenais tout mon temps et il semblait apprécier. En un mouvement lent j'enfonçais ma queue sur toute sa longueur. Je ne sais pas si je vous l'ai dit mais je suis assez bien monté. Pas géant mais bien tout de même.
Il gémissait de plaisir. Son camarade se collait à moi contre mon dos. Je sentait sa cage tout en haut de mes cuisses, juste en dessous de mes fesses. Sans, il aurait été en position pour m'enculer. Il me prenait dans ses bras, me serrait fort et suivait mes mouvements quand je me retirais et y revenais puis quand mes mouvements se répétaient, lentement au début puis plus rapidement, encore plus rapidement et finalement très rapidement.
Je limais mon premier camarade pendant un long moment, je posais mon menton sur son épaule et regardais son visage de profil. Il avait les yeux fermés, par moment il faisait une petite grimace, il serrait les dents, il respirait fort. Je le sentais trembler ou alors c'était l'autre qui m'embrassait dans le dos.
Le premier respirait de plus en plus fort, je lui tripotais les couilles et c'est à ce moment qu'il a juté, il a poussé aussi un petit cri de plaisir. J'ai senti son cul se contracter sur ma queue, juste ce qu'il fallait pour me faire jouir à mon tour. Je jutais alors dans son cul.
Le second des garçons, dans mon dos suivait la situation et savait donc ou on en était. Il me serrait alors de toutes ses forces et m'embrassait sur le dos. Il finissait pas me lâcher, je me retirais. On se détendait allongés sur le tapis en discutant.
Un peu plus tard je bandais de nouveau. Vous savez à dix sept ans il ne me faut pas longtemps pour récupérer. Euh ? J'ai dit dix sept ? Bon je vais faire une mise à jour j'en ai dix huit maintenant.
Bon pour la mise à jour, on verra un autre jour, pour le moment j'ai un cul à défoncer. Le second garçon qui avait été si câlin se mettait à genoux face à mon lit, il se penchait en avant. C'est à ce moment que j'ai eu une monté de romantisme ( vous voyez ce que je veux dire ? ). Je prenais alors position, me lubrifiais bien la queue et son cul. Je lui enfonçais ma bite dans le cul bien à fond directe sans préliminaires. Il a un peu gueulé mais bon il a aimé !
Je l'ai limé pendant un long moment, je n'arrivais pas à juter alors je continuais. Je me retirais et m'enfonçais bien à fond en appuyant mon bassin sur ses fesses, puis je recommençais.
Le premier gars que j'avais pris nous regardait en rigolant, enfin c'est surtout son copain qu'il regardait. Sa tête le faisait rire. Il encaissait bien le petit gars et au moment ou je l'ai senti jouir j'ai éjaculé moi aussi. Je l'ai serré fort dans mes bras.
On a continué la soirée à poil dans ma chambre, il restait de la bière !
Dodo était en première année, Willy lui était en deuxième année. Ils étaient amusants, ils me racontaient que les études n'était pas si faciles qu'on aurait pu le croire mais, d'après eux, ça en valait la peine. Il faut être passionné mais on s'amuse bien et il y a une bonne ambiance.
C'est et ça reste une école PK donc la réputation garanti un déboucher à la fin des études. C'est pour ça qu'ils avaient choisi cet établissement sinon, ce genre de soirée (comme celle que nous venions de passer) était plus facile dans une autre école.
Dodo : Ici ça reste tout de même un peu austère !
Il disait ça en secouant sa cage de chasteté avec la main.
Willy : Et toi tu vas venir ici aussi l'année prochaine ?
Moi : Alors ça moi Ja-Mé ! Moi je ne porte pas ce genre de truc là, alors ça certainement pas.
Dodo : Il y a des jours ou on regrette
Willy : Et d'autre ou on ne changerait rien !
Bon dans l'école ou je suis, en dernière année près des deux tiers des étudiants portaient un dispositif de chasteté, ici c'était tout les étudiants et pas qu'eux.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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